544 - 49 Partouze Goréenne.
Les gardes arrivent. Il s’agit d’une dizaine de Noirs de la région. Un des hommes leur dit quelque chose en dialecte, ce doit être :
— Vous pouvez baiser celle que vous voulez.
Il sautent sur les filles encore libres. Moi, je suis contre Hena, je l’enlace et l’embrasse sur la bouche. Elle me dit :
— Tu aimes les Africaines ?
— Oh oui, beaucoup.
J’embrasse ses seins. Elle se couche sur une natte et je me glisse entre ses jambes. Elle m’a aidée et elle me plaît. Henri commence aussitôt à nous dessiner. Rapidement, il dit :
— Il manque du noir derrière toi…
Il regarde les gardes et dit :
— Je voudrais un homme pour baiser cette petite.
À nouveau, un métis traduit tout en leur montrant mon derrière. Mais non, j’ai envie de continuer à faire plaisir à ma nouvelle amie… Un garde vient derrière moi et il caresse ma fente avec son gland. C’est agréable… ce qu’il l’est moins, c’est quand il enfonce 20 centimètres de bite dans ma chatte. Heureusement que je suis excitée. Henri apprécie et dit :
— Voilà ce que je voulais : noir, blanc, noir.
Oui, oui, on a compris. Hena ne doit pas avoir l’habitude qu’une femme la lèche, surtout une blonde. Elle se tortille sous ma langue tandis que je vais et viens sous les coups de bite du guerrier. Je préfère l’imaginer guerrier que garde. On fait ça bien, tous les trois… et on finit par jouir presque ensemble. Enfin d’abord moi, bien sûr, puis Hena et enfin le guerrier. Je vois que le père nous regarde. Hena lui demande :
— Vous voulez quelque chose, Maître ?
— Non, j’admire le tableau, c’est très joli.
Tant mieux s’il est content… Deux autres guerriers viennent m’entreprendre, l’un enfonce son sexe dans ma bouche, l’autre dans ma chatte qui est on ne peut plus accueillante, maintenant.
J’entends Anna demander :
— Où est ma servante ?
J’enlève le sexe que j’ai dans la bouche pour répondre :
— Je suis ici Maîtresse, entre les deux guerriers noirs.
— Bouge, je vais prendre ta place.
Les guerriers doivent savoir qu’elle est une cliente très importante, parce qu’ils se retirent aussitôt. Il faut une bonne raison pour que des guerriers quittent le terrier chaud et humide où étaient leurs bites. Hena leur montre la bouche et les fesses d’Anna en leur disant, dans leur langue, ce qui doit correspondre à :
— Changez de salope, baisez celle-ci.
Anna prend ma place et les guerriers la transpercent. Enfin, façon de parler, mais en la regardant avec une bite dans la bouche et une dans la chatte, elle ressemble effectivement à un petit porcelet embroché. Jeannot fait ce qu’il doit faire : il écarte les fesses du guerrier qui baise sa femme et il lui enfonce sa langue dans l’anus. Il est très bien dressé, Jeannot ! Hena me fait signe. Je vais près d’elle et elle me donne un verre d’alcool… C’est ma nouvelle amie, j’ai besoin d’amis. Je suis tellement angoissée par moment… La perspective de travailler dans les cannes à sucre terroriserait n’importe qui. Ariane a eu beau m’expliquer qu’avec mon physique et le sien, on se retrouvera « esclaves de maison », ça ne suffit pas à me rassurer.
Je bois, c’est fort et ça « pique » mais ça me fait du bien…
Les guerriers sont infatigables, baiser des Blanches, ça les excite vraiment.
C’est le début de la soirée… Les Signarès rejoignent les hommes dans la grande salle. On doit quitter la pièce et on va dans le quartier des esclaves… On mange assises par terre des choses que je suis incapable d'identifier, sans doute du gibier de chasse. Les guerriers sont là aussi. Je vais me mettre à côté d’Ariane… Elle me dit :
— Je t’ai vue avec une belle Africaine.
Je deviens toute rouge et je réponds :
— C’est que… euh…
— Que tu aimes les chattes noires.
Elle rit… moi aussi. Elle dit ça pour jouer, pas par jalousie. On doit encore prêter un derrière – qui en a vu littéralement de toutes les couleurs aujourd’hui – à quelques guerriers et enfin on peut dormir.
***
Le lendemain, on mange des choses toujours aussi bizarres et des fruits que je n’ai jamais vus. Ensuite, on est à nouveau enchaînées et on va au marché. Il y a des ballots de denrées diverses, on doit les charger sur quatre charrettes puis aller vers le bateau. Les hommes qui nous accompagnent nous donnent quelques coups de fouet pour la plus grande joie de la foule qui nous entoure. On doit monter les ballots sur le bateau. Il faut faire plusieurs voyages. Certains sacs sont très lourds et ce sont les mousses qui sont chargés de les mettre dans la cale.
