595 - 29 Tu obéis et tu te tais.
Je m’appelle Denis de S. et je suis le directeur général de la Royal Crown Food Company. J’ai hérité la société de mon père qui est mort jeune d’un AVC à force de boire et de fumer.
Je suis blond, de taille moyenne et plutôt enrobé. J’ai aussi perdu mes cheveux très jeune. Je n’ai jamais eu beaucoup de succès avec les femmes, sauf depuis que je suis devenu PDG d’une grosse société. J’ai soudain eu beaucoup plus de succès.
La gestion de la société est loin de me passionner. Heureusement, il y a dans la société une directrice financière d’une cinquantaine d’années qui est très efficace et sur qui je me repose pour toutes les décisions. C’est elle qui me signale les ouvrières qui sont prêtes à venir faire un tour en dessous de mon bureau, pour une petite augmentation ou simplement pour garder leur emploi. Celles qui me plaisent et qui refusent risquent de se retrouver au chômage. Comme les temps sont durs, il y a très peu de refus.
Un jour Hélène me dit :
— Il y a une intérimaire qui s’appelle Éden et qui vous plairait certainement. Elle rêve d’avoir un contrat de travail parce qu’elle vit seule avec sa fille...
— Je me fie à votre bon goût Hélène.
***
Le lendemain, Hélène vient dans mon bureau avec une des ouvrières. Là, j’ai un choc, c’est exactement le genre de femme qui me plaît, une jolie brune pas trop jeune et surtout très sûre d’elle. Elle a cependant un côté négligé qui me refroidit un peu. Elle me dit :
— Bonjour Monsieur, il parait que vous me donneriez un contrat en échange d’une pipe.
Je suis surpris par cette formule. Je réponds :
— A condition que... euh... mais...
Elle se retourne et remonte son tablier et sa jupe. Elle n’a pas de culotte et elle tend vers moi un cul bien rond de toute beauté. Hélène lui dit :
— Va sous son bureau pour convaincre Monsieur.
Tout en me regardant dans les yeux, elle répond :
— Je préférerais l’inverse. Alors, président, vous vous levez et je m’assieds à votre place. Vous aurez bien une idée de ce que vous devrez faire.
Cette fille est folle ! Je suis effectivement le président de cette société et... et je me lève. Elle prend ma place et claque des doigts en disant :
— Allez !!
Comme hypnotisé, je vais me mettre à genoux sous le bureau. Elle a posé une des ses chevilles sur l’accoudoir de mon fauteuil et, dans la pénombre qui règne sous mon bureau, je vois ses lèvres entourées de poils noirs. je sens déjà son odeur. Je déteste les filles qui ne sont pas soignées... sauf qu'Éden a une odeur animale qui m’affole. Elle dit :
— Lèche !
C’est le monde à l’envers, mais elle me plaît trop. Je mets le nez dans ses poils... je devrais être dégouté... et, au contraire, j’adore. Elle n’est pas lavée et malgré ça, je la lèche... Elle me donne une claque sur la tête en disant :
— Suce mon clito !
Elle n’a vraiment pas peur de se faire renvoyer... Elle m’a ensorcelé, c’est le cas de la dire. Je ne pense qu’à une chose, la faire jouir. Et là, je reçois une nouvelle claque sur la tête et elle me dit :
— C’est la première fois que tu lèches une chatte ?
— Ce n’est pas... dans mes habitudes.
— Ça se voit. J’ai à faire, je te laisse avec un petit cadeau, l’odeur de ma chatte.
— Euh...
— Quoi euh ? On dit merci.
— Mer... ci, Madame.
Ensorcelé, c’est le mot. Elle se retourne et lève à nouveau sa jupe et me met ses fesses sous le nez en disant :
— Tu vas écarter mes fesses et embrasser mon anus en me remerciant poliment.
Je... j’écarte ses fesses et j’embrasse un anus pour la première fois de ma vie, puis je bredouille :
— Merci... je... j’aimerais vous revoir...
Elle rit, Hélène aussi mais plus discrètement.
Elles s’en vont et c’est vrai qu’elle me laisse son odeur. A partir de ce moment je n’arrête plus de penser à elle. C’est de la magie... noire. Je n’ai plus envie de faire venir les filles qui travaillent pour moi, même les nouvelles ne m’intéressent plus.
