19 - Deux fois moi.
Bel effort, Altesse ! Oui il
paraît que c'est comme ça qu'on appelle un Prince. Mya-Tao me dit :
— Reprend ton service, Cécile.
— Oui Mademoiselle.
Avec une autre servante, je
leur sers du champagne. Alors que je passe près de lui, le gros homme glisse sa
main sous ma jupe et remonte en force entre mes jambes. Je pousse un bête petit
cri, tandis qu'il dit :
— Moi, les femmes, je les
attrape par la chatte, même les servantes. Surtout quand elles ont un aussi
beau cul.
Thaï 1 répond :
— Elles sont là pour ça, cher
Monsieur Westraub.
Il me regarde en demandant :
— C'est vrai, tu es là pour
ça ?
— Oui Monsieur, je suis là
pour vous satisfaire.
Il retire sa main de ma chatte
et il me donne une bonne claque sur les fesses disant :
— On parlera de ça plus tard.
Oh ! que je l'aime pas et oh !
qu'il est moche !
Tout le monde boit du
champagne. Si je dois débarrasser, je finirai les verres et les bouteilles.
Sauf le verre de ce Westraub...
On entend un bruit de voiture,
Thaï 2 s’adresse à nous :
— Les servantes, allez
accueillir les autres invités.
On va vite sur le perron. Deux
voitures se sont garées devant la maison.
Six personnes en descendent, trois hommes et trois femmes. Je m'incline en disant :
— Bienvenue chez Mademoiselle
Mitsuko. Si vous voulez bien nous suivre...
Ces gens ne font absolument
pas attention à moi. Ils sont peut-être sourds... Une troisième voiture arrive
et il en sort plein de filles... Enfin, six quand même. Trois Occidentales, une
Black et deux Japonaises. Toutes jeunes et jolies... Pas vraiment des putes, je
dirais plutôt des starlettes. Elles rejoignent le groupe plus âgé et tout le
monde discute. Je récite à nouveau mon petit compliment et là, ils me suivent.
On entre dans la pièce de
réception et les gens plus âgés vont saluer le Prince, ses Thaïs et Monsieur
Westraub. Ensuite, les six jeunes femmes vont s'incliner devant lui. Tout le
monde s'installe. On est trois servantes pour faire le service. Une des jeunes
filles demande en murmurant :
— C'est normal, cette servante
qui reste assise ?
Le Prince qui a entendu lui
dit :
— Regarde-la bien.
— Euh... elle est parfaitement
immobile, mais...
Thaï 2 me fait un signe et je
vais m'asseoir à côté d'elle, exactement dans la même position. Il y a des
exclamations, des rires et surtout des compliments pour la similitude. Une des
jeunes femmes s’exclame :
— C'est extraordinaire !
Thaï 1 répond :
— Oui, nous en sommes contents.
Un signe de la main de Thaï 1
vers moi, je me lève et recommence à servir. Ils parlent de moi, enfin de ma
poupée et des projets... Je comprends qu'ils sont tous dans le milieu du
spectacle, Monsieur Weistraub étant manifestement le plus important. C'est lui
qui parle et qui rit le plus fort. Les six nouveaux venus sont dans la
cinquantaine pour les hommes, il y a deux femmes de 40 ans et une jeune Black
très jolie.
Les jeunes femmes sont aux
petits soins pour Monsieur Westraub, qu'elles appellent Mr W. Je crois que
leurs carrières dépendent de lui. Il me met la main aux fesses chaque fois que
je passe à sa portée. On dirait qu'il aimerait s'occuper de ma carrière.
J'en apprends un peu plus sur
mon avenir et celui de Mya-Tao. Dans un premier temps, on va faire des caméras
cachées. C'est un des hommes d'une cinquantaine d'années qui sera le
producteur. Il a l'air sympa... L'apéritif dure bien une demi-heure, jusqu'à ce
que Thaï 2 dise :
— Mes amis, si nous passions à
table ?
Tout le monde se lève, sauf
moi. « Moi » assise sur le canapé...
On va dans la grande salle à
manger. J'ai tout préparé avec deux autres servantes en fin d'après-midi. Il y
a deux grandes tables, une pour les gens importants et l'autre pour les jeunes
femmes et deux gardes du corps.
À la "petite" table,
les filles flirtent avec les gardes du corps, tandis qu'à la "grande"
table, on parle des projets pour le trio Mitsuko, Mya-Tao et Cécile... On
dirait que ça va vraiment se faire, après les caméras cachées.
