621 - 17 Esclave.
L’histoire de Titi, ça plaît à tout le monde, les dominants et les soumis. J’ai du succès, mais ça n’empêche que je sois toujours « aux ordres » de Madame Zhang et des filles.
Je sens bien que le prochain « jeu de rôle », c’est moi qui ferai le Titi. Tout ça pour que l’IA noir sorte de sa cachette. Pour quoi faire ? Même si nos petites histoires ont beaucoup de succès, pourquoi viendrait-il ? Pour négocier avec notre IA ? Non, ça n’a pas de sens. On lui reproche de vouloir continuer à faire travailler les gens... Peut-être veut-il démontrer que notre IA continue aussi à faire travailler certaines personnes. De toute façon, je ne comprends rien aux IA. Je dois me concentrer sur le jeu de rôle suivant.
Je n’interviens pas au début. Tous les personnages sont chinois, sauf moi. Il y a un couple d’une quarantaine d’années, leurs enfants, une fille de 18 ans et un garçon de 19 ans. Il y a aussi leurs grands-parents, qui sont les parents de Madame, plus quatre servantes et une cuisinière.
Les parents et grands-parents sont très stricts avec leurs enfants, ils ont des corvées à faire, par exemple leur lessive, ranger leurs chambres et d’autres choses. Les enfants s’entendent très bien. Le garçon a doublé une classe et il a été sévèrement puni, on ne dit pas comment.
Maintenant, ils ont terminé ensemble leurs études secondaires et ils vont passer l’examen d’entrée pour des études du genre polytechniques.
***
J’ai déjà parlé de la fin du monde... Je dois en parler une seconde fois. Des Androïdes envahissent la maison. Ils ont des armes et ils tuent tout le monde, moi y compris.
Ouf ! Je me réveille... Je suis qui et ici c’est où ? Ah oui, je suis Mila et ma famille est riche... Non, je suis Mila et je suis pauvre et maltraitée. J’ai sauté en parachute, pour racheter ma grande faute d’être née dans une famille riche, mais ça n’a pas changé grand-chose... Je suis en Chine pour tourner un jeu de rôle et... Un couple asiatique entre dans la pièce. La femme me dit :
— Tu as changé de Maître et il est moins patient que l’autre, il faudra bien faire ce qu’on te dit.
L’homme ajoute :
— Notre IA a un peu changé le scénario que tu vas tourner. Tu es une grande fille et ce n’est pas quelques coups de fouet qui vont te faire peur.
Je me mets à pleurer... La femme dit :
— Ce sont vraiment des pleurnicheuses, ces Occidentales.
L’homme répond :
— C’est ce qui nous plaît... en partie.
Ils rient tous les deux. Je suis avec des fous ? La femme poursuit :
— Tu ne dois même pas connaître le nouveau scénario. Tu comprendras au fur et à mesure. Tu joues ton rôle, une gamine pas futée qui a peur de tout.
Ils me conduisent dans une chambre. L’homme me dit :
— Ton rôle, c’est une passeuse de drogue, soi-disant à son insu.
Je suis dans un mauvais rêve à nouveau. Ils s’en vont. On frappe violemment à la porte de la chambre. Je ne bouge pas. On force la porte et deux policiers entrent dans la pièce. Il y a un gros et un mince. Le gros me prend par une oreille et la tire. Je crie :
— Aaaaaiiie, j’ai rien fait !!
— Pourquoi tu n’ouvres pas ?
— Je... je... vous me faites mal, Monsieur !
— Réponds !
— J’avais peur...
— Qu’on découvre ce que tu caches ?
— Non, je vous jure.
Le gros s’assied et me met sur ses cuisses tandis que le mince fouille partout. Quand il arrive à ma valise, il déchire une doublure et il trouve un grand paquet plat. Il me dit :
— C’est quoi ?
— Ce n’est pas moi qui ai mis ça là, je vous jure...
Il ouvre soigneusement un coin du paquet, mouille son doit et goûte la poudre bleue qui se trouve à l’intérieur. Il dit :
— C’est du Blue Storm, la drogue la plus puissante.
Je crie :
— C’est pas moi, je vous jure !
Il me gifle. Je crie et je mets ma main sur ma joue en pleurant. C’était pas du tout le scénario ! Au secours !
Le gros me remet sur mes pieds. Il téléphone avec un appareil qui doit avoir un siècle.
