14 - Au pilori.
Les invités qui savent qui je suis
me retiennent, ou plus exactement, ils me louent. Je suppose qu'ils voient des
photos et des vidéos sur le site du « Palais des 1000 Délices », qu'on appelle
entre nous « Le Palais des 1000 Sévices » ! Peut-être suis-je aussi sur
« International Porn » ou un autre site porno...
En cette fin d'après-midi,
c'est un couple qui m'a retenue. On m'a montré une photo pour que sois capable
de les identifier et que je puisse aller à leur rencontre. Ils sont bien
physiquement, ça me changera. Des invités débarquent du bateau et montent
l'escalier, ensuite, ils doivent encore traverser le pont. Je ne vois pas de
couple arriver. Ah si, un couple que je reconnais plus ou moins, mais ils sont
suivis d'une esclave nue ou plutôt de leur chienne, puisqu'elle est en laisse
et qu'elle marche à quatre pattes. C'est sa maîtresse qui tient la laisse. La
chienne n'est plus jeune, je dirais environ 7 ans d'âge de chienne, ce qui fait
49 ans pour une femme. Elle a des piercings au bout des seins ainsi qu’au sexe,
et même des traces de fouet sur les jambes et les fesses. Que fait la SPA ?!
Je vais vite à leur rencontre dans un envol de robe légère qui dévoile mon pubis "impubère". Je leur dis :
— Bienvenue, Madame, Monsieur.
Je m'appelle Boy-ra et je suis à votre service.
C'est la femme qui répond :
— Bonjour Boy-ra, on t'a
retenue ainsi que la salle du Dragon Écarlate.
— Certainement, si vous voulez
bien me suivre.
L'homme intervient, il a un
léger accent :
— Tu peux nous parler en
français.
— Avec plaisir, Monsieur.
Ici, quand on n'a pas affaire
à des Japonais, tout se fait en anglais.
Deuxième envol de robe, qui
dévoile mes fesses qui ne sont vraiment pas impubères, elles ressemblent à des
fesses de Black particulièrement bien pourvue à ce niveau-là !
L'homme a une trentaine
d'années, la femme un peu plus, je pense. Ils sont séduisants tous les deux.
On arrive dans la salle où un
Dragon Écarlate décore un des murs. Il y a un divan, une table, des chaises
et... un pilori. Oh putain ! Pourvu que ce ne soit pas pour moi. Je jette un
regard apeuré au couple, l'homme le remarque et me dit :
— Notre chienne n'est pas
obéissante, elle refuse parfois de se laisser monter par qui on veut, nous
sommes obligés de lui donner une leçon.
Ça doit être rare à mon avis,
parce qu'elle a l'air rudement bien dressée, la petite chienne ! La femme
poursuit :
— Elle va passer la soirée et
la nuit immobilisée dans ce pilori. Qu'est-ce que tu en penses, Boy-ra ?
Aïe ! Que répondre ? Je vais
dans son sens :
— Je pense que ses maîtres ont
tous les droits et qu'il faut régulièrement corriger les chiens et les esclaves
— Bien... Je m'appelle Sophie,
mon compagnon se nomme Marc, mais pour toi ce sera Maître et Maîtresse.
— Oui, Maîtresse.
Vous êtes un très beau couple, je suis ravie d'être à votre service.
— Notre chienne c'est Coralie.
Viens me déshabiller.
— Oui Maîtresse.
Un haussement d'épaules et ma
robe s'envole... J'exagère à peine. Le couple se déshabille aussi et s'installe
sur le divan, l'un à côté de l'autre. Sophie me dit :
— Va la placer dans le pilori.
— Oui Maîtresse.
Ce pilori est de profil par
rapport au canapé, de façon à voir le visage de celle qui est devant, d'un
côté, et ses fesses de l'autre.
Je n'aime pas faire ça, mais
impossible de dire non ! Je soulève la partie supérieure de l’engin. Coralie
met aussitôt ses poignets et son cou dans les demi-cercles. Après avoir
redescendu la partie supérieure, je la bloque : elle est prisonnière ! Ensuite,
j'attache ses chevilles aux pieds du bâti. Cette position est à la fois
révélatrice et très inconfortable. Je vais près du couple qui se caresse sur le
divan. Marc me dit :
— On attend Atu, le garde.
Installe-toi entre nous.
Je suis contente de m'éloigner
de ce pilori qui me donne la chair de poule... On se caresse un peu mais
visiblement, ils ont autre chose en tête. Quelqu'un toque, c'est le garde. Marc
lui dit :
— À toi l'honneur Atu.
