544 - 49 Partouze Goréenne.
Les gardes arrivent. Il s’agit d’une dizaine de Noirs de la région. Un des hommes leur dit quelque chose en dialecte, ce doit être : — Vous pouvez baiser celle que vous voulez. Il sautent sur les filles encore libres. Moi, je suis contre Hena, je l’enlace et l’embrasse sur la bouche. Elle me dit : — Tu aimes les Africaines ? — Oh oui, beaucoup. J’embrasse ses seins. Elle se couche sur une natte et je me glisse entre ses jambes. Elle m’a aidée et elle me plaît. Henri commence aussitôt à nous dessiner. Rapidement, il dit : — Il manque du noir derrière toi… Il regarde les gardes et dit : — Je voudrais un homme pour baiser cette petite. À nouveau, un métis traduit tout en leur montrant mon derrière. Mais non, j’ai envie de continuer à faire plaisir à ma nouvelle amie… Un garde vient derrière moi et il caresse ma fente avec son gland. C’est agréable… ce qu’il l’est moins, c’est quand il enfonce 20 centimètres de bite dans ma chatte. Heureusement que je suis excitée. Henri appréci...