616 - 50 Apprendre le chinois.

 Je suis les fesses de LiLing comme une biche en chaleur suit un cerf... Oui, je ne suis pas en forme pour les comparaisons aujourd’hui.
Le soir on va dans les cuisines du personnel. Ils parlent tous chinois bien sûr, m’en fous, j’ai faim. LiLing parle avec le cuisinier qui me regarde avec intensité. Je sens que je vais devoir « payer » mon repas ». J’ai envie de manger et c’est tout. Hélas LiLing me dit :
— Je négocie un dessert, va sucer le cuisinier.
Eh ! Ça pas la tête, va le sucer toi-même ! C’est ce que je dirais si j’en avais. Hélas mes ovaires ne sont pas faits pour la bagarre. Il sort un sexe qui n’intéresserait absolument pas la biche en chaleur. Je vais me mettre à genoux sur le carrelage. LiLing me dit :
— Regarde-le dans les yeux.
Je lève la tête, toutes les filles de cuisine ont un grand sourire. Le cuisiner a une demi-molle, qui n’intéresserait personne, ni humain ni animal. Il frotte son gland sur mon visage, mon nez, mes lèvres. Je préfère sauter en parachute. Non, bien sûr.... Quand son gland est sur mes lèvres... j’ouvre la bouche et je le suce... Je ferme les yeux, pour ne pas voir son gros ventre répugnant. Quand il jouit,  j’avale tout, la routine, quoi. Les filles rient et m’applaudissent. Franchement il n’y a pas de raisons, mais comme le gros est satisfait et qu’il me caresse la nuque, je pense que je serai bien vue dans la cuisine. Le cuisinier dit... quelque chose et une fille m’apporte un verre contenant un liquide rougeâtre. Du désinfectant ? Exactement ce qu’il me fallait.
Je bois, c’est un alcool de fruit, délicieux. Quand je l’ai bu, je joins les mains sous mes seins et je m’incline, un salut à l’indienne. La fille me ressert un verre, je le vide. Je ne demanderais pas mieux que de continuer, mais le cuisinier joint aussi les mains, mais il pose sa joue dessus. Je traduis le geste : c’est l’heure d’aller faire dodo.
Je salue encore et je quitte la cuisine... Je vais rejoindre LiLing... mais je ne sais pas où est sa chambre. Ce palais est immense. Je toque à la porte de la cuisine. Une fille en sort et elle me prend par la main. Elle a compris. Je serre sa main... C’est une jolie Chinoise, d’ailleurs tout le monde est beau ou belle ici. Ils sont choisis ou alors ils ont des super chirurgiens.... C’est les deux évidemment. Je ne parle pas de pépé-porc, lui n’a rien fait.
La fille m’amène devant une porte. Elle me montre qu’il n’y a pas de raie de lumière sous la porte et met un doigt devant sa bouche. D’accord, ça veut dire chut dans toutes les langues. Elle ouvre doucement et me montre le lit. LiLing dort. Je la suis dans le noir. 
Le seul bon moment que j’ai eu aujourd’hui, c’est la nourriture et l’alcool... J'en ai marre... Quoique je fasse je suis obligée de sucer et.....
Je m’endors.
***
Quand je me réveille le lendemain, il fait clair dans la pièce. LiLing est nue et elle fait du Taïchi. C’est beau et... troublant. Quand elle a terminé sa série de mouvements, elle me dit :
— Je te plais ?
— Oh oui... euh... LiLing. Vous êtes très belle...
— Merci... On va déjeuner, ensuite tu suivras le cours. Je dois te signaler que tu seras punie tous les jours...
— Même si j’ai rien fait ?
— Oui, mais...
Je n’écoute plus.. Les mêmes pensées reviennent en masse dans ma tête et je me mets à pleurer. Le saut n’a rien changé, je vais être punie tous les jours.... Elle s’approche du lit et elle me couche sur le dos, puis elle s’assied sur mon visage, ma bouche est contre son yoni, comme disent les Indiens, et mon nez entre ses fesses. Elle me dit :
— Tu aimes cette position, non ?
Je réponds à son yoni :
— Oui... je me sens protégée...
C’est vrai. Son odeur me plaît. Elle me dit :
— Le nez dans mon cul, tu vas peut-être m’écouter. Alors tu seras punie tous les jours, mais pas fort et on accentuera tout en image de synthèse. Tu connais ?
— Ouiiii....
Elle se lève et je me retrouve face à la vie anormale que je vis depuis que l’IA a pris le pouvoir. Elle me désigne des vêtements qui sont sur une chaise en disant :
— Mets ces vêtements.
— Je pourrais aller à la toilette ?
— Bien sûr... et enlève le petit micro que tu as à l’oreille.
Je passe par la salle de bain et j’enlève le machin que j’ai dû me mettre dans l’oreille... On dirait que la douche n’est pas prévue. Je ressors et je lui dis :
— On ne prend pas de douche ?
— Tu ne sais pas qu’on économise l’eau ?
— Si, pardon.
Dans ma famille on se lavait tous les jours... mais bon, on était des salauds d’ultra riches. Je m’habille ou plutôt je me déguise en écolière japonaise... Chaussures plates, chaussettes qui montent haut, courte jupe bleu foncé, chemisier blanc, petite cravate. Le genre qui doit plaire aux messieurs.




