Lizy - 17 La vie de château.
— Elle a un beau cul et c’est une fille vraiment facile. De plus, elle m’a l’air assez… manipulatrice, c’est ce qu’il nous faut pour nos affaires.
— D’accord, je t’épouse en Angleterre, Lizy, comme ça ce sera officiel. Tu deviendras la Comtesse Lizy… Bon, je te laisse avec ma sœur.
Il se tourne vers Madame Streng pour lui dire :
— Merci de l’avoir amenée, Madame Streng, venez dans mon bureau.
— Oui, Monsieur le Comte.
Il sort et Cécilia me dit :
— Viens ici.
Qu’est-ce qu’elle me veut ?
— Voilà comme ça va se passer : le matin, tu vas passer deux heures à apprendre la politique de l’Angleterre avec moi ou un ami. Tu prendras des notes et tu devras retenir ce qu’on t’a appris.
— Oui Mademoiselle.
— À part ce cours du matin, tu pourras circuler comme tu veux dans le château et la propriété… Ce soir, on mange avec des amis… mais tu ne peux pas assister à ce repas, tu n’es pas encore prête. Tu vas avoir une femme de chambre, demande-lui de t’apporter à manger ou fais comme tu veux… Tu es libre.
— Merci beaucoup Mademoiselle.
— Tu vois ce cordon ? Va le tirer.
Je me lève et je le tire… Quelques secondes plus tard, une servante arrive et fait une révérence. Cécilia me dit :
— Voici Janet, ta femme de chambre.
Puis, elle dit à la servante :
— Janet, cette demoiselle est la fiancée du Comte. Montre-lui sa chambre.
— Oui Madame.
La fille se tourne vers moi pour me dire :
— Si vous voulez bien me suivre, Mademoiselle.
On monte une volée d’escaliers et, arrivées au premier étage, elle ouvre une porte en disant :
— Voici votre chambre, Mademoiselle.
Cette pièce est grande et il y a une armoire, un fauteuil et un grand lit. Je m’assieds dans le fauteuil et je lui dis :
— Je voudrais que tu me coiffes et que tu me maquilles. Va chercher ce qu’il faut.
— Oui Mademoiselle.
Elle sort. Je regarde le parc par la fenêtre. J’y suis… enfin. C’est grisant de donner des ordres… Et puis je connais les ambitions de mon mari : le trône d’Angleterre… Je serai reine et… Janet toque et entre. Elle a apporté un peigne, une brosse, du maquillage et même un peu de parfum. Quand je suis transformée en lady… nue, j’ouvre la penderie et je choisis une jolie robe… blanche. Janet me met des bas et une chemise légère. Je choisis des souliers… blancs, aussi.
Quand je suis prête, je me regarde dans un miroir. Je suis toujours belle, le travail sur le bateau ne m’a pas marquée… Il faut dire que faire les lits et sucer des bites, ce n’est pas un travail très dur. Je redescends dans le grand salon, Janet toque, ouvre la porte et j’entre. Cécilia me regarde attentivement, puis elle dit :
— La chenille s’est transformée en un très joli papillon… blanc.
— Merci beaucoup, Madame.
— Tu peux m’appeler Cécilia.
— Merci... Cécilia…
— Aujourd’hui, fais ce que tu veux l’après-midi et le soir, mais à partir de demain, tu mangeras avec nous et les amis invités. Maintenant, tu peux aller où tu veux.
Elle me sourit, moi aussi. Elle est ferme et décidée, ça ne me dérange pas. Je dis à Janet :
— Je voudrais voir les cuisines.
Elles sont au sous-sol. J’entre dans une très grande pièce. Comme partout sauf sur le bateau, la cuisinière est une femme… et même une assez grosse femme. Elle se lève quand j’arrive et les six servantes qui sont là me font une toute belle révérence. La cuisinière se présente :
— Je suis Madame Clayton, bienvenue dans ma cuisine Mademoiselle.
— Merci Madame Clayton. J’ai soif, qu’est-ce que vous pouvez me proposer ?
— Un verre de sherry…
— Oh oui…
Elle fait signe à une servante qui va chercher une bouteille et remplit un petit verre qu’elle dépose devant moi. Je bois… Mmmhhh, c’est doux et fort, j’aime ça. Je dis à Madame Clayton et aux servantes qui écoutent tout en faisant leurs corvées :
— Vous savez qui je suis.
— Oui, la fiancée de Monsieur le Comte.
— Et en ce qui concerne… mes problèmes avec ma belle-mère, pendant mon voyage, Madame Streng…
Elle sourit et répond :
— On sait que… votre belle mère vous a obligée à voyager avec les servantes… mais que vous êtes d’une bonne famille et que vous allez épouser Monsieur le Comte.
