Articles

633 - 30 Des lichens et des filles.

Image
Suki ajoute : — Prends un fruit de chaque variété et demande le nom à Camille. Il y a des fruits de différentes couleurs et formes. Camille me les met dans les mains en disant leurs noms : — Durians, fruits du dragon, caramboles, mangoustans, jujubes, ramboutans... Le durian ne sent pas très bon mais il est comestible et apprécié en Asie. Je ne vais jamais retenir tout ça. Je vais m’agenouiller devant ma Maîtresse les bras tendus, les mains pleines de fruits. Je lui dis : — Le petit poilu, c’est un durian, il ne sent pas bon, mais... Elle me dit : — Je connais... Elle mord dans le fruit, puis elle me le met dans la bouche. Je suis toujours à genoux devant elle, les bras tendus, les mains en conques remplies de fruit... Quand on arrive au durian, je fais la grimace car le goût l’odeur sont vraiment mauvais. Elle me dit : — Mâche et avale. Je fais ce qu’elle me dit. Elle me dit : — Comme je suis de bonne humeur ce matin, tu peux aller chercher les fruits dont tu as envie. Tu reviendras l

632 - 29 Mila et ses penchants.

Image
  Suki nous dit : — C’est Mila qui va faire le service.  Puis en s’adressant à moi : — Tu aurais dû te lever avant nous. Mets des branches sur le feu et de l’eau dans la casserole. — Oui Mademoiselle. D’accord, je suis moins angoissée, mais elle est très directive. Je fais ce qu’elle dit et je fais bouillir de l’eau, puis je cherche le thé. Suki me dit : — Tu es d’une lenteur... Sheng, aide-la. On fait le thé à deux et j’apporte les gobelets à Camille, Suki et Sheng et... moi ? Je dis à Suki : — Je peux m’en faire aussi Mademoiselle  ? — Quand nous aurons fini, Mila. Vous n’aviez pas des bonnes dans ton ancienne vie ? — Si, mais... — Est-ce qu’elle mangeait avec vous ? — Non, mais... — Non et c’est tout. Camille, que veux-tu ? Elle l’appelle par son prénom et le tutoie !! Il me dit : — Du thé, deux bananes et des abricots. Je le sers puis Suki et Sheng me disent ce qu’elles veulent. Camille me dit : — Alors, tu as trouvé une Maîtresse ? Je rougis et je réponds : — Oui Monsieur.  Il ajo

631 - 28 Tarzan et ses Jane.

Image
 Camille vaporise sur nous un produit qui est censé nous protéger des insectes et des reptiles. Je lui dis : — Et les tigres, monsieur ? Il sourit et répond : — Les tigres sont regroupés dans une immense région le long de la frontière avec l’ex- Russie. Depuis la sévère baisse de natalité partout dans le monde, la nature a regagné de très grands territoires.  Il nous donne de bonnes chaussures de marche et nous dit : — Le repellent n’éloigne pas les épines, donc soyez prudentes. Il est plus âgé que nous, il doit avoir une cinquantaine d’années mais il est très costaud. Il porte un grand sac qui pèse une tonne, rempli de matériel divers. Les filles et moi, on a des petits sacs à dos qui sont déjà assez lourds. On transpire malgré qu’on soit nues. Il fait terriblement chaud dans cette région. On aperçoit des singes, des oiseaux, mais pas de bestioles qui pourraient nous dévorer. On marche certainement une demi-heure, on est luisantes de sueur et de l’humidité. On a toutes très soif. Je l

