605 3 Toutes blondes.

 Je deviens folle depuis que j’ai le sale jus du pépé-porc dans mon ventre. Je lui dis :
— Je préférerais être fouettée comme je fouettais les servantes, plutôt que cet acte dégoûtant avec ce... ce porc.
Elle répond :
— Tu es sûre ? Parfois elles avaient les fesses bien rouges, non ?
C’est vrai. Je baisse la tête... Pépé-porc n’a pas écouté ce qu’on disait, c’est autre chose qui l’intéresse. Il lui demande :
— Je suis vraiment responsable du cul, Mademoiselle ?
— Oui, tu peux le dire comme ça. Tu n’as jamais fouetté les servantes, au contraire.
Il est sale, vicieux et c’est vrai qu’il était tout le temps fourré avec les servantes et qu’il prenait leurs défenses. Maintenant il est responsable du cul, ça lui va bien ! Il dit :
— Je voudrais voir trois filles ensemble. Je sais que c’est leur rêve de se lécher la chatte. Mila, Aurélie et Jade, vous allez nous montrer comme vous vous léchez la chatte.
Mille fois Aurélie et Jade plutôt que lui... Il poursuit  :
— Mila couchée sur le dos, Jade assise sur son visage et Aurélie entre ses cuisses, le nez dans son minou.
On se rapproche, gênées. Sale pépé nous dit :
— Un peu de fouet pour vous stimuler, les filles ?
Oh non ! Je me couche vite par terre et je vois les fesses de Jade se rapprocher à toute vitesse de mon visage, tandis que la langue d’Aurélie frétille déjà dans ma chatte. C’est scandaleux de nous obliger de faire ça, mais je dois avouer que la langue d’Aurélie qui lèche doucement mon petit bouton, ça me fait un effet... surprenant. De l’autre côté, j’ai les fesses de Jade sur mon visage. Son... minou sur ma bouche. Elle a une odeur agréable, même le nez entre ses fesses. Je dois dire que mes cousines me plaisent. Bien sûr, sans l’intervention de l’IA, maître du monde, on n’aurait jamais fait ça. Pépé-porc se rend compte que ça nous plaît un peu trop et ça ne plaît pas à ce salaud. Il crie :
— Stop ! Vous faites ça pour amuser le peuple et il a envie de voir des UR faire des choses... sales.
Oh ça, c’est un mot qui lui convient. Et puis il est aussi très riche, lui. Il ajoute :
— Violet et Ulrich, vous allez faire 69 et puis baiser.
Violet est ma mère et Ulrich mon frère jumeau. C’est-à-dire qu’ils sont mère et fils. Ils nous font faire les pires... transgressions.
Pépé-porc discute avec Jenny, c’est vrai qu’ils sont dans le même camp, maintenant, celui de nos tourmenteurs pour ne pas employer un mot pire.
Mon frère se couche sur le dos. Son sexe est dressé et un peu incliné sur son ventre. Ma mère nous regarde tous et elle écarte un peu les bras en faisant une petite grimace, genre « je suis bien forcée d’obéir ». Ensuite, elle va s’asseoir sur le visage de son fils et se penche vers son sexe. Elle reste là comme si elle était hypnotisée par un serpent. En l’occurrence, le serpent c’est le sexe d’Ulrich qui pointe vers sa bouche. Elle hésite... Jenny lui donne une bonne claque sur les fesses. Ma mère pousse un cri tandis qu’on voit les marques rouges des doigts de Jenny sur ses fesses. C’est que les servantes ont l’habitude de travailler dur. Le message est clair et ma mère prend le sexe de son fils en bouche. 



