626 - 22 Incorporée dans une chaise.

Mon premier client se couche sur la chaise longue dont je fais partie. Il s’installe, écarte les jambes et me met sous le nez un gros paquet d’organes sexuels pas appétissants. Pour le dire autrement, il descend un peu et il me colle un kg de couilles chinoises moites sur le visage. Je sais bien que des couilles ne pèsent pas un kg, mais c’est l’impression que j’ai. Il me dit :
— Alors je suis ton premier client ?
Je réponds à ses couilles :
— Oui monsieur. Soyez le bienvenu. 
Aussitôt une croix noire apparaît sur mon front comme on me disait quand j’étais petite et que je mentais pour ne pas être punie. Il me dit :
— J’ai chaud, mes couilles sont moites, lèche-les.
Une petite langue pour lécher un kilo de couilles, la lutte est inégale, mais ça lui plaît. J’ai soif et, mon Dieu comme j’échangerais avec un plaisir intense de la sueur de couilles contre une bière fraîche ! Il prend son téléphone et appelle quelqu’un. Il lui dit :
— Salut Lee, tu ne devineras jamais où je suis !
J’entends la réponse :
— Tu te fais sucer la bite par une pute.
— Presque je me fais lécher les couilles par une petite pute française dont la tête dépasse de mon siège. Regarde.
Il me filme. J’essaie de faire un sourire tout en léchant, c’est pas facile. Mister couilles dit :
— Tu devrais venir, c’est marrant.
Oh non pas du tout ! Je n’écoute plus ce qu’il dit. Quand il a fini de raconter sa vie, il se recule et il me met contre la bouche une grosse bite molle qui ressemble à une holothurie ou un concombre de mer pas frais. Le concombre est circoncis, heureusement, il l’enfonce dans ma bouche et je le suce. Je ne suis pas japonaise et je n’aime pas les concombres de mer. J’ai déjà fait des choses beaucoup plus agréables que de lécher ce gros type suant, comme me tordre la cheville ou me faire piquer par une guêpe. Il parle toujours avec son ami et lui dit :
— Elle suce trop bien... je vais tout lui envoyer dans le gosier à ma chaise longue.... aahhhh.... tiens... et... tiens.
La chaise longue avale et a envie de dégueuler. Il retire enfin son sale vieux concombre et me dit :
— C’est bien, je te donnerai une bonne note.
— Mille mercis, monsieur.
Il se lève péniblement. Une servante en petit short noir arrive aussitôt et se met à genoux à côté de moi. Elle me nettoie le visage avec un linge mouillé puis elle me met le goulot d’une petite bouteille devant les lèvres en disant :
— Prends une gorgée et rince-toi bien la bouche. 
Ensuite, elle me met sous le menton un petit bassin sous le menton en disant :
— Crache.
Je recrache le liquide. Ensuite elle prend une brosse et me recoiffe. Elle ajoute :
— Je viendrai te nettoyer après chaque client, si tu dois pisser, dis-le-moi, si tu pisses dans le sable, tu seras punie.
— Oui Mademoiselle.
— Je vais chercher ta prochaine cliente.
Elle revient avec une jolie femme d’une quarantaine d’années. Elle me regarde et dit :
— Tu es muette ?
— Pardon Madame, je suis nouvelle et je ne sais pas bien comment faire... Si je peux parler, alors bonjour madame, je serai ravie de lécher votre belle chatte.
La femme rit et répond :
— Joli... bon, maintenant au travail et commence par me lécher toute la chatte avant le clitoris, j’ai une soirée ce soir et je veux qu’elle soit propre... Tu remplaces la douche. Heureuse ?
— Très, Madame.
Heureuse de lécher une chatte qui sent la « laisse » de haute mer en été ? Oh que non ! Elle s’installe confortablement les jambes écartées, la chatte sur mon visage. Ça lui plaît beaucoup l’idée que je lui lave la chatte. Aussi quand elle me dit :
— Elle pue non ?
— Oh oui Madame, je vais la nettoyer soigneusement.
Elle rit... et cliente qui rit qui vous donnera... du riz. C’est vraiment bête, c’est de l’humour de chaise longue. Je lèche, elle mouille, gémit et se fait aller et venir sur mon visage. Elle me dit :
— Suce !!
— Je mets ma bouche sur son clitoris comme un veau affamé tète sa maman vache. Être une chaise suceuse, ça ne me réussit pas pour les images non plus. Je suce... Elle doit être une championne de tai-chi ou truc du genre parce qu’elle reste longtemps impassible et me fait sucer longtemps. Pour finir elle se tortille un peu et elle se met quelques doigts dans le vagin. Et là, c’est bientôt la mousson, sa chatte m’arrose littéralement ! C’est une femme fontaine. Ce n’est pas que le liquide qu’elle expulse sur moi sente fort, mais ça me dégoûte.



