598 - 32 Chaste été.

Le lendemain, Steven doit partir, il travaille. Les amants s’embrassent et ils oublient que je suis là ou plutôt, ils s’en foutent royalement. Quand il est parti, je demande à ma femme : 
— Je peux aller à la salle de bain... me laver, Madame ? 
— Oui... et tu ne peux m’appeler Madame que lorsqu’on est seuls. Allez, dépêche-toi et pas la peine de t’habiller. 
Je vais faire vite... ce qu’on fait le matin, puis je me lave. 
Quand je sors de la salle de bain, Éden a fait monter des petits déjeuners et elle mange des pains au chocolat. Elle désigne le sol près d’elle... Je vais vite me mettre à genoux. Quand elle a assez mangé, elle me prépare une assiette avec les restes. Elle me la montre en disant : 
— Fais le beau. 
Je me redresse et je fais le chien, les pattes levées... Elle dépose l’assiette par terre. Je mange, sans prendre les morceaux avec les pattes, bien sûr. J’avoue que j’aime sa façon de me traiter, tant qu’elle ne me punit pas. Mon petit sexe se dresse... bêtement. J’aimerais pouvoir me branler contre sa jambe. Je reviens vite à la réalité humaine quand elle me dit : 
— Tu as regardé les papiers que tu signais ? 
— Non Madame, vous m’avez dit de... 
Elle me coupe : 
— Tout ce que tu as m’appartient. Tu n’as plus rien. 
— Mais... 
— Je parle, tu te tais. Il y a mieux : tu as signé une confession qui pourrait te valoir pas mal d’ennuis. 
Là, je commence vraiment à paniquer. Elle ajoute : 
— Mais j’ai bon cœur, je ne vais pas te mettre à la rue. Pour que tu sois tranquille, tu n’as qu’à m’obéir. Ma sœur s’occupera aussi de toi. 
Elle a une sœur ??? Première nouvelle. J’attends la suite... 
— Elle est beaucoup plus jeune que moi et elle vient de faire de la prison, pour un petit vol qui était plus une plaisanterie. Je vais l’héberger dans ma nouvelle maison et elle s’occupera de tout le ménage... Nettoyer, laver le linge, préparer les repas.... 
Elle réfléchit ou plutôt, elle fait semblant de réfléchir... et ajoute : 
— Je te taquine, petit, c’est toi qui vas t’occuper de tout ça. Tu vois, ta société m’appartient, il faut que je m’en occupe. Mademoiselle Lisa va te surveiller. D’accord, c’est une garce, mais elle est jeune, jolie et... imaginative. Tu vas adorer lui obéir. Son problème, c’est qu’elle n’est pas soigneuse, elle a donc besoin d’un domestique.  
Mon Dieu, pourquoi ai-je signé tous ces papiers sans les lire et devant témoins ? Je ne doute pas que la sœur soit jolie, mais elle sort de prison !! Éden termine en disant : 
— Elle va venir te chercher, moi, j’ai du travail. Attends-la ici. 
Elle s’en va, me laissant tout bête, seul dans cette chambre. D’accord, j’ai eu un coup de passion pour elle, mais les choses vont trop loin. Ces papiers ont été signés sous la contrainte. Je vais aller me réfugier chez un ami avocat qui... Ouch ! La porte s’ouvre et une gamine entre dans la pièce. Je dis une gamine mais elle doit avoir au moins 20 ou 21 ans, puisqu’elle vient de faire deux ans de prison. Elle a un jean, une veste en cuir râpé et des bottes courtes, elle est jolie comme sa sœur, mais elle a l’air beaucoup plus coriace. Je la regarde... Elle dit : 
— N’y pense plus ! 
— Pardon Mademoiselle, je... 
— Tu faisais des projets d’évasion ! Ce ne sera plus la peine, je vais t’équiper de différentes choses qui te rendront très obéissant. 
NON !... Je vais la pousser et m’enfuir chez un ami... 
Je la bouscule, pour arriver à la porte. Hélas, deux ans de prison lui ont permis d’aiguiser ses ripostes. Elle sort quelque chose de sa poche et elle tire sur moi. Je me retrouve au sol tremblant, tout mon corps est traversé par un courant électrique. Elle va me tuer ? Non, elle me retourne sur le ventre avec son pied, puis le courant éclectique s’arrête enfin. Elle tire sur mes bras avec une force incroyable et elle me met des menottes en plastiques autour des poignets. Je crie tellement elle sert fort, puis j’arrive à bredouiller ; 
— Pardon, j’obéirai, je.. 
— Oh oui, tu obéiras ! Si tu ne veux pas te faire taser à nouveau, laisse-toi faire. 
