584 - 18 Cléopâtre.
Prologue : tous les événements sont ceux rapportés par divers auteurs grecs et romains, jusqu’à la Bataille d’Actium.
Un de nos auteurs a transformé la fin. Ce n’est pas une leçon d’histoire mais un épisode pour vous faire rêver...
***
Je m’appelle Cléopâtre VII et je suis la descendante de Ptolémée, le général grec devenu roi d’Égypte, il y a plusieurs siècles. Notre famille a adopté toutes les coutumes égyptiennes. Comme les pharaons, nous sommes considérés comme des dieux et nous ne pouvons épouser que des membres de notre famille. À 17 ans je me marie avec mon frère Ptolémée XIII et je deviens reine d’Égypte.
Je partage le trône avec lui. C’est tout ce que nous partageons, car je sais qu’il complote pour m’évincer. À force de mensonges et de promesses à des personnages importants, il y parvient et je perds mon titre et mes pouvoirs. À mon tour d’intriguer pour reprendre la place qui m’est due.
J’allais avoir une occasion en or. Rome tient à ce que l’Égypte reste un pays stable et on envoie Jules César pour me réconcilier avec mon mari. Il est logé dans une belle résidence proche du palais. Dès son arrivée, il nous convoque, mon frère et moi. Je refuse d’y aller car je tiens à le voir seule et pour tout dire, je veux le séduire.
Ça ne devrait pas poser de problèmes étant donné que je suis belle et que j’ai 30 ans de moins que lui. Le jour de son arrivée, mes servantes me lavent, me coiffent et me maquillent. Elles terminent en me mettant du parfum à base de lotus dans le pli du bras et derrière le genou.
J’ai un petit autel dans mes appartements. Il y a différentes divinités, mais aujourd’hui, je confie mon destin à Hathor, déesse de la beauté, et à Sothys, une déesse représentée par une étoile dont la lumière attire les hommes. Bien sûr, je compte aussi sur mes fesses qui sont les plus belles d’Égypte, mais une petite aide des Dieux peut toujours être utile.
Dans la soirée, deux serviteurs viennent apporter un tapis de lin coloré. Une servante ajoute un grand rectangle de lin rouge. Je me couche dessus, uniquement vêtue de ma beauté et de ma détermination à reprendre ma place de reine. Les servantes me roulent doucement dans le tapis et deux hommes me portent sur leurs épaules jusqu’à la résidence de César. Des gardes romains sont devant la porte. Un des serviteurs lui dit :
— C’est un cadeau de la Reine pour le Premier consul.
On nous laisse entrer, moi toujours bien cachée. On suit une servante vers les appartements de César. Il est à moitié couché sur un divan, à la mode romaine. Il n’est vêtu que d’une toge. Une esclave noire et une blanche le servent. La servante lui dit :
— Un cadeau de la reine Cléopâtre, Maître.
Il regarde le tapis et répond :
— Un tapis ? Qu’est-ce qu’elle veut que j’en fasse ?
Un des porteurs répond :
— Elle nous a dit qu’il y avait une surprise à l’intérieur, Maître.
Ils déroulent lentement le tapis et j’apparais sur le ventre, ce qui n’était pas prévu. Je me mets à genoux, puis je me redresse en levant les bras. Je tourne sur moi- même le plus gracieusement possible pour me montrer. Je lui dis :
— Le cadeau, c’est moi, Cléopâtre.
Il est d’abord très surpris, puis il sourit et dit :
— Jamais vu d’aussi belles fesses, j’accepte.
Il se tourne vers ses esclaves bicolores en disant :
— Allez aider mon cadeau à venir jusqu’à moi, petites.
Les filles m’entourent, je pose les mains sur leurs épaules et j’ondule jusqu’à Jules César. Il me dit :
— Que veux-tu de moi, jolie reine ?
Vite répondre quelque chose d’intelligent...
— Je veux faire l’amour avec l’homme le plus puissant du monde.
Il rit et enlève sa tunique. Son sexe est dressé vers moi. Il a beau avoir 30 ans de plus que moi, il est viril et séduisant. Je passe mes bras autour de son cou et je me colle à lui. On s’embrasse, il prend mes fesses à pleine main. Il me dit :
— Tu sens sens bon la fleur de lotus et la fille qui a eu chaud...
