18 - Scanner.
On se relève tous les deux et je lui demande :
— Vous me donnerez aussi une
bonne note ?
Il rit et répond :
— Je ne sais pas ! Demande le
mieux.
Oh ! Je réponds :
— J'ai adoré vous sucer,
Maître. S'il vous plaît, accordez une bonne note à votre servante.
Il me prend contre lui pour
m'embrasser sur la bouche, malgré ce que je viens de faire. Je deviens toute
molle et m'offre entièrement à lui.... Je n'aurais jamais imaginé rencontrer un
homme qui me plaît, ici. Quand nos bouches se séparent, il me dit :
— Tu auras une bonne note,
disons un 7.
Mon visage change. Il rit, le
vieux jardinier me dit :
— Il te taquine, tu as deux
10.
— C'est super gentil... Je
pourrai revenir ?
Le vieux répond :
— Pour moi ou pour Jiro ?
— Pour les deux, Monsieur.
Ils rient tous les deux...
Jiro me rassure :
— Tu suces très bien et puis
on s'amuse avec toi. Fais ce que te dit Mademoiselle Mitsuko et tu auras des
avantages. Rentre maintenant.
— Oui, merci beaucoup...
Je veux que Jiro m'aide à
m'évader. Je marche dans le sentier, vers la maison. Je sens que ma culotte est
un peu mouillée. Je repense à cette scène. D'une façon ou d'une autre, je suis
certaine que les gens de la maison ont tout vu. Et puis je me dis autre chose :
si Mitsuko m'a vu lécher Jiro, elle va le vouloir aussi. Il faut que je sois
cool, inodore, incolore.
J'arrive à la maison et j'ai
été suffisamment "éduquée" au château pour savoir ce que je dois
faire. Je toque doucement à la porte de la grande pièce, j'entre et je me mets
"aux ordres" à côté de la porte. Mitsuko et Mya-Tao discutent. Kouba
fait la sieste ou alors il est décédé, je ne sais pas. J'écoute ce que les
filles se disent :
— .... des poupées grandeur
nature, c'est une super idée...
— Oh, tu sais, ça existe déjà,
mais depuis peu de temps. Ils parlent de gynoïdes, mais c'est la même chose,
ils pourront acheter une "idol", moi, une garde du corps, toi ou une
servante comme Cécile... Cécile, viens ici !
Ouch ! Je rêvais ! Je
vais aussitôt me mettre à genoux, assise sur les talons devant elle, en disant
:
— Oui Mademoiselle ?
— Ta note ?
— Dix, Mademoiselle.
Pas de commentaires ! Par
contre, si j'avais eu une mauvaise note, je suis sûre qu’elle m’aurait punie.
Elle pose ses pieds nus sur mes cuisses et continue sa discussion.
— Demain, photos et scanner.
On commencera par elle, au cas où il y aurait un problème.
J'en ai marre de ne pas
savoir ! Bon, je serai sans doute punie, tant pis, je prends le risque. Je dis
:
— Mademoiselle, je voudrais
vous poser une question.
Les deux filles se regardent
et Mitsuko me répond :
— Ma parole, tu as mangé du
lion, toi !
— Pourquoi ne puis-je pas être
une servante seulement sur scène ?
— Tu veux changer de rôle avec
Mya-Tao, sports de combat, tirs ?
— .... Non, Mademoiselle.
— Voilà. Tu es une servante et
tu vas jouer ce rôle. Et puis, ce sera cool que tu serves les gens du show
bizness qui vont venir. Je trouve que l'uniforme de servante te va si bien...
Tu es humble, tu pleurniches et puis, tu as peur de tout... Tu veux t'évader
mais tu as peur qu'il y ait un piège. On va faire un test : il n'y a pas de
piège, si tu veux t'évader, vas-y... VAS-Y !!!
Je... je sais que ce n'est pas
vrai ! Elle veut me piéger et je me sens si mal prise que je finis par pleurer.
Mitsuko rit et dit :
— Tu vois bien que tu n’es
qu’une petite servante.
— Oui... sniiif...
Mademoiselle... snnniiiiffff...
— Va pleurer ailleurs. Tiens,
va demander à Fuyumi si elle n'a pas quelque chose à te faire faire. Ah ! oui,
rappelle-moi ce que tu es.
— Une servante, Mademoiselle.
Je me lève, m'incline et je me
dirige vers la porte, quand elle ajoute :
— Tu as eu raison de ne pas
essayer de t'évader. C'est impossible !
