Lizy - 3 Shrimati.
Je n’ai pas envie de le voir avec sa… son indigène. On va dans un coin discret du domaine et, entre deux baisers, je lui parle de mes problèmes. Il me dit :
— Tu sais, il y a beaucoup d’hommes qui ont une maîtresse indienne.
— Oui, mais ils n’obligent pas leur fille à l’appeler Mademoiselle et à lui faire une révérence. Surtout qu’elle ne doit avoir qu’un an de plus que moi, à tout casser.
Bon, lui veut des baisers et me caresser les seins… Pour le calmer, je prends son sexe en main et… je lui fais plaisir. Oh ! J’ai la main toute collante, c’est dégoûtant. Je vais la rincer dans l’étang… Il me remercie beaucoup pour… la branlette ! Quel nom ridicule. Il fait très chaud, je transpire et j’ai soif. On retourne auprès des invités. J’évite de m’approcher de mon ennemie mais, hélas, elle me voit et crie :
— Élisabeth, viens par là !
Eh ! On ne crie pas, ici, on n'est pas sur un marché indigène. Je vais voir ce qu’elle me veut. Elle me provoque tout de suite :
— Élisabeth, je vais te tirer les oreilles !
Quoi ? Elle est devenue folle ? Elle poursuit :
— Je te trouve très négligée. Tes cheveux sont gras, ta robe est tachée et tu dois te laver tous les jours. Tu as la même odeur qu’une servante.
Là, j’explose ! Je lui dis :
— La servante, c’est vous espèce de sale… moricaude !
Dès que cette insulte est sortie de ma bouche, je me mords la lèvre. Mon père s’est levé pour me prendre par une oreille. Je crie :
— Noooon Daddy… aaaaïeee !
Papa s’assied dans un fauteuil et il me fait basculer sur ses cuisses. Ensuite, il relève complètement ma jupe et je me retrouve les fesses nues devant tous les invités et les servantes. Je crie :
— Pardon ! je…
Je ne continue pas, parce que sa large main me donne une formidable série de claques sur les fesses.
CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC…
Je crie :
— AAAÏÏÏÏEEEE, NOOOONNN……
Les claques continuent à pleuvoir sur mon derrière ! Je crie, je supplie…
Il me donne une vingtaine de claques avant de s’arrêter. Il pose la main sur mes fesses brûlantes et demande à ses amis :
— Ça ne vous dérange pas que je la corrige devant vous ?
Plusieurs personnes répondent : « Non, pas du tout ! » et « Elle l’a bien mérité ».
Un de ses associés ajoute même :
— Au contraire, c’est un charmant spectacle, cher ami, et puis elle avait besoin d’une bonne leçon.
De quoi il se mêle et… et ça recommence :
CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC !
— AAAÏÏÏÏEEEE, pardon, je... AAAÏÏÏÏEEEE….
C’est reparti…. Quand il s’arrête, je ne peux pas m’empêcher de continuer de gémir sur ses genoux. La saleté de moricaude met de l’huile sur le feu :
— Donne-lui encore une bonne série de ma part, mais cette fois-ci, frappe le haut des cuisses, pour qu’elle se souvienne de la leçon.
Je vais engager un tueur pour la...
CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC !
— AAAÏÏÏÏEEEE… AAAÏÏÏÏEEEE… AAAÏÏÏÏEEEE… AAAÏÏÏÏEEEE…
Il s’arrête et pose à nouveau la main sur mes fesses en disant :
— Tu sais, ça me fait plus mal qu’à toi.
Ça fait rire les invités. Il se fout de moi en plus ! Il me remet sur mes pieds, je frotte mes fesses en pleurant. Shrimati me dit :
— Tu sais ce que j’attends.
— Je… je vous prie de m’excuser Mademoiselle… snniiif..
Je dois avoir les joues aussi rouges que mes fesses. Elle dit à une servante :
— Apporte un tabouret de la cuisine.
— Oui Mademoiselle.
La fille se dépêche et revient avec un petit tabouret. Du doigt, Shrimati lui fait signe de le déposer près d’elle, ensuite elle me dit :
— Assieds-toi là !
Je m’assieds en grimaçant le moins possible. Je suis le centre des regards d’une quarantaine de personnes, en comptant les servantes. Même Madame Streng est venue assister à la fessée. J’ai l’impression de rester des heures « au piquet » sur ce tabouret. En réalité ça doit faire un quart d’heure, avant que Shrimati me libère :
— C’est l’heure d’aller au lit pour les petites filles insolentes.
