30 - On remet ça.
La plupart des clients sont ravis d'avoir
participé à la caméra cachée d'une star internationale. Ils ont tous l'air
d'accord pour être dans les vidéos. Juana s'est assise et continue à parler
avec Mr W. Il lui annonce :
— Tu vas pouvoir
te changer.
C'est le moment
où, Nadia lui apporte une robe de rechange, exactement la même. Elle remercie
Mr W. Ils s'embrassent et se quittent. Juana dit à une de ses assistantes :
— Aide-moi à
enlever cette robe.
La fille bondit.
Yoake lui demande :
— On peut filmer ?
— Oui, bien sûr.
L’assistante lui
retire sa robe tachée. Juana apparaît nue, telle la Vénus de Botticelli, la
coquille en moins et nettement plus brune... Il n'y a plus un bruit dans la
salle de restaurant, tout le monde admire ses fesses, ses seins, son sexe tout
lisse. Elle enfile la robe propre et on l'applaudit. Miles la conduit à une
autre table... Elle déménage avec son équipe. Ensuite il vient nous dire :
— Vous continuez à
servir.
Il ajoute en me
regardant :
— Je veux des
serveuses souriantes.
Je lui fais un
grand sourire. Cette garce de Colombienne m'a mis une telle fessée que si un
papillon se posait sur mes fesses, je hurlerais. Les clients, ça leur plaît que
je continue de les servir, même les serveuses et Nadia me regardent, amusées.
Oui, ce sont mes fesses, pas les leurs.... La première fois que je vais
chercher quelque chose à la cuisine, le chef m’interpelle :
— Montre-nous tes
fesses !
Ne voulant surtout
pas d'embrouilles, je lève ma jupe et baisse ma culotte. Il y a des sifflements
d'admiration et des rires, mais quand même deux filles qui me plaignent. Nadia
me fait remarquer :
— C'est jamais
qu'une fessée.
— Oui... mais je
te jure que...
— Ce soir, c'est
mon tour.
Le chef lui
demande :
— On remet ça ce
soir ?
— Oui... il
paraît.
— On a hâte de
voir les images... Allez les filles, au boulot !
Je vois que Yoake
est assise à la table de Juana. Ils partent tous vers trois heures de
l'après-midi.
Nous, on reste
là.... J'espérais qu'on ait le droit d’aller faire un tour ou se reposer dans
une chambre, mais non, on aide à la cuisine, puis on nettoie le restaurant...
J'ai mal et je suis épuisée... Quand on a fini de ranger et de nettoyer, on
doit mettre les couverts. Les premiers clients arrivent. Je me demande qui va
être piégé ce soir....
Le restaurant se
remplit, il reste une table vide pour la fessée de Nadia... Monsieur Miles nous
dit :
— Attendez à la
cuisine.
Il nous suit et
ajoute :
— Pour que vous ne
soyez pas trop surprises, je vous préviens qu'on remet ça avec Juana Medelin.
Ça lui a beaucoup plu, donner cette fessée, et elle est d'accord pour le
refaire.
Eh ! C'est de la
triche, ça ! Mais qu'est-ce qui ne l'est pas ici ?! Nadia accueille la nouvelle
sans broncher. Pourtant, elle sait ce que c'est, une vraie fessée. Elle est
beaucoup plus dure que moi. Je reconnais des gens qui étaient là ce midi, les
autres vont être surpris. Une des serveuses me donne une claque sur les fesses
en demandant :
— Alors, tu dors ?
Aïe ! Elle m'a fait
mal, mes fesses sont hypersensibles. Je vais à la cuisine, chercher des
hors-d'œuvre pour une des tables. Là, j'entends Juana crier ! Ça a commencé...
Je vais vite dans la salle de restaurant porter les hors-d'œuvre et voir ce qui
se passe. Nadia a bien balancé la sauce sur la belle robe rouge et Juana l'a attrapée
par le poignet pour la coucher en travers de ses cuisses. Je vais vite demander
à la serveuse qui m'a donné une claque :
— Je peux regarder
? S'il vous plaît.
— Juste le temps
de la fessée.
— Merci
Mademoiselle.
Je sais que mes
fesses plaisent particulièrement, mais Nadia a également un super cul. Elle
crie fort tandis que la brosse à cheveux donne de belles couleurs rouges à ses
fesses. Je la plains... un peu, mais je suis fascinée par le spectacle. Tout se
passe comme pour moi. Quand elle a été bien fessée, Nadia remercie à genoux et
là, Yoake arrive avec ses techniciens. Applaudissements, rires des clients et
Juana, dans son grand rôle. Seul changement, elle ne discute pas avec Mr W.
mais trouve la surprise très amusante. Elle se change à nouveau dans la salle
du restaurant.
Ça me fait mal –
oui, aux seins – de constater à nouveau qu'elle a un très beau corps :
des seins lourds mais qui tiennent bien, un cul rebondi et des cuisses
fuselées, comme on dit. Ah, je sais, c'est en fait une poupée, une méchante
poupée ! Mais je me souviens qu'elle sentait fort la transpiration, donc c'est
une femme. On lui apporte une robe propre... les clients l'applaudissent. Elle
salue.
Une serveuse nous
dit :
— Remettez-vous au
travail, les filles.
On continue à
apporter des plats, servir des boissons, débarrasser. Je suis crevée, cette
soirée est interminable... De temps en temps, je touche mon nom que j'ai autour
du cou... Juana discute et flirte même avec Monsieur Miles. Enfin, à minuit,
Juana se lève, les gens qui l'accompagnent aussi. Elle dit à Monsieur Miles :
— Je prendrais
bien les filles...
