627 - 23 Enfin, la plage.

 Je l’entends gémir au-dessus de moi, puis son sexe arrose de sperme mes pauvres amygdales. Il quitte ma bouche mais c’est pour frotter son gland sur mes joues et mon nez. Je veux sauter à nouveau en parachute et être sauvée ! Il s’en va... en enfer avec tous ceux qui exploitent de pauvres filles. 



La servante revient me laver le visage et un peu me coiffer, je dois me rincer la bouche. Elle me dit :
— Tu n’as plus que deux clients : un couple et un homme. Les autres filles vont être remplacées aussi.
— Oh merci, Mademoiselle ?
— Ça ne dépend pas de moi, mais ils veulent des filles en forme. On a une Africaine pour te remplacer. Soigne particulièrement tes derniers clients. Ah, voilà le couple.
Je la vois du coin de l’œil se plier en deux, en disant :
— Bienvenue, Monsieur, Madame. Voici la fille que vous avez choisie.
Ils ne répondent même pas, je vois le genre ! La fille se couche sur la chaise longue et écarte les jambes. Une chatte, ça va me changer... ou pas, car l’homme se couche sur elle. Il écarte les jambes aussi. Ils doivent s’embrasser, mais moi je ne vois que leurs sexes. Il bande et son sexe cherche le vagin de sa compagne, comme un lapereau perdu cherche le terrier familial. Autant penser à des lapinous et pas à des organes génitaux dont les propriétaires ont fait des économies d’eau. Ça y est, le lapinou a trouvé le terrier et s’y enfonce. Et moi dans tout ça, je suis quoi ? Je suis une pauvre prairie dans laquelle on fait des terriers. Non, une dune pas loin de la mer. Le lapinou n’arrive pas à se décider : il entre, il sort, il entre, il sort, sans arrêt. Faut que je m’amuse un tout petit peu pour supporter tout ça. 
Le couple descend un peu et ils me collent leurs organes génitaux sur le visage. J’ai une chatte juste en dessous de ma bouche et une bite me frotte tout le visage. L’homme me dit :
— Tu lèches tout ce que tu as sous le nez et fais ça bien, sinon je te fais corriger.  
La menace est super efficace, je lèche son cul, puis sa bite qui monte et descends contre mon visage. Il descend un peu et crie :
— Ta langue dans mon cul, salope !
J’obéis, bien sûr. Je lèche le trou du cul d’un homme et pouah, je ne vais pas entrer dans les détails. Il dit :
— Cette putain a sa langue dans mon trou du cul, ça m’excite.
Moi j’ai envie de vomir tout le sperme que j’ai avalé dans son trou du cul  et qu’il explose! Je pense : plus qu’eux et un autre, Mila, et puis tu retrouves Juan et tu pars en vacances avec lui pour toujours. En attendant, fais ça bien, ne te fais pas punir. Quand je me parle à moi même, je suis souvent d’accord avec moi. Donc je lèche un cul, des couilles et deux sexes dont un va et vient dans l’autre. Le type me dit :
— Mordille mes couilles mais ne les mords pas.
Je réponds à ses couilles qui vont et viennent sous mon nez :
— Oui maîtres.
Pouah : elles sont toutes suantes... Tout le monde est sale ici. On économise l’eau. Faut que je les mordille, ça le fera jouir et ce sera fini. Allez, vilaine bite, crache ton venin... Voilàààààà....
En jouissant, ses fesses se serrent et me coincent bien le nez. Lâche-moi, affreux cul ! Il se lève et me dit : 
C’est à vous dégoûter du sexe ! Leurs sexes sont un peu plus propres qu’en arrivant et moi, j’ai envie de vomir. La fille se lève et ils se prennent dans les bras. Elle lui dit :
— Tu as aimé la chaise ?
— J’ai déjà connu des chaises plus enthousiastes. Regarde son air dégoûté !
Je réponds :
— Non, j’ai adoré, je... Aaaaïïïïe !
Il m’a giflée et dit :
— Depuis quand les chaises parlent ? On va demander qu’ils fouettent ton gros cul d’Occidentale.
La chaise voudrait t’envoyer en enfer ! Ils s’en vont, laissant mon visage gluant et puant, quelle horreur ! Est-ce qu’on va me fouetter ? Mon Dieu, mon IA, sauvez-moi. La servante vient me nettoyer. Je lui dis :
— J’ai dû être un monstre dans une autre vie, Mademoiselle. Je paie. Vous allez me fouetter ?
En me nettoyant, elle dit :
— Calme-toi... Ça les amuse de dire ça. Plus qu’un client et tu pourras aller sur la plage et jouer avec les autres chaises longues.
Elle rit, puis me dit :
— Pardon. Ça ne dure jamais plus longtemps. On change les filles régulièrement. Essaie de bien traiter le client, c’est quelqu’un de très important.
— Oui, vous avez raison Mademoiselle, je vais faire attention, merci.
Quand mon visage est lavé et que je suis recoiffée, elle me dit :
— Dernier client, petite.
— Merci beaucoup, Mademoiselle, de me traiter comme un être humain.
Elle me caresse la joue en souriant et s’en va.
Un gros type arrive. Il n’y a que des gros ici. Il s’assied et je me retrouve nez à nez avec une longue bite molle... mais... le la connais ! Je fais un effort pour lever la tête, il penche la sienne et il me caresse la joue en disant :
— Alors, on ne reconnaît plus son pépé-porc ?
