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Affichage des articles du février, 2024

627 - 23 Enfin, la plage.

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 Je l’entends gémir au-dessus de moi, puis son sexe arrose de sperme mes pauvres amygdales. Il quitte ma bouche mais c’est pour frotter son gland sur mes joues et mon nez. Je veux sauter à nouveau en parachute et être sauvée ! Il s’en va... en enfer avec tous ceux qui exploitent de pauvres filles.  La servante revient me laver le visage et un peu me coiffer, je dois me rincer la bouche. Elle me dit : — Tu n’as plus que deux clients : un couple et un homme. Les autres filles vont être remplacées aussi. — Oh merci, Mademoiselle ? — Ça ne dépend pas de moi, mais ils veulent des filles en forme. On a une Africaine pour te remplacer. Soigne particulièrement tes derniers clients. Ah, voilà le couple. Je la vois du coin de l’œil se plier en deux, en disant : — Bienvenue, Monsieur, Madame. Voici la fille que vous avez choisie. Ils ne répondent même pas, je vois le genre ! La fille se couche sur la chaise longue et écarte les jambes. Une chatte, ça va me changer... ou pas, car l’homme se couche

626 - 22 Incorporée dans une chaise.

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Mon premier client se couche sur la chaise longue dont je fais partie. Il s’installe, écarte les jambes et me met sous le nez un gros paquet d’organes sexuels pas appétissants. Pour le dire autrement, il descend un peu et il me colle un kg de couilles chinoises moites sur le visage. Je sais bien que des couilles ne pèsent pas un kg, mais c’est l’impression que j’ai. Il me dit : — Alors je suis ton premier client ? Je réponds à ses couilles : — Oui monsieur. Soyez le bienvenu.  Aussitôt une croix noire apparaît sur mon front comme on me disait quand j’étais petite et que je mentais pour ne pas être punie. Il me dit : — J’ai chaud, mes couilles sont moites, lèche-les. Une petite langue pour lécher un kilo de couilles, la lutte est inégale, mais ça lui plaît. J’ai soif et, mon Dieu comme j’échangerais avec un plaisir intense de la sueur de couilles contre une bière fraîche ! Il prend son téléphone et appelle quelqu’un. Il lui dit : — Salut Lee, tu ne devineras jamais où je suis ! J’entend

625 - 21 Les chaises longues.

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 Cela fait un moment qu’on voit la mer, mais j’étais trop intéressée par la conversation avec notre pilote pour en parler. On atterrit sur une piste qui ressemble à une cible. Tout autour de nous, il y a une haute palissade. Derrière il y a la mer, plusieurs grands hôtels, des piscines et même toute une série de bungalows. Je dis au chauffeur : — Vous êtes gentil et je n’ai pas eu peur avec vous. Vous viendrez nous voir ? Il rit et répond : — C’est prévu, c’est moi qui donnerai des nouvelles à Madame. — Monsieur le pilote, juste une dernière question, comment se fait-il que madame ne soit pas ici pour tout surveiller ? — C’est sa sœur qui gère « la mer ». Je dois y aller, faites ce qu’on vous dit et tout ira bien. Il remonte dans l’hélico et il s’envole, il a de la chance. C’est triste, je l’aimais bien. Je fais vite une petite prière : — Seigneur, regardez ce qu’on a déjà souffert, sauvez-nous.  Hélas, il n’y a pas d’éclairs dans le ciel, ni de grosse voix qui nous dirait : — Je vais

624 - 20 Personne ne veut de nous

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 La fille demande : — Est-ce que je peux dormir avec Yizé, maman ? — Maintenant que vous avez réussi l’examen et tant que vous travaillez bien, oui. Quant à vos esclaves, vous pouvez en disposer comme vous voulez, les garder avec vous ou les envoyer chez madame Zhi. La fille nous dit : — Vous avez entendu ? Si vous êtes très obéissantes, on vous garde dans notre chambre, sinon vous serez punies. On répond :  — Oui maîtresse. — Relevez-vous. Madame Sheng ajoute :  — On peut aussi les utiliser dans les hôtels. Le garçon, Yizé, demande : — Et pas de corvée pour nous ? — Non, tant que vous travaillez bien. Monsieur Sheng, lui dit : — Mais... Sa femme le regarde et il se tait. On a compris qui était la patronne ici. Elle dit aux enfants : — Prenez vos filles et si vous n’en avez pas besoin, envoyez-les chez Madame Zhi, comme on a dit. Les enfants remercient encore leurs parents et ils les embrassent... sur la bouche... tous les deux. On appartient à des gens pas convenables du tout. Bon, je

623 -19 ... et achetée.

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 Elle relève bien ses jambes et les écarte en les tenant sous les genoux. Ça me permet de bien la lécher. Ça lui plaît beaucoup et elle me caresse la nuque avec son pied. J’accélère un peu, puis je me concentre sur son clitoris et je le suce goulûment, comme un bébé qui a la dalle sucerait le sein de sa mère. Elle réagit bien, elle aime, le roucoule, c’est beau et c’est bon, pour elle et pour moi. Elle jouit en ayant plusieurs spasmes. Ce n’est pas une femme fontaine, mais elle mouille beaucoup en jouissant. Ensuite je nettoie mon plan de travail. Elle allonge les jambes et je rampe pour me retrouver à hauteur de son visage. Elle m’embrasse et me dit : — Tu sens la chatte, toi. On rit... On est bien l’une contre l’autre, ses seins mous contre mes seins fermes. Je lui dis : — Vous allez m’acheter, maîtresse ? Elle rit et elle se tourne sur le ventre. Oh ! Elle est marquée ! Au milieu de sa fesse gauche, elle a la même marque que moi ! Elle me dit : — Je suis une esclave comme toi. — Mai