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Affichage des articles du juillet, 2023

596 - 30 Nuit de noces.

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Éden téléphone et, quand elle a son interlocuteur, elle dit : — Le petit salopiot a tout lâché dans ma main, viens. — ..... — On est à la chambre 59. On commandera du champagne et on passera la nuit de noces ensemble. — ...  Elle rit et répond : — Est-ce qu’il te léchera le cul, pendant que tu me baises ? Attends, je vais lui demander.  — Alors, gamin, t’as entendu ? Tu vas lui lécher le cul ? — C’est que... je suis hétéro. Elle reprend le téléphone et dit : — Bien sûr qu’il te léchera le cul, il aimerait même avoir la permission d’enfoncer sans langue dans ton trou du cul. Elle rit et me dit : — Il ne se lavera pas pour que ce soit plus excitant pour toi. Elle reprend le téléphone et dit : — Il est ravi... Viens vite m’enfoncer ta grosse bite dans la chatte.  J’ai hâte de perdre ma virginité. Rires. Elle raccroche et me dit durement : — Tu ne te rhabilles pas et tu te mets à genoux les bras tendus bien droits et les mains qui ne se touchent pas. Tu pourras bouger lorsque tu me diras c

595 - 29 Tu obéis et tu te tais.

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 Je m’appelle Denis de S. et je suis le directeur général de la Royal Crown Food Company. J’ai hérité la société de mon père qui est mort jeune d’un AVC à force de boire et de fumer. Je suis blond, de taille moyenne et plutôt enrobé. J’ai aussi perdu mes cheveux très jeune. Je n’ai jamais eu beaucoup de succès avec les femmes, sauf depuis que je suis devenu PDG d’une grosse société. J’ai soudain eu beaucoup plus de succès. La gestion de la société est loin de me passionner. Heureusement, il y a dans la société une directrice financière d’une cinquantaine d’années qui est très efficace et sur qui je me repose pour toutes les décisions. C’est elle qui me signale les ouvrières qui sont prêtes à venir faire un tour en dessous de mon bureau, pour une petite augmentation ou simplement pour garder leur emploi. Celles qui me plaisent et qui refusent risquent de se retrouver au chômage. Comme les temps sont durs, il y a très peu de refus. Un jour Hélène me dit : — Il y a une intérimaire qui s’a

594 - 28 A l'aventure.

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Tout le monde applaudit la fin de tournage. Moi, je m’assieds dans un coin. Dans chaque épisode, on me fouette plusieurs fois, j’en ai vraiment assez. Et puis, je ne digère pas le séjour en centre de punition, même si ça n’a été qu’un jour. Pour tout dire, je déprime, mais bien. Qu’ils me remettent dans leur saloperie de centre et je... Le train de mes pensées noires est interrompu par une jolie Orientale, qui me dit : — Qu’est-ce qu’il y a ? Tu n’es pas heureuse d’être la vedette d’une série qui marche ? — C’est pour ça qu’ils m’ont envoyée en centre de rééducation.... — Tu les as pris de front. Il ne faut jamais faire ça, il faut négocier. D’ailleurs, celui qui a pris cette décision a reçu un blâme. — Ils lui ont coupé un doigt ? Elle rit et répond : — Ce n’est pas un yakuza. Tu ne veux pas de mon aide ? — Siiii... vous êtes la seule à venir me.... parler. Pardon, je... c’est dur pour moi... Là, bien sûr je me mets à pleurer, genre « je suis seule face au monde cruel ». Elle me dit :

593 - 27 1789

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Je suis la fille du Comte de Brafort et notre château se trouve en Normandie. Être la fille d’un Comte, cela doit être un rêve pour une paysanne ou une servante. Hélas, pour moi, ce n’est pas le cas... Je suis obligée de suivre toute une série de règles. Par moment, c’est tellement assommant que je fouette une servante ou deux pour me calmer les nerfs. Ah, si j’étais une paysanne, j’aurais déjà fait quelques parties de jambes en l’air avec mon promis ou d’autres. Hélas, à 18 ans, je suis toujours pucelle et je ne peux voir mon fiancé que lorsque nous sommes accompagnés d’une tante de ma mère qui vit au château. Elle est notre chaperon et ne nous quitte jamais longtemps des yeux. On est en juillet et ce début d’été est chaud. Elle a très chaud et elle finit par s’assoupir, puis elle s’endort. Là, ma chatte m’envoie des messages « c’est le moment, j’en peux plus. » Je la comprends, je dis tout bas à mon fiancé : — J’ai un petit besoin urgent, mais j’ai peur des sangliers, voudriez-vous m