568 - 2 - Eden et ses belles-filles

 Je me rends compte que les filles ne s’essuient pas quand elles font pipi. Bien sûr, je n’ose rien leur faire remarquer. A ce sujet, Jade me dit :
— Tu laveras nos culottes à la main.
— Oui Mademoiselle.
Si je dis non, qu’est-ce qui va se passer ? Je suis avec l’homme que j’aime et même si ses filles sont un peu directives, c’est à moi de...
— Et alors tu rêves ? Tu dois travailler nettement plus vite.
— Oui, Mademoiselle.
— Je reviendrai dans une heure, il faut que tu aies terminé cette chambre.
Elle s’en va. Je mets tous les vêtements dans un grand sac, puis je balaie la chambre et je nettoie la salle de bain. 
À 7 h du soir, Stéphane entre dans la chambre et il me dit :
— Viens manger, tu continueras demain.
Il me prend dans ses bras et là, je me mets à pleurer. Il me dit :
— Tu étais d’accord pour le ménage, alors qu’est ce qu’il y a ??
— J’ai peur des filles.
— Ne te laisse pas faire, c’est tout. Allez, viens nous servir, ça leur fait tellement plaisir. Et puis souviens-toi, tu m’as dit toi-même que si mes filles faisaient des études, tu t’occuperais du ménage.
— Oui, c’est vrai... 
Je descends à la cuisine. Les filles ont mis la table, c’est déjà ça. J’apporte les pizzas, je les coupe et je les sers. Je n’ai pas le temps de m’asseoir qu’elles me font aller chercher des boissons, du ketchup, etc. Jade demande à son père :
— La bonne a fini sa journée ?
Ça les fait rire. Son père répond :
— Arrêtez de taquiner Éden, elle est sensible.
Jade répond :
— C’est pour plaisanter.
Mouais...
***
Une semaine se passe. La journée Stéphane s’occupe de son boulot d’exportation de voitures et les filles ne foutent rien à part prendre du soleil, jouer sur leurs tablettes et me demander une chose ou l’autre.
Ce matin, je sers le petit déjeuner et Stéphane s’en va. Il a rendez-vous avec des clients. Comme tous les matins, Jade m’a fait une liste de choses à faire. Je sais, j’avais dit d’accord pour le ménage, mais je ne connaissais pas Jade. Vers 2 h, elle a un coup de téléphone. C’est son père. Je l’entends dire :
— Ah putain la poisse !
— ……………..
— Longtemps ?
— …………….
— Ah oui, quand même.
— …………...
— D’accord... que tout aille...
Je suppose qu’on raccroche à l’autre bout du téléphone. Elle me dit :
— Papa a des problèmes... il ne peut pas rentrer avant un moment.
— Des problèmes graves Mademoiselle ?
— Il s’en sort toujours.
Puis elle va discuter avec Manon mais je n’entends pas ce qu’elles disent. Elle me dit :
— Que ça ne t’empêche pas de travailler, tu as encore plusieurs choses à faire.
L’après-midi, on sonne, je vais ouvrir. Il y a deux hommes, soit flics, soit truands. Un des deux me demande :
— Stéphane est là ?
— Non Monsieur, il est en voyage.
— Tu es la bonne ?
— Non, je suis sa femme.
— Quand il reviendra, dis-lui qu’il doit contacter Monsieur A. C’est très important.
— Monsieur A, je lui dirai.
Ils s’en vont, ce sont des truands. J’en ai assez, moi. Depuis que je suis ici, il se passe trop de choses qui ne me conviennent pas. Je me doutais pas que Stéphane était dans des affaires louches. Il y a aussi le fait que je vais être seule avec les deux filles. Je m’en vais... Je monte dans notre chambre et je mets très vite mes vêtements dans un sac. Un soir, j’ai vu où Stéphane cachait l’argent : dans le double fond de l’armoire de la salle de bain. Il n’y a pas beaucoup, mais je prends quand même la moitié... normal, on est mariés. 
La fille de la boîte d’intérim m’a dit qu’avec mon physique, je trouverai toujours un boulot de serveuse. Je descends tout doucement et je m’apprête à ouvrir la porte quand j’entends la voix de Jade :
— Les rats quittent le navire... enfin, la rate. Où vas-tu comme ça, petite Éden ?
— Je... j’ai eu la visite de deux hommes... et j’ai peur... je pars.
— Non !
— Mais vous ne pouvez pas me garder ici de force !
— Ben, si... Qu’est-ce qu’on va faire sans servante ? Tu ne veux quand même pas qu’on s’occupe du ménage nous-même ? Ce serait cruel de ta part.
Manon, qui fouillait dans mon sac, sort les billets et dit :
— Oh la petite voleuse ! Regarde.
Je dis très vite :
— On est mariée, j’ai droit à...
Paf !
— Aïee !!
Jade me donne une gifle qui claque sur ma joue. Elle me dit :
— Les choses vont changer. D’abord, tu n’as plus le droit de parler sans autorisation, sauf pour répondre à une question.
Manon ajoute :
— Ou alors il faut que ce soit super important, genre « y a le feu à la maison » !
Elles rient toutes les deux et moi je pleure de la gifle et... de la situation où je suis. Jade me dit :
— Papa a acheté un petit gadget amusant quand on avait des fréquentations qui ne lui plaisaient pas. On va le mettre sur toi. 
Et là, elle emploie à peu près la même formule que ma mère :
— Tu veux la méthode douce ou la méthode musclée ?
— Je vous en prie, laissez moi partir.
Nouvelle gifle : Paf ! 
— AAAAïïïeee !
Vu sa force, je dois avoir une joue toute rouge. Elle répète sa question, je réponds :
— La... la méthode douce, Mademoiselle Jade.... sniiiifff.
— Bon choix... alors tu vas remonter ta jupe, enlever ta culotte et te coucher sur le dos dans le divan.
J’obéis. Qu’est-ce que je peux faire d’autre ? Jade caresse mon pubis épilé en disant :
— Papa n’aime pas les poils, hein ?
— Non Mademoiselle.
— Bien ferme les yeux et ne bouge pas.
J’obéis et je sens qu’elles glissent quelque chose le long de mes jambes, ensuite elles l’ajustent sur mon sexe et entre mes fesses. C’est quoi ???? Jade me dit :
— Tu peux regarder...
Je vois que j’ai un truc en plastique sur mon sexe et entre mes fesses... C’est un genre de ceinture de chasteté. 


