604 - 2 La fin du monde.

 Il s’appelle Thor ! C’est le dieu du tonnerre des Vikings, rien que ça !! Il continue :
— On va montrer au peuple que les UR sont dégénérés et vicieux. Quand ils ne sont pas en représentation, ils s’habillent de façon obscène et couchent tous entre eux.
Les servantes les regardent, très étonnées, moins que nous ! Ils vont nous faire faire des choses ensemble ? C’est dégoûtant, immoral, illégal... Justement, mon oncle lui dit :
— Mais c’est... aïe !!!
Il s’est pris une... décharge... dans les parties. Je me mets à pleurer, mes cousines aussi. On est en enfer ! Ce ne sont même pas des barbares, ce sont des démons. Veda nous dit :
— Arrêtez-vous.
Enfin, on peut s’arrêter de courir stupidement autour de la table. C’est surtout dur pour les plus âgés. On est tous essoufflés et en sueur, même moi, mon frère et mes cousines. Le dieu barbare (!) dit :
— Ils puent comme nous quand ils ont sué. 
Il prend Veda par la taille et lui dit :
— Mais, j’adore ton odeur, ma soeur.
Ils s’embrassent. D’abord, nous on ne pue pas et puis il a dit à nouveau ma sœur ! On dirait une secte comme il y en avait au 20e siècle !! Veda, la femelle barbare, me regarde et on dirait qu’elle a compris ce que je pensais. Elle me dit  :
— On n’est pas une secte, petite. Mais dis-moi, tu trouves le monde juste ?
Ouch ! Si je dis oui, qu’est-ce qu’ils vont me faire ? Si je dis non, je trahis ma famille. Je baisse la tête... Elle rit, puis elle nous dit :
— Tous les UR ont une dette envers la société, vous allez la payer en travaillant pour le peuple les UP. Je simplifie, parce tout ultra-riche que vous soyez, vous n’avez pas l’air très futé : les ultra-riches vont travailler et se mettre au service des ultra-pauvres. Compris ?
On répond tous oui. Elle poursuit :
— Le soir, vous remettrez vos beaux vêtements pour pratiquer l’inceste sur scène. Ça se pratique dans votre milieu, non ?
Je suis la seule à répondre :
— Je ne sais pas si je peux répondre « non ». On n’aura quand même pas le choix, Madame.
— Tu as raison, donc tu es d’accord pour sucer la bite de ton pépé.
— Euh...
Elle rit et me dit :
— Te tracasse pas, tout le monde y passera. Toi et tes cousines, vous êtes pucelles ?
Ma cousine Jade répond :
— Oui Madame, on n’est pas mariée.
Veda répond :
— Tu as pu te prendre une bite dans la bouche ou dans le cul et rester vierge ? Tu n’as jamais sucé la bite de ton pépé ?
— Oh non, Madame.
— Vous ne faites pas ça dans votre milieu, hein ?? 
— Non, Madame.
— Heureusement, l’IA est arrivée et vous allez passer de pucelle à putain. Un coup de chance, non ?
Elle se met à pleurer. Veda me regarde et dit :
— Et toi Mila
?
Je vais répondre quelque chose qui lui convient, comme ça elle me fichera la paix. Mon Dieu, voilà que je parle comme eux. Je lui dis :
— Je préfère être fouettée que... qu’avoir des rapports sexuels avec mon grand-père ou quelqu’un de ma famille, Madame.
Ils rient tous les deux. Le barbare me dit :
— Tu sais, chez les pauvres, tu vois qui je veux dire ? Oui, je crois, les femmes un peu jolies doivent se prostituer pour manger et faire vivre leur famille. Les garçons aussi, d’ailleurs. Bon, assez joué. Votre beau domaine va devenir un hôtel-restaurant-camping pour que les pauvres puissent y passer des vacances de riches. 
Il regarde les servantes, qui écoutent de toutes leurs oreilles, et leur dit :
— Je sais que le poste de directrice plairait à Jenny... c’est ça hein, ma belle ?
— Oui, tout à fait Monsieur. J’adorerais avoir cette famille de prétentieux égoïstes à ma botte.
Quelle horreur ! D’autant plus que Jenny est une dure et que... on l’a tous fait fouetter parce qu’elle n’était pas assez « servile » ou parce que ça nous amusait. Le barbare poursuit :
— Je crois que les autres ont envie de voir le monde. Il y a un bateau dans le petit port de la propriété. Il y a un très bon repas et du champagne pour vous, ainsi que deux servantes UR. Elles sont à votre service, vous pourrez les punir ou les fouetter... sans les abîmer. Vous pouvez aller où vous voulez, l’IA vous aidera pour la navigation,
Les quatre servantes acceptent, ravies. Des servantes qui partent en croisière avec champagne, homard et caviar, sans doute... et puis avec des filles de très bonnes familles, enfin je veux dire de familles très riches comme servantes ou plutôt esclaves, ce n’est pas la fin du monde, ça ? Thor leur dit :
— Vous pouvez prendre un de leurs véhicules. L’IA vous protégera, mes sœurs.
Elles remercient et embrassent Jenny avant de sortir. On entend un bruit de moteur. Hélas, ce ne sont pas nos robots ou nos systèmes de défense qui se remettent à fonctionner ! Le bruit s’éloigne. 
On se retrouve avec les deux barbares et une servante qui va nous faire payer nos... taquineries. Veda dit :
— Fait chaud ici, mon frère, je vais me déshabiller. Toi pas ?
Thor répond :
— Oui, moi aussi.
On va voir un dieu tout nu ! Pourquoi pas, au point où on est. Le dieu et la barbare se déshabillent, ils sont tous les deux poilus et en sueur. Thor est très musclés. Ils sentent... le peuple !
On est là, face à eux. Il y a les personnes âgées, mon grand-père et ma grand-mère, mon grand-oncle et ma grand-tante, mes parents, mon oncle et ma tante, mes cousines, mon frère jumeau et moi. Nous, on sent bon et on est épilés et soignés. Là, on entend une musique lente, un slow comme on disait, je crois. Veda dit à mon grand-père :
— Pépé Raymond, va inviter ta petite fille à danser... Et si tu ne veux pas une bonne décharge dans tes vieilles couilles, tu vas la tenir serrée contre toi.
Les barbares rient, nous pas. On est nus et on va danser l’un contre l’autre ? Ce sont des démons ! Mon grand-père se lève et vient devant moi. C’est le seul d’entre nous qui n’est pas soigné, mais comme il est à la tête de nos sociétés, on n’ose rien lui dire. Même quand il nous caresse les fesses. Il le fait à ma mère à ma tante, mes cousines et moi ! De plus il a un gros ventre mou et je vois son sexe pour la première fois de ma vie ! Il vient devant moi et s’incline en disant :
— Voulez-vous m’accorder cette danse, Mademoiselle Mila.
C’est dur à dire, mais mon grand-père est un sale vicieux ! En plus de nous caresser les fesses, je l’ai déjà surpris le nez dans une culotte que j’avais portée et il est déjà entré dans la salle de bain quand je me lavais. Mes cousines m’ont dit la même chose. Je regarde ma mère, elle me fait signe « oui » de la tête. Alors, je me lève. Pépé me prend par la taille et me colle contre lui. C’est mon grand-père et il est gros, mou et collant de sueur ! Rapidement, je ne sens pas que son gros ventre mais son sexe aussi. Il me dit :
— Désolé ma chérie, mais tu es trop belle, trop douce et tu sens trop bon. Je ne peux pas m’empêcher de bander. C’est un rêve qui se réalise.
Pour moi, c’est un cauchemar. Le vieux cochon bande contre moi, sa petite-fille ! Quelle horreur ! Il est collé à moi, je sens son corps moite contre ma peau et son sexe contre mon ventre. Thor me dit :
— Maintenant que tu l’as bien excité, ton pépé, va falloir le soulager. C’est son rêve, n’est-ce pas Pépé ?
— Oh oui, le nombre de fois que je me suis branlée en pensant à elle... Allez, mets-toi à quatre pattes et viens sucer ma bite.
Je réponds :
— Ça jamais.... aaaaiiiiieeee.... aaiiiiieieeee... !!!
Mon sexe va mourir avec ces décharges d’électricité. Je me mets à genoux et je rampe vers lui les yeux à moitié fermés. Je ne veux pas voir ce que je fais. 