J’attends trois jours pour retrouver mes esprits, en vain. C’est un coup de foudre, inutile de résister. Je demande à Hélène de me l’amener. Elle arrive dans mon bureau. Je me lève en lui disant :
— Je voudrais qu’on refasse comme...
Elle me coupe la parole :
— Non. D’ailleurs je ne vais pas rester dans votre société. Je vais prendre des vacances et chercher un job sur un yacht. Avec mon physique, je n’aurai pas trop de difficulté.
— Où voulez-vous aller ?
— J’sais pas.... Paris...
— Je vous invite où vous voulez.
— Pour me sauter ?
— Non, j’ai juste envie d’être avec vous.
— Vous m’obéirez ?
Là, elle exagère, je suis le boss ici et.... je réponds :
— Oui...
Coup de foudre, coup de folie ou alors elle m’a vraiment envoûté. Elle me dit :
— Je rentre pour me préparer, venez me chercher demain à 10 h. Hélène vous donnera l’adresse. Ah ! Au cas où vous changeriez d’avis, n’oubliez pas ma principale qualité.
Elle se tourne et relève sa jupe, elle n’a pas de culotte et elle tend ses fesses vers moi en disant :
— A demain.
— ...euh... oui...et...
Elle est déjà partie. Je dis à Hélène :
— C’est une folie ?
— Mais non Monsieur, c’est la seule façon de vous guérir de votre obsession. Je vous remplacerai, il n’y aura pas de problèmes, vous le savez bien.
***
Le lendemain, on prend le train pour Paris. On est en première classe et elle me dit :
— Donne-moi ton argent, ton téléphone et tes cartes de crédit. Je veux que tu dépendes complètement de moi, comme si tu avais huit ans.
C’est de la folie... mais ça m’excite atrocement. Elle me dit :
— Portefeuille et clés de chez toi, aussi. Allez !!
Je lui donne tout. Elle met tout dans son sac et elle ajoute :
— Tu devras être très sage maintenant, à la moindre bêtise, gare à tes petites fesses.
C’est stupide, mais j’aime qu’elle me domine si bien... En fait, je l’aime tout court. Moi qui suis si souvent angoissé, je me sens bien. Je lui obéis et elle décide de tout. Sexuellement, je peux juste la lécher, mais elle me fait arrêter avant que je puisse jouir. Elle me laisse doublement frustré, je ne peux pas la faire jouir et je ne peux pas jouir sans son autorisation.
On fait les Champs Élysées, elle entre dans des magasins. Je dois l’attendre dehors mais porter tout ce qu’elle a achète. On mange dans des bons restaurants et on loge dans un bel hôtel, mais elle ne veut pas que je la lèche comme au bureau. Elle me dit :
— C’est réservé à mon mari.
— Mais... au bureau... je...
— On n’est pas au bureau !
— Vous ne voudriez pas venir habiter chez moi ?
— On en reparlera.
Alors c’est comme si j’étais une marionnette, quelqu’un a mis son bras quelque part en moi et il me fait dire :
— Je vous épouse.
Elle me regarde dans les yeux, je les baisse et elle me dit :
— D’accord.
***
Pourquoi ai-je dit ça et puis pourquoi ai-je fait ça ? Parce que la passion rend fou. Elle continue à me traiter comme un enfant et moi à lui obéir.
Elle s’occupe de tout, moi accroché à sa main. On prend le train pour Lille et elle ne me laisse pas retourner au bureau avant notre mariage. Une semaine plus tard, on va chez un notaire. Elle a fait faire une série de contrats. Je commence à les lire, mais elle me prend par une oreille, je crie ! Tandis qu’elle me dit :
— Je ne t’ai pas dit de les lire. Paraphe toutes les pages, date et signe la dernière page.
Elle prend simplement ses précautions, rien de plus, j’en suis sûr. On se marie dans une petite ville du Nord. Je pense à la nuit de noces... Ensuite, il sera temps que je retourne au bureau.
Elle a loué une chambre dans un bel hôtel de Lille. On mange et on boit du champagne, ensuite elle sera toute à moi et on vivra avec sa fille... si elle lui ressemble, elle doit être très belle.
Enfin on monte dans la chambre. Elle me dit :
— Déshabille-toi.
Elle se met nue aussi et grâce au Ciel, elle ne rit pas en voyant mon sexe. Elle le prend en main et dit :
— Huit ans... mais seulement quand tu bandes.
