13 - Bukkake
Ils se mettent tous à se
masturber. Heureusement que je me balade dans les vignes de Bouddha, parce que
dix fonctionnaires saouls qui s'astiquent le rouleau de printemps en même temps
au-dessus de vous... ça fait peur !
— Plaaaf !
Une grosse giclée de sperme
vient de tomber mollement sur ma bouche et mon nez ! C'est le chef qui vient de
jouir sur mon visage !
Les autres le félicitent, je ne vois vraiment pas de quoi. Comme il a donné le feu vert, aussitôt, d’autres saccades de sperme m'arrivent sur tout le corps. En prévision de cette soirée de Bukkake, ils ont dû arrêter tous rapports sexuels depuis des mois, parce qu'ils me balancent des décilitres de foutres, de la tête aux pieds ! Le dernier a visé mon sein gauche.
Maintenant saké, puis douche ! Vite, s'il vous plaît ! Non ! Le chef demande :
— Des amateurs pour la
baiser ?
— Moi, moi, moi !
Ils se sont shootés avec des
aphrodisiaques pour rebander aussi vite à leur âge ! Ici, je voudrais faire une
petite parenthèse : j'écris ce livre à la demande de mon Maître. Dieu sait ce
qu'il en fera, mais s'il le publie, j'imagine très bien une lectrice pinçant
les ailes de son nez délicat en lisant ce qui va suivre. Normal, mais... je
mets quiconque au défi de décrire d'une façon détaillée un « Bukkake » sans
déraper... dans le sperme, bien sûr. J'imagine tout ça couchée dans la petite
piscine, c'est la faute au saké.
Un des hommes se couche sur
moi en se tenant aux bords de la piscine, pour ne pas glisser. Je lève les
jambes pour qu'il puisse enfoncer son sexe dans ma chatte. Ses collègues
l'encouragent. Il prend son temps, change de rythme, caresses mes seins,
embrasse ma bouche collante. Il glisse ses mains sous moi et empoigne mes
fesses. Je suis sensible quand on m'attrape par les fesses... Enfin, je le sais
depuis mon arrivée ici. Je me dis : "Mais où ça va, tout ça ?" Je
ferme les yeux, je me laisse aller... et puis :
— Oooh, ouiiiii... je
jouiiiiis.
Hé oui, mon nouveau nom est Hi
No Naka (en feu). Grâce au saké, je m'en fous de tout ce qu'on va me dire. Il
jouit en moi... Allez, le plus vicieux du groupe m'a baisée dans le sperme de
ses collègues, c'est fini ? Non ! À tour de rôle, ils vont tous me passer
dessus. Ma chatte déborde et j'ai l'impression que du sperme va me sortir par
les narines. Le dernier, qui est à nouveau le chef, me dit :
— Mets-toi à quatre pattes,
Boy-ra.
Il vient à genoux derrière moi
et enfonce son petit sexe dans ma chatte. Alors là, je ne sens absolument rien.
Lui non plus, sans doute, car il sort son petit engin et me l'enfonce dans le
cul ! Je ne le sens pas beaucoup plus, mais lui, il aime et ça le fait jouir
rapidement. Non, moi je ne jouis pas... mais je dois bien avouer que j'ai pris
trois fois mon pied pendant ce Bukkake.
Le chef sort de la piscine. Je
m'apprête à faire pareil, mais il me dit :
— Couchée, Boy-ra ! Sur le
dos.
Ils viennent tous se mettre
autour de moi. Ils ne vont quand même pas recommencer à me jouir dessus ?! Le
chef me dit :
— Ferme les yeux et ouvre la
bouche. Et avale, sinon "Hall of pain" !
Non, pas ça ! Je ferme les
yeux et ils me pissent dessus !! Je reçois une douche chaude et malodorante. Si
vous pensez "C'est dégoûtant !" je suis 100 % d'accord avec vous.
J'avale... Vivement que leurs vessies soient vides.
Le chef me dit :
— C'est fini, on va aller se laver.
Oh la bonne idée ! Il ajoute :
— Mais avant ça, on va boire à la santé de Boy-ra.
Deuxième bonne idée. Une servante a dû apporter deux autres bouteilles de Saké,
pendant que j'étais sous un tsunami de liquides divers. Je me relève en me
tenant aussi au bord, car la piscine est devenue super glissante, et moi aussi.
Tous les hommes ont un appareil photo en main. Ils vont certainement faire des
superbes clichés de moi toute dégoulinante.
Cette fois-ci, je reçois un verre entier... On lève tous notre verre. Ils
lancent :
— Kampaï ! Kampaï ! (santé)
Mmmmh... Ça fait du bien. Après avoir bu, on se dirige tous vers les douches.
On se lave et plusieurs d'entre eux viennent me savonner. Ils ne sont pas si
teigneux que ça, ces fonctionnaires. Il faut dire que je suis bien éméchée...
et eux aussi.
Une fois propres, on retourne dans la pièce. Deux servantes terminent de tout
ranger et de nettoyer. Bien fait ! Ce dont elles s'occupent, on ne doit pas le
faire. On se rhabille, eux en costume, moi dans ma robe si légère que les
battements d'ailes d'un papillon la fait s'envoler.
On s'embrasse. Le chef me dit :
— On va te donner cinq étoiles, Boy-ra.
— Merci beaucoup Monsieur, et merci pour le saké.
Cinq étoiles, comme un hôtel ou un restaurant, je ne savais pas qu'on était
cotées. Ils s'en vont, mais ce sera pour mieux revenir, dès qu'ils auront les
couilles bien pleines... C'est eux qui le disent. Je pars à la recherche de
Madame Haroe. En voyant une servante, je m'incline devant elle avant de lui
demander :
— Pourriez-vous me dire où se trouve Madame Haroe ? S'il vous plaît,
Mademoiselle.
