601 - 35 Le French Cancan
Je dors bien, rassurée. Je suis avec une fille coriace à qui je plais et qui me plaît. Je sais que l’apprentissage ne va pas être facile mais elle m’aidera.
Dans la salle à manger, il y a déjà cinq filles et cinq autres qui arrivent. Clémence me dit :
— Le patron veut trois groupes de danseuses.
Il voit grand. Un groupe est composé de quatre blondes et d’une métisse et l’autre de quatre brunes et d’une rousse. Il aime la variété et la symétrie. On s’embrasse toutes. On se croirait dans une école, à la rentrée des classes.
On mange toutes ensemble avec Clémence. On est toutes en chemise de nuit. Ce sont deux servantes qui font le service. On mange du pain avec de la confiture ou du miel et on boit du thé.
Quand on a mangé, on va dans une grande salle. Le professeur est une grande femme d’une trentaine d’années et, quand elle parle avec Clémence, je remarque qu’elle a un accent russe. Elle vient m’examiner et je lui fais une révérence, ce qui fait rire les filles. Je ne sais pas comment me comporter. Elle tâte mes muscles en disant :
— Tu as l’air résistante.
— Oui madame.
— Et tu es souple.
— Oui, je crois Madame.
Je me penche et je pose mes mains à plat sur le sol sans plier les jambes. Clémence dit :
— Ça, je l’avais remarqué.
Il y a quelques sourires discrets parmi les filles. La prof a un nom russe imprononçable. Clémence me dit :
— Tu diras simplement Madame.
On va toutes dans la salle de danse, elle est grande. Il y a une barre, des miroirs et même un piano. Toutes les filles enlèvent leurs chemises de nuit. On devra faire des exercices nues ? La prof nous fait d’abord faire des exercices d’assouplissement. Elle tape avec la main sur les fesses de celles qui ne font pas bien l’exercice. Ou alors juste pour tâter la fermeté des chairs. Elle dit à Clémence avec son fort accent russe :
— Quel bel assemblage de derrrrières....
Clémence répond :
— Vous connaissez les hommes, Madame, rien ne les attire plus qu’un cul bien rond.
— C’est vrrrrai.
On va passer sûrement une heure à faire des exercices d’assouplissement. La prof continue à passer entre nous pour rectifier une position ou caresser une fesse particulièrement attirante. Comme c’est l’été, on est bientôt en sueur. Clémence nous dit :
— Mettez les robes, maintenant.
Dans un coin, il y a les vêtements. Les robes sont noires, mais en dessous, il y a plusieurs jupons blancs, c’est ce que voient les clients puisqu’on relève les jupes et les jupons presque tout le temps. On a aussi des bas noirs qui nous arrivent juste au-dessus du genou et des chaussures avec un petit talon. Vous pensez qu’il manque quelque chose ? Attendez... la robe, les jupons, les bas, les chaussures, non c’est tout, pas de pantalon fendu ou fermé, c’est ce qui fait tout l’intérêt du cancan de « La brasserie de la Lune Blanche ». Clémence me dit que le nom de la brasserie fait référence à la dernière figure où, de dos, on relève la jupe et les jupons, penchées en avant. Les spectateurs voient sept lunes blanches et une... ambrée.
Tout ça est érotique et amusant... Hélas, l’apprentissage est très difficile. Les autres filles n’ont que quelques jours d’apprentissage de plus que moi. Je suis souple, heureusement, mais j’ai du mal à retenir l’enchaînement des figures. Relever la jupe et secouer ses jupons en montrant sa chatte, ça, ça va. Mais quand on passe à la roue, par exemple, on doit mettre les mains par terre, les jambes en l’air et on tourne... C’est difficile à réaliser et il faut se souvenir du moment où il faut le faire.
Par contre je réussis bien la crevette : on prend une jambe sous un bras et on lève le pied puis on le descend. Quand je vois les autres filles le faire, je trouve ça trop mignon : leurs vulves s’étirent puis s’écartent. On pourrait dire que c’est plutôt indécent : c’est vrai. C’est ce qui fait tout le charme de La Lune Blanche : les différentes figures que font nos vulves.
Les clients hommes sont tellement intéressés par ce cancan sans culotte qu’il n’est pas important de ne pas faire les figures très difficiles, comme le grand écart. J’aime la dernière figure, d’abord parce que c’est la fin, mais surtout parce qu’on tourne le dos aux clients, penchées en avant, on relève nos jupes et nos jupons et on secoue nos fesses.