Là, elle rit ! J’en ai les larmes aux yeux. Elle me prend et me fait asseoir sur ses genoux, en disant :
— Faut pas pleurer, bébé... Tète-moi ça va te consoler.
Je baisse la tête et je prends le bout d’un de ses seins en bouche. Il a le goût salé de sa sueur. Quand j’ai tété ses deux seins, elle me dit :
— Maintenant, met-toi à genoux entre mes cuisses et tète.
J’obéis et je mets la bouche sur son sexe. Elle sent l’Amazonie après la pluie et les crustacés... Je n’ai jamais bandé autant de ma vie. Je suis sûr que mon sexe a doublé de volume. Enfin j’imagine. Elle me dit :
— Tète aussi
Je tète son clito. Elle me caresse la tête en disant :
— Tu fais ça bien bébé... Bon... c’est une nuit de noces, alors maintenant que tu m’as bien excitée, tu vas me baiser.
Je me relève et elle me prend par les hanches et me couche sur elle. Elle est douce, chaude, odorante. Elle prend mon sexe dans sa main et le serre doucement en disant :
— Tu vas l’enfoncer dans ma chatte. La peau du gland va se retrousser pour que tu sentes bien comme je mouille.
En disant cela, elle me décalotte et caresse mon gland mouillé d’excitation en disant :
— Tu es tout excité, petit, c’est la première fois que ton zizi vas aller dans un sexe de fille, non ?
— Si Madame, je..... oh ! Pardon.
J’ai joui dans sa main.
Je suis blond, de taille moyenne et plutôt enrobé. J’ai aussi perdu mes cheveux très jeune. Je n’ai jamais eu beaucoup de succès avec les femmes, sauf depuis que je suis devenu PDG d’une grosse société. J’ai soudain eu beaucoup plus de succès.
La gestion de la société est loin de me passionner. Heureusement, il y a dans la société une directrice financière d’une cinquantaine d’années qui est très efficace et sur qui je me repose pour toutes les décisions. C’est elle qui me signale les ouvrières qui sont prêtes à venir faire un tour en dessous de mon bureau, pour une petite augmentation ou simplement pour garder leur emploi. Celles qui me plaisent et qui refusent risquent de se retrouver au chômage. Comme les temps sont durs, il y a très peu de refus.
Un jour Hélène me dit :
— Il y a une intérimaire qui s’appelle Éden et qui vous plairait certainement. Elle rêve d’avoir un contrat de travail parce qu’elle vit seule avec sa fille...
— Je me fie à votre bon goût Hélène.
***
Le lendemain, Hélène vient dans mon bureau avec une des ouvrières. Là, j’ai un choc, c’est exactement le genre de femme qui me plaît, une jolie brune pas trop jeune et surtout très sûre d’elle. Elle a cependant un côté négligé qui me refroidit un peu. Elle me dit :
— Bonjour Monsieur, il parait que vous me donneriez un contrat en échange d’une pipe.
Je suis surpris par cette formule. Je réponds :
— A condition que... euh... mais...
Elle se retourne et remonte son tablier et sa jupe. Elle n’a pas de culotte et elle tend vers moi un cul bien rond de toute beauté. Hélène lui dit :
— Va sous son bureau pour convaincre Monsieur.
Tout en me regardant dans les yeux, elle répond :
— Je préférerais l’inverse. Alors, président, vous vous levez et je m’assieds à votre place. Vous aurez bien une idée de ce que vous devrez faire.
Cette fille est folle ! Je suis effectivement le président de cette société et... et je me lève. Elle prend ma place et claque des doigts en disant :
— Allez !!
Comme hypnotisé, je vais me mettre à genoux sous le bureau. Elle a posé une des ses chevilles sur l’accoudoir de mon fauteuil et, dans la pénombre qui règne sous mon bureau, je vois ses lèvres entourées de poils noirs. je sens déjà son odeur. Je déteste les filles qui ne sont pas soignées... sauf qu'Éden a une odeur animale qui m’affole. Elle dit :
— Lèche !
C’est le monde à l’envers, mais elle me plaît trop. Je mets le nez dans ses poils... je devrais être dégouté... et, au contraire, j’adore. Elle n’est pas lavée et malgré ça, je la lèche... Elle me donne une claque sur la tête en disant :
— Suce mon clito !
