628 - 25 On mange.

Camille nous dit :
— Servez-vous les filles.
Je lui dis :
— Vous êtes un ange, Monsieur Camille.
Il rit et répond :
— Si j’en suis un, je ne suis pas au courant. Le soir, je vais souvent sur l’Intranet et je regarde tes aventures du jour. La plupart du temps, je te plains...
Je fais une pauvre tête, je dois me forcer parce que je mange un gâteau marbré au chocolat et j’adore ça. Il poursuit :
— Mais... tu me plais beaucoup aussi.
D’accord, il me demandera une fellation à la fin du repas. Pas de problème, pour une fois, je sucerai quelqu’un de gentil. En attendant, on se ressert. Je me lève pour me confectionner une grande glace avec de la crème fraîche et du caramel. Ça fait rire Camille, qui me dit :
— Je comprends maintenant d’où viennent tes belles fesses.
Ben non, parce que les deux filles prennent la même chose que moi et elles ont des culs tout menus. Camille choisit de la charcuterie et les filles encore des pâtisseries. Comme alcool, il a demandé du Baiju, l’alcool de sorgho. Les filles et moi on dévore les glaces et les gâteaux. Une des filles dit :
— Ah, si les hommes pouvaient éjaculer de la crème fraîche !
L’autre répond :
— On serait énormes.
On rit tous, n’empêche, à moins d’être très amoureuse ou très salope, qui mangerait un dessert au sperme ? Plus sérieusement, je demande à Camille :
— Vous êtes ici pour... euh... visiter ?
— Non, je suis un chercheur, un botaniste, spécialiste des mousses et des lichens. Je cherche des spécimens très rares.
Je lui demande :
— Pour un IA ?
Il sourit et répond :
— Tu es bien curieuse pour une fille qui a une grande marque sur le cul.
Malgré les gâteaux, j’ai les larmes aux yeux à cette pensée. Je réponds :
— Je suis défigurée.
— Allez, ne pleure pas, de nos jours, c’est très simple d’ôter une marque au fer rouge ou un tatouage.
— Sérieux ?
— Mais oui, même tes followers voudront revoir ton cul dans son état naturel.
— Merci, vous êtes très gentil... Vous voulez que...
Il devine la suite, et répond :
— Tu me plais terriblement.
Bon, va falloir payer les glaces et le Baiju, mais pour une fois, ce sera un plaisir. Je poursuis :
— Vous voulez que j’aille sous la table ?
— Non, je voudrais y aller, moi. 
Les filles et moi on se regarde, très surprises, personne ne nous lèche, ici. On le ferait bien entre nous, mais on est trop fatiguées. Me lécher la chatte, pourquoi pas, c’est gentil et ce sera peut-être bon. Je réponds :
— Avec plaisir... et puis vous avez de la chance, on s’est lavée dans la mer.
Une des filles lui dit :
— Et nous, Monsieur ?
Elle est folle, c’est un VIP, mais il répond :
— Mila et ensuite vous deux.
Je recule mon fauteuil et mets un de mes pieds sur l’accoudoir du fauteuil. Notre VIP file se mettre à genoux, le visage entre mes cuisses. Ma chatte est toute surprise de sentir une langue et pas une bite plus ou moins propre. Il me lèche et... ooh... mais il fait ça bien, ma chatte ronronne de plaisir. 