Il nous faut un mois entier pour apprendre le cancan. On a intérêt à bien se concentrer et à sourire tout le temps parce que la prof s’est armée d’une baguette et elle atterrit souvent sur nos fesses. C’est un très bon stimulant pour apprendre à danser convenablement.
Clémence continue à me prendre régulièrement pour passer la nuit avec elle, mais elle laisse la prof me stimuler à coups de baguette, si je me trompe. On termine souvent le cours avec les yeux rouges et de jolies marques sur les fesses.
***
À peu près 15 jours après le début de nos cours, la brasserie ouvre ses portes aux clients, mais sans nous. Ce sont des bonnes danseuses qui font le cancan pour l’ouverture. Elles dansent bien et d’une façon tout à fait convenable. Enfin, elles lèvent bien leurs jupes et jupons et montrent leurs fesses, mais elles ont des pantalons. Les danseuses sont très bonnes et les clients aiment leurs différentes figures. Nous, on aide pour le service et on accepte de boire un verre avec eux, s’ils le souhaitent. Je crois que nous sommes ce qu’on appelle des entraîneuses. On se défend mollement s’ils ont les mains baladeuses. On passe même la nuit avec certains clients, si Clémence nous dit de le faire. Je continue à passer la nuit avec elle, quand je n’ai pas de client.
La journée, nous continuons les cours avec Madame Yéléna, j’ai appris son nom. On danse de mieux en mieux et elle emploie de moins en moins la baguette sur nos fesses.
Enfin, nous sommes prêtes. Ce soir, nous allons danser pour la première fois.
Il y a une petite salle rien que pour nous. Cinq tables font face à une petite scène. On se maquille et on s’habille, puis c’est notre baptême du feu. On arrive dans la salle, jupe bien relevée et chatte à l’air. On salue, puis on fait notre numéro pour une table de six hommes et deux femmes. Manifestement des gens riches, voire très riches. Ils ont tous environ une cinquantaine ou une soixantaine d’années.
On pousse des cris style « yiiiiiiippppppp » tout en levant bien la patte.
Deux des filles tournent sur les mains. On termine en montrant nos fesses et en se cambrant.
Et là, il devrait se passer quelque chose, non ? Oh oui, ils applaudissent... ouf ! Clémence nous fait signe de rejoindre ces riches clients. Un homme me fait signe d’approcher et tapote sa cuisse pour que je m’asseye. Il est en compagnie d’un couple et d’un homme qui semble habillé plus simplement que les autres. Il s’adresse à lui :
— Alors mon cher ami, qu’en pensez-vous ?
— C’est très joli... Je serais ravi de les peindre, avec et sans pantalon.
Quelques rires fusent, comme on dit. Ils font sans doute partie d’une société plus ou moins secrète de riches libertins. Le patron de la brasserie doit en faire partie lui aussi. L’homme sur lequel je suis assise me caresse les fesses en disant :
— Ne réfléchis pas trop, c’est un exercice qui ne réussit pas aux femmes, contente-toi de montrer ton joli cul.
Quel salaud ! Comme je ne réponds rien, il me pince méchamment les fesses. Je crie et je dis très vite :
— Aïe ! Je réfléchissais à vous répondre quelque chose.
Il répond :
— Bien sûr, tu ne trouvais pas. Tu es une femme, donc tu ne comprends rien... Dis-le.
Ah oui, un vrai salaud, mais je n’ai pas les moyens de lui dire ce que je pense vraiment. Alors, je dis lâchement :
— Je ne suis qu’une femme, Monsieur, et en dehors du nettoyage et de la cuisine, je ne comprends rien.
Tous les clients me regardent en souriant, même les deux femmes. L’une des deux dit même :
— Cher ami, ne demande pas à une fille qui gagne sa vie en montrant ses fesses d’être autre chose qu’idiote. La seule chose pour laquelle ces filles sont un peu douées, c’est le sexe... et encore.
Le salaud répond :
— On va vérifier.
Il me pince la joue en disant :
— Est-ce que tu lèches bien ?
— Oui Monsieur.
Il n’en a pas fini avec moi, il me dit :
— Je suis sûr que tu es capable de réussir d’autres choses, par exemple... Ah zut alors, il doit bien y avoir une chose que tu fais bien. Aide-moi.