Je le connais, c'est un grand
mec pas commode. Il se déshabille et va brandir son sexe sous le nez de
Coralie. En bonne chienne, soumise malgré ce que disent ses maîtres, elle le
lèche aussitôt. Dès que le sexe d’Atu est dressé, il l'enfonce dans sa bouche.
Il lui baise carrément la bouche, c'est obscène ! Mais qu'est-ce qui ne l'est
pas ici ? Ensuite il se retire, va de l'autre côté et s’enfonce dans la vulve
de la petite chienne qui pousse un cri, puis des gémissements. Et pas de
plaisir, je vous assure.
Il jouit en elle, puis repasse côté visage pour nettoyer sa bite dans la bouche de Coralie. Voilà...
Il revient vers nous en
remettant sa bite qui dodeline dans son pantalon. Marc ouvre une jolie boîte en
laque qui est à côté de lui. Il en sort plusieurs billets – des dollars, je
pense – en disant :
— Envoie-moi des hommes, ils
recevront 50 $ chacun et toi 10 $ de plus par personne.
Oh putain ! C'est beaucoup.
Qu'est-ce qu'il est généreux !! Je tendrais bien la main pour recevoir quelques
billets... Oui, mais qu'est ce que j'en ferais ? N'empêche, il est généreux.
Atu répond :
— C'est très généreux,
Monsieur.
Ah ! Qu'est-ce que je disais !
Il poursuit :
— Dites, pour le moment, il y
a des journaliers qui cueillent les fruits. Ils viennent de Birmanie. Vous
voulez qu'ils participent ?
— Super idée.
— Mais ils ne sont pas
spécialement propres Ils ont travaillé toute la journée dans les champs...
C'est Sophie qui répond :
— Parfait. La petite chienne
nettoiera leurs bites.
Ils rient tous les trois, moi
pas. Atu leur annonce :
— J'envoie les gardes deux par
deux, ensuite les journaliers.
— Parfait.
Deux gardes arrivent, ils
saluent le couple, puis "bouchent" la petite chienne des deux côtés.
Avec une bite dans la bouche, elle gémit moins. Tant mieux, c'était agaçant.
Sophie me dit :
— Lèche-moi...
Je me glisse aussitôt entre
ses cuisses. Elle les écarte bien, en mettant une jambe sur Marc. Je commence à
la lécher. Oh ! Qu'est-ce qu'elle mouille ! Ça lui plaît vraiment de tourmenter
sa petite chienne.
Le fait de lécher me fait
rater le spectacle, les gardes continuent d'arriver deux par deux, ils baisent
et ils sont payés, suivants... Au bout d'un moment, Sophie me dit :
— Arrête. Lèche Marc.
Je passe à côté, c'est très
différent, lécher une femme ou un homme ! Oui, vous êtes au courant, je m'en
doute. Chez une femme, tout est secret, humide, caché... Un homme, sa bite vous
bondit au nez et ses couilles sur la bouche. J'aime les deux, même si j'ai une
préférence. Le bout du sexe de Marc est également mouillé... Je crois que la
situation lui plaît beaucoup. Son sexe est imposant, sûr de lui, dominateur :
le sexe d'un homme riche. J'embrasse ses couilles, puis je lèche la hampe de
son membre. Il aime et me caresse la tête comme si j'étais une deuxième petite
chienne. Je dégage le gland en tirant sur la peau. Même là, il a une légère
odeur de savon, c'est agréable ! Pendant que je le suce, il embrasse Sophie sur
la bouche, les seins...
Évidemment, on ne peut pas
sucer une bite et voir le spectacle en même temps. Je l'entends... la petite
chienne pousse toujours des gémissements et des petits cris, quand elle n'a pas
la bouche pleine. Elle est très bruyante, cette petite bête. Ni Marc ni sa
compagne n'ont envie de jouir, normal, ils veulent profiter le spectacle
jusqu'au bout.
Je suis à nouveau entre eux
d'eux et je regarde un jeune homme enculer la petite chienne... il doit avoir
une bite énorme, à entendre ses gémissements.
Atu, le garde qui touche 10 $
sur chaque participant, annonce :
— C'était le dernier, je fais
venir les journaliers.
Marc répond :
— Oui, on a hâte de les voir.
Puis à moi :
— Sers-nous à boire.
Je remplis leurs verres. Un
petit groupe entre dans la pièce. Ils ont des vêtements sales et ils ne sont
pas appétissants. Il y a une douzaine d'hommes et une seule femme, mais
celle-là est très jolie ! Qu'est-ce qu'elle vient faire ici ? Atu répond à la
question que je n'ai pas posée :
— Cette jeune fille parle leur
langue.
