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Affichage des articles du juillet, 2022

544 - 49 Partouze Goréenne.

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 Les gardes arrivent. Il s’agit d’une dizaine de Noirs de la région. Un des hommes leur dit quelque chose en dialecte, ce doit être : — Vous pouvez baiser celle que vous voulez. Il sautent sur les filles encore libres. Moi, je suis contre Hena, je l’enlace et l’embrasse sur la bouche. Elle me dit : — Tu aimes les Africaines ? — Oh oui, beaucoup. J’embrasse ses seins. Elle se couche sur une natte et je me glisse entre ses jambes. Elle m’a aidée et elle me plaît. Henri commence aussitôt à nous dessiner. Rapidement, il dit : — Il manque du noir derrière toi…  Il regarde les gardes et dit : — Je voudrais un homme pour baiser cette petite. À nouveau, un métis traduit tout en leur montrant mon derrière. Mais non, j’ai envie de continuer à faire plaisir à ma nouvelle amie… Un garde vient derrière moi et il caresse ma fente avec son gland. C’est agréable… ce qu’il l’est moins, c’est quand il enfonce 20 centimètres de bite dans ma chatte. Heureusement que je suis excitée. Henri apprécie et dit

543 - 48 Signares.

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Ariane me dit : — Demain, on marchera sur la terre ferme. — On sera arrivées en Guadeloupe ? — Mais non, sotte, on n’est pas à la moitié du voyage. Anna doit rencontrer des gens et on se ravitaillera en produits frais. — Je serai près de toi ? — S’il y a moyen, oui. Dors. La terre ferme enfin et aussi des légumes, du poisson… *** Le lendemain, on est dans la cuisine et j’en apprends un peu plus. Les servantes sont toujours au courant de tout. Les Anglais viennent de céder l’île de Gorée à la France. Il y a toujours des esclaves qui transitent par là, même si l’esclavage a été aboli partout, sauf en Guadeloupe. On va voir les Signares, ce sont des métisses qui ne se sont mariées qu’avec des blancs et qui contrôlent le commerce. Une fille ajoute : — J’ai entendu qu’on allait devoir leur apporter des sacs contenant différents objets que Madame de Selliers leur vend. Ah... Elles savent vraiment tout.  Quand les passagers ont pris leurs petits déjeuners, on doit aller sur le pont. Là, un li

542 - 47 La garcette.

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On n’a pas besoin d’un linge ou d’un peu d’eau pour s’essuyer quand on a Jeannot sous la main. Anna bâille et s’étire en levant les bras. Je regarde les poils de ses aisselles, aussi noirs que ceux de sa chatte. Elle est belle… Elle dit : — Je vais me reposer. Lizy, va dans les cuisines, tu trouveras à t’occuper. Elle se couche sur le lit. Jeannot nettoie le pipi sur le sol. Je remets mon uniforme. Carl sort avec moi. Je lui demande : — Je ne dois pas revenir ici, Monsieur ? — Non, je sais où tu es… Ah, un conseil : ne te fie pas aux apparences, petite.  Il s’en va… je ne comprends pas ce qu’il a voulu dire. Est-ce que ça concerne Anna, Jeannot ou les deux ? Je vais dans les cuisines et j’aide à préparer le repas du soir, puis à le servir.  On mange tard… Après avoir aidé à faire la vaisselle, je rejoins la chambre des esclaves envoyées en Guadeloupe. Là, je jure que c’est vrai, je sens l’odeur d’Ariane, une odeur musquée que je reconnaîtrais entre toutes. Je dis : — Ariane… — Je suis

541 - 46 Une Indienne Caraïbe.

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 Je vais sur le pont. Il y a peu de monde et personne ne fait attention à moi. Je vais me réfugier derrière des cordages. Comment savoir quand il sera quatre heures de l’après-midi ? Où est Ariane ? Qu’est-ce qu’on va devenir ? J’ai un peu froid mais je ne sais pas où aller… Je m'assieds et je mets mon front sur mes genoux relevés pour pleurer…  Tout à coup, j’entends une voix : — Qu’est-ce que tu fais là, toi ? — Euh… je suis la… euh… servante de Madame de Selliers et elle m’a dit que je pouvais… euh... — Que tu pouvais QUOI ? — Je ne dois être devant sa porte que cet après-midi, à quatre heures, et je ne savais pas où aller et… — Tu trouves normal d’être nue sur le pont ? — C’est ma Maîtresse qui... Il m’attrape par le bras en disant : — Debout. On va demander aux cuisines qu’on te donne un uniforme et du travail. — Mais… — Tu as déjà reçu des coups de garcette sur les fesses ? Je ne sais même pas ce que c’est, mais ce n’est certainement pas quelque chose d’agréable. Je réponds e