596 - 30 Nuit de noces.

Éden téléphone et, quand elle a son interlocuteur, elle dit :
— Le petit salopiot a tout lâché dans ma main, viens.
— .....
— On est à la chambre 59. On commandera du champagne et on passera la nuit de noces ensemble.
— ... 
Elle rit et répond :
— Est-ce qu’il te léchera le cul, pendant que tu me baises ? Attends, je vais lui demander. — Alors, gamin, t’as entendu ? Tu vas lui lécher le cul ?
— C’est que... je suis hétéro.
Elle reprend le téléphone et dit :
— Bien sûr qu’il te léchera le cul, il aimerait même avoir la permission d’enfoncer sans langue dans ton trou du cul.




Elle rit et me dit :
— Il ne se lavera pas pour que ce soit plus excitant pour toi.
Elle reprend le téléphone et dit :
— Il est ravi... Viens vite m’enfoncer ta grosse bite dans la chatte.  J’ai hâte de perdre ma virginité.
Rires. Elle raccroche et me dit durement :
— Tu ne te rhabilles pas et tu te mets à genoux les bras tendus bien droits et les mains qui ne se touchent pas. Tu pourras bouger lorsque tu me diras ce que je veux entendre.
Elle allume la télé et regarde des clips... Moi, je suis les bras levés dans cette position qui devient vite très pénible. Je sais que je ne vais pas tenir, je lui dis :
— Je suis d’accord pour faire ce que vous voulez.
— Bien... mais tu vas rester comme ça un quart d’heure de plus, ça t’apprendra à m’obéir à la seconde.
C’est de la folie ! 
Dix minutes plus tard, je crois que je vais m’évanouir. Je lui dis :
— Pitié, maîtresse... J’obéirai à la seconde.
— Tu peux baisser les bras, mais reste à genoux. Je veux que mon amant te voie puni.
Ouf ! Je peux baisser les bras. On toque à la porte. Elle va vite ouvrir et, du coin de l’œil, je vois qu’elle embrasse un grand Black. Quand ils se sont embrassés, il dit :
— Il est où ton gamin ?
Elle me désigne en disant :
— Là, puni.
Il rit et dit :
— Viens ici, gamin... 
Je me lève et je vais devant un Noir grand et costaud. 
Il prend mon sexe et mes couilles dans sa grande main et il les malaxe... habilement. Je ne sais pas comment c’est possible, mais je me mets à bander. Il rit en  disant à Éden :
— Regarde le petit salopiot qui bande.
— Il préfère les hommes sans doute.
Tout en malaxant mon sexe et mes couilles, il met son autre main sur mes fesses et il enfonce en force son index dans mon anus. Je pousse un cri et je lui dis :
— Je vous en prie, Monsieur, je n’ai jamais rien fait par là ! 
— Aïe ! Tu vas déguster, quand je vais t’enculer, alors.
— Non, pitié Monsieur, vous allez me tuer !
Ils rient tous les deux. C’est vrai que c’est exagéré. Il sort son index de mon cul et le met sous mon visage en disant :
— Nettoie-le.
Il l’enfonce dans ma bouche. Quelle horreur !! Quand le temps lui semble suffisant, il le retire et dit à Eden :
— Je t’avais prévenue, les Blancs sont incapables de baiser.
— Arrête de faire le raciste, chéri, et ne te moque pas des handicapés, il a une quéquette d’enfant.
Ils rient tous les deux. Il se déshabille et me dit : 
— Viens te mettre à genoux devant moi, tu vas voir ce que c’est, une vraie bite.
 J’obéis bien sûr et je me retrouve devant une très grande bite encore au repos. Je dirais bien « je suis hétéro », mais je n’ose pas. Contrairement à beaucoup de Noirs, il n’est pas circoncis, il fait coulisser son prépuce et son gland mouillé me caresse le visage. Je veux m’enfuir ! Il me dit :
— Comment tu la trouves ?
— Euh...
Il prend sa bite à la base et il me « bifle », un néologisme qui veut dire gifler avec une bite. Il me fait mal, je crie :
— Elle est super belle, Monsieur !
Il frotte son gland sur mes lèvres en disant :
— Lèche !
Pour éviter les « bifles », je le fais, bien sûr. Il dit :
— Tu fais ça bien. Tu aimes trop ta femme, c’est pour ça que tu as joui dans sa main, hein petit ?
— Ouiiiii Monsieur.
— Pour moi, ta femme, je la vois quand j’ai envie qu’elle me suce la bite. J’aime aussi fourrer ma bite noire dans son beau cul blanc. Maintenant, tu me lécheras la bite avant de la mettre dans la chatte de ta femme.
Éden, ça la fait rire... Elle me dit :
— Lèche-lui les couilles.
Elle exagère, je... Elle prend une baguette qui était sur sa table de nuit et compte :
— Cinq, quatre, trois...
Je lèche les énormes couilles moites de sueur et gonflées de sperme qu’il va envoyer dans ma femme... enfin, c’est ce que j’imagine. J’ai l’impression que ses couilles sont dix fois plus grosses que les miennes. Ce n’est pas parce que cet homme est noir, je ne suis pas raciste, c’est parce que je suis 100 % hétéro, comme je leur ai dit. Ma femme lui dit :
— Couche-toi sur le ventre, Steven, les jambes écartées, le petit va te lécher le cul et les couilles.
Il se couche sur le ventre et ma femme me dit :
— Écarte ses fesses et lèche son trou du cul.
Elle lève sa baguette de bambou. Je ne veux pas faire ça, mais je veux encore moins recevoir des coups de baguette sur les fesses. J’écarte les fesses musclées du Black et je lèche son trou du cul. Que va-t-elle faire ensuite ? Je lèche... Steven dit :
— Il y prend goût, le petit.
Éden répond :
— Comme tous les hommes 100 % hétéros, il aime lécher les couilles et le cul des hommes.
Ils rient tous les deux. Steven lui dit :
— Couche-toi sur le ventre.
Puis il se met entre ses jambes et il me dit :
— Prends ma bite et mets-la sur la chatte de ta nouvelle épouse.
Ils rient à nouveau ! Mais pourquoi je ne m’enfuis pas ? Parce que... je suis fou d’elle. Par contre, obéir à Steven c’est plutôt normal, vu à quel point il est costaud. Il me dit :
— Mets-toi le plus près possible pour bien voir mon sexe aller et venir dans la chatte de ta femme. Sinon, je vais devoir te punir, boy.
Éden lui dit :
— J’adore ce nom, mon chéri. Denis, dorénavant, tu es boy.
— Oui Madame.
Je mets le bout de sa bite sur le vagin de ma femme et il s’enfonce en elle d’un grand coup de reins. Éden pousse un cri, mi-douleur, mi-plaisir, et puis elle commente... tout !
— Oh ouiiiii, mon chéri... c’est bon... Je t’aime... aaaahhhhh... Je la sens ta grosse bite, elle me défonce et en même temps c’est trop bon.
Je suis à quelques centimètres de l’action et elle s’adresse à moi :
— Lèche le trou du cul de mon amant, boy... Grâce à lui, je passe la meilleure nuit de noces du monde... C’est booooon...
J’essaie plus ou moins bien de lécher ce cul qui va et vient. Éden continue de tout commenter, jusqu’à :
— Ah... ouiiiiii.... je vais jouir...
Steven répond :
— Je vais bientôt arroser le fond de ta vulve... Tu veux que je te fasse un enfant ?
NON ! Mais elle répond :
— Ouiiiiii, je veux porter ton enfant... Ça y est, je vais aspirer tout ton sperme. Aaaah ouiiii...
Et d’être si près d’elle, c’est fou, mais moi aussi je jouis, en partie sur sa cuisse. Steven fait encore quelques va-et-vient avant de se retirer. Éden me dit :
— Tu jouis quand tu vois un autre homme me faire jouir. Alors je vais te régaler, petit boy. Couche-toi sur le dos.
Quand je suis couché, elle vient s’accroupir au-dessus de mon visage en disant :
— Suce ma chatte.
Oooh non, pas ça ! Elle attrape mes couilles et les serre. Je crie :
— Aïe ! Je suce !
Elle pose sa... vulve mouillée sur ma bouche et elle pousse. Des grosses bulles de sperme et de ses sécrétions en sortent. J’avale le plus vite que je peux. Je déteste ça et en même temps, j’adore la chatte de ma femme. C’est ce qui me fait bander : mon petit sexe se dresse. Norman dit :
— Ton boy, c’est le genre à se branler plusieurs fois par jour, il va falloir arranger ça.
Éden répond :
— Oui, j’ai une idée.
Puis elle me dit :
— Arrête de te goinfrer, boy, et tu peux remercier Steven de t’avoir aussi bien nourri. 
La bouche pâteuse de ce sale goût de sperme, je lui dis :
— Merci Monsieur.
— Tu dois avoir un sale goût en bouche, viens dans les w.c. je vais nettoyer tout ça, j’ai envie de pisser.
Je le suis dans la salle de bain et j’entends le rire de ma femme
***
Et c’est une fin de tournage. Merci à tous.

