612 - 10 Le chantier

 Elle me tire hors de la chambre et on va dans le couloir. Là, elle toque à une porte. Quelqu'un grogne :
— Entrez.
On entre dans la chambre de... pépé-porc ! Il est en compagnie d’un jeune couple. Sans doute des UR à voir leur mine ! Flora va l’embrasser sur la bouche, puis elle lui dit :
— Voici ta conne de petite-fille, mon chéri... Je la conduis au centre commercial des chantiers.
— Tu crois que ça suffira ?
— Oui... c’est une trouillarde. Un jour là et elle rampera. Dis, ils sont beaux, tes jouets du jour.
— Tu veux que je te les garde ?
— On en reparlera. J’ai envie de voir la petite Mila sucer des bites.
Ils rient tous les deux. Elle lui dit :
— Tu verras tout, sur les écrans.
Ils s’embrassent sur la bouche et on sort. J’ai connu pire que pute dans un centre commercial pour chantiers, j’en suis sûre... Enfin depuis que l’IA fait la loi. Flora me dit :
— On dirait une chèvre qu’on amène à l’abattoir.
— Je suis au bout d’une corde, Mademoiselle.
— C’est symbolique.
Oui, c’est ça. On monte dans une vieille bagnole. Je regarde s’il y a une ceinture de sécurité, non, bah au point où j’en suis... Flora me jette un coup d’œil et me dit :
— On s’arrête pour te tanner le cul ?
Je lui souris. C’est ce qu’elle voulait. On roule moins d’une heure et on arrive devant un immense chantier au bord de la mer. Flora me dit :
— Descends, je vais t’attacher à l’arrière de la voiture... Ils vont aimer voir la fille qui va les distraire arriver comme ça.
Je gémis :
— J’ai peur...
— On le sait, c’est de ça qu’on va te guérir.
Elle rit... C’est vraiment n’importe quoi ! Elle ajoute :
— Enlève ta robe, c’est plus spectaculaire de voir une fille nue arriver attachée à une voiture.
Elle doit défaire le nœud que j’ai autour du cou... j’enlève ma robe. Elle m’attache les poignets dans le dos, puis elle me remet la corde au cou !! Ensuite je dois marcher rapidement parce qu’elle a attaché la corde au parechoc ! On entre dans le chantier... Les ouvriers mâles et femelles, noirs, cafés au lait et blancs viennent me voir. Ça les amuse beaucoup de voir une fille nue tirée par une corde attachée à une voiture. Ce sont donc des gens du peuple et pas des ex-riches. La voiture s’arrête devant l’entrée du Centre. Il y a des magasins, des cafés et même des bordels, je crois, à voir les publicités. Je suis entourée d’hommes et de quelques femmes. Un homme me demande :
— Tu suces bien ?
— Oui Monsieur.
Flora leur dit :
— Vous pourrez l’essayer, les amis, mais pas la battre. S’il le faut, on enverra quelqu’un. 
Je prends le bras de Flora et je lui demande :
— Mademoiselle « s’il vous plaît », combien de temps vais-je rester ici ?
D’accord, je l’ai un peu fait punir dans ma vie d’avant, mais elle semble avoir quelques grammes de pitié pour moi. Elle répond :
— Ça dépend, si tu es aimable, souriante et obéissante avec tout le monde, pas trop longtemps. Tu dois sucer la bite ou la chatte de tous ceux qui te la présentent... Tu dois être à genoux ou te mettre debout et te retourner pour présenter tes fesses à ceux qui veulent te baiser.
— Mademoiselle Flora, je vous en prie, si je dois tout avaler, je...
— Si tu es souriante... non et puis ici les hommes aimeront jouir sur toi pour voir leur sperme... 
Ouf ! Je ne dois pas tout avaler. Me souiller, j’ai déjà donné et je sens que je donnerai encore... Je lui dis :
— Merci beaucoup, Mademoiselle Flora, et encore pardon de...
Un homme dit :
— J’ai trop envie qu’elle me suce...
Flora lui dit : 
— Vas-y.
Elle s’en va. L’homme pressé est un gros de race indéterminée. Il me dit :
— Allez petite, à genoux.
Il y a un tapis sur le sol, heureusement. Je m’agenouille et il me propose une bite qu’on dirait sortie d’une poubelle. Je lui souris et je prends le déchet en bouche. Il pousse des gémissements de porc... oui, comme mon grand-père. 