Il me repince les fesses, je crie à nouveau et je dis :
— Aïe ! Je montre bien mes fesses, Monsieur.
— Voilà, je savais bien qu’il y avait autre chose. Tu vas d’abord me montrer comment tu suces un sexe. Allez hop, à genoux entre mes jambes.
Je vais lui mordre sa saloperie de sexe... ou pas. Je me mets à genoux et lui se met debout. Il me dit :
— Baisse ma culotte et embrasse mon sexe comme si c’était le visage du domestique dont tu es amoureuse.
Je fais ce qu’il dit, sous les regards amusés des clients et même des autres danseuses. Il a un long sexe qui bande à moitié et qui un sent un peu l’écurie mal entretenue. Je lui dis :
— Va te laver la bite, vieux dégueulasse.
Ou alors... je le pense. Il me dit :
— J’avais justement besoin de me laver, mais tu es habituée aux bites sales, non ?
Je ne veux pas qu’il se fâche. Je réponds :
— Oui monsieur.
C’est un jeu. Pour lui plaire, il faut que je joue le jeu... et puis, j’ai quand même un peu l’habitude... des sexes pas très propres. Je prends son sexe et tire sur la peau pour dégager le gland. Je plisse le nez en le regardant, maintenant que j’ai compris comment il fonctionnait. Ensuite je le lèche et puis c’est parti pour une fellation. Son sexe grossit sous mes coups de langue. Je lève les yeux pour regarder son visage, mais il me dit :
— Baisse les yeux.
Normal. Attends, je vais te faire grimper aux rideaux... ou pas, car avant de jouir, il me dit :
— Arrête.
Oh ?! Je suppose que jouir serait une victoire pour moi et c’est exactement ce qu’il ne veut pas. Parfait, ça me convient parfaitement. Je reste devant lui les yeux baissés et il me dit :
— Tu veux un peu d’argent ?
— Oui monsieur, s’il vous plaît.
Il sort une pièce de sa poche et me la donne. Oh ! C’est un louis d’or. Les yeux baissés, je lui dis :
— Mille mercis, Monsieur, c’est la première fois que j’en vois un.
Et c’est vrai en plus. Je suis riche... si j’arrive à la garder.
Dans la salle à manger, il y a déjà cinq filles et cinq autres qui arrivent. Clémence me dit :
— Le patron veut trois groupes de danseuses.
Il voit grand. Un groupe est composé de quatre blondes et d’une métisse et l’autre de quatre brunes et d’une rousse. Il aime la variété et la symétrie. On s’embrasse toutes. On se croirait dans une école, à la rentrée des classes.
On mange toutes ensemble avec Clémence. On est toutes en chemise de nuit. Ce sont deux servantes qui font le service. On mange du pain avec de la confiture ou du miel et on boit du thé.
Quand on a mangé, on va dans une grande salle. Le professeur est une grande femme d’une trentaine d’années et, quand elle parle avec Clémence, je remarque qu’elle a un accent russe. Elle vient m’examiner et je lui fais une révérence, ce qui fait rire les filles. Je ne sais pas comment me comporter. Elle tâte mes muscles en disant :
— Tu as l’air résistante.
— Oui madame.
— Et tu es souple.
— Oui, je crois Madame.
Je me penche et je pose mes mains à plat sur le sol sans plier les jambes. Clémence dit :
— Ça, je l’avais remarqué.
Il y a quelques sourires discrets parmi les filles. La prof a un nom russe imprononçable. Clémence me dit :
— Tu diras simplement Madame.
On va toutes dans la salle de danse, elle est grande. Il y a une barre, des miroirs et même un piano. Toutes les filles enlèvent leurs chemises de nuit. On devra faire des exercices nues ? La prof nous fait d’abord faire des exercices d’assouplissement. Elle tape avec la main sur les fesses de celles qui ne font pas bien l’exercice. Ou alors juste pour tâter la fermeté des chairs. Elle dit à Clémence avec son fort accent russe :
— Quel bel assemblage de derrrrières....
Clémence répond :
— Vous connaissez les hommes, Madame, rien ne les attire plus qu’un cul bien rond.
— C’est vrrrrai.
On va passer sûrement une heure à faire des exercices d’assouplissement. La prof continue à passer entre nous pour rectifier une position ou caresser une fesse particulièrement attirante. Comme c’est l’été, on est bientôt en sueur. Clémence nous dit :
— Mettez les robes, maintenant.
