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648 - 45 L'école.

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 On roule plusieurs heures avant que le camion ne s’arrête, enfin. On doit tous descendre.        On est toujours attachées l’une à l’autre. Devant nous il y a la mer et derrière nous un très grand bâtiment sur lequel il est écrit en relief dans la pierre : Institut d’Ingénieurs de la Confédération d’Amérique du Sud. Nous allons faire des études d’ingénieur ??? N’importe quoi. Je regarde le beau jardin en fleurs. Des élèves, garçons et filles, viennent nous voir. Une des filles dit au garde : — Ce sont nos futures servantes ?       Le garde répond : — Oui Mademoiselle, dès qu’elles seront dressées et auront appris le travail d’une servante.       Ça fait rire les filles. Ma voisine gémit et dit au garde : — Tengo que orinar, señor, por favor. Le garde répond : — Speak in English.  — I have to pee Sir, please Je traduis le reste des conversations, tout se fait en anglais, ici. Il nous dit : — Vous pouvez toutes pisser. Les élèves rient en voyant des filles nues menottées l’une à l’autre

647 - 44 On s'échappe... ou pas

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Heibao vient vers moi et il me dit : — Tu sais, j’aurais préféré rester avec toi. Je le regarde et il voit des points d’interrogation défiler dans mes yeux... si, c’est possible. D’ailleurs, il me répond : — Nous sommes obligés de suivre le scénario. — L’IA ? — Avant on disait Dieu, maintenant c’est une IA. Tu n’as aucune cicatrice, tu es en pleine forme... D’accord, c’est pénible par moment, pour moi aussi. Je lui montre mes fesses en disant : — Et ça ? Je veux parler de la marque au fer rouge. Il répond : — C’est provisoire.  — Tu viens avec moi ? — Non, mais on se reverra, promis et... Tout à coup, je sens une différence, comme si... j’étais libre. Heibao me dit : — L’IA ne nous contrôle plus. — Oh oui, mon chéri, je le sens aussi. — Viens. Il me prend la main et on se dirige vers le canot. Une fois à bord, on va vers le yacht qui est ancré un peu plus loin. Il y a un homme à bord, Heibao lui dit : — Va vite sur l’île avec le matériel médical, un des hommes à un gros problème. Est-i

646 - 43 Sauvée par Asya

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Les jours suivants, je les vois quand je vais chercher des fruits. Asya me fait un petit signe de la main. Je saute sur elle et je la dévore… Non, c’est fini ce temps-là, je l’ignore.     Je suis triste... Je pleure beaucoup.     ***     Ce matin, je me réveille et je me sens pas bien du tout. J’ai l’impression d’avoir de la fièvre et j’ai très mal à l’arrière de la cuisse. Je me traîne vers l’endroit où Heibao et sa nouvelle amie dorment enlacés, toutes les nuits. Ils sont réveillés et ils mangent des fruits. Je leur dis :     — Je ne me sens pas bien. Heibao vient aussitôt vers moi et il me dit :     — Où as-tu mal ? Je lui montre l’arrière de ma cuisse. Asya vient voir et elle dit :     — C’est une araignée, ça peut être dangereux. Tu veux que je te soigne ?     Là, je n’ai plus aucune fierté, je gémis :     — Oui, s’il vous plaît, Mademoiselle.     — Couche-toi sur le ventre.     Elle ouvre une petite boite, il y a une série de seringues. Elle en choisit une et me fait une piqûre d

645 - 42 Pucelle.