Je me lève et fais une révérence avant de m’en aller. J’entre dans la maison, Sabati m’y attend. Elle n’ose pas me regarder. Je lui dis :
— Va me chercher quelque chose à manger chez Madame Streng. Je vais dans ma chambre.
— Oui Maîtresse.
Je monte et... je me retiens de pleurer d’humiliation sur mon lit. Il faut que j’assume. C’est une moricaude, aucun doute là-dessus, mais j’ai eu tort de le dire en public. Je l’ai insultée, ce n’était pas une bonne idée. Voilà, je vais passer à autre chose. Sabati remonte avec une grosse portion de pudding et un plein bol de crème fraîche. La douleur dans les fesses ne m’empêche pas de manger… Je laisse une partie pour Sabati. Le sucre me fait du bien, pas aux fesses, mais au moral.
***
Quatre jours se passent. Je suis très polie et très prudente avec la méchante moricaude… et puis, je me lave tous les jours et je fais attention à mes vêtements. Le bal est pour demain et mon père m’a dit que le comte Woodhall souhaite m’être présenté. Il cherche une épouse jolie, intelligente et ambitieuse. C’est tout moi… bon, on oublie la fessée et la moricaude.
Ce matin, je vais assister aux punitions des servantes. Mes fesses ont toujours des marques rouges, mais j’aime toujours assister au spectacle du fouet qui claque sur leurs grosses fesses. Oui, on les nourrit bien, nos servantes !
Ensuite Sabati me lave, comme tous les jours. Dans la matinée, je passe par la cuisine. Deux filles sont à genoux, face à un mur, le sari relevé. Madame Streng m’explique :
— Il s’agit d’une nouvelle punition. C’est le pasteur qui m’en a parlé. Venez montrer vos genoux à Mademoiselle Élisabeth.
Les filles se lèvent et viennent me faire admirer leurs genoux. Ils sont rouges et incrustés de grains de maïs. Ils sont mignons leurs genoux, enfin c’est une façon de parler. Elles ont le visage rouge et on voit qu’elles ont pleuré. Têtes baissées, elles disent :
— Merci pour la punition, Madame Streng.
— J’espère que ça vous servira de leçon. Allez, au travail.
Je lui demande :
— Qu’est-ce qu’elles ont fait ?
Elle réfléchit puis répond :
— Franchement, je ne sais plus, mais c’est le Pasteur qui m’a parlé de cette punition et j’ai voulu l’essayer.
Elle rit, moi aussi. Je reste encore un moment dans la cuisine. En peu de temps, une servante se prend une bonne paire de gifles et une autre reçoit dix coups de baguette de bambou sur les paumes des mains pour avoir renversé… je ne sais plus quoi. Il y a des cris et des pleurs. J’aime cette façon de faire régner l’ordre. Ma petite servante vient se plier en deux devant moi en disant :
— Pardon de vous déranger, Maîtresse, mais Mademoiselle Shrimati voudrait que vous commenciez à vous apprêter. Et elle a dit « immédiatement ».
Je remercie Madame Streng pour le spectacle et je monte dans ma chambre avec elle. Je suis toute… mouillée. J’enlève ma robe et me couche nue sur mon lit, en lui disant :
— Sabati, je suis nerveuse et tu as peu de temps...
Elle sait ce qu’elle a à faire… Il faut dire qu’il m’arrive de la fouetter un peu et ça rend les indigènes spécialement aptes à comprendre les désirs de leurs Maîtres. Elle enlève son sari et vient se mettre à mes pieds, qu’elle embrasse. Il faut quand même avoir très peu de fierté ou très peur de fouet pour baiser et lécher des pieds moites et pas encore lavés… Je regarde sa petite langue rose se glisser entre mes orteils.
Bon, passons aux choses sérieuses, je nous recouvre avec le drap… Elle colle sa bouche à l’endroit le plus humide de mon anatomie. Je jouis rapidement en pensant aux genoux incrustés de grains de maïs. Je me redresse et je prends Sabati par la nuque pour l’embrasser sur la bouche, j’aime son odeur, enfin celle de ma chatte. J’aime l’idée qu’elle soit parfumée grâce à sa Maîtresse. Je lui dis :
— Va chercher de l’eau, on doit se dépêcher.
