587 - 21 Debrief de "Qui est l'esclave".
Ouf ! Fin de tournage. Je vais aller me balader, manger une glace, parler avec les fans et... Un gros Chinois me dit :
— Ça finit comme ça ?
Je ne l’ai jamais vu, lui, qu’est ce-qu’il me veut ? Il voit bien que ça se termine comme ça. Je regarde un des producteurs, il répond mal à l’aise :
— D’où le titre, Monsieur Lee : qui est l’esclave ?
— Ça, j’avais compris, mais les spectateurs vont rester sur leur faim.
Il ajoute :
— Et le prochain épisode, ce sera quoi ?
Personne ne répond... Enfin, le producteur se décide :
— On va faire une réunion avec les deux auteurs, Mr Lee, je suis sûr qu’elles ont des projets.
Oh non, pas une réunion... On n’a pas de projets, enfin pas encore.
Hélas, on se retrouve dans la salle de réunion. Il y a une dizaine de personnes. Je vois un morceau de tatouage qui dépasse de la manche de chemise de ce Mr Lee. Pour les Chinois, les tatouages sont souvent, synonymes de triades ou autres sociétés du même genre. Il doit avoir repris le contrôle de différents médias, à voir comment on le traite. Je suis la vedette de la série et moi, on me traite comme un pion qu’on déplace et qu’on malmène à sa guise, mais je ne vais pas me laisser faire, je.... Mailee me rejoint. Elle dit :
— Je vous prie de m’excuser, Monsieur Lee, mais...
Il lui coupe la parole :
— C’est vous qui avez écrit le dernier épisode ?
Elle est aussi un pion, elle répond :
— Oui, Éden et moi, on pensait que...
A nouveau, il l’interrompt :
— Parlez-moi de l’épisode suivant.
Mailee et moi on se regarde, on n’en a pas encore parlé. Je réponds :
— On comptait en parler aujourd’hui et...
— Bref, vous n’avez rien...
Mailee répond :
— Pas encore, mais...
Il prend son visage dans les mains... Il va pleurer ? Non, il sourit, faisant trembloter ses grosses joues. Il nous dit :
— Il y a à l’entrée ce que vous appelez des piloris et nous des Shǒukào, vous allez y aller et vous pourrez vous concentrer et discuter des prochains épisodes. De plus, ça fera une très bonne publicité pour notre nouveau média qui couvre toute la Grande Chine. C’est un grand honneur pour vous.
Je voudrais répondre « Pas question, je suis la vedette de la série, je vais me reposer au bord de la plage ». Hélas, Mailee me serre le bras et tout ce que j’ose dire c’est :
— Oui Monsieur, mais vous ne nous laisseriez pas une heure pour que nous puissions en parler.
Il sourit, ça fait vraiment peur, et répond :
— Vous aurez tout le temps d’en parler, les fesses à l’air.
Quel sale bonhomme ! Le producteur appelle un garde costaud que je connais et lui dit :
— Mets ces filles sur les deux piloris en hauteur.
Donc, ils avaient prévu qu’on aurait pas d’idées ou si on avait eues, ils n’en auraient pas voulus. Ils veulent de la publicité... en plus. Je veux m’échapper !! Mailee me prend par la main et on suit le garde. Elle est beaucoup plus gentille avec moi depuis qu’on écrit ensemble. Je pense qu’on a fait du bon boulot, sauf la fin de « Qui est l’esclave » qui n’a pas plu à tout le monde... Évidemment les visiteurs me reconnaissent et me photographient, me filment et demandent où on va. Le garde répond :
— Suivez-nous vous verrez.
Mailee me serre la main. Elle qui est toujours tellement à l’aise... Mais qu’est ce qu’on va nous faire ? Oui, je sais le pilori... mais pas de fouet ? Je suis quand même la vedette de la série. Je demande au garde :
— On va nous fouetter ?
— Non, je ne pense pas... tu sais le pilori, c’est suffisant comme punition...
On se dirige vers l’entrée et plus exactement vers deux piloris qui se trouvent sur une plate-forme à environ deux mètres du sol. Tout ça pour une fin qui ne plaît pas ! Non, je dois être lucide : tout ça parce qu’on n’a pas d’idées pour le prochain épisode. Mailee me dit :
— On ne va pas rester longtemps.
Le garde nous dit :
— Enlevez vos tuniques.
Nues, on monte sur une petite échelle pour arriver aux piloris. Ils sont en bois et il y a trois trous, un grand pour le cou et deux petits pour les poignets. Le gardien me dit :
— Installe-toi.