C’est vrai que j’ai beaucoup transpiré dans le tapis. Tant que ça lui plaît... Il se couche sur le dos sur le divan et il prend ma main pour m’amener sur lui. Je m’assieds sur son sexe dressé. La situation me plaît et il glisse en moi aussi facilement qu’une barque sur le Nil. C’est une image : je ne mouille pas à ce point. Je me fais aller et venir sur son sexe. Je fais tout le travail et ça a l’air de lui plaire... Quand je sens qu’il va jouir, je jouis aussi ou alors je fais semblant. Je me couche sur lui et il me dit :
— Tu me plais beaucoup... Tu aimes aussi les femmes ?
— Oui, bien sûr, les femmes sont douces et elles sentent bon.
— C’est vrai. Montre.
Je fais signe aux deux esclaves de venir et, en les prenant par la nuque, je les embrasse. Nos trois langues se caressent. Il s’est redressé pour regarder. S’il aime ça, on va lui faire un joli numéro. Je me couche sur le dos et je dis à la Blanche :
— Lèche-moi.
Puis à la Noire :
— Assieds-toi sur mon visage.
César est stupéfait, il dit :
— Une esclave noire assise sur le visage de la reine... d’Égypte !!
Il doit penser que je suis la reine des putains, mais c’est mon plan pour reprendre ma place à la tête de l’Égypte.
L’esclave blanche me fait jouir tandis que je fais jouir l’esclave noire. César adore. Il me dit :
— Je suis dur à nouveau, ça ne m’est plus arrivé depuis des années.
Je réponds :
— Mets-toi à quatre pattes, mon beau guerrier.
Je dis aux deux esclaves ce qu’elles doivent faire : une lui lèche les couilles et l’autre l’anus.
Pas facile à faire, mais il n’y a rien de plus docile que des esclaves quand il s’agit d’obéir. C’est la magie du fouet. Moi je me glisse sous lui et je suce son sexe... Il aime et le dit haut et fort. Il jouit dans ma bouche. J’avale tout et ce sera le début de notre liaison.
***
Il faut peu de temps pour que je redevienne Reine d’Égypte... Mon frère et mari, ça ne l’enchante pas, mais ça n’a pas d’importance, parce que peu de temps après, il sera assassiné. On a tous des ennemis quand on a le pouvoir.
L’inconvénient de cet assassinat, c’est d’abord pour lui et puis pour moi, car je suis obligée d’épouser mon autre frère, Ptolémée XIV. On se voit très peu et je continue ma liaison amoureuse et sexuelle avec Jules César...
Hélas, César est obligé de rentrer à Rome pour des affaires urgentes et il se fait lui aussi assassiner. Mon frère l’avait bien cherché mais mon amant, assassiné par son fils adoptif, ça me fait vraiment mal. Son dernier cadeau, c’est que je suis toujours reine d’Égypte.
***
Je ne dois penser qu’aux affaires de l’Égypte, surtout que Marc Antoine arrive de Rome. Il souhaite former une alliance avec l’Égypte pour combattre les Parthes. Je dois le séduire... J’aime les généraux et les gens de pouvoir, même si lui aussi est plus âgé que moi.
Tout le monde est au courant de l’histoire du tapis. Je l’invite à dîner en tête à tête, juste vêtue d’une tunique très légère, qui a cependant un défaut, les bretelles ont tendance à glisser de mes épaules. Ça lui plaît, il me dit :
— Tu as de très beaux seins.
Je ris et réponds :
— Vous exagérez un peu, disons les plus beaux seins d’Égypte.
— Veux-tu faire une alliance avec moi ?
— Avec plaisir, on signe un document ?
— Ou on partage la même couche ?
— D’accord.
Je remercie mes seins, ils sont magiques... Mes chères déesses Hathor et Sothys m’ont aidée à nouveau. Je leur ferai des offrandes.
Marc Antoine culbute la reine d’Égypte sur la couche royale. Il me fait l’amour comme un amoureux, couché sur moi. Je relève mes jambes pour qu’il puisse pénétrer au plus profond de moi.