Dans un coin, il y a les vêtements. Les robes sont noires, mais en dessous, il y a plusieurs jupons blancs, c’est ce que voient les clients puisqu’on relève les jupes et les jupons presque tout le temps. On a aussi des bas noirs qui nous arrivent juste au-dessus du genou et des chaussures avec un petit talon. Vous pensez qu’il manque quelque chose ? Attendez... la robe, les jupons, les bas, les chaussures, non c’est tout, pas de pantalon fendu ou fermé, c’est ce qui fait tout l’intérêt du cancan de « La brasserie de la Lune Blanche ». Clémence me dit que le nom de la brasserie fait référence à la dernière figure où, de dos, on relève la jupe et les jupons, penchées en avant. Les spectateurs voient sept lunes blanches et une... ambrée.
Tout ça est érotique et amusant... Hélas, l’apprentissage est très difficile. Les autres filles n’ont que quelques jours d’apprentissage de plus que moi. Je suis souple, heureusement, mais j’ai du mal à retenir l’enchaînement des figures. Relever la jupe et secouer ses jupons en montrant sa chatte, ça, ça va. Mais quand on passe à la roue, par exemple, on doit mettre les mains par terre, les jambes en l’air et on tourne... C’est difficile à réaliser et il faut se souvenir du moment où il faut le faire.
Par contre je réussis bien la crevette : on prend une jambe sous un bras et on lève le pied puis on le descend. Quand je vois les autres filles le faire, je trouve ça trop mignon : leurs vulves s’étirent puis s’écartent. On pourrait dire que c’est plutôt indécent : c’est vrai. C’est ce qui fait tout le charme de La Lune Blanche : les différentes figures que font nos vulves.
Les clients hommes sont tellement intéressés par ce cancan sans culotte qu’il n’est pas important de ne pas faire les figures très difficiles, comme le grand écart. J’aime la dernière figure, d’abord parce que c’est la fin, mais surtout parce qu’on tourne le dos aux clients, penchées en avant, on relève nos jupes et nos jupons et on secoue nos fesses.
Il nous faut un mois entier pour apprendre le cancan. On a intérêt à bien se concentrer et à sourire tout le temps parce que la prof s’est armée d’une baguette et elle atterrit souvent sur nos fesses. C’est un très bon stimulant pour apprendre à danser convenablement.
Clémence continue à me prendre régulièrement pour passer la nuit avec elle, mais elle laisse la prof me stimuler à coups de baguette, si je me trompe. On termine souvent le cours avec les yeux rouges et de jolies marques sur les fesses.
***
À peu près 15 jours après le début de nos cours, la brasserie ouvre ses portes aux clients, mais sans nous. Ce sont des bonnes danseuses qui font le cancan pour l’ouverture. Elles dansent bien et d’une façon tout à fait convenable. Enfin, elles lèvent bien leurs jupes et jupons et montrent leurs fesses, mais elles ont des pantalons. Les danseuses sont très bonnes et les clients aiment leurs différentes figures. Nous, on aide pour le service et on accepte de boire un verre avec eux, s’ils le souhaitent. Je crois que nous sommes ce qu’on appelle des entraîneuses. On se défend mollement s’ils ont les mains baladeuses. On passe même la nuit avec certains clients, si Clémence nous dit de le faire. Je continue à passer la nuit avec elle, quand je n’ai pas de client.
La journée, nous continuons les cours avec Madame Yéléna, j’ai appris son nom. On danse de mieux en mieux et elle emploie de moins en moins la baguette sur nos fesses.
Enfin, nous sommes prêtes. Ce soir, nous allons danser pour la première fois.
Il y a une petite salle rien que pour nous. Cinq tables font face à une petite scène. On se maquille et on s’habille, puis c’est notre baptême du feu. On arrive dans la salle, jupe bien relevée et chatte à l’air. On salue, puis on fait notre numéro pour une table de six hommes et deux femmes. Manifestement des gens riches, voire très riches. Ils ont tous environ une cinquantaine ou une soixantaine d’années.
On pousse des cris style « yiiiiiiippppppp » tout en levant bien la patte.
Deux des filles tournent sur les mains. On termine en montrant nos fesses et en se cambrant.
