547 - 52 Le champ brûlé

Je gémis : — J’ai travaillé dur, chef, je vous jure. Il dit à ses hommes : — Je pars cinq minutes avec la petite blonde. — Oui chef, on surveille. Ouf ! Ce n’est que ça : sucer sa queue ! Ah non, il me dit : — Penche-toi, les mains sur ce tronc. Il enlève son short et relève ma jupe jusqu’à la taille. Et si c’était pour me fouetter ?? J’écarte les jambes et je me cambre en remuant des fesses. Il les prend à pleine main. Ouf !! C’est pour me baiser. Il me dit : — Une blonde avec un cul aussi beau que celui d’une Africaine, je ne peux pas résister. Je réponds : — Soyez le bienvenu, chef. Il caresse ma chatte avec son gland. Oh ! Il a l’air d’en avoir une très grosse. Le problème, c’est qu’après ma chatte, son gland vient faire des bisous à mon anus et…. — Oooooooooooooohhhhh… Il m’a enculée jusqu’aux couilles ! Je serre les dents, mais ça va, depuis que j'ai quitté Madras, mon cul a déjà vu le loup. Il me baise à grands coups de reins… Ses couilles claquent sur mes cuisses mouillées