Elle va chercher un seau d’eau tiède… Avec un linge mouillé, elle me lave le cou, les aisselles, le sexe et les pieds. Ensuite elle me parfume avec des huiles à base de jasmin.
Puis, elle prépare tout pour me coiffer et me maquiller. Je vais me regarder dans un grand miroir. Je suis toujours surprise quand je me regarde nue. Soyons franche : tout le monde me trouve très belle, moi y compris.
Mes cheveux blonds ne sont pas encore coiffés, tant mieux, sinon je serais vraiment trop belle. Je plaisante, bien sûr… Je veux garder des souvenirs précis de mon entrée dans le monde, lors de ce premier bal… Je recommence : les cheveux blonds, le visage ovale, un petit nez, une bouche… voyons… ah oui, gourmande. Bon, je descends, les seins, plutôt en poire avec des tétons qui lèvent les yeux au ciel. Mon ventre est plat et mon sexe est recouvert d’une toison blonde et bouclée. Le nombril : lui, c’est juste un... nombril. Je me retourne et je jette un coup d’œil sur mon dos et mes fesses bien rondes, « tellement rondes que c’en est indécent » disait ma mère. J’aime l’idée d’avoir des fesses indécentes. Il reste mes jambes et mes pieds, que dire ? Ils me sont très utiles. J’ai vraiment la chance d’être jolie et je compte bien plaire rapidement à un homme riche et noble. Je mets riche en première position.
Sabati me dit :
— Comme vous êtes belle Maîtresse. Je peux vous coiffer ?
Elle a remonté un seau au tiers plein de braises. Sur une grille, il y a des bâtonnets d’un bois très dur. Je lui dis :
— Mets-toi toute nue.
Elle enlève son sari… Il lui faut du temps pour me faire une coiffure pour le bal, ça me distrait de voir son corps. Bon, c’est également une indigène, mais son corps est joli.
Elle prend un bâtonnet à bonne température et entortille une mèche autour de lui. Elle attend un peu puis le retire. Il reste la mèche en forme… de tire-bouchon. Elle me met aussi un diadème avec des petits diamants. Sa mère lui a appris à coiffer une Maîtresse blanche.
— Tu sais, il y a beaucoup d’hommes qui ont une maîtresse indienne.
— Oui, mais ils n’obligent pas leur fille à l’appeler Mademoiselle et à lui faire une révérence. Surtout qu’elle ne doit avoir qu’un an de plus que moi, à tout casser.
Bon, lui veut des baisers et me caresser les seins… Pour le calmer, je prends son sexe en main et… je lui fais plaisir. Oh ! J’ai la main toute collante, c’est dégoûtant. Je vais la rincer dans l’étang… Il me remercie beaucoup pour… la branlette ! Quel nom ridicule. Il fait très chaud, je transpire et j’ai soif. On retourne auprès des invités. J’évite de m’approcher de mon ennemie mais, hélas, elle me voit et crie :
— Élisabeth, viens par là !
Eh ! On ne crie pas, ici, on n'est pas sur un marché indigène. Je vais voir ce qu’elle me veut. Elle me provoque tout de suite :
— Élisabeth, je vais te tirer les oreilles !
Quoi ? Elle est devenue folle ? Elle poursuit :
— Je te trouve très négligée. Tes cheveux sont gras, ta robe est tachée et tu dois te laver tous les jours. Tu as la même odeur qu’une servante.
Là, j’explose ! Je lui dis :
— La servante, c’est vous espèce de sale… moricaude !
Dès que cette insulte est sortie de ma bouche, je me mords la lèvre. Mon père s’est levé pour me prendre par une oreille. Je crie :
— Noooon Daddy… aaaaïeee !
Papa s’assied dans un fauteuil et il me fait basculer sur ses cuisses. Ensuite, il relève complètement ma jupe et je me retrouve les fesses nues devant tous les invités et les servantes. Je crie :
— Pardon ! je…
Je ne continue pas, parce que sa large main me donne une formidable série de claques sur les fesses.
CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC…
Je crie :
— AAAÏÏÏÏEEEE, NOOOONNN……
Les claques continuent à pleuvoir sur mon derrière ! Je crie, je supplie…
Il me donne une vingtaine de claques avant de s’arrêter. Il pose la main sur mes fesses brûlantes et demande à ses amis :
— Ça ne vous dérange pas que je la corrige devant vous ?