Et là, il devrait se passer quelque chose, non ? Oh oui, ils applaudissent... ouf ! Clémence nous fait signe de rejoindre ces riches clients. Un homme me fait signe d’approcher et tapote sa cuisse pour que je m’asseye. Il est en compagnie d’un couple et d’un homme qui semble habillé plus simplement que les autres. Il s’adresse à lui :
— Alors mon cher ami, qu’en pensez-vous ?
— C’est très joli... Je serais ravi de les peindre, avec et sans pantalon.
Quelques rires fusent, comme on dit. Ils font sans doute partie d’une société plus ou moins secrète de riches libertins. Le patron de la brasserie doit en faire partie lui aussi. L’homme sur lequel je suis assise me caresse les fesses en disant :
— Ne réfléchis pas trop, c’est un exercice qui ne réussit pas aux femmes, contente-toi de montrer ton joli cul.
Quel salaud ! Comme je ne réponds rien, il me pince méchamment les fesses. Je crie et je dis très vite :
— Aïe ! Je réfléchissais à vous répondre quelque chose.
Il répond :
— Bien sûr, tu ne trouvais pas. Tu es une femme, donc tu ne comprends rien... Dis-le.
Ah oui, un vrai salaud, mais je n’ai pas les moyens de lui dire ce que je pense vraiment. Alors, je dis lâchement :
— Je ne suis qu’une femme, Monsieur, et en dehors du nettoyage et de la cuisine, je ne comprends rien.
Tous les clients me regardent en souriant, même les deux femmes. L’une des deux dit même :
— Cher ami, ne demande pas à une fille qui gagne sa vie en montrant ses fesses d’être autre chose qu’idiote. La seule chose pour laquelle ces filles sont un peu douées, c’est le sexe... et encore.
Le salaud répond :
— On va vérifier.
Il me pince la joue en disant :
— Est-ce que tu lèches bien ?
— Oui Monsieur.
Il n’en a pas fini avec moi, il me dit :
— Je suis sûr que tu es capable de réussir d’autres choses, par exemple... Ah zut alors, il doit bien y avoir une chose que tu fais bien. Aide-moi.
Il me repince les fesses, je crie à nouveau et je dis :
— Aïe ! Je montre bien mes fesses, Monsieur.
— Voilà, je savais bien qu’il y avait autre chose. Tu vas d’abord me montrer comment tu suces un sexe. Allez hop, à genoux entre mes jambes.
Je vais lui mordre sa saloperie de sexe... ou pas. Je me mets à genoux et lui se met debout. Il me dit :
— Baisse ma culotte et embrasse mon sexe comme si c’était le visage du domestique dont tu es amoureuse.
Je fais ce qu’il dit, sous les regards amusés des clients et même des autres danseuses. Il a un long sexe qui bande à moitié et qui un sent un peu l’écurie mal entretenue. Je lui dis :
— Va te laver la bite, vieux dégueulasse.
Ou alors... je le pense. Il me dit :
— J’avais justement besoin de me laver, mais tu es habituée aux bites sales, non ?
Je ne veux pas qu’il se fâche. Je réponds :
— Oui monsieur.
C’est un jeu. Pour lui plaire, il faut que je joue le jeu... et puis, j’ai quand même un peu l’habitude... des sexes pas très propres. Je prends son sexe et tire sur la peau pour dégager le gland. Je plisse le nez en le regardant, maintenant que j’ai compris comment il fonctionnait. Ensuite je le lèche et puis c’est parti pour une fellation. Son sexe grossit sous mes coups de langue. Je lève les yeux pour regarder son visage, mais il me dit :
— Baisse les yeux.
Normal. Attends, je vais te faire grimper aux rideaux... ou pas, car avant de jouir, il me dit :
— Arrête.
Oh ?! Je suppose que jouir serait une victoire pour moi et c’est exactement ce qu’il ne veut pas. Parfait, ça me convient parfaitement. Je reste devant lui les yeux baissés et il me dit :
— Tu veux un peu d’argent ?
— Oui monsieur, s’il vous plaît.
Il sort une pièce de sa poche et me la donne. Oh ! C’est un louis d’or. Les yeux baissés, je lui dis :
— Mille mercis, Monsieur, c’est la première fois que j’en vois un.
Et c’est vrai en plus. Je suis riche... si j’arrive à la garder.
À suivre
Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin.
Notre nouveau livre s’appelle : « Lizy, soumise autour du monde », il y a 60 illustrations de Bruce Morgan et vous allez l’adorer.
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