Ensuite on vogue… Les servantes nettoient, les passagers festoient… Anna essaie presque tous les hommes, depuis le capitaine jusqu’aux mousses. Quand j’en ai l’occasion, je suis près d’Ariane. Avec elle, je me sens enfin rassurée. On dort ensemble et de temps en temps, elle me permet d’aller sous les draps pour embrasser passionnément sa chatte... et la lécher, bien sûr. On a aussi des moments de grâce, par exemple quand le bateau est accompagné par des dauphins.
La vie avec Anna n’est pas toujours facile, par contre. Ce matin, elle est nue, couchée sur son lit. Je suis occupée à lui limer les ongles des pieds. Elle s’étire, bâille, puis elle me dit :
— J’me fais chier ! J’ai bien envie de te faire attacher et fouetter pour me distraire. C’est amusant de te voir gigoter...
Rien de mieux que ce genre de paroles pour que mon cerveau passe de mode légume au mode « Léonard de Vinci ». Je lui dis :
— J’ai des idées pour vous distraire, Maîtresse.
— Oui te faire fouetter… Tu as autre chose ?
— Oui… Monsieur et vous, vous vous déguisez en mousse et vous allez à une soirée des matelots…
— Ouais… c’est tout ?
— On disait qu’on passe l’équateur…
— On ne le passe pas.
— Oui, mais le bateau a dévié, vous êtes Neptune et vous dirigez les baptêmes des passagers… Ils sont nus, enduits de graisse… Ils doivent ramper à vos pieds…
Là, elle est intéressée mais elle ne le dit pas… elle baille, puis elle me regarde et demande :
— Autre chose ?
— Avec les passagers et les membres d’équipages, concours de cunnilingus et fellations…
— Les passagers ne voudront pas.
— Vous êtes riches, très riches… Vous avez le droit de vous distraire… Vous donnerez des prix en espèces au meilleur lécheur et lécheuse. Monsieur serait hors-jeu.
Là, elle rit avant de dire :
— J’hésite… C’est amusant de te voir attachée à un mât…
Je crie :
— Et aussi, colin-maillard, Maîtresse.
Elle réfléchit… imaginant sans doute des mains de matelots lui caressant les seins et les fesses. Elle me dit :
— Va chercher Henri.
— Oui Maîtresse.
Je sors de la cabine… Où peut-il bien se cacher ? Je vais dans les cuisines. Je toque et j’entre. Pour bien les disposer, je fais une belle révérence, puis je demande aux servantes :
— Est-ce que vous savez où est Monsieur Henri, le peintre ?
J’ajoute :
— S’il vous plaît… ma maîtresse voudrait lui parler.
Une des filles répond :
— Il est sur le pont principal, il dessine ta maman.
— Merci beaucoup, Mademoiselle.
Je sors des cuisines. Oui, Ariane est la maman et moi son bébé… si ça les amuse… Sur le pont principal, Henri dessine Ariane, sa chevelure noire flottant dans le vent. Henri me voit le premier et il lui dit :
— Ton bébé te cherche.
Trop drôle ! Je lui dis :
— Ma maîtresse voudrait vous voir, Monsieur Henri.
Il demande à Ariane :
— Tu donnes parfois le sein à ton bébé ?
Elle rit, baisse la bretelle de sa robe et sort un de ses seins. Elle me dit :
— Tu as faim ?
— Oh oui, m’man.
Elle tape sur ses cuisses et je vais m’asseoir puis je me mets à téter le sein qu’elle a sorti de sa robe. Elle a transpiré et son sein a un goût salé… j’adore. Les passagers se rapprochent pour regarder Henri dessiner une maman nourrissant son bébé…
— Vous pouvez baiser celle que vous voulez.
Il sautent sur les filles encore libres. Moi, je suis contre Hena, je l’enlace et l’embrasse sur la bouche. Elle me dit :
— Tu aimes les Africaines ?
— Oh oui, beaucoup.
J’embrasse ses seins. Elle se couche sur une natte et je me glisse entre ses jambes. Elle m’a aidée et elle me plaît. Henri commence aussitôt à nous dessiner. Rapidement, il dit :
— Il manque du noir derrière toi…
Il regarde les gardes et dit :
— Je voudrais un homme pour baiser cette petite.
À nouveau, un métis traduit tout en leur montrant mon derrière. Mais non, j’ai envie de continuer à faire plaisir à ma nouvelle amie… Un garde vient derrière moi et il caresse ma fente avec son gland. C’est agréable… ce qu’il l’est moins, c’est quand il enfonce 20 centimètres de bite dans ma chatte. Heureusement que je suis excitée. Henri apprécie et dit :
— Voilà ce que je voulais : noir, blanc, noir.