Un de nos auteurs a transformé la fin. Ce n’est pas une leçon d’histoire mais un épisode pour vous faire rêver...
***
Je m’appelle Cléopâtre VII et je suis la descendante de Ptolémée, le général grec devenu roi d’Égypte, il y a plusieurs siècles. Notre famille a adopté toutes les coutumes égyptiennes. Comme les pharaons, nous sommes considérés comme des dieux et nous ne pouvons épouser que des membres de notre famille. À 17 ans je me marie avec mon frère Ptolémée XIII et je deviens reine d’Égypte.
Je partage le trône avec lui. C’est tout ce que nous partageons, car je sais qu’il complote pour m’évincer. À force de mensonges et de promesses à des personnages importants, il y parvient et je perds mon titre et mes pouvoirs. À mon tour d’intriguer pour reprendre la place qui m’est due.
J’allais avoir une occasion en or. Rome tient à ce que l’Égypte reste un pays stable et on envoie Jules César pour me réconcilier avec mon mari. Il est logé dans une belle résidence proche du palais. Dès son arrivée, il nous convoque, mon frère et moi. Je refuse d’y aller car je tiens à le voir seule et pour tout dire, je veux le séduire.
Ça ne devrait pas poser de problèmes étant donné que je suis belle et que j’ai 30 ans de moins que lui. Le jour de son arrivée, mes servantes me lavent, me coiffent et me maquillent. Elles terminent en me mettant du parfum à base de lotus dans le pli du bras et derrière le genou.
J’ai un petit autel dans mes appartements. Il y a différentes divinités, mais aujourd’hui, je confie mon destin à Hathor, déesse de la beauté, et à Sothys, une déesse représentée par une étoile dont la lumière attire les hommes. Bien sûr, je compte aussi sur mes fesses qui sont les plus belles d’Égypte, mais une petite aide des Dieux peut toujours être utile.
Dans la soirée, deux serviteurs viennent apporter un tapis de lin coloré. Une servante ajoute un grand rectangle de lin rouge. Je me couche dessus, uniquement vêtue de ma beauté et de ma détermination à reprendre ma place de reine. Les servantes me roulent doucement dans le tapis et deux hommes me portent sur leurs épaules jusqu’à la résidence de César. Des gardes romains sont devant la porte. Un des serviteurs lui dit :
— C’est un cadeau de la Reine pour le Premier consul.
On nous laisse entrer, moi toujours bien cachée. On suit une servante vers les appartements de César. Il est à moitié couché sur un divan, à la mode romaine. Il n’est vêtu que d’une toge. Une esclave noire et une blanche le servent. La servante lui dit :
— Un cadeau de la reine Cléopâtre, Maître.
Il regarde le tapis et répond :
— Un tapis ? Qu’est-ce qu’elle veut que j’en fasse ?
Un des porteurs répond :
— Elle nous a dit qu’il y avait une surprise à l’intérieur, Maître.
Ils déroulent lentement le tapis et j’apparais sur le ventre, ce qui n’était pas prévu. Je me mets à genoux, puis je me redresse en levant les bras. Je tourne sur moi- même le plus gracieusement possible pour me montrer. Je lui dis :
— Le cadeau, c’est moi, Cléopâtre.
Il est d’abord très surpris, puis il sourit et dit :
— Jamais vu d’aussi belles fesses, j’accepte.
Il se tourne vers ses esclaves bicolores en disant :
— Allez aider mon cadeau à venir jusqu’à moi, petites.
Les filles m’entourent, je pose les mains sur leurs épaules et j’ondule jusqu’à Jules César. Il me dit :
— Que veux-tu de moi, jolie reine ?
Vite répondre quelque chose d’intelligent...
— Je veux faire l’amour avec l’homme le plus puissant du monde.
Il rit et enlève sa tunique. Son sexe est dressé vers moi. Il a beau avoir 30 ans de plus que moi, il est viril et séduisant. Je passe mes bras autour de son cou et je me colle à lui. On s’embrasse, il prend mes fesses à pleine main. Il me dit :
— Tu sens sens bon la fleur de lotus et la fille qui a eu chaud...
