Lizy - 28 Un jour la p'tite Lisette...

Rose me montre le contenu de son sac. Il y a beaucoup de mollusques avec des coquilles très allongées. Elle me dit :
— C’est des couteaux… R’gad’ comment on les prind.
Elle me montre comment les repérer grâce a deux petits trous en forme de huit. Il faut rapidement enfoncer la pelle à 40 ou 50 cm de profondeur et retourner la motte de sable. J’essaie de le faire aussi… Oh ! J’en ai un ! Je le regarde attentivement et il me crache à la figure, c’est un peu surprenant. Ça fait rire Rose… Bon, les couteaux, ça crache, je le retiens. Zep m’amène vers des rochers et des pierres qui sont à la limite de la mer, il me donne une boîte en bois en disant :
— Ramasse des bigornieaux.
Il me montre des petits escargots. Je répète la phrase :
— Je ramasse des bigornieaux.
— Bien…
Ils me disent tous les noms en français de tout ce qui nous entoure. Zep reste nu, moi aussi… Tant qu’il y a du soleil, c’est vraiment agréable. On a déjà beaucoup de poissons, quelques crabes tourteaux, un homard et puis des couteaux, des coques, des moules et mes bigornieaux. En fin de matinée, on rentre… Le chemin est long quand on est chargé, alors ils chantent :
Un jour la p'tit' Lisette,
S'en revenait du bois 
En chemin elle rencontre...
Le fils d'un avocat 
Il la prend, la renverse
Sur du foin qu'était là 
Le foin était si sec
Qu'il en faisait cra cra 
Je ne comprends pas tout, mais ils chantent plusieurs fois les strophes et je finis par savoir chanter avec eux. On arrive à la maison en chantant. Mémé est assise dehors, le fusil à portée de main. Je ne veux pas être méchante mais je ne vois pas ce qu’on pourrait voler ici et encore moins violer. Mémé a une bonne soixantaine et bien 30 kg de trop. On trie les coquillages, puis Zep fait cuire des poissons sur la grille. Si je devais en manger tous les jours comme eux, j’en aurais peut-être assez, mais pour le moment, je trouve ça délicieux. On continue à me dire tous les noms en français. Je reconstitue la conversation de la fin du repas. La mère dit à Rose : 
— Keské t’a fait la fille, pourquoi qu'tu gémissais autant ?
— A m’a léché la chatte.
— Avec sa langue ?
— Ben oui… et elle fait ça super bien.
La mère réfléchit, puis elle fait un rot et dit :
— Vins, tu vas m'le faire à c't'heure
Le père lui dit :
— C’est toi qui décides ?
— Oui et si ça t’plaît pas, c’est le meume prix.
Il ne discute plus et elle ajoute :
— Aujourd’hui, c’est les femmes, m'man et moi.
La mémé me fait un grand sourire… Oh ! Elle a plus de dents. Oui mais… La mère me prend par la main et elle m’entraîne à l’intérieur. Elle me dit :
— T‘in fait pas, c’est toi qui va prind’ ton pied avec m’man.
Aahh ? En attendant, la mère enlève ses vêtements. Elle a des gros seins qui pendent et un gros ventre. Elle se couche sur le lit, les pattes en l’air… sa chatte ressemble à celle de Rose, mais avec 20 ans de plus… Ses grandes lèvres sont longues et à l’odeur, je sais maintenant pourquoi ils appellent une chatte, une moule. J’arrête les détails… Je la lèche soigneusement avant de sucer son clitoris. Elle aime, le dit, le crie… Ils aiment parler dans la famille. Elle dit :
— Aah p't’ite putain d’Inglaise, tu lèches une moule comme une reine…
Oui, c’est ce que j’espérais être : reine d’Angleterre. Mais pas la reine des lécheuses de moules... Ici, c’est pas les mêmes manières que dans un château, toute la famille rapplique pour voir la mère roucouler sous ma langue… On nous encourage même genre : « Allez Lizy, suce bien ». Rose lui dit :
— Elle lèche bin hein m'man ?
— Oh putain ouais ! Les Inglaises sont les championnes de bouffeuse ed'chattes. 
Rose et Zep s’assoient sur le lit et tous les deux, ils lui sucent le bout des seins… c’est mignon, ses enfants qui la tètent, ça l’excite et elle jouit en disant des choses sur « l’Inglaise et ses enfants chéris ». Elle me repousse et elle me dit :
— R’lève ta jupe et couche-toi. 
La mémé a enlevé sa robe… 65 ans de pêche, ça laisse des traces et elle pend de partout, mais elle écarte bien mes jambes et sa bouche édentée se colle à ma chatte comme la patelle à son rocher. C’est Zep qui m'a montré qu'il fallait un couteau pour les… Oooohhhh… J’ai l’impression qu’elle aspire ma chatte et qu’elle se retrouve dans sa bouche, ses mâchoires sont magiques fermes et douces. Je crie :
— Oh my God…
Ça fait rire tout le monde. Il n’y a pas que ses mâchoires, il y a aussi sa langue. Pourquoi une… dame âgée ne pourrait-elle pas m’envoyer au 7e ciel ? Il n’y a pas de honte à avoir… Je gémis et mon bassin va au-devant de ses dents plates… mais non, ça, c’est le requin… 


