Lizy - 18 Aïe !
Dans la matinée, Cécilia me parle politique et stratégies… et je comprends presque tout. À la fin de la discussion ou plutôt du cours, elle me rend mon petit sac avec ma bague et quelques shillings, en disant :
— Le reste, je le mets dans un coffre. Tu es sûre que tu ne risques pas de perdre cette
bague ? Je pense que ce serait mieux de la porter après le mariage…
Elle a raison, je la lui rends.
Le midi, on mange avec des invités. Je fais poliment la conversation. Je ne me sens pas du tout chez moi mais plutôt « en visite ». L’après-midi, je descends dans les cuisines… Là, je me sens chez moi… Ce n’est pas que j’envie les servantes qui travaillent beaucoup, mais leur compagnie me plaît… et puis, un peu honteusement, j’attends une punition… sans la souhaiter bien sûr.
Début d’après-midi, c’est ce qui arrive, on entend des gémissements et Moira la « première fille » entre dans la pièce en tirant une servante par l’oreille. Elle dit à Madame Clayton :
— Une des invitées s’est plainte à Madame la Comtesse que son pot de chambre avait été mal nettoyé et en plus, quand elle en a fait la remarque à la servante, celle-ci lui a répondu avec insolence…
La fille gémit :
— Je lui ai juste dit…
Madame Clayton lui coupe la parole :
— Tu sais très bien qu’on ne discute jamais avec les Maîtres ou les invités.
— Oui, mais…
— Tu vois : tu discutes.
Madame Clayton l’attrape par un bras et la couche sur ses genoux. Puis elle relève sa jupe et son fessier rebondi apparaît… Ouch ! C’est pas bien mais ça m’excite. Moira ajoute :
— Madame la Comtesse a dit une bonne fessée.
Madame Clayton pose sa large main sur les fesses de la fille en disant :
— Tu sais bien que cette fessée te pendait déjà au nez ou plutôt au cul. Ce n’est pas la première fois que tu discutes. Enlève ton uniforme.
Cette fois, la fille ne discute plus, elle gémit et murmure :
— Pardon, Madame.
Elle enlève son uniforme et elle se couche sur les cuisses de Madame Clayton. C’est beau, cette soumission... Elle lève sa main bien haut et :
CLAC… !
— Aaaïïïeeee… pardon…
Et c’est parti : les claques se succèdent, les fesses bondissent puis s’aplatissent, la fille pleure et gémit.
CLAC…! Aaaïïïeeee… CLAC…! Aaaïïïeeee… CLAC…! Aaaïïïeeee…CLAC…! Aaaïïïeeee…CLAC…! Aaaïïïeeee…
Je sais, ce n’est pas bien, mais j’adore voir et entendre ça : le bruit des claques, les cris et les supplications de la victime, les petits rires de ses collègues… Les fesses deviennent d’un beau rouge tomate… Après chaque claque, ses fesses remontent et je vois les poils de sa chatte. Hélas – pour moi, pas pour elle – après une cinquantaine de claques, Madame Clayton pose à nouveau la main sur les fesses rouges de la fille en demandant :
— Ça suffit ? Tu as appris la leçon ?
— Oooouiiiiii je vous juuuuure…. Je ne discuterai pluuuus…
Madame Clayton la remet sur ses pieds en disant :
— Va t‘excuser auprès de l’invitée.
— Oouiii Madame…
Elle remet son uniforme et sort de la cuisine en frottant ses fesses… la pauvre ! Oui, je peux aimer voir ça et la plaindre en même temps. Madame Clayton me demande :
— Ça ne vous a pas dérangée ?
— Non… c’est votre rôle… de… corriger les filles si… c’est nécessaire.
Je bois encore un verre et puis je vais dans ma chambre… La femme de chambre du jour et de la nuit a bien rangé. Où est-elle ? Ah oui, elle fait une lessive. Je vais la chercher pour lui raconter ce qui va vient de se passer, puis je lui demande :
— Madame Clayton t’a déjà fessée ?
— Oui, deux fois, Mademoiselle.
— Viens dans la chambre.
J’ai envie de faire la sieste et j’ai surtout envie que la fille file vite entre mes cuisses. Elle doit se rendre compte que je suis très mouillée… Pas d’importance, c’est ma femme de chambre.
***
Le lendemain, John est là au petit déjeuner. Il me dit :
— Tout est en ordre. Dans trois jours, on part pour Londres et on se marie un peu plus tard.
— Je suis ravie John et je vous aiderai du mieux que je peux.
Il repart chasser, tandis que je discute avec un invité qui a une position importante.
Après le repas, je vais boire un verre de sherry chez Madame Clayton… Je lui ai donné quelques pièces pour le sherry.
***
Le soir, plusieurs couples restent pour le repas. Madame Clayton me dit :
— Vous devriez y aller, Mademoiselle.
— Où ça ?
— C’est l’heure du repas.
— Ah oui...
Je me lève et je me rends compte que j’ai trop bu. Je vais dans ma chambre pour me passer de l’eau sur le visage et faire pipi… Ensuite, je descends dans la salle à manger… Ils sont déjà à table. Je dis à Cécilia :
— Je suis un peu... en retard mais… je… viserais… euh… révisais et…
— Tu as bu de l’alcool ?