Plusieurs personnes répondent : « Non, pas du tout ! » et « Elle l’a bien mérité ».
Un de ses associés ajoute même :
— Au contraire, c’est un charmant spectacle, cher ami, et puis elle avait besoin d’une bonne leçon.
De quoi il se mêle et… et ça recommence :
CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC !
— AAAÏÏÏÏEEEE, pardon, je... AAAÏÏÏÏEEEE….
C’est reparti…. Quand il s’arrête, je ne peux pas m’empêcher de continuer de gémir sur ses genoux. La saleté de moricaude met de l’huile sur le feu :
— Donne-lui encore une bonne série de ma part, mais cette fois-ci, frappe le haut des cuisses, pour qu’elle se souvienne de la leçon.
Je vais engager un tueur pour la...
CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC !
— AAAÏÏÏÏEEEE… AAAÏÏÏÏEEEE… AAAÏÏÏÏEEEE… AAAÏÏÏÏEEEE…
Il s’arrête et pose à nouveau la main sur mes fesses en disant :
— Tu sais, ça me fait plus mal qu’à toi.
Ça fait rire les invités. Il se fout de moi en plus ! Il me remet sur mes pieds, je frotte mes fesses en pleurant. Shrimati me dit :
— Tu sais ce que j’attends.
— Je… je vous prie de m’excuser Mademoiselle… snniiif..
Je dois avoir les joues aussi rouges que mes fesses. Elle dit à une servante :
— Apporte un tabouret de la cuisine.
— Oui Mademoiselle.
La fille se dépêche et revient avec un petit tabouret. Du doigt, Shrimati lui fait signe de le déposer près d’elle, ensuite elle me dit :
— Assieds-toi là !
Je m’assieds en grimaçant le moins possible. Je suis le centre des regards d’une quarantaine de personnes, en comptant les servantes. Même Madame Streng est venue assister à la fessée. J’ai l’impression de rester des heures « au piquet » sur ce tabouret. En réalité ça doit faire un quart d’heure, avant que Shrimati me libère :
— C’est l’heure d’aller au lit pour les petites filles insolentes.
Je me lève et fais une révérence avant de m’en aller. J’entre dans la maison, Sabati m’y attend. Elle n’ose pas me regarder. Je lui dis :
— Va me chercher quelque chose à manger chez Madame Streng. Je vais dans ma chambre.
— Oui Maîtresse.
Je monte et... je me retiens de pleurer d’humiliation sur mon lit. Il faut que j’assume. C’est une moricaude, aucun doute là-dessus, mais j’ai eu tort de le dire en public. Je l’ai insultée, ce n’était pas une bonne idée. Voilà, je vais passer à autre chose. Sabati remonte avec une grosse portion de pudding et un plein bol de crème fraîche. La douleur dans les fesses ne m’empêche pas de manger… Je laisse une partie pour Sabati. Le sucre me fait du bien, pas aux fesses, mais au moral.
***
Quatre jours se passent. Je suis très polie et très prudente avec la méchante moricaude… et puis, je me lave tous les jours et je fais attention à mes vêtements. Le bal est pour demain et mon père m’a dit que le comte Woodhall souhaite m’être présenté. Il cherche une épouse jolie, intelligente et ambitieuse. C’est tout moi… bon, on oublie la fessée et la moricaude.
Ce matin, je vais assister aux punitions des servantes. Mes fesses ont toujours des marques rouges, mais j’aime toujours assister au spectacle du fouet qui claque sur leurs grosses fesses. Oui, on les nourrit bien, nos servantes !
Ensuite Sabati me lave, comme tous les jours. Dans la matinée, je passe par la cuisine. Deux filles sont à genoux, face à un mur, le sari relevé. Madame Streng m’explique :
— Il s’agit d’une nouvelle punition. C’est le pasteur qui m’en a parlé. Venez montrer vos genoux à Mademoiselle Élisabeth.
Les filles se lèvent et viennent me faire admirer leurs genoux. Ils sont rouges et incrustés de grains de maïs. Ils sont mignons leurs genoux, enfin c’est une façon de parler. Elles ont le visage rouge et on voit qu’elles ont pleuré. Têtes baissées, elles disent :
— Merci pour la punition, Madame Streng.