Je me penche quasiment à angle droit, les poignets et le cou dans les trois trous. Il remet la partie supérieure et je suis coincée. Exclamations des fans et rires de quelques garçons. Ce n’est pas fini ! Le garde attache mes chevilles à deux anneaux de façon à ce que j’aie les jambes bien écartées. Certains visiteurs sont ravis, d’autre ne comprennent pas pourquoi on me traite comme ça. On est filmées des dizaines de fois.
— Ça finit comme ça ?
Je ne l’ai jamais vu, lui, qu’est ce-qu’il me veut ? Il voit bien que ça se termine comme ça. Je regarde un des producteurs, il répond mal à l’aise :
— D’où le titre, Monsieur Lee : qui est l’esclave ?
— Ça, j’avais compris, mais les spectateurs vont rester sur leur faim.
Il ajoute :
— Et le prochain épisode, ce sera quoi ?
Personne ne répond... Enfin, le producteur se décide :
— On va faire une réunion avec les deux auteurs, Mr Lee, je suis sûr qu’elles ont des projets.
Oh non, pas une réunion... On n’a pas de projets, enfin pas encore.
Hélas, on se retrouve dans la salle de réunion. Il y a une dizaine de personnes. Je vois un morceau de tatouage qui dépasse de la manche de chemise de ce Mr Lee. Pour les Chinois, les tatouages sont souvent, synonymes de triades ou autres sociétés du même genre. Il doit avoir repris le contrôle de différents médias, à voir comment on le traite. Je suis la vedette de la série et moi, on me traite comme un pion qu’on déplace et qu’on malmène à sa guise, mais je ne vais pas me laisser faire, je.... Mailee me rejoint. Elle dit :
— Je vous prie de m’excuser, Monsieur Lee, mais...
Il lui coupe la parole :
— C’est vous qui avez écrit le dernier épisode ?
Elle est aussi un pion, elle répond :
— Oui, Éden et moi, on pensait que...
A nouveau, il l’interrompt :
— Parlez-moi de l’épisode suivant.
Mailee et moi on se regarde, on n’en a pas encore parlé. Je réponds :
— On comptait en parler aujourd’hui et...
— Bref, vous n’avez rien...
Mailee répond :
— Pas encore, mais...
Il prend son visage dans les mains... Il va pleurer ? Non, il sourit, faisant trembloter ses grosses joues. Il nous dit :
— Il y a à l’entrée ce que vous appelez des piloris et nous des Shǒukào, vous allez y aller et vous pourrez vous concentrer et discuter des prochains épisodes. De plus, ça fera une très bonne publicité pour notre nouveau média qui couvre toute la Grande Chine. C’est un grand honneur pour vous.
Je voudrais répondre « Pas question, je suis la vedette de la série, je vais me reposer au bord de la plage ». Hélas, Mailee me serre le bras et tout ce que j’ose dire c’est :
— Oui Monsieur, mais vous ne nous laisseriez pas une heure pour que nous puissions en parler.
Il sourit, ça fait vraiment peur, et répond :
— Vous aurez tout le temps d’en parler, les fesses à l’air.
Quel sale bonhomme ! Le producteur appelle un garde costaud que je connais et lui dit :
— Mets ces filles sur les deux piloris en hauteur.
Donc, ils avaient prévu qu’on aurait pas d’idées ou si on avait eues, ils n’en auraient pas voulus. Ils veulent de la publicité... en plus. Je veux m’échapper !! Mailee me prend par la main et on suit le garde. Elle est beaucoup plus gentille avec moi depuis qu’on écrit ensemble. Je pense qu’on a fait du bon boulot, sauf la fin de « Qui est l’esclave » qui n’a pas plu à tout le monde... Évidemment les visiteurs me reconnaissent et me photographient, me filment et demandent où on va. Le garde répond :
— Suivez-nous vous verrez.
Mailee me serre la main. Elle qui est toujours tellement à l’aise... Mais qu’est ce qu’on va nous faire ? Oui, je sais le pilori... mais pas de fouet ? Je suis quand même la vedette de la série. Je demande au garde :
— On va nous fouetter ?
— Non, je ne pense pas... tu sais le pilori, c’est suffisant comme punition...
On se dirige vers l’entrée et plus exactement vers deux piloris qui se trouvent sur une plate-forme à environ deux mètres du sol. Tout ça pour une fin qui ne plaît pas ! Non, je dois être lucide : tout ça parce qu’on n’a pas d’idées pour le prochain épisode. Mailee me dit :
— On ne va pas rester longtemps.
