Lizy - 6 Jeune mariée ou putain ?

 Mon mari donne des pièces d’argent aux deux soldats. Tim me dit :
— Tu as aussi droit à une récompense, petite.
Il sort une petite pièce en cuivre d’une poche de sa culotte et me la montre. Je tends la main. Il y pose la pièce en disant :
— C’est pour toi, tu l’as bien mérité.
Il est sérieux, là ? Ah non, parce qu’ils se mettent à rire. Trop comique. Je lui rétorque :
— Merci beaucoup, je m’achèterai une banane de votre part.
Ils rient avec moi, maintenant. N’empêche, pourquoi je n’ai pas droit à une pièce en argent ? C’est vrai qu’avec cette petite pièce je pourrais juste acheter un fruit. Mais moi, j’ai des bijoux avec des diamants. La boisson que mon mari m’a donnée continue à me faire de l’effet. Je trouve l’aventure amusante… D’accord, j’ai vaguement conscience qu’une fois revenue à mon état normal, ce ne sera peut-être plus le cas.
Mon mari m'a fait dépuceler, donc c’est fini ? Non, on toque à la porte de la chambre. Tim ouvre et ce ne sont pas des clients qui entrent, mais une jolie Indienne suivie d’un homme âgé qui tient un instrument de musique. Ils s’inclinent tous les deux. John nous dit :
— On va faire une petite pause musicale avant de se quitter et puis la petite putain doit aussi être capable de satisfaire une cliente.
Oh ?!? Mais je n’ai pas un membre, moi… Oui, je sais qu’il y a d’autres façons de faire jouir une femme. L’instrument de musique de l’homme est une cithare. Il commence à jouer et la femme se met à chanter et à danser. C’est très joli et elle a une très belle voix. Je dois servir du whisky aux hommes. Après quelques chansons, la femme se déshabille pendant que l’homme âgé continue de jouer. Elle est belle et bien faite. Comme beaucoup d’Indiennes, elle a des poils très noirs sous les bras et sur le bas-ventre. Elle se couche sur un des lits, complètement nue, puis siffle entre ses dents. Je vois qu'elle me désigne ses pieds du doigt. Tim me dit :
— Commence par embrasser ses pieds.
Quoi ? Ses pieds, mais… Les trois hommes me regardent… Oh, après tout, des pieds, c’est pas si sale que ça. Je me mets à genoux et j’embrasse ses orteils qui ont une odeur assez forte. Qu’est-ce qu’on fait faire à cette pauvre Lizy ! Heureusement qu’elle plane grâce à la boisson magique et puis elle pense à son futur château... L’Indienne écarte les jambes et elle me dit :
— Remonte jusqu’à mon yoni et lèche-moi, petite putain.

Lécher son yoni ? Non mais, ça va pas ? Je regarde mon mari… Oh et puis  Sabati me le fait presque tous les jours et mon père aussi, de temps en temps... Et puis je me sens bien. J’embrasse la forêt de poils qui recouvrent son yoni. L'odeur est très différente, plus "animale". C’est une odeur un peu déroutante mais excitante… Mon mari me dit :
— Ne fais pas attendre une cliente, Lizy. Pense à ton cadeau.
Oui… je mets ma bouche et mon nez dans ses poils. Avec les deux mains, elle écarte bien ses lèvres et je fais ce que Sabati me fait docilement tous les matins : je lèche une chatte pas lavée. Je sais ce qui me plaît quand elle le fait, donc je me concentre sur le clitoris. La chanteuse caresse le haut de mon dos avec son pied… Elle dit des choses en hindi… Oh ! on touche mes fesses et la musique a cessé… Le vieux musicien s’est mis derrière moi et son sexe dressé vient se frotter à mon yoni à moi ! Il me pénètre. Ooohhh… C’est la folie… Je continue à lécher, tandis que je me fais… baiser… par un vieil Indien.



