Lizy - 19 Retour au fumoir.

 Je demande à Cécilia :
— J’aurai quel rôle ?
— Réfléchis un peu, Lizy.
Elle a dit « Lizy », mon nom de servante... Elle ajoute nonchalamment :
— Vois ça avec Madame Clayton.
J’ai compris, il a envie de me voir servir et surtout me faire baiser par qui veut. Je dois lui faire plaisir, le mariage est pour très bientôt… Et puis, le fumoir, ce ne sont pas que de mauvais souvenirs, loin de là.
Après le repas de midi, je descends dans les cuisines. Madame Clayton, les servantes et les hommes qui sont là sont toujours contents de me voir. Avoir reçu une bonne fessée devant eux, ça crée des liens. Je laisse même Madame Clayton me tutoyer quand on est seules… Je ne peux pas dire pourquoi mais ça me plaît, ça me rappelle le voyage et mes sœurs noires… En un peu plus de six mois, on était devenues très proches. Madame Clayton me demande :
— Vous venez pour vous faire fesser, Mademoiselle ?
On rit et je réponds :
— Sûrement pas, j’avais l’impression que mon cul était en enfer. Dites, il y a quelque chose de spécial, ce soir ?
— Euh… oui… Des servantes sont déjà occupées à transformer une pièce en fumoir, comme vous l’avez décrit. Vous serez une passagère.
— Mon mari, enfin, futur mari, a des goûts un peu particuliers… 
Je regarde les autres servantes en leur demandant :
— Vous voyez ce que je veux dire ?
C’est Moira qui me répond :
— Oui Mademoiselle, on connaît ses goûts. 
— Je crois qu’il aimerait me voir à la disposition des passagers, comme sur le bateau.
Madame Clayton qui regarde ailleurs, je lui dis :
— Je pourrais être… parmi les servantes...
Elle réfléchit… En fait, elle sait très bien ce que je veux. Je suis assise à côté d’elle et je colle ma jambe à la sienne. Là, elle me répond : 
— Vous savez, Mademoiselle, les servantes seront vêtues d’une très courte tunique et à la disposition de tous les hommes et de toutes les femmes… C’est compliqué de vous joindre aux servantes, dans le fumoir. Elles auront peur de vous déplaire. Il y a bien une solution…
— Oui ?
— Que vous commenciez à travailler avec elle maintenant. Ce soir, elles vous accepteront.
— Attendez, je reviens.
Je vais vite dans le salon où Cécilia s’occupe de ses papiers. J’attends poliment à côté d’elle, jusqu’à ce qu’elle me dise :
— Je suis occupée, là. Tu veux quoi ?
— Je voudrais faire plaisir à John et être avec les servantes ce soir… Madame Clayton me propose de commencer maintenant.
— Ça lui ferait certainement plaisir. Vas-y… et travaille bien.
Elle se remet à lire ses papiers et je redescends dans les cuisines. Je dis à Madame Clayton :
— Je voudrais être avec les servantes ce soir… à partir de maintenant.
Je suis certaine qu’elle aime beaucoup l’idée, mais elle me regarde sans enthousiasme et elle me demande :
— Tu voudrais que je t’engage, c’est ça ?
Elle joue le jeu et… moi aussi. Je fais une révérence avant de répondre :
— Oui, s’il vous plaît Madame.
Elle s'adresse à Moira :
— Tu en penses quoi ?
— Il y a beaucoup à faire, une servante en plus, ça ne se refuse pas.
Une servante ! Je suis folle ! Et puis non, je fais ça pour plaire à mon mari qui a toutes les chances de monter sur le trône… et moi de devenir reine. Je me retrouve aussi sur le navire, obéissant à tout ce qu’on me disait. Plus besoin de réfléchir, plus d’angoisses. Elles me manquent, les Africaines…
— Eh ! Tu rêves ?
N’ayant pas entendu ce que Madame Clayton me disait, je réponds :
— Non Madame, pardon.
— Tu as conscience que tout ce qui a une bite dans la maison va te passer dessus ?
— Oui, Madame.
— Dans ce cas… Tu ne vas pas nettoyer avec cette belle robe, enlève-la.
Voilà, pas besoin de réfléchir : j’enlève ma robe, ma chemise et mes bas. Je suis nue dans les cuisines. Moira me dit :
— Va enfiler un uniforme dans la laverie.
— Oui, Mademoiselle.
Je lui obéis en choisissant l’uniforme… le moins sale. Je le mets et mon odeur se mélange à celle d’une autre... Je regagne les cuisines. Ensuite, c’est fatigant mais très facile : j’obéis à Moira, comme les autres. On nettoie soigneusement la pièce qui se transformera en fumoir. On installe des fauteuils, des divans et des petites tables. Il y avait longtemps que je n’avais plus transpiré autant dans un uniforme… En fait non, pas tellement, puisqu’il y a une dizaine de jours, j’étais encore en mer. 
Quand tout est prêt, on retourne dans les cuisines. On doit toutes se déshabiller. Moira nous dit  : 
— Il y a de l’eau dans ces bassines, lavez-vous les aisselles, le sexe et les pieds. 



