622 - 18 Marquée.

 J’ai envie de lui couper la bite d’un coup de dents, mais je mordille ses couilles, ensuite je suce son sexe jusqu’à ce qu’il jouisse. Il grogne :
— Pas une goutte dehors, sinon...
J’avale tout. Je m’en fous de son horrible sperme puisque je suis un objet !
***
Le patron de la salle de vente, qui vend les objets comme il dit, s’en va en se dandinant, tellement il est gros.
Deux Chinoises viennent me chercher. Elles sont vêtues d’une courte tunique rouge qui leur arrive aux plis des fesses. L’une d’elles me dit : 
— Suis-nous et fais ce qu’on te dit, sinon, c’est le fouet.
Je réponds :
— Oui maîtresse.
Elles rient toutes les deux, sans doute de la façon dont je réponds. On va dans une petite pièce qui ressemble très vaguement à une salle de bain, bien qu’il n’y ait qu’une grande bassine pleine d’eau. L’une d’elles me dit :
— Tu dois être propre pour être marquée.
Je gémis :
— Au fer rouge, Maîtresse ?
Les deux filles se retournent et relèvent leurs tuniques. Au milieu de leurs fesses gauches, il y a une belle marque au fer rouge. Au secours !!! IA de France, sauve-moi ! 
Bon, je dois accepter ce sort de merde !! Le marquage est un cercle, il est marqué en dessous SLAVE et au-dessus, esclave en chinois. Au centre, il y a un dragon, un des symboles de la Chine. Quelle horreur, une brûlure au fer rouge, ils sont revenus aux tortures de la Chine antique ! J’imagine le fer rouge mordant ma chair, la douleur doit être atroce ! On torture les gens ici ! Là, j’ai une vraie crise de panique, les grilles sont ouvertes et je pars en courant ! Je me retrouve dans la rue, nue et affolée. Les gens me regardent en souriant. Je cours droit devant moi, comme un animal affolé, poursuivi par une meute de chiens féroces. Je suis l’animal terrorisé. Là, j’entends une voix qui me dit :
— Tu fais une bêtise, Mila. Tu seras marquée et c’est tout. Retourne chez le marchand ou tu auras de gros problèmes.
Je ne le crois pas, je continue à courir. La voix me dit :
— Tu as des problèmes de sciatique ?
J’ai soudain une vive douleur, depuis les reins jusqu’à un pied. J’ai compris : je ne gagnerai pas. Je m’arrête en disant :
— Je rentre.
Je fais demi-tour. Presque tout de suite, la douleur disparaît. Je retourne dans la grande cour, un garde vient vers moi en disant : 
— Les belles filles sont les plus stupides.
Il se met à genoux devant moi, pas pour s’excuser mais pour mettre une courte chaîne entre les deux anneaux que j’ai aux chevilles. Je ne peux plus faire que des pas de 20 cm. Le garde me demande :
— Tu ne veux plus t’enfuir ?
— Nooon maître !
— Bien, on pensait te marquer cet après-midi, mais on le fera demain, comme ça tu auras le temps d’y penser.
Je déborde : je me mets à pleurer, mais bien, à chaudes larmes, comme on dit. Le garde me dit :
— À moins que tu ailles supplier le patron de te pardonner et de te marquer aujourd’hui. Il est au premier étage. Tu n’as qu' un escalier à monter.
Je vais passer 24 h à paniquer, autant que ce soit fait. Je dis au garde :
— Je vais y aller, vous voulez bien m’enlever la chaîne, Maître ?
Il me fait un grand sourire et répond :
— Faudra sauter de marche en marche.
C’est rien, je vais me réveiller ! Ou pas... Je fais des tout petits pas jusqu’à l’escalier. Ça fait rire les gens qui sont dans la cour. Au pied de l’escalier, impossible de monter les marches normalement. Je suis obligée de sauter de marche en marche tout en me tenant à la rampe. J’arrive en haut essoufflée et je vais toquer à la porte qui est devant moi. Une esclave ouvre la porte et dit :
— C’est la petite conne qui a voulu s’enfuir, Maître.
— Fais-la entrer.
Je vais dans la pièce et je me plie en deux en disant :
— Je vous supplie de me pardonner maître...
Il répond :
— Et... ?
Quoi, qu’est-ce qu’il veut, cet affreux marchand d’esclaves ? Ah oui, j’ajoute :
— Et je voudrais être marquée aujourd’hui, maître.
Il me fait un grand sourire et répond :
— C’est ce qui est prévu. Tu seras marqué cet après-midi. Heureuse ?
Je me plie à nouveau en disant :
— Oui, merci Maître.
Qui ne serait pas heureuse de se faire marquer au fer rouge ? Maison de fous !!! Il fait un geste de la main pour me chasser. Je redescends les escaliers en sautant de marche en marche. Dans la cour, je vais me mettre dans un coin. L’attente est quelque chose d’affreux, quand ce qui va vous arriver est le pire. Un garde vient me dire :
— Mets-toi debout face au mur, qu’on voie ton cul.
— Oui Maître.
Je passe des heures face au mur. De plus en plus de gens arrivent dans la cour. Il y en a qui viennent me caresser les fesses en disant des trucs du genre :
— Il y a de la place pour une belle marque...
J’entends quelqu’un dire :
— Voilà le forgeron.
C’est comme si le sol s’ouvrait et que je tombe en enfer... Je dois arrêter de parler de ma peur panique. D’ailleurs, je suis une chose, un objet...
Le forgeron n’est pas venu seul, des hommes apportent le banc sur lequel on va attacher la suppliciée. D’autres portent un brasero rempli de braises rouges. Un manche en dépasse. Le bruit a couru, sur le Net, ou de bouche à oreille, et de nombreuses personnes sont là, parfois même venues en famille pour assister au spectacle.
Je me laisse prendre et attacher sur le banc sans me débattre et sans crier. Je suis sur le ventre, nue. Des gardes attachent solidement mes chevilles, ma taille, mes poignets, mon cou. Ce sont des spécialistes. Les spectateurs sont ravis et crient des injures à mon sujet et sur les Occidentales en général.
Un homme me montre une sorte de racine épluchée d’une forme bizarre, elle a la forme d’un 8. Il y a deux extrémités grosses et rondes, elles sont réunies par une partie beaucoup plus mince. Il me dit :
— C’est une racine épluchée d’un gingembre très piquant. On va être obligé de te l’enfoncer dans le cul pour que tu ne serres pas les fesses. Ne crois pas qu’on aime faire ça mais on est obligés.
Il rit et ajoute :
— En fait, on adore faire ça, pour dire la vérité
Rires de l’homme et de la foule. Quelqu’un m’écarte les fesses, tandis qu’un doigt s’enfonce dans mon anus pour bien le lubrifier. Enfin, c’est ce que je suppose. Il dépose un des gros bouts arrondis de la racine sur mon anus et l’enfonce brutalement jusqu’à la partie mince... Je crie :
— AAAAAAHHHHH, au secours !
Nouveaux rires et cris, oh qu’ils aiment ! Je ne sens rien heureusement, maintenant qu’il est en moi... Ah si, ça me brûle et de plus en plus... Un homme, peut-être le marchand, dit :
— Faites-la taire, ces cris me font mal aux oreilles.
Pauvre marchand. L’intérieur de mon cul est en feu. Impossible de serrer les fesses. Profitant de ma bouche ouverte pour crier, un garde y enfonce une boule de tissus. Je continue de crier, mais mes cris ne cassent plus les oreilles des pauvres spectateurs. Mon cul brûle. Je pleure silencieusement, puisque je suis bâillonnée. Je reçois une bonne claque sur les fesses et le forgeron me dit :
— Je dois enlever la racine pour te marquer. Prête ?
Je fais non avec la tête, mais je peux à peine la bouger.
Une femme crie :
— Tourne bien la racine pour être sûr qu’elle ne serre pas les fesses.
Horrible garce ! Le forgeron répond :
— Oui. 
Il fait tourner la grosse partie extérieure de la racine. Mon anus flambe plus que jamais. Je me débats et je hurle, sauf que je peux faire ni l’un, ni l’autre. Il le retire brutalement. J’ai l’impression que mon anus restera ouvert à jamais.
J’ai maaaal.... Et là, il enfonce le fer rouge au centre de ma fesse gauche, il le laisse un moment en appuyant fort et je m’évanouis... Hélas non, la douleur est atroce, mille fois pire que le gingembre dans le cul. Je sens mes yeux s’exhorbiter et je hurle dans ma boule de tissus. Voilà, je suis marquée à tout jamais du symbole de la Chine et du mot « slave ». Je veux mourir !
Non, je vais surmonter ça... Je décompte de 1000 à 900 pour ne plus penser à des choses affreuses. Je vais vivre et je vais être sauvée par MON IA, celui qui est juste... même avec notre famille. C’est mon seul espoir... en attendant, advienne que pourra.
Les gens ont assisté à la torture d’une Occidentale blonde. Ils s’en vont et je pense « allez en enfer ». Le forgeron-bourreau me met quelque chose sur la brûlure et donne une claque dessus. Je me raidis dans mes liens. Il s’en va.