Oui, oui, on a compris. Hena ne doit pas avoir l’habitude qu’une femme la lèche, surtout une blonde. Elle se tortille sous ma langue tandis que je vais et viens sous les coups de bite du guerrier. Je préfère l’imaginer guerrier que garde. On fait ça bien, tous les trois… et on finit par jouir presque ensemble. Enfin d’abord moi, bien sûr, puis Hena et enfin le guerrier. Je vois que le père nous regarde. Hena lui demande :
— Vous voulez quelque chose, Maître ?
— Non, j’admire le tableau, c’est très joli.
Tant mieux s’il est content… Deux autres guerriers viennent m’entreprendre, l’un enfonce son sexe dans ma bouche, l’autre dans ma chatte qui est on ne peut plus accueillante, maintenant.
J’entends Anna demander :
— Où est ma servante ?
J’enlève le sexe que j’ai dans la bouche pour répondre :
— Je suis ici Maîtresse, entre les deux guerriers noirs.
— Bouge, je vais prendre ta place.
Les guerriers doivent savoir qu’elle est une cliente très importante, parce qu’ils se retirent aussitôt. Il faut une bonne raison pour que des guerriers quittent le terrier chaud et humide où étaient leurs bites. Hena leur montre la bouche et les fesses d’Anna en leur disant, dans leur langue, ce qui doit correspondre à :
— Changez de salope, baisez celle-ci.
Anna prend ma place et les guerriers la transpercent. Enfin, façon de parler, mais en la regardant avec une bite dans la bouche et une dans la chatte, elle ressemble effectivement à un petit porcelet embroché. Jeannot fait ce qu’il doit faire : il écarte les fesses du guerrier qui baise sa femme et il lui enfonce sa langue dans l’anus. Il est très bien dressé, Jeannot ! Hena me fait signe. Je vais près d’elle et elle me donne un verre d’alcool… C’est ma nouvelle amie, j’ai besoin d’amis. Je suis tellement angoissée par moment… La perspective de travailler dans les cannes à sucre terroriserait n’importe qui. Ariane a eu beau m’expliquer qu’avec mon physique et le sien, on se retrouvera « esclaves de maison », ça ne suffit pas à me rassurer.
Je bois, c’est fort et ça « pique » mais ça me fait du bien…
Les guerriers sont infatigables, baiser des Blanches, ça les excite vraiment.
C’est le début de la soirée… Les Signarès rejoignent les hommes dans la grande salle. On doit quitter la pièce et on va dans le quartier des esclaves… On mange assises par terre des choses que je suis incapable d'identifier, sans doute du gibier de chasse. Les guerriers sont là aussi. Je vais me mettre à côté d’Ariane… Elle me dit :
— Je t’ai vue avec une belle Africaine.
Je deviens toute rouge et je réponds :
— C’est que… euh…
— Que tu aimes les chattes noires.
Elle rit… moi aussi. Elle dit ça pour jouer, pas par jalousie. On doit encore prêter un derrière – qui en a vu littéralement de toutes les couleurs aujourd’hui – à quelques guerriers et enfin on peut dormir.
***
Le lendemain, on mange des choses toujours aussi bizarres et des fruits que je n’ai jamais vus. Ensuite, on est à nouveau enchaînées et on va au marché. Il y a des ballots de denrées diverses, on doit les charger sur quatre charrettes puis aller vers le bateau. Les hommes qui nous accompagnent nous donnent quelques coups de fouet pour la plus grande joie de la foule qui nous entoure. On doit monter les ballots sur le bateau. Il faut faire plusieurs voyages. Certains sacs sont très lourds et ce sont les mousses qui sont chargés de les mettre dans la cale.
Ensuite on vogue… Les servantes nettoient, les passagers festoient… Anna essaie presque tous les hommes, depuis le capitaine jusqu’aux mousses. Quand j’en ai l’occasion, je suis près d’Ariane. Avec elle, je me sens enfin rassurée. On dort ensemble et de temps en temps, elle me permet d’aller sous les draps pour embrasser passionnément sa chatte... et la lécher, bien sûr. On a aussi des moments de grâce, par exemple quand le bateau est accompagné par des dauphins.
La vie avec Anna n’est pas toujours facile, par contre. Ce matin, elle est nue, couchée sur son lit. Je suis occupée à lui limer les ongles des pieds. Elle s’étire, bâille, puis elle me dit :
— J’me fais chier ! J’ai bien envie de te faire attacher et fouetter pour me distraire. C’est amusant de te voir gigoter...
Rien de mieux que ce genre de paroles pour que mon cerveau passe de mode légume au mode « Léonard de Vinci ». Je lui dis :
— J’ai des idées pour vous distraire, Maîtresse.