Les servantes sont toujours au courant de tout… Je ne nie rien :
— Oui, j’ai été servante sur le bateau qui m’a amenée ici et j’ai partagé la vie d’esclaves africaines. Je préfère tout dire… Je n’ai pas honte d’avoir été servante.
Toutes les filles me regardent, fascinées. Madame Clayton me demande :
— Vous avez été punie, Mademoiselle ?
— Oh oui, ma garce de belle-mère m’a fait fouetter plusieurs fois et ensuite elle m’obligeait à rester à genoux dans un coin.
D’accord, j’exagère, mais j’ai envie qu’elle me parle de ce qu’elle fait. Et ça marche :
— Ici, on ne fouette pas, je me contente de donner une bonne fessée aux filles qui le méritent.
Elle me montre la paume de sa main qui est vraiment énorme et elle ajoute :
— Et je vous assure qu’une bonne fessée suffit à ce qu’elles fassent très attention à leur service.
Je regarde sa paume et je l’imagine percutant des fesses charnues et blanches. Je veux voir ça, mais en même temps, je considère un peu ces servantes comme mes sœurs : j’ai vécu six mois avec des esclaves africaines et elles ne m’ont pas balancée à la mer… au contraire, elles m’ont rassurée et j’ai dormi avec toutes les filles. Et même plus, si elles le voulaient. Madame Clayton me présente une servante :
— Voici Moira, la première fille, qui a tout pouvoir sur les autres filles.
— Bonjour Moira, alors c’est vous la chef.
— On peut dire ça comme ça, Mademoiselle, après Madame Clayton.
C’est le début de la soirée, Madame Clayton m’annonce :
— On va servir le repas du soir.
— Je mangerai avec vous ce soir. La Comtesse m’a dit que je mangerai avec eux à partir de demain soir.
— Vous êtes la bienvenue, Mademoiselle. Vous voulez encore du sherry ?
— Oh oui, volontiers.
Une servante me sert. Je bois en les regardant s’activer et se préparer à servir à table. Je mange avec les servantes qui ne font pas le service… Je suis fatiguée, ça a été une dure journée et j’ai pas mal bu. Je dis à Madame :
— Merci pour tout… Ah, il me faudrait une femme de chambre… mais j’aimerais en changer tous les soirs.
Elle a l’air très surprise. Je lui explique :
— Ça se passait comme ça sur la bateau… et en fait, je ne la garderais que la nuit et le matin pour m’habiller… et me laver.
Elle accède à ma demande :
— Janet, tu es la femme de chambre de Mademoiselle jusqu’à demain midi.
— Oui Madame.
Elle vient devant moi, puis fait une révérence en disant :
— Je suis à votre service Mademoiselle.
C’est une jolie rouquine, sans doute irlandaise comme presque toutes les servantes. Les autres domestiques sont déjà debout pour me faire une révérence. Je remercie Madame Clayton, puis je dis aux servantes :
— Bonne nuit, les filles.
Elles sont très surprises que je m’adresse à elles. Elles disent « bonsoir Mademoiselle » et « bonsoir Madame ». La future Comtesse, qui leur souhaite bonne nuit, c’est très surprenant. Après être montée dans ma chambre avec Janet, je lui dis :
— Déshabille-moi…
Quand je suis nue, je lui explique :
— À toi maintenant… tu dormiras avec moi.
Je la regarde. Elle enlève cet uniforme qui me rappelle tant de choses… Elle a de beaux petits seins et des fesses rondes… Elle sent la transpiration et son odeur me plaît.. Il faut comprendre : pendant un peu plus de six mois, j’ai dormi contre une de mes compagnes africaines… et souvent, je devais leur lécher la chatte avant qu’on s’endorme l’une contre l’autre… Grâce à ça, elles ne m’ont pas balancée dans la mer par une nuit sans lune… C’est une image.
J’ai… envie de retrouver cette intimité... c’est le sherry… et puis non, j’en ai vraiment envie. Je lui dis :
— Couche-toi sur le dos et lève les bras…
— D’accord, je t’épouse en Angleterre, Lizy, comme ça ce sera officiel. Tu deviendras la Comtesse Lizy… Bon, je te laisse avec ma sœur.
Il se tourne vers Madame Streng pour lui dire :
— Merci de l’avoir amenée, Madame Streng, venez dans mon bureau.
— Oui, Monsieur le Comte.
Il sort et Cécilia me dit :
— Viens ici.
Qu’est-ce qu’elle me veut ?
— Voilà comme ça va se passer : le matin, tu vas passer deux heures à apprendre la politique de l’Angleterre avec moi ou un ami. Tu prendras des notes et tu devras retenir ce qu’on t’a appris.
— Oui Mademoiselle.
