16 - Mya-Tao.
On est entourées d'une bande de singes lubriques qui se masturbent à toute vitesse. "Flaaac", c'est à nouveau le bruit mou du sperme qui atterrit sur nos joues.
D'autres "Flaaac" tombent sur nos seins, nos hanches...
Quand ils ont tous fait leur
petite affaire, le chef dit :
— Les... hips... les amis,
maintenant... on va ne... nettoyer ces salopes.
Ils nous pissent dessus. On
reçoit leurs sales pisses chaudes depuis la tête jusqu'aux pieds. Ils crient,
s'encouragent, rient... Quand les hommes ont fini de pisser, c'est au tour des
filles de venir s'accroupir au-dessus du plat pour nous pisser dessus...
Quand ils ont tous vidé leurs
vessies, le chef gueule :
— Première servante !
Ayako s'approche et répond :
— Oui Monsieur ?
— Reprends tes filles !
— Certainement, Monsieur.
Elle écarte un peu les bras en
disant :
— Vos oreilles !
On est toutes les deux bien
dressées. On va se pencher de façon à ce qu'elle ait nos oreilles à
portée de ses doigts. Elle pince nos lobes qui glissent un peu et on la suit
courbées en deux, en gémissant. Dès qu'on est dans le couloir, elle nous lâche
en disant :
— Allez vous laver... ensuite
venez à la cuisine.
— Oui Mademoiselle Ayako.
Je prends la fille par la main
et dès qu'on s'est éloigné, je lui demande :
— Tu es nouvelle ?
— Oui. Quels salauds ces mecs
et même ces filles !
— Tant qu'on n'est pas
punies....
— Ça arrive souvent ?
— Ryoko est dure et certains
clients sont très difficiles). Quelques-uns nous font fouetter parce que ça les
excite.
— Tu crois qu'on devra
retourner chez ces gens ?
— Non, ils doivent tout
nettoyer, mais il y aura les clients du soir.
On arrive à la salle de
douche. On se lave soigneusement l'une l'autre. On se nettoie de tout ce qu'ils
ont déversé sur nous ! On s'embrasse, aussi.... Elle me plait... et je crois
que c'est réciproque. On fait toutes les deux pipi, mais sous la douche, pas
sur le visage de deux filles ! Quand on est propres et réconfortées par nos
baisers, on va à la cuisine. Je toque, puis on entre et on se plie en deux...
Ryoko nous dit :
— Allez mettre une robe pour
accueillir les invités...
On va s'habiller, enfin, si on
peut dire que ces petites robes qui s'envolent sont des vêtements. Ensuite on
va attendre devant le château. Nous sommes les premières, on en profite pour
parler un peu. Je lui raconte qu'à un moment, on a toutes été transformées en
Malaises, ensuite on est redevenues normales, sauf les fesses.
Elle me répond :
— Moi aussi, on a un peu
augmenté mes fesses. Le Prince veut des Occidentales avec de jolis culs...
Dis...
Notre conversation s'arrête
là, car une servante est arrivé (arrivée) sans qu'on s'en aperçoive et elle
nous dit :
— Alors, on discute ?
Je me plie aussitôt en deux et
réponds :
— Je lui expliquais ce qu'il
fallait dire aux invités, Mademoiselle.
— Tu mens... Tu veux que
Maître Seiba s'occupe de toi, demain matin ?
— Non, pardon ! Oui, j'ai
menti parce que j'avais peur que...
— Toutes les deux en position
!
Je me mets aussitôt "en
position" : d'abord à genoux, ensuite les deux mains posées l'une sur
l'autre sur le sol et le front sur les mains. De cette façon, les jupes
s'envolent et nos derrières sont bien exposés. La fille fait la même chose. On
attend le premier coup de fouet en tremblant, mais au lieu de ça, on entend la
servante dire :
— Pardon, Messieurs, je
m'apprêtais à punir ces esclaves qui parlent sans autorisation.
Une voix d'homme répond :
— Je t'en prie, c'est amusant.
Ce serait encore plus amusant
si on fouettait le cul de babouin de ce sale type ! Au lieu de ça :
— Aïïeee ! Un, merci
Mademoiselle.
Aussitôt, la fille crie, puis
dit la même chose :
— Aïïeee ! Un, merci
Mademoiselle.
Cinq fois, les trois lanières
claquent sur nos fesses, qui doivent être couvertes de marques rouges. Un homme
me désigne en disant :
— On peut prendre la fille qui
s'appelle Boy-ra ?
— Certainement Monsieur et
n'hésitez pas à la punir si c'est nécessaire ou pour vous amuser. Elles sont là
pour ça.
Sale garce ! Ils sont quatre.
Ils examinent les filles qui sont là et un des hommes dit :
— Celle-là, aussi.