Rires des deux filles. Je vais
à la cuisine... La gouvernante Fuyumi est assise devant la table de cuisine.
Elle lit une revue en buvant une bière. Je m'incline en disant :
— Je viens me mettre à votre
service, Madame Fuyumi.
Elle continue à lire un
moment, puis elle lève la tête pour dire :
— Assieds-toi par terre.
Quand je suis assise, elle
pose ses pieds nus sur mes cuisses, exactement comme sa maîtresse tout à
l'heure. Elle me dit :
— Masse-moi les jambes et les
pieds.
Je fais ça pendant une bonne
demi-heure... Fuyumi somnole tandis que je masse la plante de ses pieds... On
toque, ce sont les trois servantes, qui entrent. L'une d'elles demande :
— On peut commencer à préparer
le repas, Madame ?
— Oui, allez-y.
L'ambiance est vraiment
détendue, ici. Au château, une servante n'aurait jamais osé parler d'une façon
aussi familière.
Quand Fuyumi s'est assez
relaxée, j'aide les filles à préparer le repas, après m'être lavé les mains. Le
soir, je sers le repas avec une autre servante. Mitsuko et Mya-Tao mangent avec
trois hommes et deux femmes. Personne ne fait attention à moi.
***
Le lendemain, je dois nettoyer
avec les autres servantes. Il faut que tout soit impeccable, sinon il y aura
des punitions. Je sers le repas de midi et, quand elle a fini de manger, Mya-Tao
me dit :
— Suis-moi.
On va dans une des pièces du
premier étage. Elle dit à l'homme qui se trouve là :
— Voilà la fille à scanner,
Monsieur.
— Bien. Déshabille-toi,
petite.
Mais je ne suis pas malade !
Je pose très délicatement la main sur le bras de Mya-Tao. Traduction : "Je
voudrais vous parler". Elle me regarde en disant :
— Quoi ?
— Je ne suis pas malade,
Mademoiselle.
— Je sais, on va faire une
poupée à ton image
— Comme lorsqu'on a été
transformées en Malaise ?
Elle hésite... puis se décide
:
— C'était expérimental, ils
l'ont interdit maintenant. Non, des poupées dans une matière qui ressemble à la
chair et à la peau. On va faire une poupée qu'on peut baiser et qui aura ton
odeur.
L'homme dit :
— Déshabille-toi et entre dans
le scanner.
— Je vais mesurer la
profondeur de ton vagin, lève-toi et pose les mains sur cette chaise.
La profondeur de mon vagin,
mon cul, oui ! Il veut juste me baiser. Normal, j'ai un trop beau cul. Il se
met derrière moi et me caresse en disant :
— Tu as un putain de beau
derrière, petite salope.
— Merci Monsieur.
Il caresse ma fente avec son
gland, puis s'enfonce en moi... Il baise pas mal...bien, même. Je me cambre
pour qu'il puisse vérifier la profondeur de mon vagin. Pour appeler un chat un
chat, je suis toujours une boy-ra (chaudière) et quand sa bite gonfle en moi et
qu'il jouit, je jouis aussi... Oui, c'est mécanique. Il se retire et il me
colle un kleenex sur la chatte en disant :
— Super cul et super
tempérament. Tu feras un malheur auprès des fans et ta poupée aussi. Regarde.
Il ouvre un deuxième cylindre
et je suis à l'intérieur... Les yeux fermés et sans cheveux ni poils. Je lui
dis :
— Vous êtes un magicien,
Monsieur.
Ça le fait rire. J'ai besoin
d'amis, d'alliés.... Il vérifie soigneusement si tout concorde. Je lui demande
:
— Vous allez en faire
plusieurs ?
— C'est pas tes affaires.
Remets ton uniforme pour te photographier en servante.
Quand je suis rhabillée, on va
dans la cuisine. Fuyumi est à sa place habituelle, assise à la grande table,
occupée à lire un magazine people en buvant une bière. Le technicien du scanner
a pris un appareil photo et il me dit :
— Récure le sol.
Du doigt, Fuyumi me montre du
matériel de nettoyage dans un coin. Je remplis un seau avec de l'eau et du
savon et à quatre pattes, je récure le sol avec une brosse dure. Franchement,
ça va intéresser qui, ce genre de photo ? Les suivantes ont toutes un rapport
avec le métier de bonniche : j'épluche des légumes, je fais la vaisselle, je
nettoie les carreaux. Quand c'est fait, le technicien demande à Fuyumi :
— Qu'est-ce qu'elles font de
plus, les bonnes ?