— Oh si, bonjour mon pépé-porc chéri.
Je fais la pute, ce que je suis ici, mais on ne sait jamais qu’il soit devenu gentil. Il répond :
— Toujours à sucer des bites et lécher des chattes, mon poussin ?
— Hélas oui, pépé-porc chéri.
— Tu ne dois pas te plaire ici pour être aussi gentille.
— Je suis si contente de vous voir et que vous veniez me sauver.
— Ah non, je viens me faire sucer la bite par ma petite-fille. Tu sais que j’adore l’idée. Il va falloir faire ça bien, sinon je te ferai fouetter mais ça me ferait mal au cœur. 
Il rit. Son gros ventre et sa longue bite molle sont secoués par son rire. Il me pince la joue en disant :
— Allez, au travail.
Il me fourre son sexe dans la bouche, je le suce en pensant « c’est le dernier, c’est le dernier... » Quand il a joui et que j’ai tout avalé, il me dit :
— Tu suces toujours aussi bien, je reviendrai.
— Avec plaisir, pépé-porc. Vous ne pourriez pas me donner un peu d’espoir…?
Il me regarde et dit :
— Tu vas pouvoir gambader sur la plage et aller dans la mer.
Je fais un gros effort pour ne pas lui dire : « C’est tout ? Ça, je le sais déjà ». Il ajoute :
— Dans une semaine, tout changera sans doute. Tu es la star de la famille, tu sais. Ton infra réalité passe un peu partout.
— Tout changera en mieux grand-père ? Je veux dire pépé-porc.
Je sais qu’il aime que je l’appelle comme ça. Pourquoi ? Parce qu’il est vicieux et cinglé ! Il me répond :
— Je pense, oui.
— Merci beaucoup...
Il s’en va. La servante arrive et elle m’aide à sortir de mon fauteuil. J’ai des courbatures... Je me frotte les jambes. Elle me dit :
— Tu peux aller te laver et pisser dans la mer. Tu peux aussi t’étendre au soleil, mais si un homme te montre une plaque VIP, tu dois lui obéir.
— Oui Mademoiselle.
Pourvu que ça n’arrive pas !
Plusieurs servantes libèrent les autres filles. On fait d’abord quelques pas incertains sur la plage, on est toutes ankylosées. Certaines filles se couchent pour se reposer. 
Deux filles et moi, malgré la fatigue et les courbatures, on court vers la mer pour nettoyer toutes les souillures qu’on a subies. On se rapproche. Une des filles me tend la main, je la prends aussitôt avec autant de plaisir qu’un bébé affamé voit apparaître les seins de sa mère gonflés de lait. L’idée du bébé qui avale le lait maternel balaie toutes toutes les saloperies que j’ai avalées, comme une vague magique. Oui, c’est n’importe quoi, mais j’ai envie de m’amuser un peu. L’autre fille me prend la main et on gambade dans la mer. Une des filles dit :
— Faut qu’on pisse et qu’on évacue toutes les saloperies qu’on a avalées. 
On s’accroupit et on évacue tout, enfin c’est l’impression qu’on a. L’autre fille dit :
— Dommage qu’on ne parvient pas à vomir.
L’autre répond :
— On a déjà digéré... 
C’est vrai... bah... on court dans l’eau, on s’éclabousse comme si on avait dix ans. On se serre l’un contre l’autre, pas pour le sexe mais pour... la chaleur humaine. Après avoir pas mal joué et pataugé dans la mer, une fille dit :
— Si on allait s’allonger sur la plage ?
— D’accord. 
On cherche un endroit un peu discret, près du commencement des dunes, et on se couche sur le sable l’une contre l’autre. On parle. Je dis :
— C’est quand même...
Aussitôt une des filles me met un doigt sur la bouche. Je lui fais signe que j’ai compris. Tout est filmé, enregistré... Ils doivent avoir des drones minuscules déguisés en insecte. On somnole les une contre les autres, enfin... Hélas, environ un quart d’heure plus tard, on entend une voix d’homme :
— Salut les filles.
On regarde de qui vient cette voix. C’est un Occidental d’une cinquantaine d’années, bien physiquement. Hélas, il a un écusson VIP sur sa chemise. Si je dois encore sucer des bites, je m’enfuis à la nage. Il nous dit :
— Que diriez-vous d’aller manger un gâteau ou une glace... et boire un thé ou une bière ?
Je réponds :
— Vous êtes sérieux, Maître ?
Ben oui, Maître, puisque c’est un VIP...
— Oui, j’ai fait préparer une table pour Mila et ses nouvelles amies.
Une des filles répond :
— Avec grand plaisir, Maître, on n’a pas reçu à manger ce midi. Vous êtes notre sauveur.
Il rit et répond :
— Vous ne devez pas m’appeler Maître, mon nom est Camille. Venez.
On le suit. Une servante vient à notre rencontre en disant :
— Tout est prêt, Maître.
Elle nous amène sur une petite terrasse entourée de bambous. Il y a une petite table avec des bonnes chaises et surtout une longue table couverte de boissons et de nourritures. Comme des gamines, on pousse des cris de joie devant les gâteaux, les glaces et les sushis qui se trouvent dans un petit frigo.  
 
À suivre

Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin.

Notre nouveau livre s’appelle : « Lizy, soumise autour du monde », il y a 60 illustrations de Bruce Morgan et vous allez l’adorer. Il est ici :


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