Il ne désigne pas ma compagne,
mais Mya-Tao, la jolie Birmane pas sympa. On se retrouve chacune entre
deux hommes ou plutôt entre deux mille-pattes. Des tas de mains nous caressent
les seins et les fesses. Et ce ne sont pas les robes qui vont nous protéger.
Ils ont retenu une petite salle à manger. On y va et ils s'installent autour d'une
table sur laquelle il y a déjà des bouteilles de saké et quatre verres. Ils
sont contents de se retrouver entre amis golfeurs ou collègues de bureau, à
boire des coups ensemble et à caresser des jolis culs.... Mya-Tao repère le
chef ou celui qui est le mâle dominant et elle va s'incliner devant lui en
disant :
— Comment peut-on vous faire
plaisir, Maître ?
Etre appelé Maître, ils
adorent. Il répond :
— Qu’est-ce que tu nous
proposes ?
Vous voyez que c'est le
dominant, il répond à sa question par une question.
— Nous pourrions vous sucer à
deux, pour commencer.
Il regarde ses copains, ils
sont d'accord. C'est certainement la première fois que deux jolies filles
vont les sucer à deux. Elle dit à l'homme :
— Si vous pouviez vous reculer
un peu.
Il se met à un mètre de la
table. Elle enlève sa robe en me disant :
— Tu dors ?
— Non... euh... je...
Elle dit aux invités :
— Elle a un beau cul, mais
elle n'est pas futée.
Elle est vraiment garce !
J'enlève la petite robe. Nues, on se met à genoux de chaque côté des jambes de
l'homme. Il a déjà sorti son sexe. Comment se lavent les hommes pour que leurs
bites aient toujours une odeur de marché aux poissons ??? Mystère ! Elle
m'embrasse sur la bouche au-dessus du sexe, puis elle tire sur la peau pour
dégager le gland et elle me le met dans la bouche. A l'étage au-dessus, ils
sont tous venus voir. Ils aiment nous voir lécher la même glace. Ah si c'était
une vraie glace dans un cornet. Non, c'est un gros gland de golfeur japonais
qu'on lèche. Je sens qu'il ne veut pas qu'on le fasse jouir. Il dit à Mya-Tao :
— Passez au suivant
— Oui, Maître.
Le suivant est plus âgé et sa
bite n'est pas plus appétissante. Elle m'oblige à le sucer la première. Je
pourrais me rebeller, mais elle est trop... décidée. Autour de la table, les
golfeurs boivent, plaisantent et rient. On passe aux deux suivants... Quand la
bite du dernier est propre, un des hommes nous dit :
— Et maintenant, que
proposez-vous, les filles ?
C'est bien sûr Mya-Tao qui
répond :
— On pourrait s'asseoir sur
vos bites et vous chevaucher.
Ils se regardent et l'un d'eux
nous dit :
— Bonne idée.
Elle s'incline, les mains
jointes, en disant :
— On pourrait avoir une gorgée
de saké, s'il vous plait ?
Difficile de refuser, quand
c'est demandé aussi humblement. Ils nous laissent boire un peu de saké. Putain
! Ça fait du bien et ça désinfecte la bouche.
On monte toutes les deux sur
la bite dressée d'un homme. Le saké aidant, on est en forme pour un peu de trot
sur bite. Les hommes embrassent nos seins qui vont et viennent sous leurs nez.
On les a déjà bien chauffés en les suçant et après quelques minutes, ils
jouissent en nous. On descend de cheval et on pioche dans une boite de Kleenex
de quoi, plus ou moins, se rafraîchir la chatte. On attaque les deux
derniers.... Ils jouissent tout aussi rapidement.... Cool.
On a encore droit à un verre
de saké chacune. Mya-Sato parle encore un peu avec eux. Elle leur demande de
nous donner une bonne cote. Ils sont contents, ils le feront. On les reconduit
jusqu'au pont pour qu'ils reprennent la bateau. Ensuite on va prendre une
douche. Mya-Tao me dit :
— Lave-moi.
J'obéis.
***
Le lendemain en fin
d'après-midi, on est toutes devant le pont. Il ne reste plus beaucoup de filles
de notre groupe du départ. Plusieurs filles sont parties, tandis que des
nouvelles arrivent tous les jours. On voit arriver un groupe d'hommes qui
doivent enterrer la vie de garçon de l'un d'eux. Ils sont déjà bien entamés
quand ils arrivent... Ils nous examinent en plaisantant. Ils tâtent un sein,
une fesse. Ils choisissent Mya-Tao, puis regardent les autres filles. Elle me
dit :
— Montre tes fesses !
Non mais, de quoi elle se mêle
? J'ai envie d'être avec une autre fille. Je reçois quelques claques sur les
fesses. Un homme dit :
— Elle a un beau cul, on
la prend.
Tandis qu'on se dirige vers
une salle à manger, je lui murmure :
— Pourquoi m'as-tu dit de
montrer...
— Tu dois me vouvoyer, si tu
ne veux pas être punie ! Compris ?