Quand je la sers, la jolie
Black pose la main sur mes fesses en disant :
— Tu as un super cul pour une
Blanche.
— Merci, Mademoiselle.
Elle fait une pression sur mes
fesses.
Ils mangent.... Du caviar en
entrée, ensuite du faisan et comme dessert, des moelleux au chocolat avec de la
sauce anglaise et de la crème fraîche. Un vrai repas japonais. J'ai faim, je
salive en les regardant manger. Pourvu qu'on nous donne les restes. Dès que le
repas est fini, on repasse dans la pièce de réception. Oh ! Je suis toujours
assise dans le canapé mais nue. Je suis franchement belle.
Thaï 2 me dit :
— Va dehors pour te
déshabiller, ensuite reviens t'asseoir à côté d'elle.
Je vais dans le couloir
enlever mon uniforme, puis j'entre et je vais m'asseoir à côté de... moi, dans
la même position.
Ils parlent tous de
l’extraordinaire ressemblance et du merveilleux travail. Bon, je ne vais pas
devoir rester toute la soirée immobile... Les deux autres servantes servent des
alcools. Et, moi ? J'ai faim, j'ai soif et je dois faire pipi.
L'apéritif a pris du temps,
les dîners aussi... Je ne vais pas dire que le Prince est un ascète, mais il
mange peu, boit peu et se couche tôt. Donc, c'est quand même un ascète. Vers
minuit, le Prince murmure une longue phrase que je ne comprends pas.
Thaï 1 traduit :
— Chers amis, le Prince va se
retirer. Des chambres sont prêtes pour ceux qui veulent passer la nuit ici.
Faites comme chez vous et choisissez une demoiselle si vous le souhaitez, elles
sont offertes par mes amis Henry Westraub et Frank Forest.
Les invités le remercient et
lui souhaitent une bonne nuit. Il quitte la pièce avec ses Thaïs et Mitsuko. La
plupart des invités s'en vont. Il reste Mr W, Monsieur Frank, trois starlettes,
ma poupée et moi. Monsieur W pointe le doigt vers moi en disant à Frank :
— Je vais prendre celle-là, je
te laisse la Négresse, comme je sais que tu aimes ça.
Nègre et Négresse sont des
mots devenus tabous, mais lui s'en fout manifestement. Ou alors, provoquer,
c'est justement ce qui lui plaît. Je ne veux pas aller avec lui !! Une des
starlettes lui dit :
— Nous sommes ravies de passer
la nuit avec vous, Mr W.
Tu parles ! Tout le monde est
à sa botte ! Enfin, pas le Prince. Moi, qu'est-ce que je peux faire ? J'ai le
nom du Prince gravé sur les fesses ! Je suis toujours une esclave. On monte au
deuxième étage. Monsieur W souffle un peu, il pèse sûrement plus de
Arrivée dans la chambre, je
n'ai pas le temps d'admirer le mont Fuji éclairé par la lune, car il dit :
— À poil, les filles !
Elles se déshabillent, moi
aussi. Il crie :
— Qu'est-ce que tu fous,
connasse ?!
— Mais... euh... vous avez
dit...
— J'ai dit « à poil les filles
» ! Toi, tu es une servante !
— Oui, pardon, je...
— Ferme-la !
Quel fils de pute ! Non, ce
n'est pas gentil pour les putes. Les filles le déshabillent. Oh, mon Dieu,
qu'il est moche : gros, mou, adipeux ! Tout pendouille, ses pectoraux, son
ventre, ses couilles, ses cuisses... Il s'assied sur le lit, sa bite disparaît
sous son bide. Il me demande :
— Tu sais la seule chose qui
fait obéir les femmes ?
— ... Euh... non, Monsieur...
— Une bonne fessée ! Une bonne
tannée sur leurs gros culs. Qu'est-ce que tu en penses ?
— Moi, j'obéis et je...
— Nancy, sandale !
La starlette a l'habitude.
Elle va fouiller dans sa valise et en rapporte une vieille sandale en cuir. Il
me dit :
— C'est la sandale
qu'utilisait mon papa sur le cul de ma mère et de mes sœurs... Whisky !
Il y a une bouteille sur la
table devant, une des filles vient vite remplir un verre et lui donne. Il avale
une bonne lampée et poursuit :
— Ah mon cher papa, Dieu ait
son âme ! J'adorais le voir fesser les femmes de la maison et je te jure
qu'elles filaient droit !