Elle n’a vraiment pas peur de se faire renvoyer... Elle m’a ensorcelé, c’est le cas de la dire. Je ne pense qu’à une chose, la faire jouir. Et là, je reçois une nouvelle claque sur la tête et elle me dit :
— C’est la première fois que tu lèches une chatte ?
— Ce n’est pas... dans mes habitudes.
— Ça se voit. J’ai à faire, je te laisse avec un petit cadeau, l’odeur de ma chatte.
— Euh...
— Quoi euh ? On dit merci.
— Mer... ci, Madame.
Ensorcelé, c’est le mot. Elle se retourne et lève à nouveau sa jupe et me met ses fesses sous le nez en disant :
— Tu vas écarter mes fesses et embrasser mon anus en me remerciant poliment.
Je... j’écarte ses fesses et j’embrasse un anus pour la première fois de ma vie, puis je bredouille :
— Merci... je... j’aimerais vous revoir...
Elle rit, Hélène aussi mais plus discrètement.
Elles s’en vont et c’est vrai qu’elle me laisse son odeur. A partir de ce moment je n’arrête plus de penser à elle. C’est de la magie... noire. Je n’ai plus envie de faire venir les filles qui travaillent pour moi, même les nouvelles ne m’intéressent plus.
J’attends trois jours pour retrouver mes esprits, en vain. C’est un coup de foudre, inutile de résister. Je demande à Hélène de me l’amener. Elle arrive dans mon bureau. Je me lève en lui disant :
— Je voudrais qu’on refasse comme...
Elle me coupe la parole :
— Non. D’ailleurs je ne vais pas rester dans votre société. Je vais prendre des vacances et chercher un job sur un yacht. Avec mon physique, je n’aurai pas trop de difficulté.
— Où voulez-vous aller ?
— J’sais pas.... Paris...
— Je vous invite où vous voulez.
— Pour me sauter ?
— Non, j’ai juste envie d’être avec vous.
— Vous m’obéirez ?
Là, elle exagère, je suis le boss ici et.... je réponds :
— Oui...
Coup de foudre, coup de folie ou alors elle m’a vraiment envoûté. Elle me dit :
— Je rentre pour me préparer, venez me chercher demain à 10 h. Hélène vous donnera l’adresse. Ah ! Au cas où vous changeriez d’avis, n’oubliez pas ma principale qualité.
Elle se tourne et relève sa jupe, elle n’a pas de culotte et elle tend ses fesses vers moi en disant :
— A demain.
— ...euh... oui...et...
Elle est déjà partie. Je dis à Hélène :
— C’est une folie ?
— Mais non Monsieur, c’est la seule façon de vous guérir de votre obsession. Je vous remplacerai, il n’y aura pas de problèmes, vous le savez bien.
***
Le lendemain, on prend le train pour Paris. On est en première classe et elle me dit :
— Donne-moi ton argent, ton téléphone et tes cartes de crédit. Je veux que tu dépendes complètement de moi, comme si tu avais huit ans.
C’est de la folie... mais ça m’excite atrocement. Elle me dit :
— Portefeuille et clés de chez toi, aussi. Allez !!
Je lui donne tout. Elle met tout dans son sac et elle ajoute :
— Tu devras être très sage maintenant, à la moindre bêtise, gare à tes petites fesses.
C’est stupide, mais j’aime qu’elle me domine si bien... En fait, je l’aime tout court. Moi qui suis si souvent angoissé, je me sens bien. Je lui obéis et elle décide de tout. Sexuellement, je peux juste la lécher, mais elle me fait arrêter avant que je puisse jouir. Elle me laisse doublement frustré, je ne peux pas la faire jouir et je ne peux pas jouir sans son autorisation.
On fait les Champs Élysées, elle entre dans des magasins. Je dois l’attendre dehors mais porter tout ce qu’elle a achète. On mange dans des bons restaurants et on loge dans un bel hôtel, mais elle ne veut pas que je la lèche comme au bureau. Elle me dit :
— C’est réservé à mon mari.
— Mais... au bureau... je...
— On n’est pas au bureau !
— Vous ne voudriez pas venir habiter chez moi ?
— On en reparlera.
Alors c’est comme si j’étais une marionnette, quelqu’un a mis son bras quelque part en moi et il me fait dire :
— Je vous épouse.