Un garde vient me détacher et ils me mettent debout. J’ai l’anus et la fesse gauche qui brûle littéralement. Je voudrais juste une piqûre de morphine et m’allonger sur un lit, sur le ventre. Une femme mince qui doit bien avoir 60 ans vient vers moi et dit :
— Suis-moi.
On va dans une chambre. Elle enlève sa tunique. Ses seins pendouillent et son ventre a aussi un peu trop de peau. Elle me dit :
— Tu me plais... j’ai envie que tu me lèches des seins aux pieds, il paraît que tu fais ça très bien. Tu vas te surpasser avec moi.
En gémissant, je réponds :
— Avec grand plaisir et le mieux possible, malgré l’affreuse douleur.
— C’est ce que j’attendais comme réponse. Tiens, un petit cadeau.
Elle ouvre la main et je vois une pilule dans sa paume. Je suis prête à tout pour avoir moins mal. J’avale la pilule.... L’effet est rapide, la douleur ne disparaît pas mais elle diminue nettement. Je me couche sur elle, le visage à hauteur de ses seins. Elle me dit :
— Tète-moi.
— Oui maman.
Elle rit.
Je tète ses seins qui sont mous et j’aime cette mollesse... Elle a des tétons allongés et... j’ai moins mal, de moins en moins. J’arrête de la téter pour lui dire :
— Merci pour la pilule.
— Continue de me téter, bébé.
Merci mon Dieu d’être tombé sur elle. Moi qui ai toujours préféré les filles de mon âge, j’aime son corps un peu... défraîchi et ce n’est pas l’effet de la pilule. J’ai parfois été attirée par les femmes plus âgées mais minces. Je tète ses seins qui ont le goût de sa sueur. Ensuite je descends vers son ventre un peu mou... puis sa chatte... Je la suce d’abord toute entière, j’aime. Elle me dit :
— Elle te plaît ?
Je réponds à sa chatte :
— Oui et ce n’est pas grâce à votre pilule magique...

À suivre

Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin.

Notre nouveau livre s’appelle : « Lizy, soumise autour du monde », il y a 60 illustrations de Bruce Morgan et vous allez l’adorer. Il est ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search


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