609 - 7 Sex doll.

Je fais mieux de me taire. Je regarde les serveuses qui s’activent à nettoyer, servir les clients, se faire peloter. Elles ont toutes des traces rouges en travers des fesses. Comme je me suis encore rapprochée de Veda, Su’aad lui dit :
— Elle est un peu collante, non ?
— Oui, l’épreuve l’inquiète, mais elle est bien dressée. Si tu veux l’essayer ce soir ou cette nuit...
Eh oh, je suis pas une bécane ! Su’aad répond :
— Quand elle fera partie de la Confrérie.  
Tant mieux et même on va dire jamais ! Pour qui elle se prend, la patronne de ce boui-boui ! Veda me pince une fesse en disant :
— Qu’est-ce qu’on dit ?
— Aïe ! Oui, quand vous voudrez, avec plaisir Mademoiselle.
Là, je les vois littéralement dresser l’oreille. J’ai dit quelque chose que je ne pouvais pas ? Su’aad dit :
— Vous vous y attendiez ?
Thor répond :
— Non, pas du tout, on n’a pas eu de contact.
C’est un homme grand et bronzé qui arrive. Je dois dire que c’est mon genre. Il a la tête rasée et une courte barbe. Comme il est en short et tee-shirt sans manches, je peux voir qu’il est vraiment musclé. Il a des poils sur les jambes et sur la poitrine. Et puis, malgré sa courte barbe noire, il a les yeux bleus. C’est vraiment mon genre d’homme.
Ils s’embrassent et quand il me regarde, je baisse les yeux en rougissant... Je suis vraiment trop sensible et puis il me plaît trop. Il me dit :
— Tu es toujours une UR toi, non ?
Il est séduisant, mais c’est sans doute un emmerdeur ! Je réponds :
— Je n’ai pas un centime, Monsieur et les vêtements que je porte ne sont pas à moi.
Il me sourit et dit :
— Si tu étais une sœur, je ne te demanderais certainement pas de faire ça...
Je me colle à nouveau à Veda. Il poursuit :
— Tu vas enlever tes vêtements et, nue comme le jour de ta naissance, tu vas aller dans la cuisine. Là, tu diras « Je viens de la part de Juan » et tu feras ce qu’on te dit.
Veda me dit :
— Obéis !
Cette fois-ci, je ne vais pas me laisser faire. Je lui dis :
— C’est facile quand on est un homme comme vous de... d’obliger une femme qui a la moitié de votre poids à...
Et alors... il rit, puis il me dit :
— Pas mal, tu en as ! Tu réussiras sans doute le saut, mais en attendant tu vas enlever tes vêtements... VITE !
Je me suis rebellée... un peu, je n’ose pas continuer. Je me déshabille en tremblant. Quand je suis nue, il dit :
— Cuisine !!
Je me lève. Les clients qui ont assisté à la scène avec beaucoup de plaisir s’écartent pour me laisser passer. En fait, ils me font un passage vers la porte qui donne sur la cuisine. Quelques mains me caressent les fesses. Pourquoi l’IA me fait ça ?
Dans la cuisine, il y a des filles à anneaux qui viennent des Émirats, d’après ce qu’on m’a dit, et un cuisinier somalien. Comme souvent, il est gros, je dirais même obèse. Il est vêtu d’un short que son ventre cache presque entièrement. Les filles sont occupées à préparer le repas. Il dit :
— Une blonde ! C’est gentil de t’envoyer ici... Viens sur mes genoux, Blondie. 
J’ai le choix, soit j’obéis, soit il me donne une fessée, j’en suis sûre. D’ailleurs, il y a des filles qui ont les fesses bien rouges. On se retrouve tous les deux assis sur ses cuisses, son ventre et moi. Il me prend par la nuque et il m’embrasse sur la bouche, tout en me caressant les seins. Quand le baiser se termine, il me dit
— Il parait que tu aimes les filles.
— Oui Monsieur.
— Les Arabes ?
— Oh oui, Monsieur.
— Bien, couche-toi sur le dos. Haïfa, si ça te dit...
Quand je suis couchée, une jolie fille avec une opulente paire de fesses vient s’asseoir sur mon visage. Si elle s’assied complètement, j’étouffe. Heureusement, elle me laisse de l’air. Je lèche tout ce qu’elle me met sous le nez. Elle n’est pas lavée, mais elle me plaît. 



