566 - 71 - Entre les fêtes.

J’ai terminé l’histoire de Lizy. Elle a presque fait le tour du monde : les Indes, l’Angleterre, la France, le Sénégal, la Guadeloupe, Cuba et les États-Unis.
Comme chaque fois, c’est une œuvre originale et je ne me suis inspirée de personne. La Musardine va publier Lizy.
Cette semaine, entre les deux réveillons, mon mari et mon fils ont envie d’aller aux sports d’hiver. Moi, je déteste le froid et à force de supplications et de promesses, mon mari m’a laissée partir quelques jours de mon côté. J’ai justement une amie, avec qui je m’entends bien, qui a ouvert un petit hôtel dans le sud du Portugal. Je lui envoie un mail pour lui demander si je pouvais aller quelques jours chez elle. Je lui propose de l’aider comme je le fais en été chez des amis riches. 
Elle me répond être justement à court de personnel et qu’elle me loge et me nourrit gratuitement, si je sers les petits déjeuners et si je fais les chambres. Comme à Mougins, ajoute-t-elle. 
Elle est au courant de ce que je fais pour avoir des vacances gratuites en été. 
J’ai juste assez d’argent pour l’aller et retour en avion. Mon mari et mon fils veulent skier... chacun ses goûts.
Je fais ma valise : pas de sous-vêtements, juste quelques vêtements, ma brosse à dents et du dentifrice. 
Le voyage se passe bien à part que j’ai la trouille en avion, normal. Mon amie est censée venir me chercher à l’aéroport. Après la douane, je la vois et on s’embrasse. Je lui dis :
— C’est vraiment gentil de m’inviter, K.
Elle me répond :
— Avec plaisir, mais le matin et le midi, tu dois servir au restaurant et faire les chambres...
— Oui, je sais, pas de problèmes.
— Pour que ce ne soit pas bizarre devant les clients, c’est mieux que tu me vouvoies et que tu m’appelles Madame.
— Oui Madame.
Ça ne me dérange pas. On prend un taxi et on file vers le sud. Il y a du soleil et il fait doux, juste ce qu’il me fallait. On arrive à Praia da Faro, devant l’hôtel. C’est une jolie maison avec un grand jardin en bordure d’une lagune qui donne sur la mer. La mer n’est pas tout près, mais il y a un long chemin recouvert de planches pour y arriver. 
Il y a cinq chambres... et je vois déjà des clients assis sur la terrasse. On va dans la cuisine et K me présente à la cuisinière, une grosse Portugaise. Elle lui dit en anglais :
— Voici la nouvelle bonne pour quatre jours. Tu lui expliqueras ce qu’elle doit faire.
— Oui, Madame.
Heureusement qu’elle parle un peu l’anglais. 
On est en fin d’après-midi. K me montre sa chambre où je vais dormir, parce qu’il n’y a plus une chambre de libre. Il y a un matelas à côté de son lit. Bon... Il fait beau et chaud, c’est ce qui est important.
Je vais sur la terrasse me mettre au soleil... Je suis fatiguée, je m’endormirais bien... Je regarde le coucher de soleil. Il commence à faire un peu frais. J’ai envie de boire une bière. K parle avec des clients, je lui dis :
— J’aimerais boire quelque chose, Madame.
— Tu ne vois pas que je parle avec des clients ?
— Pardon, Madame.
Quand elle a fini, elle me dit :
— Ce soir, je mange avec des clients. Le mieux, c’est que tu ailles manger à la cuisine.
Bon... K a bien retenu de ce qui se passait chez les amis riches en été et elle me traite vraiment comme une bonne ! Je descends à la cuisine et je parle à la cuisinière en anglais. Elle se débrouille bien, je lui dis que Madame m’a dit de manger ici. Elle me présente à la fille qui fait le service. Elle parle aussi l’anglais. 
Quand les clients ont fini de manger, la fille nous rejoint et on mange des pâtes et du poulet. On boit du vin du pays. Vers 11 h, la cuisinière me dit  : 
— Nous on rentre, tu devrais aller te coucher, demain tu dois être ici à 7 h.
On s’embrasse sur la joue et je vais dans la chambre de Madame. Je passe à la salle de bains puis je me couche et je m’endors.
Je suis réveillée par un petit coup de pied sur les cuisses. C’est Madame qui me dit :
— Viens entre mes jambes.
Je pense « je dormaaais » mais je ne le dis pas. Je vais vite entre ses jambes et colle ma bouche à sa chatte qui me rappelle de bons souvenirs. Je sais ce qu’elle aime, comme la pince de crabe : deux doigts dans la chatte et un dans l’anus, tout en lui suçant le clitoris. Elle aime toujours et jouit rapidement. Elle me dit :
— Voilà une chose que tu fais bien. Tu peux aller dormir.
— Merci madame.
Je m’endors dans les odeurs de sa chatte, c’est agréable.
***
Le lendemain, nouveau coup de pied. Elle me dit :
— C’est l’heure Mia, on va à la cuisine.
Je bâille et réponds :
— Oui Madame.