— Oui, je... ahhhh.... je... 
Elle me retourne sur le dos, ça me fait mal aux bras et aux épaules. Puis elle me met un collier métallique autour du cou. Il se ferme avec un clic de mauvais augure. Elle me dit : 
— Si tu t’éloignes trop de moi, tu veux voir ce qui va se passer ? 
— Non, mademoiselle Lisa, je vous en prie, je vous crois... 
— Bien, maintenant on va s’occuper de ton petit engin. Tu vois, j’aime me promener nue et je ne voudrais pas me faire violer. 
Elle rit et ajoute : 
— Ou alors je ne veux pas que tu perdes ton temps et ton énergie à te branler, parce que tu vas avoir beaucoup de travail. 
Elle s’assied sur mon ventre et ouvre mon pantalon. Elle cherche mon sexe en riant et elle dit : 
— Putain, il n’a plus grandi depuis tes six ans ? 
Elle prend une boîte dans sa boche et elle en sort une petite ceinture de chasteté pour homme. Je ne vois pas bien parce qu’elle est presque assise sur mon visage. Elle arrive péniblement à y introduire mon sexe même s’il n’est pas très grand. Je sens des petites protubérances. Elle me dit : 
— Faudra pas bander sinon, ta petite bite va déguster. Tu vas voir.  
Elle se lève et me retourne sur le ventre. Elle défait les liens de mes poignets en disant : 
— Couche-toi sur le dos. 
Je me retourne et je vois qu’elle retire ses bottes et son jean. Elle pose un pied sur mon visage. Elle avait mis ses bottes sans chaussettes et son pied sent très fort la sueur et le vieux cuir.  
— Aïïïeeee ! 
Je bande et mon sexe essaie de grandir un peu. C’est impossible et les protubérances me font vraiment mal. Elle me dit : 
— Qu’est-ce tu as à gémir ? Tu n’aimes pas l’odeur de mes pieds ? 
— Si Mademoiselle Lisa... C’est ce que vous avez mis sur mon sexe... 
— C’est parce que tu bandes. 
— C’est involontaire... 
— Mauvaise réponse. Essaie encore. 
— Pardon Mademoiselle Lisa. 
Elle me dit : 
— Habille-toi, on va chez ma sœur. Si tu t’éloignes de plus de deux mètres de moi, tu vas te prendre une méchante décharge. 
Elle commande un taxi. Je m’habille et je me colle pratiquement à elle... Le taxi nous dépose chez Éden, c’est-à-dire chez moi. Lisa a les clés et on entre. Je crois que c’est là que je réalise ce que j’ai fait, je suis pieds et poings liés à la merci de ces deux filles et... 
— Aïïeee ! 
C’est pas croyable, mais je bande à cette pensée. Lisa me dit : 
— T’en fais pas, dans quelques semaines, ton petit engin aura compris la leçon et tu ne banderas plus.  
C’est comme si mon propre sexe me voulait du mal. 
— Aaaaïïïeeeee ! 
C’est de la folie, rien que cette idée me fait bander. Elle téléphone et dit : 
— J’y suis, rapplique. 
Qui ? Elle me demande : 
— Tu as déjà sucé un homme ? 
— Oh nooonnn... mademoiselle Lisa. 
— Tu vas voir, ça va te plaire... Lui, il a une queue d’homme. Tu vas bien la sucer avant qu’il ne me l’enfonce dans la chatte ou alors tu testes ta résistance aux courants électriques. Qu’est-ce que tu préfères ? 
— Su... sucer sa bite, mais si... 
— Tu n’as pas droit au « mais si... ». 
On sonne, elle me dit : 
— Va ouvrir. 
À la porte, il y a un grand mec tatoué. Il me dit : 
— Alors, c’est toi la nouvelle bonne ? 
— Euh... oui Monsieur. 
Il me pousse, entre et va embrasser Lisa. Il lui dit : 
— T’as envie de te faire baiser, ma belle ? 
— Oui... tu as envie aussi ? 
— Bien sûr... Je vais me laver, car on m’a coupé l’eau. 
Elle rit et répond : 
— T’es jamais lavé. Le boy va s’occuper de toi... 
Je pousse un cri, car je reçois du courant dans le cou, je vais vite me mettre à genoux devant lui. Il me dit : 
— Qu’est-ce que tu veux ? 
— Vous... euh... sucer la bite, Monsieur. 
— Super, je ne devrai pas la laver... 
Il descend la fermeture éclair de son jean et il me tend un gros sexe qui bande à moitié. Il tire sur la peau pour dégager le gland et là, aïïïe ! Je prends 1000 volts dans le cou, sans doute beaucoup moins, mais ça suffit pour que je le mette dans ma bouche et que je le suce... Je pourrais décrire le goût ou l’odeur, mais ça me rappelle de trop mauvais souvenirs. 


