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Affichage des articles du janvier, 2025

675 -72 Des surprises.

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      Monsieur Edgard commence à me libérer. Il me dit :      — C’est symbolique, je peux t’attacher comme te libérer, tout dépend de moi.      — Je comprends, merci beaucoup Monsieur.      Il défait d’abord les attaches de mes chevilles. Ouf ! Je peux mettre ma chatte à l’abri des taons et des mouches. Ensuite il défait la partie du haut, libérant mon cou et mes poignets. Je me redresse péniblement. Il enlève ma casquette ridicule et la donne à Aïcha. Les spectateurs qui ont ri quand on me la mise applaudissent quand on me l’enlève. Il y en a même qui crient :      — Vive Fanny !      Monsieur Edgard leur dit :      — Fanny et ses collègues aux beaux culs feront le service dans le bar. Cet après-midi à trois heures, il y a pétanque.      Les gens applaudissent. Mon patron me dit :      — Prends tes vêtements et vas dans le bar, on te montrera où prendre...

674 - 71 Le vieux Jeannot.

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      On arrive au sommet de la colline et on voit le village en contre-bas. Il y a des petites maisons qui entourent une place avec une église et un lavoir. Le plus grand bâtiment doit être le bar de Monsieur Edgard, il a deux étages et une grande terrasse avec des parasols.           On a fait un bond dans le temps, on est dans les années… disons 1950.       Nous descendons en aidant les personnes les plus âgées.              Le chemin vers le village n’est pas trop difficile. On arrive sur la place, je ne l’avais pas bien vue d’en haut, mais il y a un socle en pierre au centre, peut-être pour y mettre une statue me représentant. Tu devines comment, lectrice imaginaire ? Oui, penchée en avant la jupe tenue levée à deux mains, la culotte blanche sur les chevilles pour mettre en valeur la huitième merveille du monde : mes fesses... Je plaisante, bien sûr, mais j’ai quand même de bell...

673 - 70 Vers un village Provençal.

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      Ce matin, je suis dans notre chambre ou plutôt dans la chambre d’Aïcha. Je suis couchée à ses pieds. Elle lit des messages sur son téléphone. On vient de se réveiller. Elle me dit :      — Tu dois aller immédiatement chez Monsieur Shindy.      Pourquoi ? J’ai peur… Je lui réponds :      — Vous venez avec moi, Mademoiselle ?      — Il veut te voir toi et vite.       Je suis nue, je lui demande :      — Je peux m’habiller, Mademoiselle ?      — NON ! Suis-moi.      Je suis nue, pas lavée… et j’ai peur.      On court nues dans les couloirs du fort. On arrive devant sa porte, elle toque et me pousse à l’intérieur de la chambre. Monsieur Shindy est nu sur son lit avec une jolie Indienne… euh… Une fille des Indes, pas une fille avec une plume sur la tête. Je pense à ce genre de bêtise quand je suis bien stressée. Je reste là, les yeux...

672 - 69 Fanny écrit....

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   Je me réveille parce que je reçois un petit coup de pied. Fanny me dit :      — Bouge.      — Oui… bonjour… mad...      Je n’ai pas le temps de finir que je l’entends déjà pisser dans la salle de bain. Elle dit :      — Papier !      Oui, c’est ce qu’elle dit quand je dois aller pour… lui servir de papier. Malgré ça, le matin, elle ne veut pas que je la lèche avant de m’être lavé les dents. Je me couche dans la salle de bain, elle s’accroupit au-dessus de moi et elle frotte sa chatte mouillée sur mon visage.       J’entends une voix dire :      — Qu’est-ce que tu l’as bien dressé !      Fanny répond :      — J’ai pas beaucoup de mérite, Cucul est un vrai petit porc, il aime tout ce qui est sale. Je pourrais me moucher dans sa bouche. N’est-ce pas Cucul ?      Ben non, il y a des choses que je n’aime pas comme le sang et p...

671 - 68 On sert.

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      Quand elle a joui, la grosse cuisinière prend Fanny sur ses genoux et l’embrasse sur la bouche, tout en lui caressant les seins. Fanny se laisse faire… avec plaisir ? Je ne sais jamais si les choses lui plaisent ou si elle se sent obligée vis-à-vis de son père. La cuisinière lui dit :      — Pour toi, je m’appelle Mireille.       — Oui Mireille, j’aime beaucoup vous lécher.      Grand sourire de la grosse Méridionale qui ajoute :      — Et le petit Cucul, on en fait quoi ?      — Ce que vous voulez, mais il faut le ménager. De toute façon, vous lui montrez le sol du doigt, il rampe à vos pieds.      Charmante description, qui fait rire, mais bon, Fanny a tous les droits et puis… ce n’est pas faux.      La grosse Mireille, qui est toujours occupée à peloter ma femme, dit aux bonnes :      — Je pars un moment avec Fanny, préparez un repas froid ...