L’Indienne mouille bien mon visage… ce qui m’excite, c’est de penser que je mouille le visage de Sabati de la même façon… Je jouis la première… C’est la boisson de John. L’Indienne jouit aussi en collant bien mon visage contre sa chatte. Enfin, le musicien éjacule en moi…
Voilà… C’est fou. Mon mari me donne encore un verre de liquide rouge, je le remercie et je bois d’un trait. Je me sens bien… Tim dit :
— On doit y aller. Lizy, mets-toi à genoux et embrasse-nous pour dire au revoir.
Il est fou ! Comment veut-il que je l’embrasse si je me mets à genoux ? Ah, oui il sort son sexe de sa culotte et c'est ça que je dois embrasser. Ensuite c’est au tour du sexe de son copain et du vieux musicien. La chanteuse, qui s'était rhabillée entre-temps, me tourne le dos et relève son sari. J’embrasse son cul... Ils rient une dernière fois et s’en vont. John pisse dans un pot de chambre, avant de me le tendre. Pour la première fois, je fais pipi devant quelqu’un... Je veux dire, à part Sabati. Couché sur un lit, mon mari me dit :
— Tu as bien mérité ces bijoux, Lizy.
— Merci Monsieur. 
Je souris et je m’endors.
***
Le lendemain matin, au réveil… J’ai un peu mal à la tête. Mon mari est déjà réveillé. J’ai une envie irrépressible de… Je lui dis :
— Bonjour John, j’ai terriblement besoin de faire...
— Bonjour Élisabeth, le pot de chambre est sur la terrasse.
— Merci… euh… John.
Je me lève en chancelant un peu et je vais m’accroupir sur le pot de chambre… Je ne fais pas que pipi… Heureusement, il y a un broc avec une éponge… Je me rince et je retourne dans la chambre. Toujours nue, évidemment. Mon mari me donne une petite boîte en disant :
— Tu as été parfaite.
J’ouvre la boîte et je vois une bague avec un très gros diamant. Quel bijou superbe ! Est-ce que je l’embrasse ? Il n’a pas l’air d’en avoir envie. Je lui dis :
— Elle est superbe, mille mercis John.
— Tu l’as bien mérité. Tu sais, une soirée comme hier, ce sera exceptionnel. Je ferai discrètement ce que j’ai envie et toi aussi. Toutefois, cela m’a permis de me rendre compte que tu pouvais être très gentille aussi bien avec une femme qu'avec un homme, pour servir nos intérêts.
— Bien sûr, je ferai tout ce qu’il faut pour ça.
— Oui et c’est très important. Pour le moment, on s'est unis en Inde, mais ce ne sera officiel que quand on se mariera vraiment en Angleterre. Et là, il y aura une grande cérémonie. 
— C’est promis ?
— Cette bague est une preuve de ma bonne foi, Élisabeth. C’est un diamant de 12 carats, très pur. Je ne te donnerais pas ça juste pour une nuit, sinon tu serais la putain la plus chère du monde.
Il rit… moi aussi, je suis un peu rassurée. On s’habille et on va déjeuner. Le cocher nous attend dehors et on va chez mon père. En chemin, je lui demande :
— Je suis déjà Comtesse ?
— En Inde, absolument, et dès qu’on se sera mariés en Angleterre, tu le seras pour toujours.
C’est mon rêve de petite fille... et même de grande fille.
Il m’accompagne dans la maison. J’embrasse mon père et je salue Shrimati. Je n’ai plus peur d’elle… Je suis Comtesse et elle est une petite aventurière qui a séduit un homme riche : mon père. Elle me dit :
— On doit parler, Élisabeth, va faire un tour dans le jardin.
Ma tête doit changer, parce que mon mari me dit en souriant :
— Mademoiselle Shrimati est un peu... directive, mais oui, ce sont des choses compliquées. Je t’en parlerai plus tard.
Je sors de la pièce… en râlant. La conversation ne dure pas longtemps, John vient me retrouver pour me dire : 
— Accompagne-moi jusqu’au carrosse.
On sort de la maison, j'en profite pour continuer de râler :
— Vous avez vu comment elle me parle ?
— Oui je sais, elle est comme ça avec tout le monde, y compris ton père... mais c’est une femme très intelligente et ton père en est très amoureux. 
Il me donne une bourse en disant :
— Si tu as envie de t’acheter quelque chose...
Je l’ouvre… Oh ! ce sont de pièces d’or. Je lui dis :
— Merci beaucoup… Je pars bien dans sept jours ?
— Oui, c’est ça, ta place est retenue. Ça passera vite.
Il m’embrasse sur la joue et monte dans le carrosse. Voilà, je suis seule. Je descends à la cuisine, Madame Streng se lève pour m’accueillir et les servantes me font une profonde révérence. Sabati est là, heureusement, j’avais peur que la mégère ne l'ait renvoyée. Deux servantes sont à genoux sur des grains de maïs, rien n’a changé ici.
Je raconte un peu ce qui s'est passé à Madame Streng… Enfin, pas la nuit de noces. Une servante vient me dire :
— Je vous prie de m’excuser, Maîtresse, mais Mademoiselle Shrimati demande que vous alliez dans la salle à manger.
Qu’est-ce qu’elle me veut encore ? J’y vais sans me presser. Shrimati m’accueille en disant :
— Fidèle à tes bonnes habitudes, Élisabeth. La prochaine fois que tu mets autant de temps quand je te fais dire de venir, tu seras punie.
Elle est folle ! Je lui réponds froidement :
— Je suis mariée et Comtesse et…
Mais elle me coupe :
— Pour le moment, ce mariage est symbolique… Tu ne seras Comtesse qu’après la cérémonie en Angleterre.
— Mais…
Elle m'interrompt à nouveau :
— Je t’ai déjà prévenue Elisabeth, je ne supporte plus que tu me répondes « mais » quand je te dis quelque chose.
Je regarde mon père, mais il se met de son côté :
— Tant que tu es ici, tu dois obéir à Mademoiselle Shrimati que j’épouserai bientôt.
Résumons : pour ma nuit de noces, j’ai couché avec quatre hommes et une femme et maintenant, mon père va épouser une moricaude qui me donne des ordres et menace de me punir. Qu’est-ce qui va encore arriver ? Oh, simplement qu’à la fin du repas de midi, Shrimati m'annonce :
— Élisabeth, il y a beaucoup à faire pour préparer le mariage, donc Sabati ne s’occupera plus de toi. Tu es une grande fille, tu n’as pas besoin d’une… disons d’une nounou.
— Mais… si, j’en ai vraiment besoin !
Elle se lève et m’attrape brutalement par une oreille : Je crie :
— Aïe ! Vous me faites mal ! Papa, au secours !
Il répond :
— Mademoiselle Shrimati t’a clairement interdit d’encore lui répondre « mais ».
— Aaaaïeee !
Elle me traîne par l’oreille jusque dans un petit bureau. Là, elle me lâche et tandis que je me frotte l’oreille, elle me dit :
— Ne bouge pas d’ici !

À suivre.

Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin.

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