— À part ce cours du matin, tu pourras circuler comme tu veux dans le château et la propriété… Ce soir, on mange avec des amis… mais tu ne peux pas assister à ce repas, tu n’es pas encore prête. Tu vas avoir une femme de chambre, demande-lui de t’apporter à manger ou fais comme tu veux… Tu es libre.
— Merci beaucoup Mademoiselle.
— Tu vois ce cordon ? Va le tirer.
Je me lève et je le tire… Quelques secondes plus tard, une servante arrive et fait une révérence. Cécilia me dit :
— Voici Janet, ta femme de chambre.
Puis, elle dit à la servante :
— Janet, cette demoiselle est la fiancée du Comte. Montre-lui sa chambre.
— Oui Madame.
La fille se tourne vers moi pour me dire :
— Si vous voulez bien me suivre, Mademoiselle.
On monte une volée d’escaliers et, arrivées au premier étage, elle ouvre une porte en disant :
— Voici votre chambre, Mademoiselle.
Cette pièce est grande et il y a une armoire, un fauteuil et un grand lit. Je m’assieds dans le fauteuil et je lui dis :
— Je voudrais que tu me coiffes et que tu me maquilles. Va chercher ce qu’il faut.
— Oui Mademoiselle.
Elle sort. Je regarde le parc par la fenêtre. J’y suis… enfin. C’est grisant de donner des ordres… Et puis je connais les ambitions de mon mari : le trône d’Angleterre… Je serai reine et… Janet toque et entre. Elle a apporté un peigne, une brosse, du maquillage et même un peu de parfum. Quand je suis transformée en lady… nue, j’ouvre la penderie et je choisis une jolie robe… blanche. Janet me met des bas et une chemise légère. Je choisis des souliers… blancs, aussi.
Quand je suis prête, je me regarde dans un miroir. Je suis toujours belle, le travail sur le bateau ne m’a pas marquée… Il faut dire que faire les lits et sucer des bites, ce n’est pas un travail très dur. Je redescends dans le grand salon, Janet toque, ouvre la porte et j’entre. Cécilia me regarde attentivement, puis elle dit :
— La chenille s’est transformée en un très joli papillon… blanc.
— Merci beaucoup, Madame.
— Tu peux m’appeler Cécilia.
— Merci... Cécilia…
— Aujourd’hui, fais ce que tu veux l’après-midi et le soir, mais à partir de demain, tu mangeras avec nous et les amis invités. Maintenant, tu peux aller où tu veux.
Elle me sourit, moi aussi. Elle est ferme et décidée, ça ne me dérange pas. Je dis à Janet :
— Je voudrais voir les cuisines.
Elles sont au sous-sol. J’entre dans une très grande pièce. Comme partout sauf sur le bateau, la cuisinière est une femme… et même une assez grosse femme. Elle se lève quand j’arrive et les six servantes qui sont là me font une toute belle révérence. La cuisinière se présente :
— Je suis Madame Clayton, bienvenue dans ma cuisine Mademoiselle.
— Merci Madame Clayton. J’ai soif, qu’est-ce que vous pouvez me proposer ?
— Un verre de sherry…
— Oh oui…
Elle fait signe à une servante qui va chercher une bouteille et remplit un petit verre qu’elle dépose devant moi. Je bois… Mmmhhh, c’est doux et fort, j’aime ça. Je dis à Madame Clayton et aux servantes qui écoutent tout en faisant leurs corvées :
— Vous savez qui je suis.
— Oui, la fiancée de Monsieur le Comte.
— Et en ce qui concerne… mes problèmes avec ma belle-mère, pendant mon voyage, Madame Streng…
Elle sourit et répond :
— On sait que… votre belle mère vous a obligée à voyager avec les servantes… mais que vous êtes d’une bonne famille et que vous allez épouser Monsieur le Comte.
Les servantes sont toujours au courant de tout… Je ne nie rien :
— Oui, j’ai été servante sur le bateau qui m’a amenée ici et j’ai partagé la vie d’esclaves africaines. Je préfère tout dire… Je n’ai pas honte d’avoir été servante.
Toutes les filles me regardent, fascinées. Madame Clayton me demande :
— Vous avez été punie, Mademoiselle ?
— Oh oui, ma garce de belle-mère m’a fait fouetter plusieurs fois et ensuite elle m’obligeait à rester à genoux dans un coin.
D’accord, j’exagère, mais j’ai envie qu’elle me parle de ce qu’elle fait. Et ça marche :
— Ici, on ne fouette pas, je me contente de donner une bonne fessée aux filles qui le méritent.
Elle me montre la paume de sa main qui est vraiment énorme et elle ajoute :
— Et je vous assure qu’une bonne fessée suffit à ce qu’elles fassent très attention à leur service.