Elle salue à l'indienne, les
mains jointes entre les seins, et dit :
— Je m'appelle Mya Tao et je
suis à votre service.
Sophie répond :
— Tu es très jolie, Mya Tao.
C'est vrai. Elle a une peau
ambrée, des grands yeux noirs, un petit nez, des lèvres pulpeuses... Elle
pourrait être une star à Bollywood ! Elle répond :
— Merci, Maîtresse. Les hommes
peuvent-ils commencer ?
— Oui.
Les journaliers ont de 18 à 78
ans, ils ont tous cueilli des fruits sous le soleil toute la journée, ainsi que
les jours précédents.
Comme à son habitude, Marc a
sorti une liasse de billets pour en donner aux hommes. Sophie lui demande :
— Si on donnait à ces hommes
une jeune fille plus appétissante ?
— Très bonne idée.
Je crie :
— Oh non ! Maîtresse !
— Oh, si Boy-ra ! Avec ou sans
fouet ?
— Sans, Maîtresse
— Alors, tu vas remplacer la
petite chienne qui a le poil tout collé. Mya Tao, tu veux bien la détacher et
la remplacer par celle-ci ?
— Certainement, Maîtresse.
Elle me fait signe de venir et
dit sèchement :
— Aide-moi !
Très jolie, mais pas sympa, la
fille. On lève la partie supérieure du pilori, la petite chienne se redresse en
gémissant, comme à son habitude. Elle se frotte le cou, puis les reins. On détache
ses chevilles et elle va vers ses maîtres en tremblant un peu sur ses pattes.
Sophie lui dit :
— Va vite te laver, tu es
dégoûtante.
Assez brutalement, Mya Tao
m'emprisonne dans le pilori. Elle me donne quelques claques sur les fesses en
disant :
— Quel cul elle a, cette
esclave !
Je l'aime pas du tout, cette
fille. Elle rejoint le couple sur le divan et je suppose qu'elle se déshabille.
La douzaine de journaliers se
déshabillent aussi et je me retrouve aussitôt avec une bite enfoncée dans le
cul ! Je crie comme la première petite chienne venue, jusqu'à ce qu'un autre me
mette son sexe dans la bouche. Faut pas que je panique ! Ils sont douze, ce
n'est pas le bout du monde pour Boy-ra. Pour dédramatiser la situation,
j'imagine... Un jour, ces lignes seront publiées et je dirai au lecteur « être
baisée par une douzaine d'hommes, ce n'est pas si dur, demandez à votre femme
ce qu'elle en pense quand il y a une réunion à son bureau, le vendredi soir ».
Ça me détend, imaginer ce genre de conneries.
— Aïïïee !
Un homme vient de m'enfoncer
une bite vraiment grosse dans le cul ! Les Journaliers sont ravis, ils gagnent
de l'argent et ils peuvent baiser une jolie fille avec un super cul... Ils
parlent, rient et me donnent des claques les fesses, avant de me prendre par
tous les trous ! Certains sont doués, ils me serrent les fesses jusque ce qu'il
faut en me baisant. Et, oui, à cause des drogues qu'ils nous donnent ici, je
jouis deux fois. Quand ils se sont tous vidés en moi, le garde Atu vient me
libérer de ma prison, tandis que Sophie me dit :
— Va prendre une douche, tu
pues.
Oh ! C'est curieux... Je sors
de la pièce et je vais d'abord dans les toilettes faire pipi et expulser tous
les liquides qui sont en moi. Le sperme que j'ai avalé, je le digérerai.
J'ai les pattes qui tremblent
comme la petite chienne. Cette position au pilori est vraiment pénible, alors
que je n'y suis resté qu'une heure au lieu de dix, quand c'est une punition !
Je prends une douche et je me lave soigneusement. Je reste un bon moment sous l'eau
tiède et je me nettoie à fond...
Quand je retourne dans la
pièce, Marc, Sophie et leur petite chienne ont disparu. Par contre, Mya Tao
parle avec les Thaïs. Mais qu'est-ce qu'elles font ici ? Je m'incline à 45 °.
L'une d'elles, disons Thaï 1, me lance :
— Va attendre les invités !
— Oui Mademoiselle.
Je veux juste retrouver ma vie
d'avant, avec mes parents, reprendre mes études...
À suivre
Bruce Morgan a
illustré les 5 tomes de "Mia sans dessous" et les 2 tomes de
"Samia, fille du voyage."
Nos livres sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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