Je sens bien que le prochain « jeu de rôle », c’est moi qui ferai le Titi. Tout ça pour que l’IA noir sorte de sa cachette. Pour quoi faire ? Même si nos petites histoires ont beaucoup de succès, pourquoi viendrait-il ? Pour négocier avec notre IA ? Non, ça n’a pas de sens. On lui reproche de vouloir continuer à faire travailler les gens... Peut-être veut-il démontrer que notre IA continue aussi à faire travailler certaines personnes. De toute façon, je ne comprends rien aux IA. Je dois me concentrer sur le jeu de rôle suivant.
Je n’interviens pas au début. Tous les personnages sont chinois, sauf moi. Il y a un couple d’une quarantaine d’années, leurs enfants, une fille de 18 ans et un garçon de 19 ans. Il y a aussi leurs grands-parents, qui sont les parents de Madame, plus quatre servantes et une cuisinière.
Les parents et grands-parents sont très stricts avec leurs enfants, ils ont des corvées à faire, par exemple leur lessive, ranger leurs chambres et d’autres choses. Les enfants s’entendent très bien. Le garçon a doublé une classe et il a été sévèrement puni, on ne dit pas comment.
Maintenant, ils ont terminé ensemble leurs études secondaires et ils vont passer l’examen d’entrée pour des études du genre polytechniques.
***
J’ai déjà parlé de la fin du monde... Je dois en parler une seconde fois. Des Androïdes envahissent la maison. Ils ont des armes et ils tuent tout le monde, moi y compris.
Ouf ! Je me réveille... Je suis qui et ici c’est où ? Ah oui, je suis Mila et ma famille est riche... Non, je suis Mila et je suis pauvre et maltraitée. J’ai sauté en parachute, pour racheter ma grande faute d’être née dans une famille riche, mais ça n’a pas changé grand-chose... Je suis en Chine pour tourner un jeu de rôle et... Un couple asiatique entre dans la pièce. La femme me dit :
— Tu as changé de Maître et il est moins patient que l’autre, il faudra bien faire ce qu’on te dit.
L’homme ajoute :
— Notre IA a un peu changé le scénario que tu vas tourner. Tu es une grande fille et ce n’est pas quelques coups de fouet qui vont te faire peur.
Je me mets à pleurer... La femme dit :
— Ce sont vraiment des pleurnicheuses, ces Occidentales.
L’homme répond :
— C’est ce qui nous plaît... en partie.
Ils rient tous les deux. Je suis avec des fous ? La femme poursuit :
— Tu ne dois même pas connaître le nouveau scénario. Tu comprendras au fur et à mesure. Tu joues ton rôle, une gamine pas futée qui a peur de tout.
Ils me conduisent dans une chambre. L’homme me dit :
— Ton rôle, c’est une passeuse de drogue, soi-disant à son insu.
Je suis dans un mauvais rêve à nouveau. Ils s’en vont. On frappe violemment à la porte de la chambre. Je ne bouge pas. On force la porte et deux policiers entrent dans la pièce. Il y a un gros et un mince. Le gros me prend par une oreille et la tire. Je crie :
— Aaaaaiiie, j’ai rien fait !!
— Pourquoi tu n’ouvres pas ?
— Je... je... vous me faites mal, Monsieur !
— Réponds !
— J’avais peur...
— Qu’on découvre ce que tu caches ?
— Non, je vous jure.
Le gros s’assied et me met sur ses cuisses tandis que le mince fouille partout. Quand il arrive à ma valise, il déchire une doublure et il trouve un grand paquet plat. Il me dit :
— C’est quoi ?
— Ce n’est pas moi qui ai mis ça là, je vous jure...
Il ouvre soigneusement un coin du paquet, mouille son doit et goûte la poudre bleue qui se trouve à l’intérieur. Il dit :
— C’est du Blue Storm, la drogue la plus puissante.
Je crie :
— C’est pas moi, je vous jure !
Il me gifle. Je crie et je mets ma main sur ma joue en pleurant. C’était pas du tout le scénario ! Au secours !
Le gros me remet sur mes pieds. Il téléphone avec un appareil qui doit avoir un siècle.
Il dit :
— On a coincé la petite salope, elle avait au moins un kilo de Blue Storm dans sa valise. On la colle en prison, chef ?
On entend la voix de son interlocuteur :
— Non, elle serait à notre charge. Conduis-la chez le marchand d’esclaves, on va la vendre, mais fouillez-la d’abord.
Je crie :
— C’est pas moi, je vous jure ! Vous ne pouvez pas me...
Il relève ma jupe, enlève ma culotte et il me donne des gifles qui claquent sur ma fesse. Je crie et je me tortille, mais je ne peux empêcher sa grande main d’atteindre mes fesses. Quand il s’arrête, le mince dit :
— Elle nous casse les oreilles, cette petite conne.