630 - 27 Mei nous conduit

Image
 Ces jours-ci on a eu de la chance. D’abord Camille, qui est très gentil et avec qui on a trop bien mangé. Il va venir nous sauver dans deux jours. Maintenant le Sumo, qui nous a fait jouir et nous a fait une petite toilette complète. Je prends une serviette éponge pour nettoyer le sperme qui a jailli de son geyser. Il me caresse la cuisse pendant que je fais ça. Et là, je fais quelque chose de surprenant, vu mon manque de courage, je dis aux deux filles : — Venez, je dois vous dire quelque chose. Je les prends par la main et on s’éloigne un peu. Je leur dis : — On sait ce qu’il aime, on va se mettre à quatre pattes en lui présentant nos fesses et je lui demanderai de rester avec nous ou de nous emmener. Sheng me dit : — T’as mangé du lion, Mila ! Suki répond : — On essaie. On va se mettre à quatre pattes, les fesses vers lui et je lui dis : — Comment on va faire demain matin pour tout nettoyer sans vous ? S’il vous plaît, gardez-nous. Alors, soit je reçois une méga claque sur mes fess

629 - 26 Un très, très gros.

Image
La grosse femme que je viens de lécher nous dit : — Dehors. Aux défauts que je viens de citer, je vais ajouter « pas polie » ! On sort du chalet et Fang nous dit : — Si on allait se tremper ? Je réponds : — La nuit, j’ai peur dans la mer. — Moi, j’ai envie d’aller dormir sans sentir la bite du gros connard. Allez, viens. — Oui, mais au bord. Comment ça, j’ai la trouille de tout ? Oui c’est vrai... La mer de Chine ou quel que soit son nom, elle me fait peur la nuit. Les filles ne sont pas tellement plus à l’aise, et on reste toutes au bord. On se lave à l’eau de mer, on s’arrose un peu l’une l’autre. On n’est pas rappelées à l’ordre par une crise aiguë de sciatique. Je suppose qu’on est filmées avec un drone équipé d’une caméra thermique. On ne fait plus attention aux trucs qui pourraient voler autour de nous pour nous filmer. C’est gai de se laver et de jouer comme des gamines... euh... des grandes gamines, je suis prudente, même quand je n’écris que pour moi... On a quand même passé u

628 - 25 On mange.

Image
Camille nous dit : — Servez-vous les filles. Je lui dis : — Vous êtes un ange, Monsieur Camille. Il rit et répond : — Si j’en suis un, je ne suis pas au courant. Le soir, je vais souvent sur l’Intranet et je regarde tes aventures du jour. La plupart du temps, je te plains... Je fais une pauvre tête, je dois me forcer parce que je mange un gâteau marbré au chocolat et j’adore ça. Il poursuit : — Mais... tu me plais beaucoup aussi. D’accord, il me demandera une fellation à la fin du repas. Pas de problème, pour une fois, je sucerai quelqu’un de gentil. En attendant, on se ressert. Je me lève pour me confectionner une grande glace avec de la crème fraîche et du caramel. Ça fait rire Camille, qui me dit : — Je comprends maintenant d’où viennent tes belles fesses. Ben non, parce que les deux filles prennent la même chose que moi et elles ont des culs tout menus. Camille choisit de la charcuterie et les filles encore des pâtisseries. Comme alcool, il a demandé du Baiju, l’alcool de sorgho. L

627 - 23 Enfin, la plage.

Image
 Je l’entends gémir au-dessus de moi, puis son sexe arrose de sperme mes pauvres amygdales. Il quitte ma bouche mais c’est pour frotter son gland sur mes joues et mon nez. Je veux sauter à nouveau en parachute et être sauvée ! Il s’en va... en enfer avec tous ceux qui exploitent de pauvres filles.  La servante revient me laver le visage et un peu me coiffer, je dois me rincer la bouche. Elle me dit : — Tu n’as plus que deux clients : un couple et un homme. Les autres filles vont être remplacées aussi. — Oh merci, Mademoiselle ? — Ça ne dépend pas de moi, mais ils veulent des filles en forme. On a une Africaine pour te remplacer. Soigne particulièrement tes derniers clients. Ah, voilà le couple. Je la vois du coin de l’œil se plier en deux, en disant : — Bienvenue, Monsieur, Madame. Voici la fille que vous avez choisie. Ils ne répondent même pas, je vois le genre ! La fille se couche sur la chaise longue et écarte les jambes. Une chatte, ça va me changer... ou pas, car l’homme se couche