Le garde nous dit :
— Enlevez vos tuniques.
Nues, on monte sur une petite échelle pour arriver aux piloris. Ils sont en bois et il y a trois trous, un grand pour le cou et deux petits pour les poignets. Le gardien me dit :
— Installe-toi.
Je me penche quasiment à angle droit, les poignets et le cou dans les trois trous. Il remet la partie supérieure et je suis coincée. Exclamations des fans et rires de quelques garçons. Ce n’est pas fini ! Le garde attache mes chevilles à deux anneaux de façon à ce que j’aie les jambes bien écartées. Certains visiteurs sont ravis, d’autre ne comprennent pas pourquoi on me traite comme ça. On est filmées des dizaines de fois.
Une fille me dit :
— Qu’est-ce qui se passe Éden ? C’est pour un tournage ?
Je me mets à pleurer et réponds :
— Noooon, je suis punie....
Ils sont très surpris que la vedette de la série soit traitée de cette façon... barbare. Un gars crie :
— Libérons-la
Le garde costaud répond :
— Ne vous en mêlez pas. Elles doivent trouver des idées pour le prochain épisode. Elle vont y arriver.
Je dis à Mailee :
— On va rester longtemps ici ?
— Mais non. Dès que tu auras trouver des idées pour l’épisode suivant, on sera détachées.
Et pourquoi elle ne trouve pas d'idées, elle ? Tous les arrivants nous filment... Je suis incapable de me concentrer sur une histoire... Rapidement, je commence à avoir mal aux reins. Au bout d’un long moment, le gardien vient nous donner à boire. Je regarde Mailee, elle a les yeux fermés, on dirait qu’elle fait de la méditation.
Au bout d’environ deux heures, je crie :
— Monsieur le garde costaud !
Il monte sur la plate-forme. Je le regarde avec des yeux suppliants et je lui dis :
— Libérez-nous, s’il vous plaît, j’ai trop mal aux reins... Je ne pourrai pas jouer, après-demain.
Jouer quoi ? C’est tout le problème. Il hausse les épaules et répond :
— Tu sais bien que je ne peux pas. Trouve des idées.
— Je suis incapable comme ça, je vous jure. Je ne pense qu’à la douleur dans mes reins et mes genoux.
Il baisse la voix pour me dire :
— Il y a une gamine qui m’a parlé de ses idées, ça me semble très intéressant. Je peux te l’envoyer...
— Oh oui, je saurai vous remercier, je...
— Je sais Éden.
Une fille monte, enfin, je suppose, car je ne la vois pas. Elle vient devant moi. Je ne vois que la touffe de poils en broussaille de son sexe. Ils sont très noirs et ses cuisses sont... ambrées. Elle s’accroupit, je vois son visage. Je pense qu’elle doit être originaire d’Afrique du Nord. Elle me dit :
— Je fais des études d’histoire de l’art et je pense depuis un moment à un scénario.
Elle me raconte ses idées et c’est vraiment bien. Je lui dis :
— Je crois que tu viens de sauver la vie de mes reins.
Elle rit et répond :
— J’aime trop le feuilleton et je suis scandalisée qu’on te traite comme ça. Sans toi, il n’y a pas de feuilleton...
— Oh, c’est trop gentil, je...
Le garde arrive et lui dit :
— Viens avec moi, la production va te faire une proposition.
— J’espère que tu vas travailler avec nous.
— Oh oui, Éden, c’est mon rêve.
Ils redescendent et nous laissent sur notre perchoir.... Je crie :
— Ne nous oubliez pas...
Tout est filmé... par les visiteurs. Pour la centième fois, un fan me demande :
— Tu es là pour tourner une scène ?
— Nooon... Mon amie et moi, on n’a pas eu des idées immédiatement pour le prochain épisode...
Une fille dit :
— C’est vraiment cruel de vous traiter comme ça, toi tu es la vedette du film et tu participes à l’écriture.
— Ouiiiii.... et j’ai si mal aux reins...
Le garde revient et me dit :
— Arrête de te plaindre, Éden. Je vais vous libérer.
Il monte et défait les liens de mes chevilles, puis il soulève la partie supérieure du pilori. Je me redresse en me frottant les reins. Un autre garde délivre Mailee. La foule des fans applaudit. Je descends péniblement l’échelle. Le garde nous amène devant une des nombreuses portes plus ou moins dissimulées par la végétation du parc. Il ouvre. Je fais « au revoir » de la main aux fans et on se retrouve dans un couloir. Mailee me dit :
— Ça va ?