Je n’ose rien demander. Je suppose qu’elles veulent m’empêcher de me caresser ?? Ça n’a pas de sens. Jade me dit :
— Je vais t’expliquer. Supposons que tu sois une fermière et que tu aies des vaches dans une grande prairie clôturée. Passer une clôture, c’est facile pour une vache.... alors tu... tu....
Manon répond :
— Tu l’électrifies.
Elles rient toutes les deux. Jade poursuit :
— Tu ne peux plus quitter la maison sauf si on le décide... grâce à ça !
Elle me montre un petit boîtier et me demande :
— Qu’est-ce que tu en penses ?
— Pardon, je...
Elle lève la main en disant :
— Je t’ai demandé ce que tu en penses ?
— Ça me fait peur, Mademoiselle.
— Voilà une bonne réponse, tu as raison, parce que grâce à ce système, on peut aussi t’appeler et te punir. Regarde.
Elle me montre le boîtier, il y a 3 numéros : 1, 2, 3. Elle me dit :
— Le 1 c’est pour t’appeler.
Elle pousse dessus et :
— Aaaaïïïe !
J’ai reçu une décharge électrique dans la chatte. Ça ne fait pas très mal mais ça saisit. Elle ajoute :
— Et ça, c’est pour te punir d’avoir volé.
Elle pousse sur le 3.
— AAAAAÏÏÏÏEEEEE.…!
Je prends ma chatte à deux mains et je me mets à pleurer, de douleur cette fois-ci... Elle me dit :
— Message reçu ?
— Ouiuuuii... sniiiif... Ma... Mademoiselle.
— Bien... tu n’aurais pas du travail ?
— Si, Mademoiselle.
— Alors vas-y et pas la peine de remettre ta culotte...
Je me mets debout, les jambes tremblantes. Manon me dit :
— N’oublie pas : une petite décharge et tu rappliques... fissa.
— Ouiiiiii Mademoiselle.
Jade ajoute :
— Et tu ne voles plus !
— Non Mademoiselle.
C’est vrai, je n’aurais jamais dû prendre cet argent... mais elles me traitaient si mal ! Maintenant je le paie.
Je fais une révérence et je vais continuer à faire leurs lits et leurs chambres. Je m’attends à tout moment à avoir une décharge dans la chatte. De cette façon, on dirait que je parle de sexe. Je m’attends à avoir une douleur aiguë dans la chatte. Je fais d’abord la chambre de Jade, elle est la plus jeune, mais c’est elle qui commande. Je commence la chambre de Manon et là : « Dziiii ! »
— Aïe !
Je dévale les escaliers pour aller au rez-de-chaussée et je cours au jardin où sont les filles. Elles boivent une bière à l’ombre d’un parasol. Jade me dit :
— Qu’est-ce qui se passe ?
— Je... j’ai eu une décharge d’électricité.
— Ah, j’ai dû toucher le bouton par erreur.
Je dois faire une drôle de tête car les filles se mettent à rire et Jade me dit :
— Mais non, j’ai fait un essai. Ça marche bien, n’est-ce pas ?
— Oui Mademoiselle.
— Bon eh bien, continue !
Bêtement, je lève la main comme à l’école. Elle dit :
— Quoi encore ?
— Je peux faire pipi avec la ceinture, Mademoiselle ?
— Mais oui, c’est fait pour. Allez, au travail.

À suivre.

Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin.

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