573 - 7 - L'équipe de tournage.

On prend une voiture 4X4... Tant mieux, il commence à neiger. Je lui demande :
— On va où ?
— Dans un des studios de la Sex Park Entertainement.
Je voulais savoir dans quel pays, mais après tout, je m’en fiche. La voiture se gare et on se dirige vers un grand hangar. Un garde nous ouvre une porte en disant :
— 어서 오십시오
Ce à quoi Elena répond :
— 감사
Est-ce que je suis bien réveillée ? Je n’ai jamais entendu cette langue. Je dis à Elena :
— Je n’ai rien compris.
— C’est simple, le garde m’a dit : « Bienvenue » et j’ai répondu : « Merci ». C’est maintenant une des comédiennes qui va s’occuper de toi. Elle arrive.
Je vois arriver une femme d’une quarantaine d’années, grande et rebondie de partout. Elle est jolie mais vraiment grosse et elle sent très fort la transpiration, plus fort que moi. Elle va vers Elena et l’embrasse en disant :
— Bonsoir ma belle… toujours aussi appétissante. Tout s’est bien passé ?
— Pas très facile de voyager avec une fillette qui a peur de tout.
Elle se tourne vers moi en disant :
— Fais une belle révérence à ta nouvelle baby-sitter.
Elles sont folles ! Mais, je fais une révérence en disant :
— Bonsoir Madame.
Elena lui dit :
— Je vais y aller... Bonne chance Éden... et sois sage.
Elle s’en va. La grosse me dit :
— Tu as faim ?
— Oui Madame.
On va dans un restaurant. On se dirige vers une grande table où il y a déjà trois hommes et deux femmes. Elle me présente :
— Voici Éden, les amis. La star de la série et la fillette que je dois surveiller. Fais une révérence petite.
Fillette, c’est ridicule ! J’en ai marre de ces conneries, je vais....
— Aaaaïe !!!
Elle m’a pris par une oreille et elle tire fort en disant :
— Obéis !
— Ouïïïï.
Elle me lâche et je fais une révérence en disant :
— Bonsoir... sniiiiif...
La méchante grosse me dit :
— Arrête de pleurer ou je te donne une fessée.
J’arrête. On s’assied. Une des femmes lui dit :
— Tu es dure avec elle, Grande Mère.
Grande Mère ?? Elle répond :
— Faut qu’elle obéisse et elle sera récompensée. 
Puis, à moi :
— Tu veux une glace ?
— Oh oui... Madame.
Elle appelle la serveuse et elle dit :
— Une glace pour la petite, tu sais quoi... et pour moi, un Hodu Gwaja pour grande personne avec de la crème fraîche.
Elle lui caresse les fesses en disant :
— Tu as toujours un aussi joli petit cul, Suzy.
La fille rit et se dégage.
Ils parlent entre eux du premier jour de tournage. Une des femmes me demande :
— Tu garderas ton nom ?
— Je ne sais pas, on ne m’a rien dit... J’espère que ça ira.
— Mais oui, tu verras... Tu joues comme avec Jade.
Je rougis, ils m’ont vue sur le Net ? La serveuse m’apporte une glace brésilienne avec beaucoup de crème fraîche. La grosse reçoit un curieux gâteau, elle me dit :
— C’est du Hodu Gwaja, une pâtisserie à base de noix.
— Je peux en avoir un ? S’il vous plaît...
Ma façon de demander lui convient et elle demande à la serveuse de m’apporter la même chose. Ça me plaît vraiment.
Ils parlent du projet, j’en apprends un peu plus. Jusqu’au moment où elle dit :
— Demain à huit heures dans le studio, maintenant on va se coucher. Dormez bien.
Je les salue et on monte dans sa chambre. Elle va dans la salle de bain, puis moi. Quand je reviens, elle est nue, couchée sur le lit. Elle est grosse, même très grosse, mais elle a un beau visage et elle est appétissante. Elle écarte les cuisses en disant :
— Montre-moi ce que tu sais faire avec ta petite langue.
Heureusement, elle ne dit plus fillette. Je n’envisage pas un instant de dire « mais on n’est pas lavées ! » J’ai pris un hélicoptère puis un avion, je peux bien terminer la série en léchant la chatte d’une grosse femme pas lavée. Je me couche entre ses jambes. Elle sent fort, très fort... Seule solution, tout lécher vite et bien. Elle apprécie et dit :
— Bien petite... là, tu montres que tu sais y faire.


