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Je suis ici depuis 2016...

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Je publie sur Blogger depuis 2016 et je n'ai jamais eu de problèmes. Les deux derniers épisodes ont été plus ou moins censurés, soyez gentil de me dire pourquoi, afin  que je puisse éviter d'écrire certaines choses. Merci d'avance. Si un lecteur peut m'aider il est vraiment le bienvenu.

677 - 74 On nage

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676 -73 Place du Pilori

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      Au cours de la nuit, je suis réveillée par une claque sur la fesse. Mon patron me dit :      — Va dormir sur le divan, il y a des couvertures.      Je me traîne jusque-là, épuisée. Je pense qu’un homme ou une femme, c’est nécessaire pour baiser, mais pas pour dormir et récupérer…      Je vais m’y installer. J’aime me faire baiser par mon patron, mais pas nécessairement dormir avec lui. Je pense à Aïcha, à son odeur et….       — Ah bravo, tes lecteurs viennent de jeter ton livre avec colère.      — Mais… euh… vous êtes qui ?      — Ta lectrice du futur.      ***      Je me réveille ! C’est le matin et j’ai vraiment fait un drôle de rêve. Par une fente des rideaux, je vois que le jour est déjà bien levé. Qu’est-ce qui va plaire à mon patron, que je reste dans sa chambre ou que j’aille travailler ? Je me lève, je prends mes vêtements et je vais d...

675 -72 Des surprises.

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      Monsieur Edgard commence à me libérer. Il me dit :      — C’est symbolique, je peux t’attacher comme te libérer, tout dépend de moi.      — Je comprends, merci beaucoup Monsieur.      Il défait d’abord les attaches de mes chevilles. Ouf ! Je peux mettre ma chatte à l’abri des taons et des mouches. Ensuite il défait la partie du haut, libérant mon cou et mes poignets. Je me redresse péniblement. Il enlève ma casquette ridicule et la donne à Aïcha. Les spectateurs qui ont ri quand on me la mise applaudissent quand on me l’enlève. Il y en a même qui crient :      — Vive Fanny !      Monsieur Edgard leur dit :      — Fanny et ses collègues aux beaux culs feront le service dans le bar. Cet après-midi à trois heures, il y a pétanque.      Les gens applaudissent. Mon patron me dit :      — Prends tes vêtements et vas dans le bar, on te montrera où prendre...

674 - 71 Le vieux Jeannot.

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      On arrive au sommet de la colline et on voit le village en contre-bas. Il y a des petites maisons qui entourent une place avec une église et un lavoir. Le plus grand bâtiment doit être le bar de Monsieur Edgard, il a deux étages et une grande terrasse avec des parasols.           On a fait un bond dans le temps, on est dans les années… disons 1950.       Nous descendons en aidant les personnes les plus âgées.              Le chemin vers le village n’est pas trop difficile. On arrive sur la place, je ne l’avais pas bien vue d’en haut, mais il y a un socle en pierre au centre, peut-être pour y mettre une statue me représentant. Tu devines comment, lectrice imaginaire ? Oui, penchée en avant la jupe tenue levée à deux mains, la culotte blanche sur les chevilles pour mettre en valeur la huitième merveille du monde : mes fesses... Je plaisante, bien sûr, mais j’ai quand même de bell...

673 - 70 Vers un village Provençal.

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      Ce matin, je suis dans notre chambre ou plutôt dans la chambre d’Aïcha. Je suis couchée à ses pieds. Elle lit des messages sur son téléphone. On vient de se réveiller. Elle me dit :      — Tu dois aller immédiatement chez Monsieur Shindy.      Pourquoi ? J’ai peur… Je lui réponds :      — Vous venez avec moi, Mademoiselle ?      — Il veut te voir toi et vite.       Je suis nue, je lui demande :      — Je peux m’habiller, Mademoiselle ?      — NON ! Suis-moi.      Je suis nue, pas lavée… et j’ai peur.      On court nues dans les couloirs du fort. On arrive devant sa porte, elle toque et me pousse à l’intérieur de la chambre. Monsieur Shindy est nu sur son lit avec une jolie Indienne… euh… Une fille des Indes, pas une fille avec une plume sur la tête. Je pense à ce genre de bêtise quand je suis bien stressée. Je reste là, les yeux...