629 - 26 Un très, très gros.

La grosse femme que je viens de lécher nous dit :
— Dehors.
Aux défauts que je viens de citer, je vais ajouter « pas polie » ! On sort du chalet et Fang nous dit :
— Si on allait se tremper ?
Je réponds :
— La nuit, j’ai peur dans la mer.
— Moi, j’ai envie d’aller dormir sans sentir la bite du gros connard. Allez, viens.
— Oui, mais au bord.
Comment ça, j’ai la trouille de tout ? Oui c’est vrai... La mer de Chine ou quel que soit son nom, elle me fait peur la nuit. Les filles ne sont pas tellement plus à l’aise, et on reste toutes au bord. On se lave à l’eau de mer, on s’arrose un peu l’une l’autre. On n’est pas rappelées à l’ordre par une crise aiguë de sciatique. Je suppose qu’on est filmées avec un drone équipé d’une caméra thermique. On ne fait plus attention aux trucs qui pourraient voler autour de nous pour nous filmer.
C’est gai de se laver et de jouer comme des gamines... euh... des grandes gamines, je suis prudente, même quand je n’écris que pour moi... On a quand même passé une journée fatigante et dans l’ensemble très pénible, sauf... les super moments passés avec Camille. 
On sait où les chaises longues passent la nuit et on va se coucher sur des nattes, l’une contre l’autre.
***
Je parle beaucoup de gros que ce soit des hommes ou des femmes. Je suppose que depuis l’antiquité et même depuis la préhistoire, le volume sous-entend le pouvoir. Les chefs n’étaient sans doute pas tous gros, mais ici c’est ce qui se passe. Il faut dire que les progrès de la médecine, issus de l’IA, permettent aux gens d’être très gros sans en avoir les inconvénients. La médecine a fait des progrès inouïs, puisque les chercheurs androïdes sont à l’affût du moindre nouveau virus pour s’amuser à le niquer. La vie éternelle, c’est pour demain si ce n’est pas pour aujourd’hui. Si c’est pour rester une esclave, je n’en veux pas. Si c’est pour courir dans les bois et manger des choses délicieuses avec Camille, là, d’accord. Et puis aussi visiter d’autres mondes et...
Une servante arrive. Je suis toujours collée aux autres filles et je pensais à la vie éternelle dans un demi-sommeil. Elle nous dit :
— Debout !
On se lève aussitôt. Oh merde ! On va devenir des chaises longues à nouveau... ou pas, car la fille nous dit :
— Un homme très important va venir. Il décidera s’il vous veut en chaise longue ou autrement.
Elle rit. Quelle garce ! J’aimerais la mettre, elle, dans une chaise longue et lui... pisser dans les yeux ! Bon je dois arrêter de faire la gamine. Elle ajoute :
— Il faut qu’il soit satisfait. Si ce n’est pas le cas, vous serez fouettées. Compris ?
Toutes les trois, on répond :
— Oui madame.
On la suit, on n’a même pas pu boire un verre d’eau. Discrètement, Sheng nous montre deux doigts. OUI ! Dans deux jours au plus tard, Camille vient nous chercher pour jouer dans les bois... et pour trouver ce qu’il cherche. 
On va sur la plage. Les autres esclaves sont déjà devenues des chaises longues. La servante nous dit : 
— Mettez-vous à genoux, puis les mains au sol et le front sur les mains, et écartez les jambes.
Les fesses en l’air, quoi. Trois culs et leurs marques « esclaves » vont accueillir le visiteur important. On attend... on n’a rien bu et rien mangé, ce matin et on n’a pas pu faire pipi et le reste... Je n’ai pas l’habitude de prendre du soleil, et mon anus est mitigé : il aime la chaleur, mais pas trop et puis il voudrait que j’aille m’accroupir dans un coin discret, pour restituer à la nature ce qu’on lui a prélevé sous forme de nourriture. Je dois penser à ce genre de bêtises pour faire passer le temps. Les autres filles ont déjà des clients qui ont collé une bite ou une chatte sur leurs visages. Enfin, on entend :
— Mais quels jolis culs !
On n’ose pas bouger tant qu’on en a pas reçu, l’ordre. L’homme parle en anglais. Il ajoute :
— Debout.
Oh avec plaisir. On se lève et on se retrouve face à une montagne de muscles et de graisse. Sous son kimono, son sexe se voit et il doit bien 30 cm de long, ma chatte qui n’a peur de rien d’habitude se met à trembler entre mes cuisses. Le reste de l’homme est à l’avenant : je parlais de gros, lui est vraiment énorme et vu son poids, sa coiffure et l’accent qu’il a en anglais, je pense que c’est un Japonais. Ce qui serait normal si c’est un Sumo. Il nous dit :
— Je vous ai gagnées pour une heure, les filles, mais rassurez-vous, je ne vais pas vous baiser dans la position du missionnaire.
Il rit et son rire est... énorme. Suki, la plus téméraire de nous trois, lui dit :
— On essaiera de vous satisfaire au mieux, mais puis-je humblement vous demander une petite faveur ?
Il est surpris mais répond :
— Vas-y.
— On n’a pas eu le temps de faire pipi et nos vessies vont éclater. 
Il rit à nouveau et répond :
— Venez, on va faire ça.
On le suit vers des dunes qui bordent la plage. Quand on est un peu dissimulés, il nous dit.
— Mettez-vous l’une contre l’autre et tournez-moi le dos.
Eh oh, le sumo, on ne peut pas avoir un peu d’intimité ? Non ! Il ajoute :
— Allez-y.
On s’accroupit l’une contre l’autre. Suki nous dit :
— Les filles, on pisse, on chie, c’est la nature, pensez que vous êtes des biches... Allez, on chie et le cerf viendra nous enculer. 
On rit nerveusement et puis on fait comme les biches, sous l’œil du tout gros cerf. Voilà, j’ai le rouge aux joues malgré tout ce que j’ai dû subir, depuis jeune fille de très bonne fille famille à fille publique, puis à esclave et objet sexuel. Suki, la plus courageuse, dit au Sumo :
— On n’a pas de papier pour... s’essuyer.
Il répond :
— Prenez des feuilles.
Vous savez chers lecteurs et lectrices imaginaires, quand un homme de 150 kg dit quelque chose à des filles de 50 kg, même si à trois elles ont le même poids que lui, elles font ce qu’il dit. S’il y a parmi vous des femmes et des hommes très délicats, sautez les paragraphes suivants, car je sais déjà que vous allez me faire des reproches imaginaires, mais moi je raconte ce que je vis et je vous jure que je n’ai pas le choix. On se revoit en fin de page. Vous restez ? Alors, ne me tirez pas les oreilles symboliquement pour avoir écrit des choses pas très propres.
On part donc à la chasse aux feuilles, comme les biches... euh non, la gêne me fait dire plus de bêtises que d’habitude. Vous imaginerez, hein ? Bon, alors à coups de feuilles, on se nettoie du mieux qu’on peut, ensuite on se lave les mains... avec du sable. Voilà, les trois biches retournent vers le Sumo.
Il a enlevé son kimono et il s’est couché sur le sable. Son sexe est proportionné, je l’ai dit. Nous voir faire notre petit numéro de biches chieuses, cherchant des feuilles, ça l’a bien excité et son sexe se dresse, il fait bien 30 cm de long et il est très large en plus. D’accord, on a déjà pris des sexes de différents volumes dans tous nos orifices, mais là on se serre l’une contre l’autre. Il voit bien qu’on a une méga trouille en voyant son sexe et il nous dit :
— Pas de panique, les filles. Mila, tu t’assieds sur mon visage, Suki et Feng vous me léchez le sexe.
Suki répond :
— On a eu peur maître, car vous avez une virilité qui nous a fait serrer les fesses. On avait peur d’être fendues en deux.
Il rit et répond :
— Je sais que mon sexe fait un peu peur. Léchez-le et toi Mila, assieds-toi.
Je m’accroupis au-dessus de lui et je m’apprête à m’asseoir en lui mettant la chatte sur la bouche, mais il me dit :
— Dans l’autre sens.
Oh !! On n’a trouvé que des petites feuilles, mais je sais bien qu’une esclave ou une chaise longue doit obéir avant tout. Tous les goûts sont dans la nature, même si moi, à sa place...
— Aïïïeee !
Il me donne une petite claque sur les fesses. Aussitôt, je m’assieds. C’est ce qu’il voulait. Il est énorme et on va dire qu’il a des goûts énormes. Il a son nez dans mon cul et ma chatte sur sa bouche. Il me renifle comme un hippopotame reniflerait une biche, puis il me lèche. Pour l’hippopotame, on fait semblant, hein ? Je sais bien que les hippopotames vivent en Afrique et les biches en Europe. Je pourrais dire : « comme un hippopotame reniflerait une gazelle de Thomson ». La langue du sumo vaut toutes les feuilles des arbustes qu’on a trouvées. J’ai l’impression d’être dans un « car wash » ou plutôt « a pussy and asshole wash ». Il me nettoie complètement et même en profondeur. Il me soufflerait dessus pour me sécher que l’illusion serait complète.



