540 - 45 En mer, à nouveau.
![Image](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgDKWA1cNQfd18pFZhy12kZYJilHtje2BkS7dCkIgO_JiTxEDOzo8jaW_s_hB3XjG8FRjRf01ldlVIkKyiy7NEATb0T1M4EGuY2GTEj7s2oORat3793Ggaqe9hL1Dmi1l-1rtzgHZb1Gp77hEmHPNB8KOzHJa2OYBDciF5z94ALe09M5QDIFuLlp0j_AQ/w526-h640/540.jpg)
Je crois aussi que si on est vingt à tirer, ce sera beaucoup plus facile, mais je n’ose rien dire. On reste encore un peu, on boit…et on se repose… Une fille repère un gros buisson de framboises. Elle demande à un soldat : — Monsieur, on peut manger de framboises, s’il vous plait ? Il regarde vers la charrette. A nouveau le peintre parle avec l’officier a tout entendu. Il dit : — Oui, vous pouvez en manger les filles On va aussitôt cueillir et manger des framboises, on dirait une volée de moineaux qui a repéré du fumier de cheval encore plein de graines. C’est bon c’est sucré… je parle des framboises, pas de la nourriture des moineaux. On a les lèvres barbouillées de jus rouge. Quelques filles et moi, on remercie celle qui a repéré le buisson. Hélas, un soldat vient nous dire : — On repart deux rangées par corde. Il a un fouet, c’est le genre d’accessoire qui fait qu’on obéit très vite. On va prendre les cordes et on se met les unes à côté des autres. Le cocher n’a plus son fouet, alor