Il y a si longtemps qu’on ne s’est plus occupé d’elle autrement que brutalement. Je suis vraiment prise par surprise et je jouis en gémissant. Il me lèche encore un peu, tandis que je lui dis :
— Vous êtes le champion pour lécher une chatte.
Il rit et répond :
— C’est ma passion : les chattes et les plantes primitives. 
On rit aussi. Il regarde Suki et Fang et leur dit :
— À votre tour les filles ?
Fang répond :
— Oh oui, Monsieur Camille, avec plaisir
Il retourne sous la table. On se regarde en souriant : un VIP est sous la table et il lèche nos chattes. Fang roucoule bientôt de plaisir, c’est joli, une fille qui jouit. Quand il a fini, il passe directement à Suki et il la fait jouir aussi bien que nous. Il revient s’asseoir et s’essuie la bouche avec une serviette. On le remercie toutes les trois. Je lui dis :
— S’il vous plaît, Monsieur, vous êtes si gentil, achetez-nous.
Il boit une gorgée de Baiju et répond :
— Ce serait avec plaisir, mais je n’ai pas les moyens pour le moment. Cependant...
On est suspendues à ses lèvres comme il l’a été aux nôtres. Tu vois ce que je veux dire, lecteur imaginaire ? Ça te plaît ? Bon, je continue. Camille poursuit :
— Si je trouve les spécimens que je cherche, ce sera possible.
Suki lui dit :
— Je connais les plantes...
Il répond :
— Tu es sérieuse ?
— Oui, je vous jure, mon père était le professeur...
Elle fait une grimace et se tait. Elle a dû être rappelée à l’ordre par quelqu’un ou quelque chose. Je me souviens de ce qui m’est arrivé quand je me suis enfuie de la maison du forgeron tortionnaire. Camille lui dit :
— Cite-moi juste le nom des mousses que tu as trouvées.
Elle a la trouille de répondre, mais elle a tellement envie de ne plus être une chaise longue qu’elle dit :
— Des bryophytes...
Camille répond :
— Tu peux m’être utile... Dans un premier temps, je dois rencontrer quelqu’un de très important. Si tout se passe bien, je pourrai vous prendre avec moi. D’autant plus que ça plaira aux followers de Mila, la voir dans les mousses.
On rit. Fang met doucement la main sur son bras et elle le regarde avec des yeux suppliants. Il ajoute :
— Je vous prendrai toutes les trois.
Il ajoute :
— Promis, dans trois jours, je reviens. Mais maintenant, je dois y aller. 
Il nous embrasse... et s’en va. On se regarde et Fang nous dit :
— Il le fera, les filles.
Je réponds :
— Que le Ciel et l’IA t’entendent...
On mange un peu de ce qui reste de nourritures. On n’ose pas trop parler, mais on se sourit en levant le pouce. Plus que deux ou trois jours de chaises longues et puis on court dans les bois et on se couche dans la mousse... euh... non, on échantillonne des mousses. Pour finir, une servante arrive et nous dit :
— Vous êtes fières de vous ?
Suki répond :
— Mais on ne lui a rien demandé Mademoiselle, c’est lui qui... aïe !!!
La servante l’a giflée et lui dit :
— Je ne veux plus vous entendre parler que si on vous pose une question. Allez faire le ménage dans les bungalows 1 à 10. Le matériel de nettoyage vous attend devant le bungalow 0. Que ce soit impeccable, vous aurez le temps parce que vous ne mangerez pas ce soir.
On est vite revenues à nos fonctions objets/servantes. On se lève et on fait une révérence à la servante, avant de filer sur la plage. 
Il fut un temps qui me semble tellement lointain où on avait des servantes en plus des androïdes nettoyeurs... On arrive devant les chalets, je prends le bras de Suki et je le serre doucement, sa joue est toujours rouge mais elle me sourit.
On va chercher le matériel de nettoyage. À trois, ça va assez vite, mais il y a 20 chalets. Heureusement qu’on a mangé beaucoup de sucre. On sait qu’on est écoutées et sans doute filmées. On nettoie une salle de bain, que les occupants ont laissée dans un état dégoûtant : de l’eau partout, du dentifrice dans le lavabo et ils n’ont pas tiré la chasse des w.c.  Quelque chose qui leur ressemble s’y trouve encore. 
Discrètement, Fang fait 3 avec les doigts en souriant, Suki et moi, on comprend : plus que trois jours ou même deux, si Camille vient le matin. On nettoie... Quand on arrive au dernier chalet, il est tard et un couple s’y trouve. Ils ont une soixantaine d’années et sont tout, sauf sympas. La femme nous dit :
— Qu’est-ce que vous venez faire ?
— On vient vers le ménage, Madame.
— À cette heure-ci ? Vous êtes folle ! Le ménage, ça se fait le matin.
On ne sait pas quoi répondre. Son mari dit :
— Vous êtes des filles des chaises longues vous ?
On répond toutes les trois :
— Oui Monsieur, mais..
La femme nous coupe la parole et nous dit :
— Vous allez commencer par nous.
Elle se tourne vers son mari et lui dit :
— Déshabille-toi et couche-toi sur le lit.
Elle se déshabille aussi et elle s couche à côté de son mari. Franchement fallait pas, on a vu assez d’horreur. Pourquoi ils ne se font pas liposucer au lieu de se faire sucer par nous ? Est-ce que, dans cette région, c’est un signe de richesse d’être gras et pas propre, genre « J’en ai rien à foutre des putes, des esclaves ou des chaises longues ?? » Sans doute, genre rien à foutre des autres. Ce n’est pas du tout comme ce midi, les plats ne sont pas appétissants du tout. Tu veux que je décrive, lecteur imaginaire ? Oui ? Tu m’étonneras toujours. Ben ce sont des Asiatiques d’une soixante d’années, bien que de nos jours ils pourraient avoir 165 ans et ressembler à des sexagénaires. Ils sont gros et négligés. La femme désigne Fang et Nikki :
— Vous deux, vous sucez mon mari. Vous avez compris ?
— Oui Madame.
— Vous ferez comment ?
— Nos deux bouches et nos deux langues sur son gland.
— C’est ça.
Elle me regarde et ajoute :
— Quant à toi, ma petite vedette...
Vedette !!! Tu parles ! Je réponds :
— Je m’occupe de votre belle chatte, Madame.
— Voilà et que ce soit bien fait, sinon... je te fais fouetter.
On les lèche, moi je pense à la glace et aux mousses au chocolat, les filles aussi sans doute. Les seuls heureux de ce qui arrive, ce sont les habitants du chalet. Pourtant ici, il y a plein de filles disponibles. C’est peut-être à cause de ma soi-disant notoriété sur l’Intranet. On a tellement l’habitude de lécher des gens ni beaux ni propres qu’on les fait jouir rapidement. Les filles se partagent ce qui n’est pas de la crème fraîche, hélas, et moi, je vais sentir la chatte jusqu’à la fin des temps... Que ce soit en chaise longue ou en bonniche, on finit toujours par avoir une bite dans la bouche ou une chatte pas lavée sous le nez. 
Plus que trois jours...

À suivre

Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin.

Notre nouveau livre s’appelle : « Lizy, soumise autour du monde », il y a 60 illustrations de Bruce Morgan et vous allez l’adorer. Il est ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search





Commentaires

  1. J'adore quand il met sa langue là où d'autres ont mis leurs bites il y a peu ! https://poilhard.blogspot.com

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