C’est vrai que j’ai beaucoup transpiré dans le tapis. Tant que ça lui plaît... Il se couche sur le dos sur le divan et il prend ma main pour m’amener sur lui. Je m’assieds sur son sexe dressé. La situation me plaît et il glisse en moi aussi facilement qu’une barque sur le Nil. C’est une image : je ne mouille pas à ce point. Je me fais aller et venir sur son sexe. Je fais tout le travail et ça a l’air de lui plaire... Quand je sens qu’il va jouir, je jouis aussi ou alors je fais semblant. Je me couche sur lui et il me dit :
— Tu me plais beaucoup... Tu aimes aussi les femmes ?
— Oui, bien sûr, les femmes sont douces et elles sentent bon.
— C’est vrai. Montre.
Je fais signe aux deux esclaves de venir et, en les prenant par la nuque, je les embrasse. Nos trois langues se caressent. Il s’est redressé pour regarder. S’il aime ça, on va lui faire un joli numéro. Je me couche sur le dos et je dis à la Blanche :
— Lèche-moi.
Puis à la Noire :
— Assieds-toi sur mon visage.
César est stupéfait, il dit :
— Une esclave noire assise sur le visage de la reine... d’Égypte !!
Il doit penser que je suis la reine des putains, mais c’est mon plan pour reprendre ma place à la tête de l’Égypte.
L’esclave blanche me fait jouir tandis que je fais jouir l’esclave noire. César adore. Il me dit :
— Je suis dur à nouveau, ça ne m’est plus arrivé depuis des années.
Je réponds :
— Mets-toi à quatre pattes, mon beau guerrier.
Je dis aux deux esclaves ce qu’elles doivent faire : une lui lèche les couilles et l’autre l’anus.
Pas facile à faire, mais il n’y a rien de plus docile que des esclaves quand il s’agit d’obéir. C’est la magie du fouet. Moi je me glisse sous lui et je suce son sexe... Il aime et le dit haut et fort. Il jouit dans ma bouche. J’avale tout et ce sera le début de notre liaison.
***
Il faut peu de temps pour que je redevienne Reine d’Égypte... Mon frère et mari, ça ne l’enchante pas, mais ça n’a pas d’importance, parce que peu de temps après, il sera assassiné. On a tous des ennemis quand on a le pouvoir.
L’inconvénient de cet assassinat, c’est d’abord pour lui et puis pour moi, car je suis obligée d’épouser mon autre frère, Ptolémée XIV. On se voit très peu et je continue ma liaison amoureuse et sexuelle avec Jules César...
Hélas, César est obligé de rentrer à Rome pour des affaires urgentes et il se fait lui aussi assassiner. Mon frère l’avait bien cherché mais mon amant, assassiné par son fils adoptif, ça me fait vraiment mal. Son dernier cadeau, c’est que je suis toujours reine d’Égypte.
***
Je ne dois penser qu’aux affaires de l’Égypte, surtout que Marc Antoine arrive de Rome. Il souhaite former une alliance avec l’Égypte pour combattre les Parthes. Je dois le séduire... J’aime les généraux et les gens de pouvoir, même si lui aussi est plus âgé que moi.
Tout le monde est au courant de l’histoire du tapis. Je l’invite à dîner en tête à tête, juste vêtue d’une tunique très légère, qui a cependant un défaut, les bretelles ont tendance à glisser de mes épaules. Ça lui plaît, il me dit :
— Tu as de très beaux seins.
Je ris et réponds :
— Vous exagérez un peu, disons les plus beaux seins d’Égypte.
— Veux-tu faire une alliance avec moi ?
— Avec plaisir, on signe un document ?
— Ou on partage la même couche ?
— D’accord.
Je remercie mes seins, ils sont magiques... Mes chères déesses Hathor et Sothys m’ont aidée à nouveau. Je leur ferai des offrandes.
Marc Antoine culbute la reine d’Égypte sur la couche royale. Il me fait l’amour comme un amoureux, couché sur moi. Je relève mes jambes pour qu’il puisse pénétrer au plus profond de moi.
Un général romain intimidé, est-ce possible ? Peut-être, s’il enfile une Reine. Pour le stimuler, je lui écarte les fesses des deux mains et je fais un signe de tête à une des trois esclaves qui nous entourent, de lécher le fondement du maître de Rome. Elle plonge entre ses fesses, sa petite langue s’introduit dans son anus, dardée comme celle d’une vipère. Il aime et me dit :
— C’est magique de faire l’amour avec toi ma reine et..... ahhhhhh oui.... c’est boooon...