Quand elle a fini de m’arroser, elle me dit :
— Tu as aimé ?
— J’ai adoré Madame, mille mercis.
Je ne vais pas lui dire « ça me dégoûte grave ». Elle me dit :
— Tu as eu à boire, maintenant, je vais te donner quelque chose à manger. Tu as faim ?
Elle est gentille, je l’ai mal jugée. Je réponds :
— Oh oui madame, je n’ai pas reçu à manger ce midi, j’ai très faim.
Elle sort quelque chose d’un sac... une banane ! Chouette, elle l’épluche, mais au lieu de mettre un bout dans ma bouche, elle se la colle dans le vagin. Elle n’est pas gentille du tout, la garce !! J’ai faim, moi. Elle me dit :
— Tu sais, j’aime manger une banane qui sort de ma chatte, alors je suis sûre que tu vas adorer.
— Oh oui Madame, merci.
Je voudrais lui dire « donne-moi cette banane, salope, ton vagin est plein de ta sale fontaine »... Elle fait aller et venir la banane, « ma » banane. Quand elle la ressort, elle me met devant la bouche le bout qui est bien mouillé. Elle me laisse manger quelques morceaux. Je m’en fous qu’elle soit mouillée. J’imagine un restaurant qui servirait des bananes au jus de salope. Je suis folle de penser à de telles bêtises, mais je suis prisonnière d’une chaise longue et je viens d’en manger justement une, de banane au jus de salope.
Elle se branle encore avec l’autre moitié et me la fait manger. Quand j’ai tout mangé, je lui dis :
— Merci madame, c’était délicieux.
Non ! Mais j’avais trop faim. Elle me dit :
— Lèche-moi.
Je la lèche, mais elle me donne une claque sur la tête et ajoute :
— Le clitoris !
Je suce son clitoris et elle me dit :
— J’aime voir une esclave manger ce qui sort de moi... J’ai une esclave avec qui je joue à ça... Je l’oblige à enfoncer des raisins pas trop mûrs dans mon cul. Je me balade un peu et puis elle doit se coucher sur le dos. Je m’accroupis au-dessus de son visage et je chie les raisins dans sa bouche. Tu aimerais ?
Je voudrais lui dire « Mais quelle horreur ! » ou alors, j’arrête de la sucer pour répondre :
— Oh oui Madame, tout ce qui vient de votre chatte ou votre cul doit être délicieux.
— Tu mens, petite chienne d’Occidentale, dis-moi la vérité ou je te fais fouetter.
— Je trouve que c’est la chose la plus dégoûtante que j’ai entendue.
Elle gémit et me dit :
— Lèche, chienne ! Oohhh oui... tu as raison... tu imagines manger ses raisins qui se sont... baladés dans mon intestin... et... Ooooohhhhhhh...
Elle jouit, mais elle n’a pas mis un doigt sur son point G et elle ne m’arrose pas. Elle se recule un peu et me dit :
— Tu as bien joué, je te donnerai une bonne note.
— Merci beaucoup Madame et merci pour la banane.
Elle rit et me dit :
— Tu aimes les raisins ? 
En voyant ma tête qui dépasse du fauteuil, elle rit et me dit :
— Je plaisante... ça m’excite de dire ça... Je te reprendrai.
— Merci madame, avec plaisir.
Tant que c’est une banane... Une servante vient me « refaire une beauté », je dois me rincer la bouche, elle lave mon visage, me recoiffe un peu et me fait pisser. Cette situation me fait peur, j’ai l’impression d’être dans une guillotine... Arrête de penser Mila ! Quand je suis propre, enfin au-dessus du cou, le client suivant arrive. C’est un gros Asiatique pas jeune. Pourquoi les gens ne se font pas retoucher, ici ? Je le lui demanderai, s’il est gentil. Il s’assied et, comme le premier, il me colle sur le visage quelques kilos d’organes génitaux. Il se recule en disant :
— Je ne veux pas t’étouffer, Blondie.
Décidément, ils adorent ce surnom tellement original quand on est une Occidentale blonde sur un continent où tous les gens ont les cheveux noirs. Je réponds :
— C’est gentil parce que c’est un peu angoissant de n’être plus qu’une tête.
Il répond :
— Plus qu’une bouche.
Il rit, moi aussi, pour lui faire plaisir. Il me demande :
— Qu’est-ce qui te dérange ?
C’est une interview ? Je réponds :
— Les gens brutaux et ceux qui ne sont pas propres.
— Je comprends, mais tu sais que notre IA préconise maximum deux douches par semaine pour économiser l’eau. 
— Je comprends mieux, vous êtes gentil...
— Allez, au travail petite, suce-moi.
Il tire sur la peau qui recouvre le gland qui est bien mouillé. Ai-je déjà décrit une fellation, lectrice imaginaire ? Elle répond dans ma tête : « Au moins 200 fois, ma chérie ». Oui, que veux-tu, les hommes aiment ça. Je lèche son gland, puis je le prends en bouche et ma tête va et vient sur son sexe. Le trou bordé de tissus épais dans lequel je suis est suffisamment large pour que je puisse prendre un sexe en bouche et l’enfoncer jusqu’à ce qu’il touche mes amygdales. Imaginez une tête coupée qui va et vient sur un sexe en dessous d’un gros ventre. 
Mon client aime, il le dit :
— Tu suces bien... tu as dû apprendre très jeune, ton père et ton grand-père se faisait sucer par toi... et tes frères ?
C’est ce qui l’excite. Je réponds :
— Je devais sucer tous les hommes de la famille, si je voulais manger.
 Je l’entends gémir au-dessus de moi puis son sexe arrose mes pauvres amygdales. Il quitte ma bouche mais c’est pour frotter son gland sur mes joues et mon nez. Je veux sauter en parachute et être sauvée. Il s’en va... en enfer avec tous ceux qui exploitent des pauvres filles. La servante revient me laver le visage et me coiffer un peu, je dois rincer ma bouche et je peux pisser, si je veux. Je veux pas. Elle me dit :
— Tu n’as plus qu’un client.
— C’est vrai mademoiselle ?
— Oui, ils veulent des filles en forme, on a une Africaine pour te remplacer.
— Merci beaucoup Mademoiselle.
— Ça ne dépend pas de moi, ton dernier client. 
Elle se lève et un gros type arrive. Il n’y a que des gros ici. Je regarde son sexe qui se balance... mais je le connais !

À suivre

Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin.

Notre nouveau livre s’appelle : « Lizy, soumise autour du monde », il y a 60 illustrations de Bruce Morgan et vous allez l’adorer. Il est ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search






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