— J’ai mal.
Elle vient près de moi et elle met son bras autour de ma taille. J’ai envie de pleurer sur son épaule. Elle me dit :
— On va se changer les idées...
— Oh oui....
Le garde ouvre une autre porte et on se retrouve près de la plage. Mailee me dit :
— On ne se laissera plus avoir. Aujourd’hui et demain on va chercher des idées pour les prochains épisodes. Et si on allait manger ?
Le garde répond :
— Désolé de vous décevoir les filles, mais Monsieur Lee vous attend dans sa chambre.
NON, on n’y va pas ! Hélas, on n’a pas le choix. On va dans sa chambre. La fille brune qui a nous a sauvées est là, toujours nue. Quand elle me voit, elle court vers moi et me serre dans ses bras. Une peau inconnue contre le mienne, ça me plaît. Je lui dis :
— Merci, je n’en pouvais plus...
C’est le moment où le gros mec sadique sort de la salle de bains. Il est nu et il ressemble à une montagne de graisse rance et malodorante. Enfin, c’est une image, car il ne sent pas mauvais, en plus. Il s’assied dans un fauteuil et claque des doigts vers Mailee qui va aussitôt s’asseoir sur ses genoux. Il me dit :
— Tu peux remercier Chadia.
— Oui, bien sûr... si elle se couche sur le lit, je la remercierai.
— Le plus beau cadeau, c’est que ce soit moi qui te remercie. Couche-toi, tu as mal aux reins.
C’est vrai. Je me couche et elle m’embrasse des lèvres jusqu’aux petits orteils. Ensuite, elle plonge la langue la première dans ma chatte. J’adore ces remerciements. J’entends Mailee gémir. Je ne veux pas savoir ce que le mammouth lui fait. D’ailleurs, je quitte lentement la terre pour m’en aller vers le 7e ciel. Chadia a une langue magique, je me tortille en ne gémissant plus de douleur, cette fois-ci. Je caresse sa tête avec une main et ses fesses avec un pied. Chadia a dû être colibri dans une autre vie, parce que sa langue et ma chatte s’accordent trop bien. Impossible de résister à ce tsunami de sensations, je jouis sur son visage en plusieurs fois. Je lui dis :
— Merci pour le sauvetage et pour m’avoir fait jouir. Remonte.
Elle se colle à moi et j’embrasse son visage qui sent fort ma chatte. On reste comme ça jusqu’au moment où le sale bonhomme dit :
— On va manger, les filles.
C’est un sale bonhomme mais il a une bonne idée.
— Qu’est-ce qui se passe Éden ? C’est pour un tournage ?
Je me mets à pleurer et réponds :
— Noooon, je suis punie....
Ils sont très surpris que la vedette de la série soit traitée de cette façon... barbare. Un gars crie :
— Libérons-la
Le garde costaud répond :
— Ne vous en mêlez pas. Elles doivent trouver des idées pour le prochain épisode. Elle vont y arriver.
Je dis à Mailee :
— On va rester longtemps ici ?
— Mais non. Dès que tu auras trouver des idées pour l’épisode suivant, on sera détachées.
Et pourquoi elle ne trouve pas d'idées, elle ? Tous les arrivants nous filment... Je suis incapable de me concentrer sur une histoire... Rapidement, je commence à avoir mal aux reins. Au bout d’un long moment, le gardien vient nous donner à boire. Je regarde Mailee, elle a les yeux fermés, on dirait qu’elle fait de la méditation.
Au bout d’environ deux heures, je crie :
— Monsieur le garde costaud !
Il monte sur la plate-forme. Je le regarde avec des yeux suppliants et je lui dis :
— Libérez-nous, s’il vous plaît, j’ai trop mal aux reins... Je ne pourrai pas jouer, après-demain.
Jouer quoi ? C’est tout le problème. Il hausse les épaules et répond :
— Tu sais bien que je ne peux pas. Trouve des idées.
— Je suis incapable comme ça, je vous jure. Je ne pense qu’à la douleur dans mes reins et mes genoux.
Il baisse la voix pour me dire :
— Il y a une gamine qui m’a parlé de ses idées, ça me semble très intéressant. Je peux te l’envoyer...
— Oh oui, je saurai vous remercier, je...
— Je sais Éden.
Une fille monte, enfin, je suppose, car je ne la vois pas. Elle vient devant moi. Je ne vois que la touffe de poils en broussaille de son sexe. Ils sont très noirs et ses cuisses sont... ambrées. Elle s’accroupit, je vois son visage. Je pense qu’elle doit être originaire d’Afrique du Nord. Elle me dit :
— Je fais des études d’histoire de l’art et je pense depuis un moment à un scénario.