Quand il jouit, j’avale un tout petit peu et je laisse couler le reste sur mes seins. Je dis à l’homme :
— Merci monsieur.
Il me donne une caresse sur la tête et entre dans le complexe de magasins et de restaurants avec la bite propre. Le suivant est un petit Asiatique, je dois me retourner et présenter mes fesses. Il est monté « petit » et je ne sens pas grand-chose. Je suce les suivants et ils se retirent juste à temps pour jouir sur mes seins.
Il y a quelques femmes qui viennent me présenter leurs fesses en se mettant à quatre pattes, ça me change, même si elles ne sont pas plus propres que les hommes.
Je suce et je suis baisée pendant deux heures ou plus par des bites de toutes les couleurs et généralement sales. Je fais un effort surhumain pour être toujours aimable. Je suis couverte de sperme et je pue, mais je veux rester souriante jusqu’à ce que je... m’évanouisse. Et puis je vois arriver un gros homme imberbe avec un gros ventre. Je lui souris et je lui dis : 
— Bonjour Monsieur, bienvenue...
Comme j’ai dit ça en regardant sa bite, il me dit :
— Tu me reconnais ?
Je lui fais un grand sourire et je réponds :
— Oh oui, je reconnais votre belle bite, cher grand-père.
— Bien, bien, tu as compris la leçon. Tu veux revenir avec moi ?
— Oh ouiiiii !! 
Il m’aide à me relever. Je suis couverte de sperme et plus glissante qu’un savon mouillé, mais je sens beaucoup moins bon. Il me prend par la taille et on entre dans une première galerie. Il ouvre une porte grâce à un code et on se retrouve dans une pièce qui doit servir de... débarras. Il me dit :
— Tu as beaucoup sucé, mais toi, tu n’as pas eu de plaisir. Tu veux que je te fasse jouir ?
— Oh oui, mon chéri.
Il me sourit... Je suis prête à beaucoup pour avoir un sort un peu meilleur en attendant le saut en parachute. Je me couche sur un vieux matelas dégoûtant, mais moins que moi. Mon grand-père se déshabille et il se couche sur moi, on va rester collé ! Il embrasse ma bouche, qui a vu défiler des dizaines de bites, puis il descend pour sucer et nettoyer mes seins et il finit par lécher mon sexe et mon cul... que je ne voudrais pas toucher du doigt. Il faut que je me laisse aller, il faut qu’il soit satisfait... Je pense à... je ne me souviens plus de son nom, mais l’homme costaud qui m’a fait jouir il y a un siècle... 
Ma chatte, mes ovaires, mon cerveau ils viennent tous à mon secours... et je crie :
— Oooouiiiiii, grand-pèèèère chéri, je jouiiiiiisss !
Et je jouis pour de vrai. Oui, je sais ce qu’un lecteur éventuel pourrait penser de moi, mais qui voudrait se faire prendre par tous les trous par des bites dégoûtantes ?? Mon grand-père est satisfait. Il me dit :
— Ton pépé-porc est satisfait de toi.
Il ajoute même :
— Ce surnom me plaît, tu peux l’utiliser quand on est seuls.
Je réfléchis plus vite que d’habitude et je réponds :
— Votre petite-fille truie vous remercie, pépé-porc.
Il rit et m’entraîne dans des toilettes qui se trouvent dans une autre pièce... Je fais pipi devant lui et j’expulse même le sperme que j’ai dans le derrière. Ça lui plaît de me regarder. Quand c’est fait, il m’entraîne sous une douche et on se lave l’un l'autre. Il me dit :
— J’aime pas trop les savons mais là c’était trop, non ?
— Oui même pour pépé-porc et petite-fille truie.
Il rit à nouveau. On se sèche. Puis il ouvre une armoire et il en sort une robe tablier comme en ont les servantes ici. Il y a aussi un pantalon et une chemise pour lui. Je ne vais pas dire que je suis en forme, mais j’espère que tout ce que je fais servira à quelque chose. On va dans un des cafés de l’endroit. Tout le monde le salue respectueusement. C’est le « chef du cul » et de beaucoup d’autres choses. 
Une jolie serveuse lui apporte une bière. Il passe la main sous sa courte jupe et lui caresse les fesses. Elle lui sourit. Elle me regarde un court instant et nous nous disons tout. Pépé-porc me dit :
— Vous vous êtes reconnue ?
C’est vrai que les porcs sont des animaux intelligents et pépé-porc a tout compris en captant notre échange de regards. Je réponds :
— Je crois que la demoiselle est dans la même situation que moi.
Il rit et me dit :
— Vous n’êtes pas des demoiselles. Qu’est-ce que vous êtes ?
Vite trouver les mots :
— Nous sommes deux petites salopes prêtes à faire toutes les saloperies pour avoir notre certificat de fille du peuple.
Là, il éclate de rire. La fille m’envoie un petit baiser avec la bouche, genre « bravo, ma chérie, tu as dit ce qu’il fallait ». Pépé-porc me dit :
— Tu as peut-être un peu de mon intelligence.
Je n’ai pas le temps de répondre parce qu’il donne une solide claque sur les fesses de la fille en disant :
— Et la suite, elle vient ?
— Oui monsieur, pardon.
Elle court vers les cuisines et en revient avec une superbe glace. Je la remercie et dis à pépé-porc :
— Merci, j’adore ça.
— Je sais...
Il boit et ajoute :
— Tu as le choix, soit tu viens travailler comme servante et pute pour moi, ce qui veut dire que tu fais ce que je veux avec le sourire, soit tu travailles ici.
— Je suis votre servante et pute. Je ferai ce que vous voulez avec le sourire. 
— D’accord.
Entre plusieurs maux, il faut choisir le moindre, jusqu'à mon saut réussi. Il me dit :
— On rentre et aujourd’hui, tu pourras te reposer. Mais à partir de demain, tu es une servante et ma pute quand j’en ai envie.
— Avec plaisir et un grand merci pour la glace.
— À propos, pépé-porc c’est quand on est à deux, je trouve ça excitant, mais ne dis pas ça s’il y a des gens.
— Oui maître.
Il rit... et homme qui rit... ne vous fait pas d’ennuis. La glace m’a mise de bonne humeur.
On reprend la voiture... Malgré la petite douche, je ne sens pas bon. Quand je sens la sueur, ça ne me dérange pas, mais sentir le sperme, j’aime pas du tout. Pépé-porc est devenu mon ami, enfin, à condition que je fasse tout ce qu’il veut en souriant. Il me laisse aller me reposer. Je vais d’abord me laver soigneusement, je crois que je sentirai le sperme jusqu’à la fin des temps.
Je me couche dans une des petites chambres de bonnes et je m’endors.

À suivre.
 
Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin.

Notre nouveau livre s’appelle : « Lizy, soumise autour du monde », il y a 60 illustrations de Bruce Morgan et vous allez l’adorer. Il est ici :
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