Lizy - 5 Nuit de noces.
Dans la chambre, il y a deux soldats anglais d’une trentaine d’années, assis sur le canapé. Mon mari me présente en toute désinvolture :
— Voici la petite putain dont je vous ai parlé.
Puis à moi :
— Tes premiers clients en Inde, petite.
Ah non, mes premiers hommes tout court. Ces hommes sont de simples soldats, pas des officiers, comme j’ai l’habitude d’en voir chez mon père. Ils me font un grand sourire… Oh ! Il leur manque des dents. Le plus grand se lève et m’embrasse. Quand il ressort sa langue de ma bouche, c’est pour caresser mes fesses, en disant :
— Tu es très mignonne, petite putain.
Il a un fort accent qu’on appelle « cockney », je crois ce sont des hommes « du peuple ». Il ajoute :
— Je m’appelle Stephen et mon copain Tim. Et toi ?
— Euh… Je m’appelle Lizy, Monsieur Stephen, et je… je n’ai pas beaucoup d’expérience.
Il remet sa main sur mes fesses et répond :
— Nous, on en a… Si on avait reçu un shilling chaque fois qu’on a baisé une pute, on serait riches, hein Tim ?
— Ça oui… On s’est vidé les couilles dans tous les bordels qu’on a croisés. Bon, passons aux choses sérieuses, enlève ta robe.
Quand je suis nue, ils sifflent tous les deux. Et ils y vont aussi de quelques commentaires pas très distingués. Tim me dit :
— Ils sont super tes nichons, je vais te téter comme un bébé affamé…
Quant à Stephen :
— Putain, ce cul ! On peut l’enculer Reginald ?
Qui c’est, celui-là ? Ah, c’est le nom qu’a choisi mon mari pour me prostituer... "John-Reginald" répond :
— Pas ce soir, les gars… mais baisez-la, car elle est un peu étroite.
Les soldats ont les yeux qui brillent, comme moi quand je regarde ma bague avec le gros diamant. J’ai mis les boucles d’oreilles dans mon petit sac. John, alias Reginald, me dit :
— Il y a une bouteille de whisky et des verres, sers-nous à boire… Lizy.
Putain ! C’est le mot… je suis Comtesse, jeune mariée et je sers à boire à des soldats toute nue dans une chambre d’hôtel ! Je remplis les verres et je les mets sur un plateau. Avant de les servir, je m’incline devant les deux soldats et John. Ils prennent chacun un verre. Putain et servante ! John lève son verre en disant :
— À la santé de nos femmes, de nos chevaux et de ceux qui les montent.
Stephen ajoute :
— Et à la santé des putains… surtout celles qui ont un aussi beau cul que Lizy.
Ils me regardent tous les trois en souriant. John me dit :
— Nous buvons à ta santé, tu peux aussi te servir un demi-verre.
— Merci Monsieur.
Oh oui, il me faut de l’alcool. Je remplis à moitié un verre et je bois. Ouch ! C’est du feu liquide, ça me brûle la gorge. Je crache et je tousse. Ça fait rire les deux hommes. Stephen me dit :
— J’adore te voir tousser. Tes seins et tes fesses se balancent trop bien. Je bande… regarde, petite.
Il baisse sa culotte pour me montrer un sexe aussi gros que celui de mon père. Ensuite, il y va franchement :
— Suce-moi.
Je dois réellement sucer son sexe ?? C’est dégoûtant ! Des garçons m’avaient parlé de ça, mais je croyais que ce n'étaient que des inventions. Je sais qu’on lèche le sexe des femmes… mais c’est une esclave qui le fait. Oui, mon père aussi, c’est vrai. D’accord, je suis une vraie oie blanche, mais sucer un sexe d’homme, ça me….
— Aïe !
Ça, c'est à cause du soldat qui s’impatiente. Il me prend par la nuque et me colle le visage contre son sexe dressé et ses couilles… Il sent fort la transpiration et… le poisson ! John vient à mon secours :
— Elle débute...
Après avoir relevé ma tête, Stephen me regarde dans les yeux en disant :
— Je t’explique : une putain, ça suce. Alors tu vas gentiment tirer sur mon prépuce pour dégager le gland et je veux voir ta langue le lécher, puis l’enfoncer entièrement dans ta bouche. Tu comprends tous ces mots, petite fille ? Fais-le, sinon on va te punir.
J’ai les larmes aux yeux… Il prend ma main et m’aide à tirer sur la peau qui recouvre son sexe. Oh ! Là, ça sent le fauve… et… le pipi. Je lèche timidement ce gland rouge qui sent très fort. Il l’enfonce entièrement dans ma bouche puis, en me prenant par le cou, il fait aller et venir ma tête sur son sexe.
Tim y va de son commentaire :
— Ou cette petite joue admirablement la comédie ou c’est la première fois qu'elle suce une bite… En tout cas, c’est très excitant.
En disant ça, il vient se mettre derrière moi pour me caresser les fesses et le sexe…
Stephen a lâché ma nuque, mais, je n'ose pas arrêter mon mouvement… Il gémit en me caressant la tête. Je pense à deux choses... La première est très agréable : je suis Comtesse. La seconde nettement moins : je suce le sexe d’un homme et c’est avec ça qu’il pisse.
John lui dit :
— Ne jouis pas, il faut la baiser, elle est trop étroite.
Tu parles, je suis vierge ! Ce n’est plus le cas de ma bouche...
