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666 - 63 Un ange en enfer.

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      Je suis nu ou disons uniquement vêtu d’une auréole et d’une paire d’ailes. Je voudrais simplement être avec Fanny, collé à elle, le nez dans son aisselle… On serait en voyage de noce et elle préfère ma langue aux grosses bites des autochtones, j’aurais l’odeur de sa chatte sur le visage et son goût dans la bouche, elle dirait :  « C’est toi que... » Je me retourne et je vois Fanny, elle tord un peu la bouche, ouch ! Message reçu ! Je file à tire d’ailes vers un groupe d’amis de Monsieur. Oui, je les reconnais : les hommes sont plus âgés que les amis de Fanny. Parmi les femmes, il y a quelques épouses plus jeunes et belles et puis des jeunes femmes, starlettes, ou mannequins qui sont là parce qu’elles plaisent aux maris ou aux épouses... Monsieur et Madame sont avec leurs amis. Ils sont faciles à reconnaître, l’âge comme j’ai déjà dit et puis les hommes sont patibulaires, je dirais riches bien sûr, il doit y avoir des hommes politiques et des hommes qui fon...

665 - 62 Un ange passe.

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      Une grande limousine nous attend devant la propriété. Les filles se mettent à quatre sur le siège arrière. Bien sûr, je dois me coucher sur le sol pour qu’elles puissent poser les pieds sur moi. Jessy, la demoiselle d’honneur tatouée, enlève ses chaussures et pose les pieds sur mon visage. Fanny me dit :      — Tu aimes les pieds de Josy ? Je lui ai recommandé de ne pas les laver, c’est mon petit cadeau de… de jeune fille.      Rires. Elle ajoute :     — Je dis jeune fille, mais ce n’est pas vraiment le cas.       Les filles se marrent encore. Fanny leur dit :     — Je ne vais pas arrêter de me faire sauter. Pour le plus grand plaisir de mon Petit Zizi de mari, il adore sucer ma chatte quand elle est pleine de sperme…      Nouveaux rires de filles qui ont bien picolé. Lucy me dit :     — Lèche bien les pieds de Josy, Petit Zizi, ils vont sentir meilleur.     ...

664 - 61 Enterrement de vie de jeune fille.

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      J’ai beaucoup de succès en mousse. Mon déguisement fait même sourire mes parents. À leur décharge, je dois dire qu’ils ont intérêt à se faire bien voir par la famille et même par les domestiques en général.      Si ça plaît à Fanny, c’est ce qui m’importe.      Le lendemain matin, je toque à sa porte puis j’attends, le plateau entre les mains. Je serre un peu les dents sur ma tétine. J’ai pensé que la tétine, ça lui plairait, elle a quand même beaucoup ri. Quand mes bras se mettent à trembler, elle dit :      — Ouaaaiiis !      J’entre… Je ne peux rien dire à cause de la tétine qui est censée l’amuser… ou pas. Elle me dit :       — C’est quoi cet accoutrement ridicule ?      Je ne sais quoi répondre… Elle me dit :      — Enlève le truc que tu as dans la bouche et approche.       Aïe ! Elle est vraiment de mauvaise humeur. Je dépose le plateau ...

663 - 60 Un mousse.

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     Les deux filles s’habillent, moi aussi. Je ne dois pas avoir l’air assez enthousiaste à l’idée de mettre des vêtements d’enfant, car Fanny me dit :       — Je veux un Cucul souriant, sinon je vais te revendre à l’exportation pour la Corée du Nord.      Je lui fais un sourire… mitigé. Son chemisier est ouvert, elle me prend par les oreilles et colle mon visage entre ses seins. Ils sont doux, moites et odorants, je suis au paradis un court instant. Elle me dit :      — Tu pourras me téter quand tu seras un pitchoun, mais ça ne m’empêchera pas de te donner une fessée, si tu fais une bêtise ou si j’en ai envie. D’accord ?      — Oui Mademoiselle.      On descend et on va à l’arrière de la propriété. Une grosse voiture nous attend. Le chauffeur, c’est Ralph ! Les deux filles l’embrassent sur la bouche. Il me donne une claque sur les fesses en disant :      — Alors, on va faire d...

662 - 59 Fanny n'est pas seule.

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     J’ai toujours peur d’être en retard. Chez moi, c’était ma demi-sœur qui me punissait quand ça arrivait. Ici, mes parents et moi, nous sommes au plus bas de la hiérarchie. Depuis le Maître de maison jusqu’aux servantes, tout le monde peut nous donner des ordres et nous punir.      Je ne suis pas en retard, mais je vais vite dans les cuisines. Marthe me dit :      — Tu sais ce qu’elle veut, prépare son petit déjeuner et mets tout en double.      Elle doit être à nouveau avec un de ses amis costauds qui lui donnent une fessée quand elle en a envie. Je déteste la voir soumise à un de ces sales types. Je mets les brioches, les croissants et les pains au chocolat que le boulanger apporte tous les matins. Pour ce qui est du jus d’orange et du café, je regarde Marthe avec mon des yeux suppliants. Si je ne fais pas ça exactement comme elle veut, mes fesses risquent de passer un sale quart d’heure. Elle me dit :      ...