58 - Nue et désemparée.
— Vous l’avez peut-être déjà remarqué : je suis vite dégoûtée. Hélas, tant que j’étais une esclave du Prince, je devais obéir et maintenant, si je veux avoir une chance de quitter le Japon, je dois satisfaire le chef. Ils reviennent sans doute de vacances et pas de chance pour moi, il n’y avait pas de salle de bains où ils logeaient. Je prends son sexe en bouche en pensant « évasion ». Je lui fais une fellation de première classe. Il me caresse la tête en disant : — Vous les Occidentales, vous êtes de vraies petites putes : vous avez l’habitude de sucer des bites. Les Japonaises ont plus de fierté, et elles ne suceraient jamais un inconnu. Ferme-la, raciste et jouis ! Il ajoute : — Tu aimes sucer des inconnus, hein, petite salope ? Oui mais les inconnus qui ont bites propres. Je prends ses couilles pour les malaxer juste ce qu’il faut… Il arrête de parler pour gémir et jouir dans ma bouche. Oh putain, quelle quantité. Eh ! Tu te branles jamais, le Jap ??? Je parviens à tout absorber. I