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Affichage des articles du septembre, 2021

Lizy - 5 Nuit de noces.

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Dans la chambre, il y a deux soldats anglais d’une trentaine d’années, assis sur le canapé. Mon mari me présente en toute désinvolture : — Voici la petite putain dont je vous ai parlé.  Puis à moi :  — Tes premiers clients en Inde, petite. Ah non, mes premiers hommes tout court. Ces hommes sont de simples soldats, pas des officiers, comme j’ai l’habitude d’en voir chez mon père. Ils me font un grand sourire… Oh ! Il leur manque des dents. Le plus grand se lève et m’embrasse. Quand il ressort sa langue de ma bouche, c’est pour caresser mes fesses, en disant : — Tu es très mignonne, petite putain. Il a un fort accent qu’on appelle « cockney », je crois ce sont des hommes « du peuple ». Il ajoute : — Je m’appelle Stephen et mon copain Tim. Et toi ? — Euh… Je m’appelle Lizy, Monsieur Stephen, et je… je n’ai pas beaucoup d’expérience.  Il remet sa main sur mes fesses et répond : — Nous, on en a… Si on avait reçu un shilling chaque fois qu’on a baisé une pute, on serait riches, hein Tim ? —

Lizy - 4 Le bal et plus...

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Je dis à Sabati : — C’est looong…. Elle répond très vite : — J’ai presque fini, Maîtresse. Vous serez la plus belle de la soirée… — Seulement de la soirée ? — La plus belle du monde, Maîtresse. Je ris… C’est son but. Elle ajoute : — Je vais vous maquiller les yeux. Je caresse ses fesses tandis qu’elle applique différents fards sur mes paupières. Ensuite, elle teint mes joues. Un maquillage, quoi. Je me relève pour lui dire : — Mets-toi à genoux ! Elle gémit : — Oui Maîtresse, je vais vous obéir, mais on n’a plus beaucoup de temps et vous savez que Mademoiselle Shrimati n’est… Là, c’est comme au théâtre : au moment où elle prononce son nom, la porte s’ouvre et Shrimati entre. Sans frapper, bien sûr. Elle m’interpelle tout de suite : — Alors, c’est comme ça que tu te prépares ? Tu as l’intention d’arriver le plus en retard possible ? Bêtement, je mets une main sur mon sexe et mon avant-bras devant mes seins. Ayant peur d’elle, à juste titre, Sabati fait une profonde révérence. Je l’imite

Lizy - 3 Shrimati.

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 Je n’ai pas envie de le voir avec sa… son indigène. On va dans un coin discret du domaine et, entre deux baisers, je lui parle de mes problèmes. Il me dit :  — Tu sais, il y a beaucoup d’hommes qui ont une maîtresse indienne. — Oui, mais ils n’obligent pas leur fille à l’appeler Mademoiselle et à lui faire une révérence. Surtout qu’elle ne doit avoir qu’un an de plus que moi, à tout casser. Bon, lui veut des baisers et me caresser les seins… Pour le calmer, je prends son sexe en main et… je lui fais plaisir. Oh ! J’ai la main toute collante, c’est dégoûtant. Je vais la rincer dans l’étang… Il me remercie beaucoup pour… la branlette ! Quel nom ridicule. Il fait très chaud, je transpire et j’ai soif. On retourne auprès des invités. J’évite de m’approcher de mon ennemie mais, hélas, elle me voit et crie : — Élisabeth, viens par là ! Eh ! On ne crie pas, ici, on n'est pas sur un marché indigène. Je vais voir ce qu’elle me veut. Elle me provoque tout de suite : — Élisabeth, je vais te

Lizy - 2 Père et fille.

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 Je lui demande : — Tu es quoi, Sabati ? — Votre petite chienne, Maîtresse. C’est pas mignon, ça ? Aucune fierté ces Indiennes ou ces esclaves. Enfin, les deux. Je lui dis : — Embrasse mes pieds, petite chienne. Là, pas besoin d’en parler au Pasteur. Par contre, je dois lui parler de mon papa. Pendant que ma petite chienne m’embrasse les pieds et me suce les orteils, je réfléchis à mon père. C’est un libertin et un coureur de jupons. De plus, il a toujours eu une attitude un peu équivoque avec moi et ça c’est encore nettement accentué à partir de mes 18 ans. Par exemple, un jour il a soupesé mes seins en disant : — Tu deviens une femme, ma belle enfant… C’est gentil, mais est-ce bien convenable ? Il y a plus embêtant : mon père s’énerve vite et je ne compte plus les fois où je me suis retrouvée en travers de ses cuisses pour recevoir une bonne fessée. Je ne suis pas la seule, ma mère en reçoit beaucoup plus que moi… à ma grande joie. Il lui donne parfois une fessée devant moi, les serv