— J’espère que ça vous servira de leçon. Allez, au travail.
Je lui demande :
— Qu’est-ce qu’elles ont fait ?
Elle réfléchit puis répond :
— Franchement, je ne sais plus, mais c’est le Pasteur qui m’a parlé de cette punition et j’ai voulu l’essayer.
Elle rit, moi aussi. Je reste encore un moment dans la cuisine. En peu de temps, une servante se prend une bonne paire de gifles et une autre reçoit dix coups de baguette de bambou sur les paumes des mains pour avoir renversé… je ne sais plus quoi. Il y a des cris et des pleurs. J’aime cette façon de faire régner l’ordre. Ma petite servante vient se plier en deux devant moi en disant :
— Pardon de vous déranger, Maîtresse, mais Mademoiselle Shrimati voudrait que vous commenciez à vous apprêter. Et elle a dit « immédiatement ».
Je remercie Madame Streng pour le spectacle et je monte dans ma chambre avec elle. Je suis toute… mouillée. J’enlève ma robe et me couche nue sur mon lit, en lui disant :
— Sabati, je suis nerveuse et tu as peu de temps...
Elle sait ce qu’elle a à faire… Il faut dire qu’il m’arrive de la fouetter un peu et ça rend les indigènes spécialement aptes à comprendre les désirs de leurs Maîtres. Elle enlève son sari et vient se mettre à mes pieds, qu’elle embrasse. Il faut quand même avoir très peu de fierté ou très peur de fouet pour baiser et lécher des pieds moites et pas encore lavés… Je regarde sa petite langue rose se glisser entre mes orteils.
Bon, passons aux choses sérieuses, je nous recouvre avec le drap… Elle colle sa bouche à l’endroit le plus humide de mon anatomie. Je jouis rapidement en pensant aux genoux incrustés de grains de maïs. Je me redresse et je prends Sabati par la nuque pour l’embrasser sur la bouche, j’aime son odeur, enfin celle de ma chatte. J’aime l’idée qu’elle soit parfumée grâce à sa Maîtresse. Je lui dis :
— Va chercher de l’eau, on doit se dépêcher.
Elle va chercher un seau d’eau tiède… Avec un linge mouillé, elle me lave le cou, les aisselles, le sexe et les pieds. Ensuite elle me parfume avec des huiles à base de jasmin.
Puis, elle prépare tout pour me coiffer et me maquiller. Je vais me regarder dans un grand miroir. Je suis toujours surprise quand je me regarde nue. Soyons franche : tout le monde me trouve très belle, moi y compris.
Mes cheveux blonds ne sont pas encore coiffés, tant mieux, sinon je serais vraiment trop belle. Je plaisante, bien sûr… Je veux garder des souvenirs précis de mon entrée dans le monde, lors de ce premier bal… Je recommence : les cheveux blonds, le visage ovale, un petit nez, une bouche… voyons… ah oui, gourmande. Bon, je descends, les seins, plutôt en poire avec des tétons qui lèvent les yeux au ciel. Mon ventre est plat et mon sexe est recouvert d’une toison blonde et bouclée. Le nombril : lui, c’est juste un... nombril. Je me retourne et je jette un coup d’œil sur mon dos et mes fesses bien rondes, « tellement rondes que c’en est indécent » disait ma mère. J’aime l’idée d’avoir des fesses indécentes. Il reste mes jambes et mes pieds, que dire ? Ils me sont très utiles. J’ai vraiment la chance d’être jolie et je compte bien plaire rapidement à un homme riche et noble. Je mets riche en première position.
Sabati me dit :
— Comme vous êtes belle Maîtresse. Je peux vous coiffer ?
Elle a remonté un seau au tiers plein de braises. Sur une grille, il y a des bâtonnets d’un bois très dur. Je lui dis :
— Mets-toi toute nue.
Elle enlève son sari… Il lui faut du temps pour me faire une coiffure pour le bal, ça me distrait de voir son corps. Bon, c’est également une indigène, mais son corps est joli.
Elle prend un bâtonnet à bonne température et entortille une mèche autour de lui. Elle attend un peu puis le retire. Il reste la mèche en forme… de tire-bouchon. Elle me met aussi un diadème avec des petits diamants. Sa mère lui a appris à coiffer une Maîtresse blanche.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin.
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