Jenny me dit :
— Va lécher les couilles de ton frère, petite Mila. 
J’obéis et je me retrouve nez à nez avec le visage de ma mère qui a la bouche pleine tandis que je lèche les... couilles de mon frère.
Si Dieu existe et je le crois, il va pulvériser l’IA, coupable de nous obliger à faire des choses interdites de tout temps et dans toutes les cultures. Parce que... le pire est... que j’aime ma mère et mon frère et que ce n’est pas la pire chose au monde à faire... aucune comparaison avec le pépé-porc. Jenny doit voir que ça ne me dérange pas trop, car elle me dit :
— Ça t’excite trop de lécher les couilles de ton frère, je ne veux pas que tu jouisses maintenant.
Leur but, c’est de m’exciter et puis de m’empêcher de... d’aller jusqu’au bout. Je me relève, Jenny me dit :
— Je suis sûr que tu es toute mouillée.
— C’est involontaire, Mademoiselle Jenny.
— Involontaire ! Dis : je suis une petite truie stupide qui a le feu au cul.
Toute rouge, je répète la phrase. Elle dit :
— Ulrich, baise ta mère en levrette...
Comme je l’ai déjà dit : on n’a pas le choix... Et puis peut-être que ça ne les dérange pas tellement... Jenny ajoute :
— Stefen !
C’est mon père. Il répond :
— Oui Mademoiselle
— Toi, viens dépuceler ta fille... Je suis sûre que tu en rêves à la façon dont tu la reluques.
Faire l’amour avec son père !!! Il va l’envoyer se faire foutre. Non ! Il lui demande :
— Est-ce que je peux un peu la préparer ?
— Viens le demander à genoux.
Mon père va se traîner aux genoux de sa servante ou plutôt de son ex-servante, pour pouvoir me lécher la chatte avant de me dépuceler. C’est la folie, non ? C’est la fin du monde comme je l’ai déjà dit et des démons dirigent le monde ou alors on est dans un tableau de Jérôme Bosch. 
Mon père obtient la permission de me lécher et ensuite... Ouch ! C’est surprenant ! C’est terriblement excitant, ensuite, il frotte quelque chose de rond et d’humide le long de ma fente. Je crois que c’est son gland ! 
— Aaaaïïïeeee !
Je crie parce qu’il a déchiré mon pauvre hymen. Il m’a violée et dépucelée, c’est inimaginable ! Il va et vient en moi, dans des contrées qui étaient vierges, quelques minutes plus tôt. J’ai trop honte, d’autant plus que ça me donne des sensations de plus en plus agréables. Tout se mélange dans ma tête : les sensations des... câlins avec Aurélie et Jade... et puis ce sexe qui va et vient en moi. Mes gémissements de douleur se transforment en petits cris de plaisir et soudain, une bulle de plaisir m’envahit, mon vagin emprisonne le sexe de mon père et je jouis... Plusieurs spasmes de plaisir me laissent pantelante, empalée sur le sexe de mon père. Les barbares m’applaudissent. Ce n’est pas de ma faute, mon corps a réagi, c’est tout. Véda me dit :
— Vous l’appellerez comment ?
— Qui Mademoiselle ?
— Le bébé.
Ils rient... 
***
Trois jours durant, pépé-porc et surtout Jenny vont imaginer toutes les combinaisons possibles.  
On a aussi des gens qui s’ajoutent, car la famille des de Jalion nous rejoint. Ce sont des gens que nous connaissons et qui sont largement aussi riches que nous. Des UR, comme disent les barbares. Ils sont plus nombreux que nous. Il y a moyen de faire beaucoup de combinaisons. Partouzes d’UR, comme disent encore les barbares.
***
Ce matin il est 8 h, je suis dans la cuisine avec mes cousines, ma mère et ma tante. Nous sommes à genoux, les mains croisées dans le dos, face à Jenny qui boit un verre de Mouton Rotschild, un vin à nous rare et cher. Elle nous dit :
— J’ai dû me lever tôt à cause de vous, j’ai bien envie de vous fouetter un peu.  
Elle ajoute :