Il ramasse ma culotte et dit :
— Ouvre la bouche.
Comme je reste bêtement la bouche fermée, il me pince méchamment le bout d’un sein. Je pousse un cri qui lui permet de mettre ma culotte dans ma bouche. Le gros dit :
— Faut vérifier si elle n’a pas autre chose dissimulé en elle. Tu choisis son cul ou sa chatte ?
— Je préférerais son cul.
— Vas-y.
Il me met à genoux dans un fauteuil, le cul en l’air, et le mince enfonce brutalement la tortueuse saucisse qui lui sert de bite dans mon derrière. Je pousse un cri étouffé par ma culotte. Il m’encule brutalement en me pinçant les fesses. Il dit :
— Putain ! La salope, elle est étroite, je vais tout lâcher.
Il m’arrose l’intérieur en grognant comme le porc qu’il est. Quand il sort de mon cul, il frotte son gland sur mes fesses en disant à son collègue :
— À toi.
Le gros me dit :
— Tu vas soigneusement me sucer la bite.
Il sort son sexe de son pantalon. Je suis à genoux et je le suce. Son sexe doit sans doute chercher de la drogue dans ma bouche. J’en ai marre... Ils sont tous sales et moi, quand j’étais dans ma vraie vie, je ne faisais jamais de fellation, parce que ça me dégoûtait d’avoir en bouche ce qui sert aux hommes à faire pipi. Et maintenant, j’avale le sperme d’un gros homme vraiment dégoûtant.
Une femme entre dans la pièce et dit :
— C'est elle la passeuse de Blue Storm ?
— Oui lieutenant.
Elle me crache au visage.
— On a coincé la petite salope, elle avait au moins un kilo de Blue Storm dans sa valise. On la colle en prison, chef ?
On entend la voix de son interlocuteur :
— Non, elle serait à notre charge. Conduis-la chez le marchand d’esclaves, on va la vendre, mais fouillez-la d’abord.
Je crie :
— C’est pas moi, je vous jure ! Vous ne pouvez pas me...
Il relève ma jupe, enlève ma culotte et il me donne des gifles qui claquent sur ma fesse. Je crie et je me tortille, mais je ne peux empêcher sa grande main d’atteindre mes fesses. Quand il s’arrête, le mince dit :
— Elle nous casse les oreilles, cette petite conne.
Il ramasse ma culotte et dit :
— Ouvre la bouche.
Comme je reste bêtement la bouche fermée, il me pince méchamment le bout d’un sein. Je pousse un cri qui lui permet de mettre ma culotte dans ma bouche. Le gros dit :
— Faut vérifier si elle n’a pas autre chose dissimulé en elle. Tu choisis son cul ou sa chatte ?
— Je préférerais son cul.
— Vas-y.
Il me met à genoux dans un fauteuil, le cul en l’air, et le mince enfonce brutalement la tortueuse saucisse qui lui sert de bite dans mon derrière. Je pousse un cri étouffé par ma culotte. Il m’encule brutalement en me pinçant les fesses. Il dit :
— Putain ! La salope, elle est étroite, je vais tout lâcher.
Il m’arrose l’intérieur en grognant comme le porc qu’il est. Quand il sort de mon cul, il frotte son gland sur mes fesses en disant à son collègue :
— À toi.
Le gros me dit :
— Tu vas soigneusement me sucer la bite.
Il sort son sexe de son pantalon. Je suis à genoux et je le suce. Son sexe doit sans doute chercher de la drogue dans ma bouche. J’en ai marre... Ils sont tous sales et moi, quand j’étais dans ma vraie vie, je ne faisais jamais de fellation, parce que ça me dégoûtait d’avoir en bouche ce qui sert aux hommes à faire pipi. Et maintenant, j’avale le sperme d’un gros homme vraiment dégoûtant.
Une femme entre dans la pièce et dit :
— C'est elle la passeuse de Blue Storm ?
— Oui lieutenant.
Elle me crache au visage.
— Elle dit :
— Putain d’Occidentale ! Conduisez-la nue et attachée à une corde, ça va distraire les gens
Le gros m’attache les poignets dans le dos avec des menottes. Ensuite, il prend un collier en métal et il me le met au cou. Le collier se ferme avec un clic inquiétant. Ça n’a jamais été dans le scénario du jeu de rôle. Il accroche une chaîne à mon collier et on descend dans la rue. Le gros est devant, il tient ma chaîne et le mince qui est derrière moi me stimule en claquant mes fesses. Des gens nous attendent, tout cela n'est pas est prévu ! Au secours ! Notre IA va me sauver, il ne peut pas rester déconnecté. Une femme dit :
— Qu’est-ce qu’elle a fait, cette putain d’Occidentale ?