À suivre.

Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin.

Notre nouveau livre s’appelle : « Lizy, soumise autour du monde », il y a 60 illustrations de Bruce Morgan et vous allez l’adorer.
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search




Commentaires

  1. Cette histoire du grand Black qui se bouffer le cul par le soumis de Madame, c'est succulent

    RépondreSupprimer
  2. Et un 2ème commentaire Lo, tu me gâtes... J'étais occupé de nettoyer le bureau, ça me fait plaisir de m'arrêter. Parce que, tu sais, dans la Société Mia and co, n'a pas les moyens de payer une bonne, alors c'est moi qui fait tout à la bougie (pour ne pas dépenser trop d'électricité), oui je me plains, mais si je te montre combien je vends de livre, tu pleures avec moi... Bisous, mia

    RépondreSupprimer
  3. Tu écris aussi bien ton quotidien que tes récits érotiques même si c'est loin d'être aussi rose que les fesses d'Eden. En tout cas, tu peux compter sur moi pour des mouchoirs en cas de pleurs. Pour éponger L'humidité, je suis comme les scouts toujours prête 😘

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. L'humidité est souvent ailleurs, tu t'occupes de ça aussi ???

      Supprimer
  4. Tout à fait !!! Ma bouche 👄 et ma langue 😝 Sont ultra absorbantes et submersibles pour des soins en profondeur

    RépondreSupprimer
  5. Je répondrai présente et toujours prête, comme les scouts 😋. Tiens, une idée, une histoire d'Eden chez les scouts 😉😊

    RépondreSupprimer

Enregistrer un commentaire

Posts les plus consultés de ce blog

Lizy 24 - En mer, à nouveau...

597 - 31 Une cure de soumission.

33 - On voyage.