— Cependant, Mila m’a bien léché la chatte et le trou du cul, alors...
J’écoute la suite, toute rouge. C’est vrai que j’ai fait ça, mais est-ce qu’on a le choix ? Non, bien sûr. Elle poursuit :
— Notre maître l’IA a décidé de transformer votre belle maison en hôtel et restaurant tandis que le reste de la propriété deviendra un camping. Pas pour les gens de votre milieu bien sûr, mais pour ce peuple que les riches oppriment depuis des années et même des siècles. Les filles et les femmes deviendront les servantes des pauvres les plus méritants. Pour Mila et sa mère, ce sera facile, elles rampent toutes les deux dès qu’on fait les gros yeux. Pour les autres, ce sera un bon écolage. 
Ma mère est nue à genoux devant elle, tête baissée. Jenny lui caresse la nuque, comme on le ferait à un bon chien. Elle lui dit :
— Toi, tu restes ma servante. 
Elle fait ça pour humilier son ancienne patronne... sauf que ma mère se penche pour lui embrasser les pieds et en se redressant, elle répond :
— Oui Mademoiselle Jenny, je vous obéirai.
C’est ma mère, une femme de la haute société !  Jenny me demande :
— Ça te plaît de devenir une servante comme ta mère ?
Là, je réponds pour une fois ce que je pense :
— Non Mademoiselle. Elle n’a pas le choix, moi non plus. J’espère qu’un jour, on aura payé notre dette.
—  Mais tu deviens insolente, comment vais-je te punir ?
Oh mon Dieu, non... Ma mère se relève rapidement et elle me fait signe de prendre sa place entre les jambes de... notre servante. Jenny me renifle et me dit :
— Tu sens la chatte, petite traînée. Tu as léché qui ?
— Ma mère, mademoiselle Jenny.
— C’est pas normal de faire ça, Mila. Mais bon, si vous en aviez vraiment envie toutes les deux...
C’est facile de se moquer de moi. Mes cousines arrivent dans la pièce avec Véda. Elles sont aussi nues que moi. Véda nous dit :
— Suivez-moi.
On va dans une de nos salles de bains. Chouette, on va pouvoir se laver, parce qu’il fait chaud et on commence à sentir un tout petit peu comme le peuple. Est-ce que je peux penser ça ? Est-ce que l’IA a accès à mes pensées ? Non, bien sûr.
Véda fait asseoir Aurélie sur un tabouret. Jade et moi, on se serre l’une contre l’autre, en se demandant ce que Véda va lui faire. Oh ! Elle lui coupe les cheveux très courts, vraiment comme un garçon, peut-être avec les cheveux un peu plus longs sur les oreilles et à la hauteur des tempes. Ensuite, elle enfile des gants et lui lave les cheveux avec un produit... qui les rend tout blonds. Pourquoi elle fait ça ? Je n’ose pas le lui demander, bien sûr.
Ensuite c’est à mon tour puis celui de Jade. On a toutes les trois la même coiffure ultra-courte et les cheveux très blonds. Véda prend une petite boîte et dit à Jade :
— Mets-toi devant moi et ouvre bien tes yeux.
Elle approche quelque chose de son œil droit et, bien sûr, Jade ferme les yeux. Véda repose sa boîte et s’assied sur le tabouret qui est devant le lavabo. Elle attrape le poignet de Jade et la couche sur ses cuisses en lui disant :
— Tu sais ce qu’on fait aux sales gamines qui n’obéissent pas ?
Jade crie :
— Pardon, c’est un réflexe ! Je ne le ferai plus, mademoiselle Véda... aïïïeeee !
Véda a pris une brosse en bois et lui donne une bonne fessée. La brosse claque sur ses belles fesses et elle crie à chaque coup. Véda ne s’arrête que lorsque les fesses de Jade sont d’un beau rouge.

À suivre.

Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin.

Notre nouveau livre s’appelle : « Lizy, soumise autour du monde », il y a 60 illustrations de Bruce Morgan et vous allez l’adorer.
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