Je regarde sa paume et je l’imagine percutant des fesses charnues et blanches. Je veux voir ça, mais en même temps, je considère un peu ces servantes comme mes sœurs : j’ai vécu six mois avec des esclaves africaines et elles ne m’ont pas balancée à la mer… au contraire, elles m’ont rassurée et j’ai dormi avec toutes les filles. Et même plus, si elles le voulaient. Madame Clayton me présente une servante :
— Voici Moira, la première fille, qui a tout pouvoir sur les autres filles.
— Bonjour Moira, alors c’est vous la chef.
— On peut dire ça comme ça, Mademoiselle, après Madame Clayton.
C’est le début de la soirée, Madame Clayton m’annonce :
— On va servir le repas du soir.
— Je mangerai avec vous ce soir. La Comtesse m’a dit que je mangerai avec eux à partir de demain soir.
— Vous êtes la bienvenue, Mademoiselle. Vous voulez encore du sherry ?
— Oh oui, volontiers.
Une servante me sert. Je bois en les regardant s’activer et se préparer à servir à table. Je mange avec les servantes qui ne font pas le service… Je suis fatiguée, ça a été une dure journée et j’ai pas mal bu. Je dis à Madame :
— Merci pour tout… Ah, il me faudrait une femme de chambre… mais j’aimerais en changer tous les soirs.
Elle a l’air très surprise. Je lui explique :
— Ça se passait comme ça sur la bateau… et en fait, je ne la garderais que la nuit et le matin pour m’habiller… et me laver.
Elle accède à ma demande :
— Janet, tu es la femme de chambre de Mademoiselle jusqu’à demain midi.
— Oui Madame.
Elle vient devant moi, puis fait une révérence en disant :
— Je suis à votre service Mademoiselle.
C’est une jolie rouquine, sans doute irlandaise comme presque toutes les servantes. Les autres domestiques sont déjà debout pour me faire une révérence. Je remercie Madame Clayton, puis je dis aux servantes :
— Bonne nuit, les filles.
Elles sont très surprises que je m’adresse à elles. Elles disent « bonsoir Mademoiselle » et « bonsoir Madame ». La future Comtesse, qui leur souhaite bonne nuit, c’est très surprenant. Après être montée dans ma chambre avec Janet, je lui dis :
— Déshabille-moi…
Quand je suis nue, je lui explique :
— À toi maintenant… tu dormiras avec moi.
Je la regarde. Elle enlève cet uniforme qui me rappelle tant de choses… Elle a de beaux petits seins et des fesses rondes… Elle sent la transpiration et son odeur me plaît.. Il faut comprendre : pendant un peu plus de six mois, j’ai dormi contre une de mes compagnes africaines… et souvent, je devais leur lécher la chatte avant qu’on s’endorme l’une contre l’autre… Grâce à ça, elles ne m’ont pas balancée dans la mer par une nuit sans lune… C’est une image.
J’ai… envie de retrouver cette intimité... c’est le sherry… et puis non, j’en ai vraiment envie. Je lui dis :
— Couche-toi sur le dos et lève les bras…
J’embrasse d’abord sa bouche, puis ses aisselles aux poils roux, ses seins… je descends le long de son cours et, après avoir donné un baiser à son nombril, je me glisse entre ses jambes et je me retrouve le visage contre son entre-jambes. Je colle ma bouche à sa chatte… elle sent fort, mais ça me plaît… Elle a une odeur plus animale que les Africaines qui sentaient le crustacé. Elle gémit et me dit :
— Mademoiselle, qu’est-ce que vous me faites… Vous n’allez pas le regretter demain ?
Pour toute réponse, je suce son clitoris… Je dois avoir acquis une très bonne technique sur le bateau, parce qu’elle jouit rapidement. Elle me dit :
— Vous m’avez envoyée au paradis, merci Mademoiselle… Est-ce que vous voulez que...
— Non… on pisse et on dort.
On fait pipi à tour de rôle dans le pot de chambre. Je lui dis :
— Je me mets derrière toi.
On se couche sur le côté et je me colle contre elle. Tiens, c’est curieux, on ne tangue pas.
***
Je me réveille avec un léger mal de tête… Je ne dois plus abuser du sherry. Je suis toujours couchée contre Janet. Étant réveillée, elle me demande :
— Bonjour Mademoiselle, vous avez bien dormi ?
— Oui, toi aussi ?
— Oui… vous ne regrettez toujours pas pour hier soir ?
— Si je l’ai fait, c’est parce que j’en avais envie.
Elle me lave et m’aide à m’habiller. Elle va déjeuner dans les cuisines, moi dans la salle à manger. J’attends un peu. Vers huit heures, Cécilia arrive avec un couple d’invités, elle me présente et on mange… C’est fou, mais j’aime mieux être dans les cuisines… C’est le voyage qui m’a marquée.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin.
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