Tim vient s’asseoir à côté de son ami, la culotte sur les talons et le sexe qui pointe vers mon visage. Il me dit :
— Commence par m’embrasser les couilles.
Ne parvenant pas à me décider, John me dit à l’oreille :
— Fais-le, Comtesse, et ce soir tu auras un diamant de 10 carats au doigt.
Il a les mots qu’il faut... J’embrasse les couilles du gars et je les lèche. Le goût est salé et dégoûtant, mais je pense au diamant. Je tire sur la peau pour dégager le gland et je le lèche.
Ils ont l’air tous les deux très excités par mon manque total d’expérience. Stephen me dit :
— Arrête, sinon je vais tout lâcher dans ta bouche. On va s’occuper de ta petite chatte.
Dans ma bouche ? Quelle horreur ! John me donne un verre qui contient un liquide rougeâtre en disant :
— Bois ça, c’est du sherry et une potion pour ne pas être enceinte.
C’est peut-être du poison… Je bois, c’est meilleur que le whisky. Les deux gars discutent pour savoir celui qui va me baiser le premier. Ils finissent par me jouer à pile ou face. Tim lance une pièce en l’air… Face, c'est lui. Il me dit :
— J’ai gagné ton cul, ma belle. Mets-toi à quatre pattes sur le lit.
Je crois qu’il devait y avoir autre chose qu’une potion et du sherry, parce que je plane… Je me mets à quatre pattes, donc dans une position particulièrement inconvenante. Il embrasse mes fesses puis ma chatte à pleine bouche... Oh ! On dirait Sabati… Les clients de prostituées leur font ça ? Là, je deviens un peu émue. Je remue les fesses sous sa bouche et sa langue. Il dit :
— Elle est chaude comme la braise, cette petite putain.
Ça les fait rire. Il se met à genoux derrière moi et je sens son… gland contre ma chatte mouillée, puis il me prend par les hanches, donne un bon coup de reins et… me voilà dépucelée. La douleur est supportable… Peut-être parce que j’ai dit plusieurs fois à Sabati d’y mettre un doigt… ou même deux.
Là, c’est très différent, il s'agit d'un gros cylindre de chair dure et chaude qui me pénètre jusqu’au fond. J’entends même ses couilles claquer sur mes cuisses. J’ai la nuit de noces la plus folle depuis l’invention des nuits de noces. Je ne sais pas quel mécanisme se met en marche, mais je commence à y prendre du plaisir… Tim me dit :
— Tu aimes ça, hein petite putain ?
— Oui Monsieur.
— Allez, bouge ton cul.
Je remue comme il dit… et je ressens les mêmes sensations que lorsque Sabati me lèche… Mon vagin se serre, amplifiant encore les sensations. Tim crie :
— Je vais jouir… Aaahhh, ouiii, tiens, tiens et tiens…
Je jouis aussi, mais un peu plus sobrement. Stephen apprécie :
— Super ta petite putain, Reginald.
Tim sort de moi et dit à son copain :
— Tu vas connaître mes pensées...
— Bah, entre amis...
Il prend aussitôt la place toute chaude laissée par son copain. Il se met derrière moi et enfonce son sexe dans mon vagin, sans plus de cérémonie. Oui, c’est sans doute comme ça que les hommes traitent les putains. J’ai l’impression que son sexe est nettement plus gros que celui de son copain ou alors mon vagin est resté serré. Il me baise à toute allure, en serrant mes hanches entre ses grandes mains… Et… ça repart, les sensations reviennent rapidement. Je me cambre pour le sentir en moi le plus loin possible… Il me « besogne » encore un moment puis se met à gémir... Moi aussi… Il jouit et je l'accompagne…
Après être sorti de mon vagin, il me sonne une claque sur les fesses en disant :
— Super, petite putain.
— Merci Monsieur.
Là, c’est mon mari qui intervient :
— À mon tour.
Stephen lui fait remarquer :
— Tu vas nager dans sa chatte.
— Je vais enlever le trop-plein.
John-Reginald se met derrière moi et… il suce mon vagin. Je le crois pas : il boit le mélange des semences des deux autres. Tim lui dit :
— À ta santé Reginald.
Les deux hommes rigolent. Mon mari s’en fout : quand il a bien nettoyé mon vagin, il se redresse et enfonce en moi un sexe qui me semble tout petit, je le sens à peine. Il dit aux deux autres :
— Dix shillings chacun si je peux vous sucer en même temps, les gars.
Les gars n’hésitent pas une seconde. À tour de rôle, ils viennent se mettre debout à califourchon sur moi pour que mon mari puisse les sucer. Est-ce bien normal ? Les nuits de noces, on est toujours quatre ? Je connais quelqu’un à qui ça plaît : le prétendu Reginald, car pendant qu’il les suce, je sens son sexe grandir en moi et pour finir, il retire une bite de sa bouche pour crier :
— Ah ouiii, je jouiiiis !!!
Bon, ça, c’est fait. Mon époux va dans sa veste et donne une pièce d’argent à chacun des gars. À moi, il tend un verre de son liquide spécial. Tant mieux, j’ai envie de planer.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin.
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Бедняжка Лизи! Что ждёт тебя?
RépondreSupprimerСпасибо за добрые комментарии, я могу их прочитать благодаря гуглу ... целую миа
SupprimerSpasibo za dobryye kommentarii, ya mogu ikh prochitat' blagodarya google ... tseluyu mia