Elle me raconte ses idées et c’est vraiment bien. Je lui dis :
— Je crois que tu viens de sauver la vie de mes reins.
Elle rit et répond :
— J’aime trop le feuilleton et je suis scandalisée qu’on te traite comme ça. Sans toi, il n’y a pas de feuilleton...
— Oh, c’est trop gentil, je...
Le garde arrive et lui dit :
— Viens avec moi, la production va te faire une proposition.
— J’espère que tu vas travailler avec nous.
— Oh oui, Éden, c’est mon rêve.
Ils redescendent et nous laissent sur notre perchoir.... Je crie :
— Ne nous oubliez pas...
Tout est filmé... par les visiteurs. Pour la centième fois, un fan me demande :
— Tu es là pour tourner une scène ?
— Nooon... Mon amie et moi, on n’a pas eu des idées immédiatement pour le prochain épisode...
Une fille dit :
— C’est vraiment cruel de vous traiter comme ça, toi tu es la vedette du film et tu participes à l’écriture.
— Ouiiiii.... et j’ai si mal aux reins...
Le garde revient et me dit :
— Arrête de te plaindre, Éden. Je vais vous libérer.
Il monte et défait les liens de mes chevilles, puis il soulève la partie supérieure du pilori. Je me redresse en me frottant les reins. Un autre garde délivre Mailee. La foule des fans applaudit. Je descends péniblement l’échelle. Le garde nous amène devant une des nombreuses portes plus ou moins dissimulées par la végétation du parc. Il ouvre. Je fais « au revoir » de la main aux fans et on se retrouve dans un couloir. Mailee me dit :
— Ça va ?
— J’ai mal.
Elle vient près de moi et elle met son bras autour de ma taille. J’ai envie de pleurer sur son épaule. Elle me dit :
— On va se changer les idées...
— Oh oui....
Le garde ouvre une autre porte et on se retrouve près de la plage. Mailee me dit :
— On ne se laissera plus avoir. Aujourd’hui et demain on va chercher des idées pour les prochains épisodes. Et si on allait manger ?
Le garde répond :
— Désolé de vous décevoir les filles, mais Monsieur Lee vous attend dans sa chambre.
NON, on n’y va pas ! Hélas, on n’a pas le choix. On va dans sa chambre. La fille brune qui a nous a sauvées est là, toujours nue. Quand elle me voit, elle court vers moi et me serre dans ses bras. Une peau inconnue contre le mienne, ça me plaît. Je lui dis :
— Merci, je n’en pouvais plus...
C’est le moment où le gros mec sadique sort de la salle de bains. Il est nu et il ressemble à une montagne de graisse rance et malodorante. Enfin, c’est une image, car il ne sent pas mauvais, en plus. Il s’assied dans un fauteuil et claque des doigts vers Mailee qui va aussitôt s’asseoir sur ses genoux. Il me dit :
— Tu peux remercier Chadia.
— Oui, bien sûr... si elle se couche sur le lit, je la remercierai.
— Le plus beau cadeau, c’est que ce soit moi qui te remercie. Couche-toi, tu as mal aux reins.
C’est vrai. Je me couche et elle m’embrasse des lèvres jusqu’aux petits orteils. Ensuite, elle plonge la langue la première dans ma chatte. J’adore ces remerciements. J’entends Mailee gémir. Je ne veux pas savoir ce que le mammouth lui fait. D’ailleurs, je quitte lentement la terre pour m’en aller vers le 7e ciel. Chadia a une langue magique, je me tortille en ne gémissant plus de douleur, cette fois-ci. Je caresse sa tête avec une main et ses fesses avec un pied. Chadia a dû être colibri dans une autre vie, parce que sa langue et ma chatte s’accordent trop bien. Impossible de résister à ce tsunami de sensations, je jouis sur son visage en plusieurs fois. Je lui dis :
— Merci pour le sauvetage et pour m’avoir fait jouir. Remonte.
Elle se colle à moi et j’embrasse son visage qui sent fort ma chatte. On reste comme ça jusqu’au moment où le sale bonhomme dit :
— On va manger, les filles.
C’est un sale bonhomme mais il a une bonne idée.
A suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin.
Notre nouveau livre s’appelle : « Lizy, soumise autour du monde », il y a 60 illustrations de Bruce Morgan et vous allez l’adorer.
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