Le gros répond :
— Trafic de drogue.
— Elle va aller en prison ?
C’est le mince qui répond :
— On ne va pas dépenser de l’argent à la nourrir, on l’amène chez le marchand d’esclaves, pour la vendre. Si tu as envie d’une esclave...
La femme dit :
— Elle est juste bonne à être putain.
Là, ils sont tous d’accord. Il y en a encore qui me crachent dessus, c’est vraiment leur truc. Je préfère ça aux claques, même si c’est dégoûtant. On arrive devant une grande grille. Il y a le dessin d’une fille nue et attachée à un poteau et l’inscription : « Vente d’esclaves dressées et marquées, selon arrivage ».
Quel arrivage ?? Des filles condamnées par la justice ? Puisque tous les gens sont égaux maintenant, où trouve-t-il des esclaves ? Ou alors le démon IA qui règne ici envoie ces hommes faire des raids pour ramener des esclaves. En fait, je m’en fous ! Par contre, « marquées »... Comment ? Sans doute un tatouage... J’ai peur, je tremble au bout de ma chaîne. Qu’est-il arrivé à notre IA, quand viendra-t-il me délivrer ?
— Aiiiee !
Je me suis arrêtée et un des policiers me donne une bonne claque sur les fesses.
J’entre en pleurant. On est dans une grande cour. Il y a trois cages dans la cour, chacune avec des femmes et des hommes nus, serrés les un contre les autres tellement ils sont nombreux. Ce sont surtout des Asiatiques, il y a quelques Noires et Métisses et des filles brunes qui doivent venir d’Afrique du Nord. Il n’y a pas une seule Occidentale. Ce sont sans doute les esclaves qui vont être vendus. Ce qui est surprenant, c’est qu’ils sont de tous les âges, je dirais de 18 à 58 ans. Le gros policier dit à un jeune homme qui est venu à notre rencontre :
— On a une rareté, une jolie blonde pour ton patron, petit.
Le jeune homme s’incline en disant :
— Je vais le chercher, Monsieur le policier.
Un homme arrive, il est très gros, fatalement c’est le patron. Il leur dit :
— Salut les gars, qu’est-ce que vous m’apportez de beau ?
— Salut. On t’apporte une jolie Française qui rampera à vos pieds si vous froncez les sourcils et qui parle le chinois.
— Bien, elle va avoir du succès. Je la vends dès qu’elle sera marquée et qu’elle aura appris à se présenter aux acheteurs. Je vous contacterai, si vous voulez assister à la vente.
Le gros policier dit :
— Volontiers.
Ils se saluent. Le patron m’examine et dit :
— Qu’est-ce que tu es sale. On va te laver et te dresser.
— Oui Monsieur.
Il me donne une gifle qui claque sur ma joue. Je pousse un cri, tandis qu’il me dit :
— Il n’y a plus de Monsieur ou Madame pour toi. Il n’y a que des Maîtres et des Maîtresses, pour les esclaves comme toi. Les Romains considéraient les esclaves comme des objets dont on pouvait disposer à sa guise. Je trouve que c’est une bonne idée. Tu en penses quoi ?
— Que je suis un objet, Maître.
— Bien, tu es moins stupide que tu en as l’air. On te vendra un bon prix. Ne bouge pas, des filles vont venir te chercher. Quoique... J’ai envie de t’essayer. Mets-toi à genoux devant moi :
— Oui Maître.
— Suce ma bite.
— Oui Maître.
J’ouvre son pantalon. Ouch ! Il pue ! La seule chose qui a l’air propre, c’est sa bite. Je suppose qu’il se fait sucer régulièrement. Il me dit :
— Commence par me mordiller les couilles.
— Oui Maître.
J’ai envie de lui couper la bite d’un coup de dents, mais je mordille ses couilles, ensuite je suce son sexe jusqu’à ce qu’il jouisse. Il grogne :
— Pas une goutte dehors, sinon...
J’avale tout. Je m’en fous de son horrible sperme puisque je ne suis qu’un objet !
À suivre
Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin.
Notre nouveau livre s’appelle : « Lizy, soumise autour du monde », il y a 60 illustrations de Bruce Morgan et vous allez l’adorer. Il est ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
Spitting ! miam !
RépondreSupprimerFilm à voir absolument : Rotzloffel
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