675 -72 Des surprises.

Monsieur Edgard commence à me libérer. Il me dit : — C’est symbolique, je peux t’attacher comme te libérer, tout dépend de moi. — Je comprends, merci beaucoup Monsieur. Il défait d’abord les attaches de mes chevilles. Ouf ! Je peux mettre ma chatte à l’abri des taons et des mouches. Ensuite il défait la partie du haut, libérant mon cou et mes poignets. Je me redresse péniblement. Il enlève ma casquette ridicule et la donne à Aïcha. Les spectateurs qui ont ri quand on me la mise applaudissent quand on me l’enlève. Il y en a même qui crient : — Vive Fanny ! Monsieur Edgard leur dit : — Fanny et ses collègues aux beaux culs feront le service dans le bar. Cet après-midi à trois heures, il y a pétanque. Les gens applaudissent. Mon patron me dit : — Prends tes vêtements et vas dans le bar, on te montrera où prendre...