— Oui te faire fouetter… Tu as autre chose ?
— Oui… Monsieur et vous, vous vous déguisez en mousse et vous allez à une soirée des matelots…
— Ouais… c’est tout ?
— On disait qu’on passe l’équateur…
— On ne le passe pas.
— Oui, mais le bateau a dévié, vous êtes Neptune et vous dirigez les baptêmes des passagers… Ils sont nus, enduits de graisse… Ils doivent ramper à vos pieds…
Là, elle est intéressée mais elle ne le dit pas… elle baille, puis elle me regarde et demande :
— Autre chose ?
— Avec les passagers et les membres d’équipages, concours de cunnilingus et fellations…
— Les passagers ne voudront pas.
— Vous êtes riches, très riches… Vous avez le droit de vous distraire… Vous donnerez des prix en espèces au meilleur lécheur et lécheuse. Monsieur serait hors-jeu.
Là, elle rit avant de dire :
— J’hésite… C’est amusant de te voir attachée à un mât…
Je crie :
— Et aussi, colin-maillard, Maîtresse.
Elle réfléchit… imaginant sans doute des mains de matelots lui caressant les seins et les fesses. Elle me dit :
— Va chercher Henri.
— Oui Maîtresse.
Je sors de la cabine… Où peut-il bien se cacher ? Je vais dans les cuisines. Je toque et j’entre. Pour bien les disposer, je fais une belle révérence, puis je demande aux servantes :
— Est-ce que vous savez où est Monsieur Henri, le peintre ?
J’ajoute :
— S’il vous plaît… ma maîtresse voudrait lui parler.
Une des filles répond :
— Il est sur le pont principal, il dessine ta maman.
— Merci beaucoup, Mademoiselle.
Je sors des cuisines. Oui, Ariane est la maman et moi son bébé… si ça les amuse… Sur le pont principal, Henri dessine Ariane, sa chevelure noire flottant dans le vent. Henri me voit le premier et il lui dit :
— Ton bébé te cherche.
Trop drôle ! Je lui dis :
— Ma maîtresse voudrait vous voir, Monsieur Henri.
Il demande à Ariane :
— Tu donnes parfois le sein à ton bébé ?
Elle rit, baisse la bretelle de sa robe et sort un de ses seins. Elle me dit :
— Tu as faim ?
— Oh oui, m’man.
Elle tape sur ses cuisses et je vais m’asseoir puis je me mets à téter le sein qu’elle a sorti de sa robe. Elle a transpiré et son sein a un goût salé… j’adore. Les passagers se rapprochent pour regarder Henri dessiner une maman nourrissant son bébé…
Ariane me donne une petite tape sur la tête en disant :
— Doucement, bébé…
J’aimerais mieux téter sa chatte. Henri nous a dessiné et il dit :
— Attends-moi Ariane, je reviens.
On va dans la cabine d’Anna. Elle dit :
— Vous en avez mis du temps !
Henri lui montre son dernier dessin en disant :
— J’ai eu l’idée de faire ça.
— Oh, c’est joli… et puis elle fait trop bien le bébé.
Elle ajoute :
— Explique tes idées.
Je lui parle du passage de l’équateur… oui, on fait semblant. Neptune qui baptise ceux qui le passent pour la première fois… Colin-maillard...
Il répond :
— Il y aurait moyen de faire de très beaux dessins, ce sont d’excellentes idées, Anna.
Bon, je ne serai pas attachée au mât et fouettée, c’est ce qui est important.
— Doucement, bébé…
J’aimerais mieux téter sa chatte. Henri nous a dessiné et il dit :
— Attends-moi Ariane, je reviens.
On va dans la cabine d’Anna. Elle dit :
— Vous en avez mis du temps !
Henri lui montre son dernier dessin en disant :
— J’ai eu l’idée de faire ça.
— Oh, c’est joli… et puis elle fait trop bien le bébé.
Elle ajoute :
— Explique tes idées.
Je lui parle du passage de l’équateur… oui, on fait semblant. Neptune qui baptise ceux qui le passent pour la première fois… Colin-maillard...
Il répond :
— Il y aurait moyen de faire de très beaux dessins, ce sont d’excellentes idées, Anna.
Bon, je ne serai pas attachée au mât et fouettée, c’est ce qui est important.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin.
Nos 7 livres illustrés sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
Bruce Morgan et Mia vous proposent «Ashley et les esclaves » 319 pages,
81 dessins + « Les vacances de Mia » 35 pages, 14 dessins de Bruce. Vous allez passer de super moments pour 10 € via paypal à : leslivresdemia@gmail.com
Vous les recevrez directement sur votre mail (prière de me le dire, paypal ne donne pas le mail)
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