À cette évocation, son sexe émerge
de sous son ventre. Il prend un des draps du lit pour se frotter les yeux et se
moucher ! Il poursuit :
— Oh oui, elles filaient
droit ! Mais ça ne l'empêchait même pas de les fesser plusieurs fois par
semaine... Surtout ma mère ! Parce que tu vois, mes sœurs savaient y faire et
elles s'arrangeaient pour la faire punir, moi aussi. Ah, ma mère en pleurs à
genoux dans un coin, les fesses écarlates !
Il se mouche à nouveau ! Il
est vraiment dingue, je suis à la merci d'un psychopathe ! Il poursuit :
— Comme tu vas travailler pour
moi, je vais te montrer ce qui t'arrivera, si tu n'obéis pas. Viens vite te
mettre sur les cuisses de papa.
Que puis-je faire d'autre
qu'obéir ? Je vais me coucher sur ses cuisses, toujours en uniforme. Il me
tapote les fesses en disant :
— Ma mère avait un cul qui
ressemble au tien... Meg !
Aussitôt, une starlette vient
relever ma jupe d'uniforme. Je me tortille un peu pour qu'elle y arrive et pour
que ce dingue ne s'énerve pas. Elle descend ma culotte jusqu'à la pliure des
genoux. Pourquoi faut-il que je tombe sur ce maniaque ? Qu'il retourne vite
chez sa mère où qu'elle soit !
Je me raidis sur ses cuisses,
tandis qu'il tapote mes fesses avec sa sandale, tout en continuant son délire :
— Tu sens comme la semelle est
douce ? Ce sont les fesses de ma mère, de mes sœurs et de quantités de filles
qui les ont rendues aussi douces... Tu aimes leur douceur ?
— Oui Monsieur !
PAF ! Il vient de frapper
violemment mon derrière, je pousse un cri ! Elle fait un mal de chien, sa
saloperie de sandale ! Il me dit :
— On continue, petite ?
— J'obéirai Monsieur,
— Je sais... mais tu obéiras
encore mieux si tu as peur que je m'occupe de ton gros derrière. Il va devenir
aussi rouge que le cul de maman.
PAF !
Une vingtaine de fois, il
frappe mes fesses, vite et fort ! Je crie à chaque coup... Mes fesses sont en
feu !
Enfin, il s'arrête et pose la
main sur mes fesses en disant :
— Tu ne crois pas que c'est la
bonne façon de traiter les femmes ?
En pleurant, je réponds :
— Ouiiii... Monsieur...
snniiiifff.
— Relève-toi et montre tes
fesses !
Je me lève les jambes
tremblantes. Il dit :
— Appareil !
Aussitôt, une starlette va
chercher un appareil photo et lui donne. Il me dit :
— Tourne la tête, que je voie
ton visage et ton cul en même temps.
Je tiens ma jupe relevée en
regardant dans sa direction. Il prend quelques photos, puis il me dit :
— Va passer la nuit avec
Frank.
— Euh... Oui monsieur... Mais
il est où ?
Il hurle :
— Qu'est-ce que j'en sais,
moi ! Renseigne-toi, idiote !
— Oui... Monsieur.
Très vite, je salue et je me
précipite vers la porte. Quand j'ai la main sur la poignée, il me dit :
— Reviens ici, la fille.
Oh non, au secours !! Je
retourne devant lui. Il me caresse la hanche en disant :
— Je t'aime bien.
Complètement dingue le mec !
Lâchement, je réponds :
— Moi aussi, je vous aime
bien, Monsieur, mais j'aime moins votre sandale.
Il rit ! Si, si, il rit... et
puis il me montre la porte du doigt. Je le salue et je pars. Ouf, il ne me
rappelle plus. Je pense que Monsieur Frank est dans l'autre belle chambre. Je
vais gratter à la porte et c'est la jolie Black qui vient m'ouvrir. En voyant
mes yeux rouges, elle murmure :
— La sandale ?
— Ouiiiiii....
Elle rit, avant de me dire :
— Il fait ça à toutes les
filles au début. Tu veux quoi ?
— Il... Il m'a dit d'aller
dans la chambre de Monsieur Frank.
— Il dort. Tu peux passer la
nuit dans cette chambre-ci... il y a un canapé.
— Merci Mademoiselle.
Je vais d'abord dans la salle
de bain, avant de me coucher sur le canapé. Ce n'est pas très confortable, mais
je suis loin de ce fou. Malgré mes fesses qui me brûlent, je m'endors
rapidement.
À suivre.
Merci à Bruce Morgan pour les super dessins.
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