— Oui, Mademoiselle.
Oui, je fais ce qu'elle dit.
On arrive dans une salle à manger. On mange et on boit un peu, on flirte et on
baise beaucoup. La routine, quoi. A la fin du repas, un des hommes nous dit :
— Chantez...
Ils nous prennent pour des
geishas parce qu'on couche comme elles, mais on n'a pas appris à jouer d'un
instrument de musique ou à chanter.
Je réponds :
— Pardon, Maître, mais on
n'est pas des geishas, on n'a pas...
— CHANTEZ ! Ou on vous fait
fouetter !
Inutile de discuter avec un
sale type bourré, Mya-Tao me dit :
— Tu connais "Forever to
you" ?
— Oui.
C'est une chanson qu'on entend
partout au Japon. Elle me dit :
— A 3... 1 - 2 - 3
— Foreveeeeerrr....
J'ai une voix très aiguë et je
chante juste. Coïncidence, Mya-Tao a la même voix très aiguë. On dirait deux
gamines prépubères qui chantent cette chanson d'amour.
Les hommes arrêtent de rire et
de déconner pour nous écouter. A la fin de la chanson, ils nous applaudissent.
Ils ont aimé et ils sont contents, c'est le principal. Je dois dire qu'on
formait un très beau duo. On boit encore un peu avec eux, on baise aussi... La
soirée se termine, on les reconduit à l'embarcadère. Ensuite, Mya-Tao
disparaît. Tant mieux.
***
Le lendemain au petit
déjeuner, Thaï 2 dit :
— Mya-Tao, Cécile, ici.
Oh ! Elle m'appelle par mon
vrai prénom. On va aussitôt s'incliner devant sa table, elle nous dit :
— Chantez !
Encore !?! Bon... On se
regarde, elle compte 1 - 2 - 3 et :
— Foreveeeerrrrr....
Tout le monde nous écoute...
Nos voix aiguës sont belles dans cette grande salle à manger. Quand on a fini
notre chanson, on s'incline. On est applaudies, c'est surprenant. Thaï 2 fait
un petit geste de la main que j'interprète comme "retournez à votre
table". Quand on a déjeuné, on rejoint des clients dans leurs chambres.
A 2 h de l'après-midi, une
servante vient me dire :
— Va sur le terrain
d'atterrissage.
Inutile de demander pourquoi.
Je quitte le château et je
croise des gardes et des servantes, personne ne me demande où je vais...
Vers la liberté ? Je vais attendre sur le bord de la piste d'atterrissage. Dix
minutes plus tard, Mya-Tao arrive. Encore elle !! Et elle me dit :
— Tu ne me salues pas ?
Elle est tellement sûre
d'elle.... que je m'incline en disant :
— Si, Mademoiselle.
Oui, bon.... Je devrais... lui
dire que... rien, car un hélicoptère arrive et atterrit.
Une porte s'ouvre et une
gamine saute sur le sol. Elle a l'air d'avoir 14 ans. Elle est habillée,
coiffée et maquillée comme une Tokyo Idol, ces groupes de gamines qui chantent
et ont des fans chez les jeunes et surtout chez les hommes plus âgés. Elle a
une coiffure très élaborée avec des couettes, les yeux très maquillés, une
petite bouche rouge. Elle est vêtue d'une robe très courte et décolletée, mais
avec des manches bouffantes. Aux pieds, elle a des chaussures plates et ses bas
noirs s'arrêtant (s’arrêtent) à mi-cuisse, c’est-à-dire à une dizaine de
centimètres du bas de la robe. Un mélange de petite fille et de vamp.
Ah oui, elle tient un ours en peluche dans une main. Entre filles, on a l'habitude de s'examiner rapidement, j'ai noté tout ça en quelques secondes. On s'incline à 45 °. Elle nous dit :
— C'est vous qui chantez ?
Oh ! Elle a une voix encore
plus aiguë que les nôtres ! On se redresse et Mya-Tao répond :
— Oui Mademoiselle.
Elle regarde l'ours qu'elle a
en main et lui demande :
— Qu'est-ce que tu en penses,
Kumasan (Monsieur Ours) ?
— Elles sont mignonnes, mais
moins que toi, ma chérie.
C'est elle qui fait la voix de
l'ours. On la regarde avec des grands yeux. Elle dit :
— Kumasan vous a fait un
compliment, vous ne lui répondez pas ?
Mya-Tao répond aussitôt :
— Merci Kumasan, vous êtes
très gentil et très beau.
À suivre
Bruce Morgan a
illustré les 5 tomes de "Mia sans dessous" et les 2 tomes de
"Samia, fille du voyage."
Nos livres sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
L'ours en peluche qui s'exprime aura-t-il droit à sa pipe aussi ??
RépondreSupprimerAmo
C'est un ami... et puis regarde son sourire :o)) bisous, mia
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