Impossible pour ma chatte de rester indifférente à tant... d’attentions. Je me tortille un peu sur son visage et sur sa langue qu’il a enfoncée dans ma chatte et puis je gémis :
— Je jouiiiiss...
J’ai plusieurs spasmes et je mouille bien son visage. Pas dans le style « femme fontaine », bien que je crois que sa langue musclée s’était concentrée sur l’endroit exact qui déclenche la fontaine. Si, si, il y a un endroit, on l’appelle le point G.
Vous trouvez que je dis trop de bêtises ? Bah, c’est ma façon de lutter contre l’angoisse d’être devenue une esclave... même si ce n’est plus qu’un jour et ensuite on gambade dans la forêt comme des biches, on en revient aux biches. Et puis, le point G, ça existe. Il y a des siècles, j’avais une amie qui m’a initiée au point G. Le sumo dit à ma chatte :
— Lève-toi petite, je vais laver tes copines.
— Oui maître... vous êtes un ange.
Il rit. C’est vrai qu’un ange de 150 kg, ça doit être rare. Niki et Sheng vont aussi s’asseoir sur son visage. Elles aiment aussi cette langue qui fouille les endroits les plus intimes de leurs corps. Quand il a presque terminé avec Sheng, il me dit :
— Fais-moi jouir avec la main.
Il est parfait, il ne va pas nous enfoncer son énorme engin quelque part. Je caresse son sexe énergiquement. J’ai vu dans un documentaire sur « old faithful » un geyser qui jaillit à heure fixe dans le Yellowstone Park. Son sexe, c’est un peu la même chose, un jet de sperme en jaillit. Je me recule et il prend tout sur son gros ventre.
Ces jours-ci, on a eu de la chance, d’abord avec Camille, qui est très gentil et avec qui on a trop bien mangé et qui va venir nous sauver dans deux jours. Ensuite le Sumo, qui nous a fait jouir et nous a fait une petite toilette complète.

À suivre

Un tout grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin.


Notre nouveau livre s’appelle : « Lizy, soumise autour du monde », il y a 60 illustrations de Bruce Morgan et vous allez l’adorer. Il est ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search




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