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Affichage des articles du août, 2022

548 - 53 Les cannes à sucre.

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 Et là, Anna revient sur son cheval. Est-ce qu’elle sait ce que je viens de penser ? Non, je deviens folle !! Elle descend de cheval et dit au chef : — Je suis occupée de mouiller ma selle, on baise ? — Avec grand plaisir, ma belle Comtesse, mais ce n’est pas très confortable.  Elle se met à quatre pattes en bordure du champ et lui dit : — Monte-moi. Il lui flatte les fesses en disant : — Oh ! La belle pouliche. Eh, oh… On est là ! Il y a des lits pour faire ça. Elle s’en fout. Il se met à genoux derrière elle. Je sais comment il est monté, mais je crois que la comtesse a pris plus de bites dans la chatte que moi. Surtout que les clients que j’ai rencontrés aimaient surtout se faire sucer. Henri dessine fébrilement. Je crois qu’il ne doit pas perdre une goutte de sueur qui luit sur le corps de la Comtesse. Elle se fait baiser comme une chienne, ou une pouliche si le chef préfère. Les deux gardes ont l’air ravis du spectacle et ils arrêtent de nous surveiller. Anna aime, elle le dit, le

547 - 52 Le champ brûlé

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 Je gémis : — J’ai travaillé dur, chef, je vous jure. Il dit à ses hommes : — Je pars cinq minutes avec la petite blonde. — Oui chef, on surveille. Ouf ! Ce n’est que ça : sucer sa queue ! Ah non, il me dit : — Penche-toi, les mains sur ce tronc. Il enlève son short et relève ma jupe jusqu’à la taille. Et si c’était pour me fouetter ?? J’écarte les jambes et je me cambre en remuant des fesses. Il les prend à pleine main. Ouf !! C’est pour me baiser. Il me dit : — Une blonde avec un cul aussi beau que celui d’une Africaine, je ne peux pas résister. Je réponds : — Soyez le bienvenu, chef. Il caresse ma chatte avec son gland. Oh ! Il a l’air d’en avoir une très grosse. Le problème, c’est qu’après ma chatte, son gland vient faire des bisous à mon anus et…. — Oooooooooooooohhhhh… Il m’a enculée jusqu’aux couilles ! Je serre les dents, mais ça va, depuis que j'ai quitté Madras, mon cul a déjà vu le loup. Il me baise à grands coups de reins… Ses couilles claquent sur mes cuisses mouillées

546 - 51 Marie-Galante.

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 On approche d’une baie. Il y a de belles plages, des palmiers, du soleil… Normalement, j’aime ça. Pourtant, je voudrais qu’il fasse gris et qu’il y ait des rochers, comme à La Pointe aux Oies. Et même « qu’a pleuve »… comme on dit là-bas. Je tiens la main d’Ariane et je lui dis : — Je ne sais pas nager… Elle soupire et répond : — Personne ne sait nager, tu crois qu’ils nous ont amenées ici pour nous noyer ? — Non, mais… — Et ces petits bateaux de pêche, c’est pourquoi, à ton avis ? — Pardon... Il y a différents petits bateaux qui viennent nous chercher. D’abord les personnes importantes, comme Anna, son mari, Henri le peintre… Les pêcheurs sont de différentes couleurs : des Caraïbes comme Anna, des Africains et puis des Blancs, mais pas vraiment comme nous.  Quand tous les passagers sont à terre, c’est à notre tour. On prend les petits bateaux qui nous amènent sur la plage. Trois Africains costauds nous font signe de les rejoindre. Il y a un tas de robes longues, des chapeaux et des s

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... à ce blog, vous devez cliquez sur les trois petites lignes parallèles qui se trouve en haut et à gauche de la page d'accueil. Comme ça, je saurai que vous existez et que vous m'aimez... un peu... merci d'avance.

545 - 50 Le passage de l'équateur.

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Je ne pensais pas que mes idées allaient avoir autant de succès. Le beau-père d’Anna, qui est aussi son amant, doit être le propriétaire du bateau quand on voit tout ce qu’ils font pour satisfaire ses désirs. On fait d’abord semblant de passer l’équateur, parce que le navire a été déporté… Personne ne réagit, sans doute parce que les gens ont envie de s’amuser. Il y a des réunions pour organiser la journée du baptême. Anna, le Capitaine, Henri, cinq officiers… et moi, y participent. Les idées viennent de moi, mais elles sont devenues celles d’Anna. D’après le Capitaine, il devrait faire beau et calme les prochains jours. Je regarde Anna avec des yeux tellement suppliants qu'elle finit par me dire : — Tu dois pisser ? — Non Maîtresse, je voudrais demander… euh… Elle lève les yeux au ciel, elle va s’énerver. Je dis très vite : — Les passagers vont être baptisés, mais la meilleure suceuse… on le fait ? — Ceux qui veulent le feront, les autres pas. Une autre imbécillité à demander ? —