Je tète son clitoris comme les bébés crocodiles tètent leur mère. Qu’est-ce que je raconte, moi ? Tout en la suçant et en léchant, j’ai une autre image, un petit porcelet femelle, moi, léchant la chatte de sa grosse truie de mère. J’imagine la scène... La truie me dit :
— Tu fais ça bien, tu mérites de jouir aussi, mets-toi sur moi.
Cette fois, je suis à deux doigts de dire : « je ne suis pas lavée », mais j’ai déjà compris que pour m’entendre avec elle, je dois lui obéir. Je me tourne et pose ma chatte sur son visage. L’odeur ne la dérange pas, elle pose ses mains sur mes fesses en disant :
— T’as vraiment un beau cul naturel, ils vont adorer.
Je suppose que beaucoup d’actrices sont... retouchées et...
— Oooohhh !
Elle me lèche et je suis à la fois gênée et ravie, ça fait... tellement longtemps qu’on ne m’a pas fait ça. Je gémis tout en lui faisant la même chose. Au moment où elle va jouir, elle enfonce un doigt dans mon cul ! Ouch ! Il ne m’en faut pas plus pour prendre un super pied, c'est pas très propre, mais très très bon. Je lui dis :
— Merci Madame, c’était trop bon.
— Pour moi aussi, mais entendons-nous, ce n’est pas pour ça que tu ne devras pas m’obéir.
— Je vous obéirai. 
Elle me prend, me retourne et me colle à elle. Quelle force elle a ! Je sens ses seins contre mon dos et les poils de sa chatte me caressent les fesses... Peut-être que tout se passera bien. Je m’endors, apaisée physiquement et moralement...
***
Le lendemain, elle me secoue en disant :
— Debout Éden !
— Ouiiii... 
— Grouille, on est en retard
On va à la toilette et on s’habille sans se laver, c’est vraiment bizarre. Elle me dit :
— Tu as la trouille ?
— Ouiiii !
— Ça ira... le seul problème sera le froid. Prends l’habitude de m’appeler « Grande Mère », c’est mon nom dans cet épisode.
On descend et on rejoint l’équipe dans la salle à manger. Que de monde, sûrement une quarantaine de personnes. La Grande Mère dit :
— Bonjour... Je vous présente Éden.
Ils me disent bonjour, je les salue aussi.
Grande Mère se dirige vers les deux places qui restent libres, les nôtres. Un homme nous dit :
— Vous êtes en retard.
Grande Mère répond :
— J’ai testé la petite, elle m’a léchée comme une vraie petite pute et regardez les vedettes de la série...
Elle me retourne, remonte ma jupe et tire sur ma culotte pour montrer mes fesses en disant :
— Et elles sont naturelles, regardez comme elles bougent bien
Elle me donne quelques claques, pour montrer la fermeté de mes fesses. Elle me retourne pour les montrer au reste de l’équipe. J’ai l’impression d’être une poupée entre ses mains. Ça amuse tout le monde et on ne parle plus du retard.
Le petit déjeuner se compose de nourritures bizarres dans divers bols... Ce n’est pas mauvais. Quand on a mangé et bu du thé, un des hommes assis en face de moi me dit :
— Je suis Steve Deloy, le metteur en scène. On va te donner ton texte pour aujourd’hui. Il n’est pas long. Au début de l’épisode, tu es censée ne pas connaître les gens, tu apprendras après le tournage d’aujourd’hui, pour que ce soit plus naturel.
— Oui Monsieur.
On se dirige tous vers un grand hangar. Avant d’entrer, une des personnes qui s’occupe des vêtements me donne des fourrures et des chaussures en cuir en disant :
— Mets ça, il ne fait pas chaud à l’intérieur. 
Les autres comédiens s’habillent de fourrures aussi, tandis que le metteur en scène, les techniciens et la scripte s’habillent chaudement.
Tout le monde est prêt et on entre dans le hangar. Ouch ! Il y fait froid. Ils ont reconstitué un village de huttes.
Grande Mère me dit :
— On tournera en extérieur aussi.
Le metteur en scène me présente tous les comédiens qui joueront aujourd’hui. Il me dit :
— Voici Stella, Louise, Evan, Jack et Adam et Grande Mère que tu connais déjà. Ce sera son nom dans l’épisode.
Ils viennent tous m’embrasser. Adam me dit :
— Pourquoi es-tu aussi stressée ?
— J’ai... je n’ai jamais joué, j’ai peur de ne pas en être capable.
Grande Mère me dit :
— Tu ne devras pas jouer, tu dois être toi... Il y aura peu de dialogues, je t’aiderai à les apprendre. Ça ira... 
Stella, une des comédiennes, ajoute :
— Tu es vraiment le personnage de la série. Et tu as un super cul naturel.
— Merci Mademoiselle.
Pourquoi ils parlent tous de cul naturel ? Je suppose que c’est parce que dans la plupart des séries, les filles sont bourrées de silicone.
La scripte me donne mon texte, c’est vrai qu’il n’est pas très long. Grande Mère me fait répéter, elle soulève bien de temps en temps mes fourrures pour me filer quelques claques sur mes fesses. Je crie, ça amuse tout le monde. Le résultat de ces fessées rapides, c’est que ça me réchauffe et que j’apprends mon texte. 
Quand je le connais, je dois le jouer... J’ai vraiment chaud aux fesses mais je joue bien. 
Bon, comment vais-je vous décrire ce tournage ? Il s’est passé avec des arrêts quand j’oublie mon texte, des engueulades, des fessées, pas trop heureusement. Je finis par le connaître et mon jeu satisfait le metteur en scène. Ce n’est pas intéressant de tout décrire.
Et si c’était l’héroïne qui vous raconte son histoire ? Ce serait beaucoup mieux. Je vais faire ça. 
On clape : Épisode 1 « Les Magdaléniens ».

À suivre.

Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin.

Nos 7 livres illustrés sont ici : 
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search


Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Lizy 24 - En mer, à nouveau...

597 - 31 Une cure de soumission.

33 - On voyage.