— Nooon… Enfin si, un peu…
— C’est la dernière fois Lizy, je t’interdis de boire de l’alcool.
— Mais... euh… Je me marie bientôt et vous…. Vous n’avez… euh…
Une des invitées lui dit :
— Chère Cécilia, dites à votre Madame Clayton de donner une bonne fessée à cette gamine.
De quoi il se mêle. Je vais la remettre à sa place ! Je lui dis :
— De quoi… vous… vous mêlez… C’est vous, qu’il fau… faudrait...
Mauvaise idée, Cécilia me coupe en s’adressant à elle :
— Vous avez raison, chère amie, elle l’aura bien méritée, cette fessée.
Je crie :
— Vous… n'oseriez pas, je…
Comme si j’étais une servante, elle me prend par l’oreille pour m’entraîner dans les cuisines. Je crie, je supplie… On arrive dans cette grande pièce. Madame Clayton se lève et les servantes font une révérence. En me tenant toujours par l’oreille, elle dit :
— Plus un verre d’alcool à cette fille...
— Oui Madame.
— Et comme elle a été insolente avec une invitée, je veux que vous lui donniez une bonne fessée.
Madame Clayton ne discute pas, elle me prend par le poignet et me couche sur ses cuisses. Ensuite, elle relève ma jolie robe, je n’ai plus que mes bas qui montent jusqu’en haut des cuisses. Oh ! non, pas une fessée ! Comme à son habitude, Madame Clayton commence par poser la main sur mes fesses et puis ça démarre :
CLAC…! Aaaïïïeeee… CLAC…! Aaaïïïeeee… CLAC…! Aaaïïïeeee…CLAC…! Aaaïïïeeee…CLAC…! Aaaïïïeeee…
Je crie, je supplie… comme la servante tout à l’heure. Elle s’arrête enfin. J’ai sûrement reçu une cinquantaine de claques. J’ai l’impression d’être assise sur un poêle brûlant. Et là, même si j’ai bu, même si mes fesses sont en feu… je me dis lucidement : « Ça ne va pas recommencer comme à Madras ! » Alors, dès que Madame Clayton m’a remise sur mes pieds, je prends la main de Cécilia dans les miennes pour me rattraper. Je lui dis :
— Je ne boirai plus et je ferai ce que vous me dites.
Elle me regarde attentivement et elle doit se rendre compte que je suis sincère car elle répond :
— D’accord. Viens manger, on n’en parle plus.
Je suis bien dessaoulée… On remonte dans la salle à manger, tout le monde me regarde en souriant. Je leur dis :
— Pardon pour cet incident... Je ne boirai plus.
Je vais m’asseoir… aïe !! Je ne boirai plus d’alcool, sauf si mon mari m’en donne la permission. Tout va changer quand je serai mariée. Les convives parlent entre eux… Je repense aux claques de Madame Clayton… Après le repas, je demande la permission de me retirer. Cécilia me dit :
— Déjà ?
— C’est que je préférerais me coucher sur le ventre ou le côté qu’être assise.
Ça fait rire les invités. Cécilia est d’accord. Je vais… dans les cuisines. Madame Clayton et les servantes sont surprises de me voir. Elle me dit :
— J’étais obligée de le faire.
— Je sais bien.
En plus des servantes, il y a plusieurs hommes, des domestiques et des jardiniers. Le chef jardinier me dit :
— Il paraît que vous avez de si jolies fesses, Mademoiselle.
C’est un homme d’une soixantaine d’années et il me fait un grand sourire. Je réponds :
— Merci, c’est gentil…
— On est tellement triste de ne pas avoir assisté au spectacle.
Après tout, mon futur mari aime me voir baisée par des hommes, alors je peux bien me montrer. Je leur dis à tous :
— Vous voulez les voir ?
— OUIIIIIII…!
Je relève le bas de ma robe jusqu’à la taille et je me retourne. Quel succès ! Les hommes applaudissent, les filles rient et poussent des cris. Je dis à Madame Clayton :
— Je ne perturbe pas trop… la soirée ?
Elle me sourit et répond :
— Mais non, j’ai adoré te donner une fessée, tu as de trop belles fesses… Oh ! Pardon Mademoiselle, je vous ai tutoyée.
— C’est parce que mes fesses et votre main sont intimes, maintenant.
Ça la fait rire… J’aime être ici… Les six mois sur le navire avec mes amies africaines m’ont beaucoup changée…
Je passe la soirée là… puis je monte avec une femme de chambre.
***
Le lendemain, je suis réveillée par une voix d’homme :
— Alors Lizy, on a fait des bêtises ?
Oh ! C’est mon futur mari !
— Bonjour John… Je me suis excusée auprès de votre sœur, vous êtes fâché ?
— Pas du tout… ça me plaît au contraire. Montre tes fesses.
Après m’être levée, je lui tourne le dos… Il dit :
— Je vois encore les marques des doigts de Madame Clayton… Ce soir, on va recréer un fumoir comme sur ton bateau… Il y aura des invités qui joueront les passagers de première classe et puis les servantes… Si ça te dit, tu auras un rôle, bien sûr.
Il me donne une petite claque sur les fesses en ajoutant :
— J’ai hâte d’être ce soir.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin.
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