Au bout de quelques minutes, le cuisinier dit :
— OK Haïfa, bouge. Et toi Blondie, reviens sur mes genoux. 
J’obéis bien sûr et, quand je suis sur lui, il renifle mon visage en disant :
— Là, tu as une odeur. Bon, qu’est-ce que tu viens faire ici ?
— Mais... euh... c’est un homme qui m’a dit de....
Il m’interrompt :
— Un grand costaud ?
— Oui, c’est ça...
Il rit, puis il me dit :
— C’est le neveu de ma femme qui me fait un petit cadeau, mais tu as bien fait d’obéir. Raconte-nous comment tu as atterri dans ma cuisine.
Je raconte, mais c’est tellement dur par moment que je pleure. La fille à qui j’ai servi de siège lui demande :
— Je peux lui dire quelques mots ?
Il fait « oui » de la tête. Elle me dit :
— Ne pleure pas, on sera toutes sauvées après avoir réglé notre ardoise. 
— Oui mademoiselle. 
Elle ajoute :
— Il y a des monstres que l’IA a supprimés tout de suite, mais on paie tout ce qu’on a fait, puis on intégrera le « Peuple ». 
— Mais j’ai peur du saut en parachute.
— On fera tout des trucs de ce genre, l’IA ne se trompe pas.
Le cuisinier me dit :
— Nous, on doit continuer. Embrasse toutes les filles et puis retourne chez tes amis et remercie mon neveu pour son cadeau.
Les filles viennent m’embrasser... C’est vraiment surprenant. Puis je remonte toute nue. Je rejoins « notre » table en me faisant caresser à nouveau les fesses par les clients. Je dis à Juan :
— Votre oncle vous remercie pour le cadeau et il...
Veda m’interrompt en disant :
— On parle, Mila.
Pfffff, j’en ai marre ! Je n’attacherai pas mon parachute et je m’écraserai... non, je ne ferais jamais ça, mais là, ça déborde. Je suis toujours nue et je suis sûre que je vais me faire engueuler si je m’assieds sur « mon » tabouret. Je m’assieds par terre, les genoux relevés, je pose le front sur mes genoux et je pleure, mais bien, genre « Je n’en peux plus ». Tout le monde s’en fout ! La seule chose qui les amuse, c’est m’engueuler ou me punir. Marre, marre, marre...
Et puis là, je décolle du sol ! Le grand costaud, soi-disant le neveu du cuisinier, me met sur une de ses épaules, comme si j’étais un sac de pommes de terre qui pleure. On monte un escalier, puis on va dans une chambre. Il se déshabille et s’allonge sur le lit. Il est spectaculaire, très musclé et il a des poils sur tout sur le torse, le ventre et le pubis. Son sexe repose sur une de ses cuisses. Il est au repos mais il est déjà de belles dimensions. Il a une odeur... de mâle. Il me dit :
— Dis donc toi, est-ce que tes piles sont plates ?
Quoi, mes piles ? Je reste là à me demander ce que je dois répondre. Il dit :
— Ah putain de merde, cette saloperie de sex doll est en panne, je vais la balancer dans une poubelle et en acheter une autre.
Ça va, j’ai compris. Je lui dis :
— Mes piles sont chargées maintenant, Monsieur.
Je m’assieds sur le lit et je me penche pour embrasser ses couilles toutes gonflées. C’est émouvant... J’embrasse la hampe de son sexe puis je tire sur la peau pour dégager le gland un peu trop odorant, mais après tout, je suis une poupée. D’ailleurs, il dit :
— On m’a dit que les poupées comme toi sont des super baiseuses et même qu’elles jouissent. C’est vrai ça ?
— Oui Monsieur, je jouis et... je suis très heureuse qu’un bel homme comme vous m’ait achetée.
— Je ne t’ai pas achetée, sotte, tu étais en cadeau avec un achat.
Oui, c’est n’importe quoi, mais il me plaît et je veux le satisfaire. Il sourit tandis que je continue à sucer son sexe. Quand son gland est à hauteur de mes amygdales, j’ai le nez dans les poils de son bas-ventre. J’ai envie de le faire jouir et de tout avaler, je veux qu’il soit satisfait de sa « sex doll ». Il me dit :
— Arrête et couche-toi sur le dos. Je vais vérifier si tu fonctionnes bien pendant que tu es encore sous garantie.
Je vais continuer de jouer la sex doll, puisque ça l’amuse. Il va certainement me baiser... Il relève mes jambes... Non, il colle sa bouche à ma chatte... Oh ! ça, je ne m’y attendais vraiment pas. Il me lèche et relève un peu la tête pour me dire :
— Ton sexe a une odeur, Poupée, je ne m’y attendais pas.
Il recommence à me lécher, personne ne m’a léchée depuis des siècles, enfin des semaines. Il fait ça trop bien, sa langue passe de mon vagin à mon clitoris. C’est trop bon ! Je pousse ce que je pense être des petits gémissements de poupée... Et puis mon vagin se contracte et je m’envole vers le 7e sans avion ni parachute... Je jouis en plusieurs spasmes... Depuis le temps que ça ne m’était plus arrivé ! Je jouis malgré la fatigue et la trouille du saut en parachute... 
Je continue à jouer le rôle de poupée et je dois avouer qu’il me plaît ce rôle, parce qu’après tout, une poupée, ça n’a pas la trouille. Je lui dis :
— Merci beaucoup, Monsieur, je n’ai jamais joui aussi bien.
— Ah bon, parce que les poupées jouissent maintenant.
— Oh oui, Monsieur, je fais partie de la série X1000. Mais il faut que notre utilisateur soit un très bon amant, comme vous.
Il rit puis il me donne une claque sur les fesses en disant :
— Je suis peut-être un bon amant, mais toi tu es une poupée intelligente. Je croyais que vous n’étiez faites que pour remuer votre cul quand votre acheteur vous baise.
— C’est vrai Monsieur, on n’est faites que pour ça, je dois avoir un défaut.
Il rit à nouveau. J’aime son rire et puis tout... même ses claques sur mes fesses. Il me dit :
— Habille-toi, on rejoint les autres. Ah, à propos, tu n’as pas besoin de nouvelles piles ?
— Non Monsieur, j’ai des piles au radium qui dure un siècle.
Je l’amuse à nouveau. C’est super, mais à un moment on s’arrête, non ? Il me dit :
— Je n’ai pas bien lu ton mode d’emploi, une poupée, ça ne doit pas avoir peur de sauter en parachute.
— Je suis ultra sophistiquée et hélas, la peur, le vertige, j’ai tout ça.
— Ce sera la preuve de ton courage.

À suivre.

Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin.

Nos 8 livres illustrés par Bruce Morgan sont ici.
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search




Commentaires

  1. En attendant la mise en prod de ce style d'amusement, encore de belles productions de la merveilleuse Mia

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    1. Tu es très gentille... oui ça va encore beaucoup bouger dans cette histoire...

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