Je roucoule aussi, pas parce que je jouis mais pour lui plaire... Il m’inonde de sa semence... Je le serre dans mes bras et je lui dis :
— Tu es le meilleur amant que j’ai jamais eu.
Quand on est la Reine, on peut mentir. On va faire l’amour très souvent, il aime avoir des esclaves qui participent, moi aussi.
On s’associe pour lutter victorieusement contre les Parthes en un premier temps. Hélas, une autre offensive se termine par une défaite. Marc Antoine rompt tout lien avec Octave devenu Auguste, le premier empereur de Rome.
Son armée associée à la mienne va livrer une bataille contre l’armée d’Auguste. Hélas, nous allons la perdre.
Marc Antoine se suicide et moi... je suis faite prisonnière.
*****
Je suis devenue une ennemie de Rome. Je crains le sort qui m’attend, je ferai tout pour y échapper. Durant le voyage, on ne me maltraite pas, mais c’est uniquement pour que je ne sois pas abîmée quand on me montrera à la foule. Je ne pense qu’à une seule chose : je suis toujours en vie... J’implore les Dieux de me protéger.
Quand on arrive près de Rome, un véhicule m’attend : une cage posée à l’arrière d’un char. J’y suis enfermée nue... Une foule de gens sont là pour me voir, me huer, me lancer des fruits pourris. Des cavaliers se trouvent des deux côtés du char et ils veillent à ce que personne ne me lance des pierres. Je suis une des nombreuses « ennemies de Rome » à arriver en cage en ville. Ils ont l’habitude de ne lancer que des fruits et peu m’atteignent grâce aux barreaux. Je vais m’en sortir... Malgré les années passées, je suis toujours aussi belle. On va peut-être me vendre à un patron de bordel, au pire. Oui, je ne veux imaginer que ça comme la pire chose qui pourrait m’arriver, après mon entrée dans Rome.
Le char s’arrête près du centre de la ville. On m’attache les poignets au bout d’une longue corde, elle-même attachée à la selle d’un cavalier. Je prie les Dieux pour ne pas sentir la douleur.... Oui je sais, c’est impossible.
On se trouve au milieu de deux rangées de Romains ravis du spectacle. Le cavalier se met en marche et je reçois un premier coup de fouet d’un soldat qui marche derrière moi. Je pousse un cri, tout de suite couvert par les hurlements de joie de la foule. Deuxième coup de fouet sur les cuisses, je crie chaque fois que le fouet m’atteint. La foule, elle, crie de joie. J’entends :
— Fouette bien le gros cul de cette putain ennemie de Rome.
Et beaucoup d’autres insultes. Il me fouette depuis le haut des fesses jusqu’aux mollets. Je crie, je trébuche... Les spectateurs sont ravis, ils rient et m’insultent. On arrive enfin au palais d’Auguste. La foule crie « À mort » !
Un tribun, suivi de plusieurs soldats, leur dit :
— La reine d’Égypte doit d’abord nous livrer tous ses secrets. Dispersez-vous.
Oh ! Ils sont déçus ! Rien de pire que la populace.
Le tribun me conduit dans une pièce où se trouve Auguste, premier empereur de Rome... Il est assis sur un trône. Le tribun me dit :
— À genoux !
Quand je l’ai fait, Auguste me demande :
— Alors c’est toi qui as séduit Jules César et Marc Antoine ?
— Oui Seigneur, mais j’étais plus en beauté que maintenant.
Il y a un silence, puis il rit. Ensuite il me dit :
— J’ai envie de connaître tes secrets politiques et tes secrets de séduction...
— Je vous dirai tout, Seigneur.
Il dit à l’esclave qui est à côté de lui :
— Va la rendre présentable.
— Oui Seigneur.
Elle me tend la main. Je la prends tout en remerciant les Dieux.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin.
Notre nouveau livre s’appelle : « Lizy, soumise autour du monde », il y a 60 illustrations de Bruce Morgan et vous allez l’adorer.
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