Lizy - 15 - En Angleterre.
Troisième partie.
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Un peu plus de six mois plus tard, le navire remonte la Tamise jusqu’aux docks de Londres. On accoste.
J’embrasse mes compagnes noires qui ne m’ont pas jetée à la mer… On pleure de se quitter, sincèrement. Bon… sniiif… je continue. Un matelot vient me chercher en me disant :
— Dépêche-toi, ta maîtresse s’impatiente.
Je sors de la pièce et dans le couloir, je vois Madame Streng… énervée. Elle crie :
— Et alors, stupide servante, tu me fais attendre ?
— Mais..
Selon sa méchante habitude, elle m’attrape par une oreille et elle me traîne derrière elle. Je crie à mon tour, mais c’est parce qu’elle me fait mal :
— Pardon, pardon Madame… Vous me faites maaaal….
Elle me traîne par l’oreille jusqu’au pont du bateau. Ça fait rire les passagers de seconde classe qui s’y trouvent. Ceux de la première classe sont déjà descendus. Un mousse se trouve à côté des deux grosses valises de Madame Streng. Elle me dit :
— Prends mes valises et si tu les déposes par terre, je te donne une fessée devant tout le monde !
Il y a des nouveaux rires et des applaudissements. Je veux retourner avec les filles, me blottir contre Five… Il faut que je pense que je vais aller dans « mon » château. Je marche derrière Madame Streng en portant ses grosses valises, comme si j’étais son âne. Elle va voir quand je serai Comtesse ! Elle se dirige vers une voiture et elle dit au cocher :
— Je dois aller dans le Stropshire. Quel serait le prix ?
Il répond :
— Bienvenue en Angleterre, Madame.
Il lui fait un prix en guinée et ajoute :
— Ça fera un jour et demi de voyage et nous devrons dormir dans une taverne ce soir.
Madame Streng accepte.
Elle monte dans la voiture, tandis que le cocher prend ses valises pour les placer dans un compartiment spécial. Il lui demande :
— Vous voulez que votre servante monte avec vous ?
— Non.
Le cocher me dit :
— Monte près de moi, petite.
— Oui Monsieur.
Je m’assieds à côté de lui, sur son banc. On est en Angleterre et il fait beau. Il fait claquer son fouet et les chevaux… avancent. Il me dit :
— Il y a une couverture sous le banc, si tu as froid.
— Merci Monsieur.
Si ça se trouve, j’aurai aussi un cocher et peut-être même plusieurs. Il me dit :
— Elle n’a pas l’air commode, ta patronne.
— Oh non, Monsieur…
Les cheveux trottent. Je regarde la nature tellement différente de celle des Indes. On dépasse des paysans, des charrettes et on est nous-mêmes dépassés par quelques cavaliers. Il y a des fermes et des paysans qui travaillent dans les champs. Je somnole un peu contre l’épaule du cocher. Il me laisse faire et je dors vraiment, bercée par le balancement de la voiture. Je me réveille avec une forte envie de faire pipi, je lui demande :
— On arrive bientôt, Monsieur ?
— Pas avant demain, petite.
Oh ! Il faut dire que le Stropshire, je n’en ai jamais entendu parler, sauf que c’est là que se trouve mon futur château. Je lui dis :
— C’est que je dois vraiment faire pipi.
— Les chevaux vont se reposer un peu mais dans une demi-heure.
Je me tortille à côté de lui… Il finit par me dire :
— Je veux bien m’arrêter avant, mais quand on repartira, il faudra être gentille. Tu vois ce que je veux dire ?
Oh oui… soit je pisse dans mon uniforme, soit il s’arrête mais je devrai le sucer. Bah... je l’ai tellement fait dans le fumoir du bateau... Je lui dis :
— C’est d’accord.
Il s’arrête bientôt en bordure d’un petit bois. Il descend et dit à Madame Streng :
— Les chevaux doivent boire et se reposer, Madame.
Elle répond
— Ça tombe bien, je dois pisser.
Je lui dis :
— Moi aussi Madame
— Eh bien pisse, Lizy.
On fait quelques mètres, on se trousse et on pisse devant le cocher. Quand c’est fait… Elle retourne s’asseoir dans la voiture. Moi j’aide le cocher à aller chercher l’eau d’un ruisseau, pour les chevaux. Dès qu’ils ont bu et se sont reposés, on repart. Il sort sa bite de sa culotte en disant :
— Vas-y petite.
— Mais on va nous voir !
— Quoi de plus normal que se faire sucer par une servante ?
C’est vrai… Je baisse la tête et j’attrape son sexe de la main gauche, tandis que je me tiens au banc avec la droite. J’ai sucé tellement de sexes sur le bateau que je me suis plus ou moins habituée aux odeurs fortes et aux goûts… spéciaux. Ici, on est en plein air, heureusement. Dès que son gland est dans ma bouche, je me rends compte que ma tête ne doit même pas faire d’effort pour aller et venir. Les cahots s’en chargent. C’est amusant. Enfin, ce n’est peut-être pas le mot… Plus besoin de travailler, tout se fait tout seul.
Un paysan crie :
— T’en as de la chance, cocher !