Je sens aussitôt le... bout de son sexe mouillé et qui sent fort se promener sur mon visage. Il le frotte sur mes lèvres en disant :
— Allez ma belle, ouvre la bouche.
Je vais mourir... de dégoût ! Il est vieux et de ma famille, on n’est pas censé sucer le sexe de son grand-père. Je vais vomiiiir ! Veda me dit :
— Va falloir faire un effort Mila, pense que lorsque tu l’auras bien sucé, il sera propre. 
Rire gras du sale pépé qui me caresse la nuque en disant :
— Je te nomme nettoyeuse en chef de mon zob.
L’IA ou les barbares aiment ça !! Thor lui dit :
— Pépé, je te nomme chef du cul, c’est toi qui décidera qui baisera ou se fera baiser par qui...
Ce n’est pas clair, mais hélas, je ne comprends que trop bien ce qu’il veut dire. L’abominable Pépé me prend par les deux oreilles en disant :
— Oh merci, ça me fait tellement plaisir d’explorer sa bouche avec ma bite... Je ne vais pas tenir... je vais tout lâcher... dans ta bouche petite... salope !!!
Son sexe est à la hauteur de mes amygdales, tandis qu’il grince :
— Et avale tout... tout... aaaaaahhhh....
Ça y est, je décède tandis que des flots de sperme dégoûtant me remplissent la gorge et la bouche. 
Veda me dit :
— Avale !!
Je ne peux faire qu’avaler si je veux encore respirer.
J’avale et je m’évanouis de dégoût... Hélas, non. Veda me prend contre elle en disant :
— T’as fait une pipe à ton pépé, c’est pas la fin du monde. Les femmes et les jeunes gens du peuple doivent sucer des vieux quand ils ont vraiment faim.
Je m’en fous du peuple, enfin, ça je le pense mais je ne le dis pas. 

À suivre.
 
Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin.

Notre nouveau livre s’appelle : « Lizy, soumise autour du monde », il y a 60 illustrations de Bruce Morgan et vous allez l’adorer. Il est ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search



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