Oui, je suis très polie avec les servantes. Elle répond :
— Cuisine.
— Merci Mademoiselle.
Erreur, Madame Haroe n'est pas à la cuisine. Je m'incline devant les servantes,
en faisant attention de ne pas me casser la figure à cause du saké et je leur
dis :
— Je devrais voir Madame Haroé, Mesdemoiselles.
Une toute jeune servante japonaise me répond :
— Elle n'est pas là. Qu'est-ce que tu lui veux ?
— Je pourrais aller faire un tour dans le jardin, s'il vous plaît...
Je vois bien qu'elles vont jouer avec moi, mais je n'ai pas le choix. J'ajoute
:
— J'ai été obligée de satisfaire dix invités, ce n'était pas facile et...
Elle me coupe :
— Et tu as bu beaucoup de saké et pris ton pied trois fois.
— C'est vrai, Mademoiselle, mais...
— Tu vas le demander très, très humblement à chacune de nous. Ensuite, on
décidera si on te permet d'aller te balader ou si ce sera dix heures de pilori
pour dessaouler !
Garces !! Elles n'ont sûrement pas le droit... mais je n'ose pas prendre le
risque qu'elle m'accuse d'insolence ou de quelque chose dans ce genre-là. Je
lui dis :
— Mademoiselle, voudriez-vous avoir la bonté de....
— Demande-le plus humblement.
Je me mets à genoux devant elle et je me baisse complètement pour embrasser ses
chevilles et ses orteils dans ses sandales. Elle dit aux autres servantes :
— Elle fait ça bien, Boy-ra. J'ai envie qu'elle me lèche...
— Vas-y Mae, tu sais bien qu'elles doivent nous obéir.
Elle me demande :
— Tu as entendu ? Je suis sûre que tu as envie de me lécher.
— J'en serais ravie, Mademoiselle Mae.
C'est vrai : marre des bites et puis cette fille est jolie. Elle a l'air
tellement sûre d'elle pour une fille aussi jeune. Les autres servantes trouvent
amusante sa façon de me traiter. Le Prince et les Thaïs ont trouvé malin de
nous obliger à obéir aux servantes... Elle me dit :
— Enlève ta robe pour qu'elle reste propre, puis déshabille-moi !
Ma robe, c'est vite fait. Ensuite je descends son pantalon jusqu'à ses
chevilles et elle l'enlève complètement. Je suis en face de sa chatte, en fait
à peine un renflement à la base de son pubis, aussi lisse qu'une assiette de
porcelaine. Je l'embrasse.
Je n'avais jamais fait ça avant de venir ici... D'ailleurs, je n'avais jamais
joui aussi vite non plus. Ce n'est pas normal, ils doivent nous donner des
excitants en douce ! Mae s'est assise sur une chaise, jambes écartées. Elle me
donne une claque sur la nuque en disant :
— Ne laisse pas refroidir.
Je fonce dessus, langue la première. Sa vulve est comme un coquillage rose,
lisse et mouillé. Je le couvre de baisers... et ça me plaît ! Je lèche
longuement son sexe... Ma langue tourne presque amoureusement autour de son
clitoris... Son bassin a un léger mouvement de va-et-vient et elle me caresse
la tête. Ça y est, elle se raidit et son coquillage rose me mouille le bas du
visage. C'est troublant, faire jouir une fille. Oui, les excitants...
La servante qui est assise à côté de Mae me dit :
— À mon tour, Boy-ra.
Mae c'était agréable, mais je n'ai vraiment pas envie de continuer. N'ayant pas
le choix, je me déplace sur les genoux jusqu'à la suivante. Elle a déjà retiré
son pantalon de kimono. Elle a aussi reculé sa chaise pour pouvoir poser un pied
sur la table. Je suis face à un gros coquillage d'un rose écœurant, sans doute
échoué sur la plage depuis quelques jours. Il n'est vraiment plus très frais.
Je veux Mae ! Je le goûte du bout des lèvres, jusqu'à ce que la servante me
rappelle à l'ordre :
— Tu te décides ?
Je sais qu'elles peuvent nous punir... Tandis que je la lèche, ses collègues
discutent entre elles Je comprends que les filles ont vu des images du Bukkake.
Je me doutais bien que tout était filmé, mais là, j'en ai la confirmation. La servante
que je lèche me caresse la tête avant de coller ma figure contre son
coquillage, qui me balance un peu d'eau de mer pas fraîche au visage. Voilà...
c'est tout ! Non, bien sûr.
J'envoie les trois suivantes au septième ciel à coups de langue. Dix hommes,
cinq femmes, ça fait beaucoup. Je me relève, je m'incline à 45 ° et je leur
demande :
— Je pourrais aller faire un tour dans le parc ? S'il vous plaît.
Les servantes se regardent... Pour finir, c'est Mae qui me répond :
— D'accord, mais n'oublie pas d'être à l'heure dans la salle à manger.
— Certainement, merci à vous toutes
Je salue à nouveau et je sors de la cuisine. J'ai bien mémorisé le petit chemin
secret qui me conduit dans le jardin... Je me balade parmi les fleurs en
réfléchissant... Il faut absolument que j'arrive à m'évader. D'abord trouver
des alliées....
Je somnole un peu sur un banc en rêvant de liberté.
Le soir, on est six dans la salle à manger, les autres sont dans une pièce avec
des clients. Non, pardon, avec des invités. On discute tout bas entre nous,
mais en restant prudentes. Ici aussi, les murs ont des oreilles.
À suivre
Bruce Morgan a
illustré les 5 tomes de "Mia sans dessous" et les 2 tomes de
"Samia, fille du voyage."
Nos livres sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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