On descend. Madame m’explique tout ce que je dois faire : mettre les assiettes et les couverts sur les tables. Elle fait du café. À 7 h 30’, les premiers clients arrivent. Ils ont une petite carte pour commander ce qu’ils veulent. De 7 h 30 à 8 h 30, je n’arrête pas de monter et descendre les escaliers pour apporter tout ce qu’ils veulent. Quand ils ont tous mangé, Madame prépare un plateau et me dit :
— Va le porter à la chambre 4, c’est le père et le fils. Ils sont venus à moto.
Je monte les escaliers et je dépose le lourd plateau par terre, pour toquer à la porte. J’entends :
— Entre.
Ah, ce sont des Français, ce sera plus facile. J’entre et je dis :
— Bonjour Messieurs, je vous apporte le petit déjeuner.
Le père doit avoir une cinquantaine d’années et le fils une trentaine. Ils ont bien des looks de bikers. Le père retire son drap et me montre son sexe dressé en disant :
— Je me réveille tous les matins comme ça, tu peux faire quelque chose pour moi ?
— Mais... euh... non Monsieur... Je suis femme de chambre.
— Et pour cent euros ?
— Vous feriez ça devant votre fils !
Oui c’est bête. Il répond :
— Deux cents euros.
Oh ! Je pourrais acheter des bijoux et un peu d’artisanat, mais.... ils n’ont pas pris de douche. J’hésite... Il me dit :
— Quatre cents euros et tu nous suces tous les deux.
En plus, il me montre deux tests HIV, le sien et celui de son fils. Là, je n’hésite plus, je dis :
— D’accord.
Je me mets à plat ventre entre ses jambes, comme hier soir entre les jambes de Madame, à la différence qu’elle sent bon. Je tire la peau pour dégager le gland. Je le prends en bouche en pensant à l’argent et à Marilyn parfumée au Chanel n° 5. Une fellation, je sais faire : je le suce tout en lui caressant fermement les couilles. Il jouit et j’avale tout, sinon je devrai encore changer les draps. Voilà, déjà 200 euros et putain, vite gagnés. Euh... putain, c’est le cas de le dire, mais bon, comme le dit un très vieux proverbe : « Nécessité ne connaît pas de loi ».
Il reste le fils. Il bande aussi, je crois que ça l’a excité de me voir sucer la bite de son père. Je pense à autre chose et je le suce soigneusement. Il jouit plus vite que son père. J’avale aussi. J’espère que leurs spermes vont bien s’entendre dans mon estomac. Le père me donne 500 euros en disant :
— Pour avoir tout avalé.
— Merci beaucoup.
— C’est nous, ma belle.
Je les laisse déjeuner et je retourne vite à la cuisine. La cuisinière est déjà arrivée. Madame me dit :
— Une demi-heure pour porter un plateau dans une chambre. Tu te fous du monde !
— Non, c’est que... euh...
— C’est que... tu mérites une fessée.
Elle prend par un bras et me fais basculer sur ses cuisses. Elle soulève ma jupe d’uniforme. La cuisinière dit en anglais :
— Elle n’a pas de culotte.
— Jamais. Prête Mia ?
— Pardon, Madame, mais...
— PAF ! 
Sa main vient de percuter mes fesses. Madame est une sportive, je le sens bien. Elle me donne une vingtaine de claques. Je crie, je supplie. Quand elle s’arrête, j’ai les fesses en feu. Elle me dit :
— Va faire les chambres.
— Ouiiii Madame, snnniifff !
Je fais les chambres le mieux possible, malgré l’incendie dans les fesses. Le midi, je sers les clients. Enfin il est 14 heures, j’ai fini mon service. Je suis vraiment fatiguée. Je dis à Madame :
— Je peux aller dans la chambre, Madame ?
— Tu ne vois pas que je suis occupée avec des clients, tu veux une autre fessée ?
Ça fait rire le couple de jeunes mariés avec qui elle parlait. Elle ajoute :
— Va faire un tour sur la plage, ça te fera du bien. Tu suis le sentier recouvert de planches et tu y arrives.
— Oui Madame. Je vais juste me changer dans la chambre.
Elle fait un geste genre « dégage ». Je monte dans sa chambre et je mets une petite robe. Impossible de mettre un maillot avec mes fesses toutes rouges. Je mets une pochette avec l’argent autour de mon cou. Je sors et je suis le sentier recouvert de planches qui se trouve le long de la lagune. L’endroit est désert, je suppose qu’il y a des chemins plus courts pour arriver à la plage. Je suis fatiguée et j’ai mal aux fesses quand je marche. Je décide de me reposer un peu sur les planches et je m’endors sur le côté, bien sûr.


Je suis réveillée par un petit coup de pied dans les fesses. C’est Madame qui me demande :
— C’est quand même pas une fessée qui te met dans cet état ?
— Non Madame....
— J’ai été un peu dure avec toi... Tu as envie de faire quelque chose ?
— Euh...
— Tu veux qu’on aille faire du shopping ?
— Oh oui, j’adorerais !
J’ai pu m’acheter ce que je voulais. Madame m’a même acheté une jolie bague... La fin du séjour s’est très bien passée, il faut dire que j’ai fait très attention.


PS Sur ce sujet, j’ai écrit « Les Vacances de Mia » avec des dessins de Bruce Morgan. Si vous le souhaitez, je vous l’envoie gratuitement par mail. mia.michael@hotmail.fr

Merci à Bruce Morgan pour le très beau dessin.

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