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 Heibao me saute dessus et son sexe cherche le mien. — Iiiiiiiiik... J’étais une jeune panthère pucelle, Heibao vient de me fendre en deux... euh... c’est une image. Il est juste le premier à pénétrer ma vulve... Donc, il me dépucelle. Rapidement, ça devient bon et ensuite très, très bon... Je n’essaye pas de le mordre comme le ferait une vraie panthère... Je suis mi-panthère, mi-fille et je tends bien ma croupe vers lui pour sentir son sexe me fouiller. Au lieu de gronder, je gémis de plaisir. Il me baise à toute vitesse... j’adore. Je décide de rester panthère pour toujours, je ne suis plus angoissée, je suis capable de courir très vite, de sauter, de grimper aux arbres, j’ai un super odorat et puis des qualités que je n’ai pas encore découvertes... Heibao continue à me baiser et je sens ses testicules gonflés taper entre mes cuisses. Je sens que je vais jouir, alors je contracte ma vulve pour le sentir encore mieux. Je jouis et en même temps, Heibao m’envoie son sperme qui me rempli

644 - 41 Les panthères.

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Il ronronne. Il est doux et chaud. Je me colle à lui. Désolée, lectrice imaginaire, je suis toujours vivante.  La pilule du pilote d’hélico doit avoir un effet retard, car je rêve que je m’endors contre une panthère noire et je me sens trop bien. Le jour se lève et je ne suis pas dans l’estomac de la panthère mais tout contre elle. Je caresse son pelage, elle ronronne à nouveau. Je résume : je suis sur une île déserte en compagnie d’un animal féroce, mais qui est très gentil avec moi. Jouons le jeu, je lui dis : — Regarde, belle panthère. Elle me regarde. J’ouvre la bouche et je tire la langue en faisant aller et venir mon pouce dans ma bouche. En humain et en panthère, ça veut dire : — J’ai soif. Elle se lève et me regarde, puis elle se dirige vers la végétation touffue qui recouvre l’île. Il y a une sorte de sentier, celui qu’elle doit emprunter souvent. Je cours derrière elle et on arrive devant un petit ruisseau. Elle boit, ce qui veut dire « Bois, jolie humaine, c’est de l’eau de

643 - 40 Rock.

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 Merde, c’est Sakura... Tout est injuste depuis que les IA ont pris le pouvoir. Elle a des vêtements qu’elle a dû trouver dans un sex shop, un short dans un tissu complètement transparent et un corsage qui laisse voir le bout de ses seins. Elle nous dit : — Comme on se retrouve, hein les filles ? Atsuko répond : — J’étais obligée de faire atterrir l’avion — Je m’en fous, je vais vous acheter et on réglera ça quand vous travaillerez pour moi.  Aïe ! Elle dit à la vendeuse : — Je les prends. — Certainement, Mademoiselle Sakura. La vendeuse ouvre nos cages et on s’en extrait difficilement. Elle nous dit : — Suivez-moi. On sort de ce grand complexe de magasins, les gardes se sont rapprochés. Des gens la reconnaissent et lui demandent de faire une photo avec elle. Là, il y a le début d’un problème car des jeunes me reconnaissent également et viennent faire des photos avec moi aussi. Ils me plaignent et m’encouragent, ils adorent mes aventures. Ça énerve Sakura et elle parle à un de ses gard

642 - 39 Ils vont payer.

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 La fille ajoute : — Déshabillez-les et j’ai envie de les voir vous sucer la bite. Elle nous regarde en souriant et ajoute :                   — On ne se lave pas souvent. Quelle horreur ! Les musiciens et les gardes du corps nous déshabillent en déchirant nos vêtements. On crie... Ils nous mettent à genoux sur la petite table, devant la chanteuse, les fesses tournées vers elle. Les deux gardes nous tiennent les mains dans le dos, les fesses en l’air. Les musiciens doivent être à moitié asiatiques et à moitié occidentaux, à voir comme ils sont poilus. Ils exhibent de gros sexes entourés de poils noirs sous notre nez. L’un deux nous dit : — Va falloir obéir à la patronne, petites, et si vous nous mordez, on vous arrache les incisives et on vous les fourre dans le cul. Ensemble, ils font coulisser la peau de leurs prépuces. L’odeur devient pire. Ils nous regardent en souriant. Atsuko est encore plus dégoûtée que moi. On pourrait... La chanteuse coupe le fil de mes pensées en disant : — J