Elle me regarde dans les yeux, je les baisse et elle me dit :
— D’accord.
***
Pourquoi ai-je dit ça et puis pourquoi ai-je fait ça ? Parce que la passion rend fou. Elle continue à me traiter comme un enfant et moi à lui obéir.
Elle s’occupe de tout, moi accroché à sa main. On prend le train pour Lille et elle ne me laisse pas retourner au bureau avant notre mariage. Une semaine plus tard, on va chez un notaire. Elle a fait faire une série de contrats. Je commence à les lire, mais elle me prend par une oreille, je crie ! Tandis qu’elle me dit :
— Je ne t’ai pas dit de les lire. Paraphe toutes les pages, date et signe la dernière page.
Elle prend simplement ses précautions, rien de plus, j’en suis sûr. On se marie dans une petite ville du Nord. Je pense à la nuit de noces... Ensuite, il sera temps que je retourne au bureau.
Elle a loué une chambre dans un bel hôtel de Lille. On mange et on boit du champagne, ensuite elle sera toute à moi et on vivra avec sa fille... si elle lui ressemble, elle doit être très belle.
Enfin on monte dans la chambre. Elle me dit :
— Déshabille-toi.
Elle se met nue aussi et grâce au Ciel, elle ne rit pas en voyant mon sexe. Elle le prend en main et dit :
— Huit ans... mais seulement quand tu bandes.
Là, elle rit ! J’en ai les larmes aux yeux. Elle me prend et me fait asseoir sur ses genoux, en disant :
— Faut pas pleurer, bébé... Tète-moi ça va te consoler.
Je baisse la tête et je prends le bout d’un de ses seins en bouche. Il a le goût salé de sa sueur. Quand j’ai tété ses deux seins, elle me dit :
— Maintenant, met-toi à genoux entre mes cuisses et tète.
J’obéis et je mets la bouche sur son sexe. Elle sent l’Amazonie après la pluie et les crustacés... Je n’ai jamais bandé autant de ma vie. Je suis sûr que mon sexe a doublé de volume. Enfin j’imagine. Elle me dit :
— Tète aussi
Je tète son clito. Elle me caresse la tête en disant :
— Tu fais ça bien bébé... Bon... c’est une nuit de noces, alors maintenant que tu m’as bien excitée, tu vas me baiser.
Je me relève et elle me prend par les hanches et me couche sur elle. Elle est douce, chaude, odorante. Elle prend mon sexe dans sa main et le serre doucement en disant :
— Tu vas l’enfoncer dans ma chatte. La peau du gland va se retrousser pour que tu sentes bien comme je mouille.
En disant cela, elle me décalotte et caresse mon gland mouillé d’excitation en disant :
— Tu es tout excité, petit, c’est la première fois que ton zizi vas aller dans un sexe de fille, non ?
— Si Madame, je..... oh ! Pardon.
J’ai joui dans sa main.
Elle crie :
— Sale petit bonhomme ! Lèche ma main maintenant.
Quand j’ai tout léché, elle me couche sur ses genoux et elle me donne une fessée, pas pour jouer, une vraie fessée qui me fait gémir et supplier. Elle me donne bien une trentaine de claques. Mes fesses et le haut de mes cuisses doivent être bien rouges et surtout douloureux. Elle me remet sur mes pieds et en désignant un mur du doigt, elle me dit :
— Tu vas te mettre à genoux, le nez contre le mur, les mains croisées dans la nuque. Si tu bouges, je te soigne les fesses avec ma ceinture.
À suivre.
— Sale petit bonhomme ! Lèche ma main maintenant.
Quand j’ai tout léché, elle me couche sur ses genoux et elle me donne une fessée, pas pour jouer, une vraie fessée qui me fait gémir et supplier. Elle me donne bien une trentaine de claques. Mes fesses et le haut de mes cuisses doivent être bien rouges et surtout douloureux. Elle me remet sur mes pieds et en désignant un mur du doigt, elle me dit :
— Tu vas te mettre à genoux, le nez contre le mur, les mains croisées dans la nuque. Si tu bouges, je te soigne les fesses avec ma ceinture.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin.
Notre nouveau livre s’appelle : « Lizy, soumise autour du monde », il y a 60 illustrations de Bruce Morgan et vous allez l’adorer.
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Denis la malice se fait dresser par Eden, la dominante
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