— Bien sûr, avec
plaisir.
Ah mais non, je ne
veux pas, moi ! Je veux aller dans notre chambre, mettre de la crème Nivea sur
mes fesses et vite dormir sur le ventre ou sur le côté. Le seul problème, c'est
que je n'ai rien à dire. Elle lui dit :
— Pas besoin
qu'elles se changent.
Bon, on va y aller
en serveuse 1925. Les gens qui l'accompagnent prennent un taxi, tandis que nous,
c'est sa voiture de location. Elle lui dit :
— Je loge au Red
Dragoon.
— J'y ai logé une
fois, c'est vraiment un très bel hôtel.
Elle ne répond
pas, elle a l'air de somnoler... Il nous dit :
— Regardez les
filles, c'est l'hôtel.
Devant nous, un
très grand bâtiment apparaît, au milieu d'un jardin. Devant l'hôtel, il y a une
projection d'un dragon rouge de plusieurs mètres de haut. Monsieur Miles se
gare dans le parking... On sort. Juana lui donne une carte plastifiée, qui
permet de prendre un ascenseur filant à toute allure. Je regarde défiler les
étages, il s'arrête au 18e. Sur un palier, il ouvre une porte avec la carte et
on arrive dans sa chambre ou plutôt son appartement. Il y a une grande chambre
à coucher, une pièce de réception et surtout une grande terrasse.... Nadia, qui
ose tout, lui demande :
— On peut aller
voir la vue sur la terrasse ? S'il vous plaît, Mademoiselle...
— Ouais.
Elle n’a pas fait
vraiment attention à ce que Nadia lui a demandé parce qu'elle est dans les bras
de Miles... Elle a l'air chaude comme la braise, la Colombienne. Ils
s'embrassent passionnément...
On va vite sur la
terrasse pour admirer le centre de Tokyo by night. Il y a des néons partout et
certains doivent faire plusieurs mètres de haut. Dans une de ces rues, il y a
même des néons sexy de filles qui dansent.
N'osant pas rester
trop longtemps dehors, on revient dans la chambre pour tenir la chandelle parce
que Miles et Juana s'embrassent et se caressent. À tout prendre, j'aime mille
fois mieux tenir la chandelle que refaire connaissance avec sa brosse. Quand
ils se séparent, elle nous dit :
— Déshabillez-moi.
Juana n'ayant
qu'une robe sur elle, à deux, on arrive à la déshabiller ! On enlève tout,
chaussures comprises. Miles lui prend la main et la fait tourner sur elle même
en disant :
— Tu es la plus
belle femme du monde.
Il y va fort, mais il faut avouer qu'elle est très belle. Elle se couche sur le lit et elle me désigne du doigt en disant :
— Toi, prépare-moi. Je me couche entre ses cuisses et plonge la langue dans sa chatte. Pas besoin de la préparer : elle est plus mouillée que la mousson sous les tropiques.
Rapidement, elle me repousse et Miles prend ma place. Il se couche sur elle. Ils vont baiser dans la position du missionnaire ? Oui... ils s'embrassent tandis qu'elle relève les jambes et croise ses chevilles sur les reins de Miles. Il la baise en force, son cul va et vient, tandis que Juana bredouille des choses en espagnol... Il faut quelques minutes pour qu'elle jouisse en criant. Elle est méchante, mais belle et elle a un sacré tempérament... On l’entend jouir en s'exclamant :
— Je suis
fatiguée, je vais dormir... Je viendrai manger chez toi demain.
— Avec plaisir...
tu gardes les filles ?
Elle hésite, puis
répond :
— Non, je les ai
assez vues.
Nadia et moi, on
s'incline en lui souhaitant bonne nuit, puis on se colle à Miles pour sortir
très vite de cette chambre avant qu’elle ne change d'avis. Je lui dis :
— Elle est belle
mais... euh... spéciale.
Miles répond :
— Très spéciale !
Bon, Yoake n'a pas besoin de vous avant demain matin, je vous emmène chez moi.
Cool... Lui, il
est gentil. Il téléphone pour avoir un taxi. On sort de l'hôtel et on attend un
peu. Les clients ont l’air surpris de voir ce grand gaillard entre deux
soubrettes.
On monte dans le
taxi et on parle un peu avec lui... de la France et de la vie ici. La voiture
s'arrête à la périphérie du Centre, dans un quartier nettement moins glamour.
Les immeubles sont vétustes et il n'y a plus de grandes publicités lumineuses.
Dommage, j'aime bien les "traverser". On s'arrête devant un grand
immeuble assez glauque. Il y a un petit restaurant ainsi qu'un salon de massages
des pieds. Son restaurant est très classe, mais là, par contre, ça l'est
beaucoup moins.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.
Nos livres sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
Bravo pour ces superbes histoires...
RépondreSupprimerUn vrai talent pour raconter des histoires érotiques... et ce maid in Japan est en plus très dépaysant.
Bravo pour le travail de documentation !
Mon premier commentaire, tu es super gentil.... J'ai beaucoup travaillé pour le mettre ici en très peu de temps... Je t'envoie plein de bisous.... mia
RépondreSupprimerCoucou Mia, je te l'ai déjà dit, tes récits sont très biens, dignes d'une littérature érotique de qualité (et sans tabous) ! Je continue à les recommander !
RépondreSupprimerVivement la suite ! JM 😘💋🌻🍀
Merci Mia pour ce formidable récit ! Bisous
RépondreSupprimerMerci c'est très gentil... bisous, mia
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