LiLing me dit :
— C’est l’heure, on doit y aller.
On sort de la chambre... et elle me prend par la main. Des Occidentales habillées en écolière, comme moi, me disent bonjour ou hello. Elles sont toutes accompagnées d’un chaperon homme ou femme mais chinois. Je regarde LiLing et je lui dis :
— Elles vont être punies aussi ?
Elle lève un peu les yeux au ciel, mais répond :
— Oui, tu es très connue sur tous les continents pour tes sauts et ton pépé porc Les filles qui sont avec toi auront des propositions. Maintenant tu te tais comme une gentille petite fille.
Je ne suis pas une petite fille, l’IA m’a transformée en pute !!! On arrive dans une classe avec des bancs comme en France au 19e ou 20e classe. J’ai repéré une brune qui me plaît. Je lui dis tout bas :
— On s’assied ensemble ?
Elle hoche la tête.
Une Chinoise d’une quarantaine d’années entre. Elle a l’air aussi sympa que des petits cailloux dans des chaussures quand on doit marcher 20 km et qu’on ne peut pas les enlever ! Elle nous regarde et crie en français :
— Debout quand le professeur entre. Vous avez été élevées dans une étable ?
Je pense, non mais toi tu as l’air vache. Elle ajoute :
— Et saluez.
On se plie toutes en deux. Elle crie :
— Assises, bras croisés.
Elle écrit des idéogrammes sur le tableau avec une craie !! 遵守 et à côté Sūnshǒu. Elle prononce ce mot plusieurs fois puis nous dit :
— Vous allez répéter le mot. On commence par toi qui a l’air aussi maligne qu’un veau.
Elle est complètement folle !! Un veau, c’est peut être plus intelligent qu’elle... enfin plus gentil certainement. La fille répète le mot. Puis nous toutes à tour de rôle.
Elle nous apprend plusieurs dizaines d’autres mots, leur prononciation et leur signification. Au bout d’un moment elle crie :
— Vous êtes distraite et vous avez toutes fait des erreurs. Tendez vos mains, paumes vers le haut. 
Elle prend un mince bambou et nous donne à toutes cinq coups sur chaque paume. On crie et on pleure. Ça fait mal bien sûr, mais un peu moins qu’on pourrait le craindre. Elle continue à nous apprendre des mots. Impossible de tout retenir. Là ça tombe sur moi. Elle crie, pour changer :
— Mila, tu fais l’idiote exprès ? Mets-toi à genoux sur ton banc, le buste sur le bureau.
Je me retrouve penchée sur mon bureau. Elle relève ma jupe jusqu’à la taille en disant :
— Tu le fais exprès, tu aimes être punie ?
— Non madame, je vous jure...
Elle passe la main dans ma culotte en disant :
— Ou alors tu as envie de montrer ton gros derrière à tout le monde.
— Non madame, pas du tout...
Elle me caresse les fesses et baisse très lentement ma culotte. Elle s’adresse aux autres élèves :
— Vous pensez qu’elle mérite une fessée ?
Toutes les filles répondent :
— Oui madame.