On se lave à quatre, puis on change l’eau… Quand on est toutes un peu plus propres, Moira nous verse quelques gouttes de parfum dans la main, pour qu’on en mette sous les bras et sur les poils de la chatte. C’est un parfum à base de jasmin, j’adore. Ensuite on doit enfiler une petite tunique transparente très courte. Madame Clayton nous dit :
— Vous ne la garderez pas longtemps. Si quelqu’un se plaint de vous, vous serez punie… Ça vaut aussi pour toi Lizy.
— Oui Madame.
Je joue le jeu, mais je dirai « pouce » si ça arrive. Après tout, je fais ça pour plaire à mon mari. Madame Clayton dit à Suzi : 
— Va chercher ma robe et celle de Moira.
— Oui Madame.
Oh ! Elles joueront les passagères, alors… Elle revient avec deux belles robes, dont une plus grande pour Madame Clayton. Celle-ci me dit :
— Lizy, viens m’aider.
— Oui Madame.
Je pourrais dire non… mais je vais l’aider à enlever sa robe de travail, sa chemise et ses bas. Elle a des formes, des beaux seins qui tombent un peu et un ventre rebondi. Une servante aide Moira à se changer, tandis que les autres me regardent jouer les habilleuses. Quand la robe recouvre ses formes opulentes, Madame Clayton dit aux servantes :
— Les filles, prenez exemple sur la nouvelle servante, j’ai rarement vu une fille aussi soumise.
Je réponds :
— Merci Madame.
Elle ajoute :
— Si tu me fais jouir tout à l’heure, tu auras un morceau de chocolat.
Comme sur le bateau… Je reste dans mon rôle :
— Je serai ravie de vous faire plaisir, Madame, et j’adore le chocolat.
Bon, ça, c’est fait. Elle montre l’horloge qui est sur une petite table et nous dit :
— Vous montez dans dix minutes.
— Oui, Madame.
Elle sort de la pièce avec Moira… Les filles me regardent, c'est vrai que je leur dois des explications :
— J’ai passé plus de six mois en tant que servante… et…
Daisy, qui a été ma femme de chambre, m’interrompt :
— Et ça t’excite, Lizy. C’est ton droit. J’aime mieux les femmes aussi et quand tu m’as léché la chatte, c’est évident que ça te plaisait.
Je rougis, mais elle a raison, j’aime les femmes. Etre avec les servantes, ça me plaît… pour le moment. L'une d'elles nous dit :
— C’est l’heure, on doit y aller les filles.
On va dans la pièce transformée en fumoir. Il y a… Cécilia, John, mon mari ou futur mari – ça, c’est normal – mais il y a aussi Madame Clayton, Moira, des hommes bien habillés, plus le chef jardinier, ses aides, le cocher, quatre domestiques et l’homme à tout faire. Madame Clayton nous demande sur un ton un peu sec :
— Ce sont les Maîtres qui doivent attendre les servantes maintenant ?
On relève le bord de notre petite tunique pour faire une révérence, puis on demande aux trois femmes et aux hommes ce qu’ils veulent boire… Whisky pour les hommes, sherry pour les femmes. On a préparé les bouteilles et on sert tout le monde. Le chef jardinier me dit :
— Lizy, viens voir ici !
— Oui Monsieur.
Je sais déjà ce que je vais voir : sa bite ! C’est celui qui ose le plus et aujourd’hui, je suis à sa disposition… pour plaire à mon futur mari. C’est normal qu’une future épouse veuille plaire à son mari, non ?
Je vais devant lui en disant : 
— Que puis-je faire pour vous, Monsieur ?
— D’abord, enlève ta tunique.
Je suis la première à devoir se mettre toute nue... John n’est pas loin, il nous observe. Je me souviens du nom du chef jardinier, c’est Howard. Celui-ci me dit :
— Bouge. 
Je tourne sur moi même… Il dit :
— Tu es belle, petite. Viens t’asseoir sur mes genoux.
En future épouse attentionnée, je m’assieds et j’embrasse le chef jardinier sur la bouche tandis qu’il joue avec le bout de mes seins. Notre baiser se termine et le jardinier me demande :
— Est-ce qu’on t'a déjà prise par le cul ?
— Oui Monsieur, mon derrière en a vu passer, des bites...
Jolie formule, non ? Ça le fait rire… Il me fait descendre de ses cuisses en disant :
— Mets-toi à genoux sur le divan et présente-moi ta croupe, je vais lui faire sa fête.
Je prends position sur le divan, le buste appuyé sur le dossier, les jambes bien écartées. Oh ! Mon futur mari vient s’asseoir à côté  de moi. Il dit au jardinier :
— C’est une belle petite poulette que vous allez enculer, Monsieur.
Le jardinier me donne une claque sur les fesses et répond :
— Tu l’as dit gamin, ça oui, c’est une belle petite pouliche. Regarde ce que je vais lui mettre dans le cul.
Il a sorti sa bite et John la prend en main. Oh ! C’est normal ça ? Oui, on joue. Le jardinier dit même à mon mari :
— Suce-la pour qu’elle glisse bien dans le cul de la petite pouliche.

À suivre.

Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin.

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