Il lui fait un signe de la main, puis il la pose sur ma nuque et il me caresse. C’est un homme qui aime parler et commenter, puisqu'il me dit :
— Oooohhh, comme tu suces bien, ma belle… Tu as appris à faire ça aux Indes ? Ta bouche est tellement douce et mouillée… J’imagine mon gland caresser ta luette et ton nez dans mes poils… Je vais demander à ta maîtresse si elle ne te vend pas…. J’ai de l’argent… de côté… et je sais où en trouver… Je veux ta bouche à… à… ma disposition… jour et nuit……. Ooohhh... ça y est… je vais t’inonder... Aaaaaahhhhh !
Il jouit… J’avale tout, je n’ai plus aucun problème à le faire. J’ai dû avaler des litres de sperme sur le bateau. Je donne un dernier baiser sur son gland et je remets la peau du prépuce en place. Il me complimente :
— Je n’ai jamais été aussi bien sucé, petite, et tu as tout avalé…
— Oui Monsieur.
— On arrive bientôt… Tu crois que ta maîtresse te voudra dans sa chambre ?
— Je ne sais pas…
— Elle te traite mal ?
— Oh oui, elle est très dure, même cruelle…
Je m’appuie à nouveau contre lui avec le goût de son sperme en bouche. Tout ça sera bientôt fini… enfin, j’espère parce qu’avec les idées de mon mari ou futur mari… Le cocher me parle encore, mais je ne l’écoute qu’à moitié.
En fin d’après-midi, il annonce :
— On arrive à l’auberge.
On est en pleine campagne, cette auberge est en même temps un relais pour les chevaux. Le cocher va derrière le bâtiment. Un gamin vient l’aider. Il détache les chevaux pour les amener à l’écurie. J’aide Madame Streng à descendre. Elle s’approche de moi et… elle me renifle, avant de me dire froidement :
— Tu as sucé le cocher.
— Oui madame.
— Tu es devenue une vraie putain.
— Oui Madame.
— Je te donnerai une bonne fessée pour l’avoir sucé sans me demander la permission, mais aussi parce que j’adore frapper tes grosses fesses.
Elle me fait un sourire de… hyène. Elle n’a pas changé, la garce. On entre dans l’auberge. Le cocher, qui est un habitué, parle avec les clients et les servantes… Quand la patronne arrive, Madame Streng lui dit :
— Je voudrais une chambre pour moi et ma femme de chambre…
La patronne lui donne une clé en disant :
— Premier étage, chambre 7… Vous mangerez ici ?
— Oui.
— Avec votre femme de chambre ?
Elle hésite… Eh ! J’ai faim, moi ! Madame Streng répond :
— Oui, ce sera pour trois avec le cocher.
Voilà qui est surprenant… Bah, elle a ses raisons. On monte avec une servante de l’auberge et on va dans la chambre. Il y a un lit, un grand coffre pour mettre les vêtements, une petite table et une cruche d’eau. C’est sommaire. La servante allume quelques bougies puis s’en va. Madame Streng me dit :
— Tes fesses, vite ! Allez, couche-toi sur le lit.
Inutile de dire que c’est trop injuste, mais la seule chose à faire, c’est essayer de la contenter. Je relève ma jupe et je me couche sur le lit, les fesses offertes… Elle les caresse en disant :
— Putain ce cul !!!
PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF !
Elle me donne certainement une trentaine de claques, je gémis, puis je crie, mes fesses dansent sous ses claques, mais je n’essaie pas de les éviter. Elle s’arrête... pour se reposer ? Non, elle me lance encore :
— Debout !
Je me lève en vitesse. Elle se couche sur le lit et relève sa jupe et ses jupons. Un regard et je suis entre ses cuisses, le nez dans sa chatte. Mes fesses sont en feu… sale garce ! En plus, je suis obligée de lui faire plaisir ! Je ferme les yeux pour ne pas voir sa chatte aussi peu appétissante… qu’une grosse méduse morte échouée sur une plage. On pourrait croire que cette sorcière lit dans mes pensées, car elle dit :
— À propos, Lizy...
Je relève un peu et je la regarde, la langue un peu sortie.
— … ils doivent avoir des fouets ici, c’est parfois un bon stimulant pour les esclaves qui ne lèchent pas avec assez d’enthousiasme.
Aussitôt, je la lèche comme… le Roi Salomon devait lécher la chatte de la reine de Saba ! Comme le cocher, elle commente, mais lui ça m’excitait, tandis que Madame Streng, elle ne cherche qu’à m’humilier :
— Allez, lèche bien petite esclave… je ne suis même pas sûre que je ne te fouetterai pas… Tu dois comprendre, quand je vois tes grosses fesses, je….. Oh oui, sale petite putain… je jouiiiiisss….
J’ai envie de m’enfuir à 1000 miles de cette femme et de sa chatte dégoûtante. Au lieu de ça, je donne des petits baisers sur ses lèvres mouillées… Je ne veux pas être fouettée, j’ai assez mal aux fesses comme ça. À nouveau, cette sorcière me demande :
— Tu as envie d’éviter le fouet ?
— Oh oui, Maîtresse !
— Alors tu vas m’embrasser ailleurs… pousse-toi.
Je me recule, tandis qu’elle se met à quatre pattes… J’ai compris. Elle est là comme une grosse vache, les mamelles et le ventre pendants. J'écarte ses fesses et j’embrasse son anus. Je m’interroge : « Jusqu’où tu irais pour éviter le fouet ? » et je me réponds « C’est mon maximum, là. » Mais heureusement, elle me sauve :
— Je sens bien que tu adorerais continuer à me lécher le cul, mais j’ai faim. On va manger.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin.
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