Qu’est-ce qu’elles peuvent dire d'autres ? Très lentement elle descend ma culotte jusqu’à la pliure des genoux. Ensuite elle me donne une fessée. Sa main claque bien sur mes fesses. Ça fait mal, bien sûr, mais ce n’est pas le bambou. Je crie, je supplie.  Ce n’est jamais qu’une fessée, mais j’ai bien compris que si je fais beaucoup de « cinéma » elle ne tapera pas plus fort. De plus ça fera des vacances pour le robot qui devra tout rendre plus dramatique pour envoyer sur les écrans..
Toutes les filles y passent.
C'est le premier cours. On en a 10 et on connaît le chinois, sans doute grâce aussi au machin qu’on doit se mettre dans l’oreille et qui doit se connecter directement avec la partie du cerveau chargé de l’apprentissage des langues. En 10 jours on parle le chinois aussi bien que si on étaient nées à Wuhan. L’ombre au tableau c’est qu’en plus du cours la méchante maîtresse nous punit tous les jours.
Après les fessées, on reçoit des coups du bâton en bambous sur la plante ds pieds et même pas trop fort, c’est tout, sauf agréable. Oh ! Elle a de l’imagination, la bridée : on a dû, par exemple, se mettre nues et tourner à quatre pattes autour de la salle de classe. Un autre jour on a d se mettre à genoux sur des manches à balai. On a aussi dû pisser dans la bouche l’une de l’autre. Le seul avantage c’est que ça ne fait pas mal. Il n’y a pas eu de sexe ni en classe, ni dans la chambre. Les filles m’ignorent, ça ne m’est jamais arrivé. Je ne plais plus et franchement cette idée me fait plus mal que les sévices de la maîtresse. Je fais la tête triste tout le temps. Quatre fois j’ai dû faire une fellation à un invité, mais ce n’est pas ça que je veux.
Enfin au matin de 11e jour,  pépé-porc arrive ! Il nous dit :
— Bravo les filles vous parlez le chinois, vous allez avoir des missions. Il me regarde :
— Pourquoi tu fais la tête toi ?
— Je ne plais plus, grand-père.
— Les filles avaient des instructions. Tu plais toujours, viens avec moi.
On quitte la classe et on va dans sa chambre qui est immense et meublée luxueusement. Un couple est là, le jeune homme est certainement pour pépé-porc et la jolie fille brune en robe rouge... pour moi ? Pépé-porc me dit :
— J’ai une surprise pour toi.
— Une bonne, grand père ?
— Va près de la demoiselle moi je vais sucer ce jeune homme.
Évidemment la jeune femme me plaît. Elle prend  un boîtier et projette sur un écran... mon image ! C’est mon site que je vois pour la première fois. Je lis le nombre de followers, le chiffre est dingue. La fille me dit :
— Tu es belle et tu plais. Arrête de faire le bébé. Tu veux que je lèche ton pussy ou tu préfères te mettre à genoux entre mes jambes ?

À suivre.
 
Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin.

Notre nouveau livre s’appelle : « Lizy, soumise autour du monde », il y a 60 illustrations de Bruce Morgan et vous allez l’adorer. Il est ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search






Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Lizy 24 - En mer, à nouveau...

597 - 31 Une cure de soumission.

33 - On voyage.