Au bout d’environ cinq minutes, Lisa lui dit : 
— Ta bite doit être à peu près propre, viens me la mettre dans la chatte. 
Il sort de ma bouche, me laissant... on va dire, un goût amer. Il baise la sœur de ma femme... Je dois bien avouer que c’est excitant à voir, hélas... Je gémis à cause de cette saloperie de ceinture de chasteté. À ce moment-là, Éden entre dans la pièce. Elle dit : 
— Continue ma chérie, j’ai besoin du boy. 
Un regard et je la suis. On va dans une autre pièce et elle me dit : 
— Je ne sais pas ce que tu as fait à ces ouvrières, mais elles ne t’aiment vraiment pas. À tel point que la déléguée syndicale voudrait t’avoir comme homme à tout faire dans l’usine.  
Oh putain ! Ça va être pire qu’ici. Je crois que j’ai assez payé le fait d’avoir un peu forcé les filles. 
*** 
A l’usine, je suis malmené et puni de toutes les façons possibles... Et puis, miracle : la déléguée syndicale est remplacée par un homme. Il engueule les filles qui me tourmentent et me demande de lui raconter comment tout ça est arrivé. Je lui raconte tout. Il a sur son bureau la petite commande à distance qui m’envoie une décharge électrique dans le cou. Je lui montre aussi ma « ceinture de chasteté ». Il me dit : 
— Tu n’as donc pas pu lire les documents que tu as signés ? 
— Pas une ligne, Monsieur. 
— Si je récupère tout, on s’associe ? 
— Oh oui Monsieur, sans hésiter. 
— Bien, des amis avocats vont s’occuper de ça. 
*** 
Et là, c’est un miracle : je récupère tous mes biens et mon usine. Je la dirige avec mon sauveur. On est deux maintenant à taquiner les jolies ouvrières.  
 
C’est une fin de tournage, merci à tous. 

Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin.

Notre nouveau livre s’appelle : « Lizy, soumise autour du monde », il y a 60 illustrations de Bruce Morgan et vous allez l’adorer.
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search



Commentaires

  1. je dois avouer que j'adorais tous les vendredis matin venir lire ces nouveaux textes mais depuis 3 semaines vu la tournure que prennent ces textes.... celui-ci j'ai lu les 10 premières lignes et j'ai arrété, rendez nous Eden, Lizzy. Les textes avec Eden chez les romains, les égyptiens, les byzantins étaient super, pourquoi avoir arrété pour nous mettre cela

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    1. Un peu de diversité dans les récits de Mia, ça fait toujours du bien, pour mieux savourer les rebondissements des personnages d'Eden et de Lizy😈

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    2. à fesseur33 : ça y est tu as une histoire dans laquelle Eden, va avoir une grosse frayeur, ça devrait te plaire, bisous, mia

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  2. Moi, j'adore quand il y a de la nouveauté, que des nouveaux personnages sont introduits (et histoires de pénétration y afférentes y sont introduites 😈) et que les personnages d'origine évoluent. Il faut de la nouveauté sinon les personnages s'ennuient...ce serait dommage 😈

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  3. Une soubrette version masculine qui se fait ensuite malmener en milieu ouvrier par des ouvrières, c'est une nouveauté à exploiter. En effet, la littérature erotique porte souvent sur le thème de l'exploitation, presque patriarcale , des femmes par les hommes, comme si le sexe féminin reste encore et toujours le sexe faible, alors que ce sont les femmes qui mettent les hommes à genoux et que bcp d'hommes trouvent encore tabou d'avouer les envies provoquées par le toucher d'un penis. Il faut continuer, très chère Mia, à exploiter ce récit moderne de l'exploitation des hommes par les femmes et de l'extase ressentie lors d'une bonne fellation

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    1. Bonjour Lo, sorry de te répondre avec un peu de retard, mais j'ai eu beaucoup de choses à faire. C'est très gentil de faire des commentaires. Il y aura beaucoup de surprise dans cette histoire d'Eden. Bisous, mia

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    2. Tes suprises y sont les plus belles, merveilleuse Mia

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