Je gémis et bientôt je jouis… Rose dit :
— Y en a plus qu’pour elle.
La mémé lui dit :
— Allez viens petiote, j’vas t’bouffer la moule aussi.
Rose n’hésite pas. Elle enlève ses culottes et vas se coucher à ma place… Elle caresse les cheveux blancs de sa mémé tout en se tortillant sous sa langue…
Les trois hommes, ça leur plaît : d’abord moi, puis leur petite fille, fille et sœur… Ils ont tous les trois sorti leurs engins et ils me regardent… Normal que je paye ma pension chez eux. Je vais me mettre à genoux devant Zep et je prends son sexe en bouche. Le pépé dit :
— Vous faites toutes ça en Ingleterre ?
Je hoche la tête, ce qui plaît à Zep… Je lui caresse les couilles, je l’aime bien. Quand il jouit, j’avale tout. Le père et le pépé s’exclament :
— Et elle avale !
Ben oui, je ne vais pas ajouter des taches à leurs culottes : elles sont assez sales comme ça. Je passe du fils au père, puis au pépé. Ils adorent… 
Quand on monte se coucher,  je montre à Zep une autre position que la levrette. Je lui montre le sandwich : lui, moi, Rose. On est couchés dans le lit et il me baise tandis que Rose est contre moi. Ensuite, Rose et moi, on change de place. Ils m’apprennent le français, je leur apprends un peu de Kamasutra. Je suis rapidement la chasse gardée de Zep et Rose, même si je baise encore un peu avec les autres. Après tout, je suis à Zep, il m’a trouvée…
Bien sûr, je veux toujours aller à Paris, mais il faut que je connaisse bien le français. Il fait beau ici… on s'amuse… c’est comme des vacances. La vie se passe sans incident : on pêche, on mange, on boit, on baise.
***
Trois jours plus tard, alors que Zep et moi on remonte une ligne, on entend un bruit de galop. Ils se figent tous. Le père dit :
— Ah non di djiu, c’est l’comte.
Trois cavaliers se dirigent vers nous… Zep et moi, on est nus puisqu’on vient de remonter la ligne. Ce sont des chasseurs. Celui qui est devant doit être le Comte, il a de beaux vêtements, les autres sont des gardes. L’un deux a un animal mort en travers de sa selle, peut-être un chevreuil, du sang coule sur le sable. Toute la famille s’incline en disant un truc du genre :
— Mes respects, m’sieur l’Comte.
Le comte me regarde et dit :
— J’ai été averti qu’il y avait une biche à tirer sur mes terres.
Le père répond :
— C’t’une Inglaise qu’on a recueillie, M’sieur l’Comte et…
Le Comte descend de cheval et dit :
— J’ai le droit de cuissage sur mes terres.
C’est quoi, ça ? Zep me dit :
— On est sur ses terres, y peut t’ baiser.
C’est un truc du Moyen Âge, ça ! Le Comte est tout sauf avenant : une cinquantaine d’années, des cicatrices sur le visage, l’air d’un vrai salaud de chasseur. D’accord, nous on tue des poissons, mais pas des biches. Il me dit :
— Appuie-toi sur ce rocher, petite putain d’Anglaise.
Je regarde Zep, il me dit :
— C’est l’Comte, Lizy, on est chez lui… Faut faire c’qu’y dit... sinon y va nous interdire de v’nir.
C’est pas me faire baiser par un Comte qui va me faire grand mal même si c’est un chasseur. Il vient se mettre derrière moi. Ensuite, il baisse ses culottes et écarte brutalement mes fesses. Je crie :
— Doucement M’sieur...
— Ta gueule, putain !
Il m’encule d’un coup jusqu'aux couilles, tout en me pinçant cruellement les fesses ! Là, j’ai vraiment… un coup de sang. Je donne un coup de reins pour le sortir de moi, puis, en me retournant et je lui file un coup de genou dans les couilles. Je m’enfuis. Le sale bonhomme crie à ses gardes :
— Rattrapez-la et ramenez-la.
Je cours dans la mer. Le comte crie :
— Tu veux retourner en Angleterre à la nage, petite roulure ?
Sale fils de pute… Les gardes vont dans l’eau et un des deux m’attrape par les cheveux. Je crie, je me débats, rien à faire. Il me ramène sur la plage. Là, il m’attache les poignets vers l’avant avec de la corde. Il remonte sur son cheval. On arrive près des autres. La famille a une mine désolée. Le comte leur dit :
— Elle va payer le coup de genou dans les couilles. On y va.
Zep murmure juste assez fort pour que je l’entende :
— J’te sauverai… parole.
On part au trot. Je cours attachée à ma corde. Je me revois dans la même situation, attachée à la voiture de Shrimati. Que ce soit en Inde ou en France, comment est-ce possible que je me retrouve dans la même situation ? Pourquoi l’ai-je frappé ?? Je pleure en courant, je veux retourner dans ma famille d’adoption… et puis à Paris et épouser…
— Aïïïeeee.
Le comte est venu derrière moi et il m’a donné un coup de fouet en criant :
— Plus vite ! Petite saleté !
J’accélère et…
— Aïïïeeee.
Il me fouette pendant que je cours… mes jambes et mes fesses sont rapidement couvertes de coups de fouet qui me brûlent… J’ai mal aux poignets, aussi. On arrive devant une grande demeure... Le Comte dit :
— Mettez cette putain en cage. Elle sera au pain et à l’eau et fouettée demain matin.
Le garde contourne la maison. Il y a une grande cage qui doit servir à enfermer les chiens. 

À suivre.

Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin.

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