Elle boit un coup et répond :
— Les lits, la lessive,
nettoyer les chiottes...
— Pas assez glamour.
Fuyumi réfléchit puis ajoute :
— Elles me massent les
pieds...
— Ah oui bonne idée. Masse-lui
les pieds, petite.
Pfff... C'est pas ce que fait
une bonne, mais comme je suis prudente, je me mets à genoux. Elle pivote sur
son siège en disant :
— Commence par les embrasser.
Ses pieds nus sont posés sur
le sol, je me baisse pour les embrasser, tandis que l'autre prend des photos.
Ensuite, je m'assieds. Elle pose ses pieds sur mes cuisses, et je les masse en
passant fermement les pouces sur ses voûtes plantaires. Nouvelles photos, puis
le technicien dit :
— J'ai ce qu'il faut. Merci.
Fuyumi répond :
— Avec plaisir, Monsieur.
J'arrête de la masser, mais
j'ai aussitôt droit à un sec :
— Je t'ai dit d'arrêter ?
— Pardon Madame.
Je continue le massage...
tandis qu'elle me dit :
— Tu sais qu'on punit les
servantes, ici aussi.
— Pardon Madame, je pensais
que...
Elle relève sa jupe et écarte
les cuisses. Contrairement à nous, elle n'a pas de culotte. Elle me lance :
— Lèche !
— Oui Madame.
Fuyumi est une belle femme qui
doit avoir une trentaine d'années, mais elle n'est pas plus propre que les
clients du château. Son odeur est forte et il y a une ligne blanchâtre de
sécrétions entre les grandes lèvres et les cuisses, mais je veux lui plaire. Je
lèche son clito, tout en enfonçant deux doigts dans son vagin. Je suce ses
grandes lèvres, tout en la baisant avec mes doigts.
Elle me caresse la tête, preuve que mes gestes sont
appréciés.
Comme je l'ai déjà dit, j'ai éperdument besoin d'alliés... Pour m'évader ou
simplement pour ne pas être punie. Elle se tortille sur sa chaise, tandis que
je suce son clito. Pas trop fort, juste ce qu'il faut. Et bientôt, elle se
cambre et jouit sur mon visage... Je lèche encore un peu, jusqu'à ce qu'elle me
dise :
— C'était pas mal.
— Merci Madame.
Je me redresse et elle me fait remarquer :
— Tu sens ma chatte.
Ah oui, ça ne m'étonne pas. Des servantes toquent et entrent. Toutes les trois
s'inclinent. Fuyumi me dit :
— Lave-toi les mains...
Et le visage ? Je ne dis rien pour pas la vexer.
L'après-midi, grand nettoyage du salon et de la salle à manger. Fuyumi vérifie
tout et file même quelques coups de baguette en bambou sur nos fesses. La
reconnaissance de la chatte comblée, elle ne connaît pas !
Oh ! Mitsuko vient vérifier si tout est impeccable. Fuyumi lui dit :
— Les servantes ont transpiré, voulez-vous qu'elles prennent une douche et
changent d'uniforme ?
— Ce n'est pas nécessaire. Les bonnes servantes sentent toujours la
transpiration.
Si on pouvait prendre une douche tous les matins et changer plus souvent
d'uniforme, ça n'arriverait pas !
À 7 heures du soir, tout le personnel est sur le perron pour accueillir les
visiteurs. Après avoir attendu un moment, on entend le bruit des pales d'un
hélicoptère. Mitsuko et des gardes vont les accueillir. Le Prince arrive, il
est toujours aussi élégant dans un costume noir, chemise blanche ouverte. Il
est entouré de ses Thaïs fétiches et suivi d'un gros homme, un Occidental avec
une sale gueule, c'est le mot qui convient ! On se plie en deux à tour de rôle,
à leurs passages. Ils vont dans la grande pièce de réception.
Là, je me vois assise dans un divan... La poupée a mes cheveux, mes yeux et le
même uniforme. Thaï 1 me dit :
— Va t'asseoir à côté d'elle.
J'y vais aussitôt et je prends la même position. Le Prince, murmure :
— Beau travail.
À suivre
Bruce Morgan a
illustré les 5 tomes de "Mia sans dessous" et les 2 tomes de
"Samia, fille du voyage."
Nos livres sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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