636 - 33 Champignons piskotropes... sic...
J’ai reçu un ordre de ma maîtresse et je plonge dans sa chatte... Là, c’est le paradis, le goût l’odeur, j’oublie le tig... euh... le tigre. C’est très curieux : je pénètre dans sa chatte comme dans un palais de la Chine antique. Suki me donne une petite claque sur la tête en disant :
— Qu’est-ce que tu fous ?
— Je visite... vous avez un palais entre....
Suki me coupe en disant :
— Elle est complètement pétée. Tu la veux, Camille ? Elle ne va pas prendre ton sexe pour un palais.
Il répond :
— Volontiers.
Suki me prend par la nuque et elle me fait regarder Camille, en disant :
— C’est le Roi du palais, va le lécher.
Oh oui, si c’est le Roi ! Je vais vite prendre son sexe en bouche. Oh, il a un goût... de myrtille, normal pour un Roi. J’entends Suki dire :
— Sheng, entre mes cuisses !
Suki doit être la Reine et Sheng une de ses... Comtesses. Le Roi Camille me caresse la tête, il aime ma bouche et ma langue. Soudain, je me rends compte que je ne suce plus un sexe d’homme mais un serpent ! Quelle horreur, je me recule aussitôt et je dis au Roi Camille :
— Votre sexe s’est transformé en serpent, Majesté.
— Qu’est-ce que tu fous ?
— Je visite... vous avez un palais entre....
Suki me coupe en disant :
— Elle est complètement pétée. Tu la veux, Camille ? Elle ne va pas prendre ton sexe pour un palais.
Il répond :
— Volontiers.
Suki me prend par la nuque et elle me fait regarder Camille, en disant :
— C’est le Roi du palais, va le lécher.
Oh oui, si c’est le Roi ! Je vais vite prendre son sexe en bouche. Oh, il a un goût... de myrtille, normal pour un Roi. J’entends Suki dire :
— Sheng, entre mes cuisses !
Suki doit être la Reine et Sheng une de ses... Comtesses. Le Roi Camille me caresse la tête, il aime ma bouche et ma langue. Soudain, je me rends compte que je ne suce plus un sexe d’homme mais un serpent ! Quelle horreur, je me recule aussitôt et je dis au Roi Camille :
— Votre sexe s’est transformé en serpent, Majesté.
Il répond :
— C’est normal, mais c’est un serpent très gentil. Suce-le bien et il va cracher de la mousse au chocolat dans ta bouche.
Oh oui, j’adore ça. Je caresse ses couilles tout en pompant énergiquement le sceptre royal... Soudain, je reçois de la mousse au chocolat plein la bouche... mmmhhh... c’est bon... Oh, une deuxième saccade de mousse au chocolat et une troisième. Le Roi me dit :
— C’est bien petite, tu es une très bonne esclave.
Il me désigne une femme du doigt en disant :
— On ne s’est pas encore occupé de notre invitée, va vite lui lécher la chatte.
Je vais vite me mettre entre les cuisses de l’invitée. Son sexe a la même odeur que celui de Sheng... Je la lèche... Quand elle jouit, je regarde le Roi. Il lève le pouce vers le haut, ce qui signifie la même chose dans toutes les langues : bon travail ! Je vois encore la forêt se déformer autour de moi et il y a des animaux effrayants qui me regardent en se léchant les babines. Je vais vite me réfugier aux pieds de la Reine Suki. Elle me dit :
— Embrasse ma chatte, elle est magique.
Oh, c’est ce que je pensais. Je colle mes lèvres aux siennes. Dès que c’est fait, elle me repousse en disant :
— On n’est jamais déçu avec toi, regarde bien autour de toi, tout va redevenir normal.
C’est vrai : j’ai l’impression de « descendre ». Je regarde autour de moi, je me sens très fatiguée... c’est peut-être à cause du champignon. Soudain, tout me semble redevenir normal... Je regarde la Reine, c’est Suki, le Roi c’est Camille et Sheng c’est... Sheng. Suki me fait signe de venir. Je vais vite me mettre à genoux devant elle. Elle me dit :
— Suis-moi, on va se coucher.
On entre dans la cabane, elle se couche, moi aussi, à ses pieds et... je m’endors.
***
Je me réveille... et je me souviens de mon rêve, il y avait un tigre rose et... ah non, ce n’était pas un rêve, c’est les champignons... piskotropes... non, psychotropes. Je me mets à genoux et je m’étire, pas longtemps car je prends le pied de Suki dans les fesses... Elle me dit :
— Petit déjeuner, vite.
Je me lève en me frottant les fesses. J’ai un peu la tête qui tourne... Je prépare le thé et les fruits dans trois assiettes. Une mieux remplie pour Suki, qui aime bien me nourrir à la main. Être à ses pieds et manger ses restes chasse les tigres de ma tête, même les roses.
Camille et Sheng sortent de la cabane. Je leur apporte une assiette et je fais le thé. Je les sers... puis je vais me mettre à genoux à côté de ma Maîtresse. Et, non, je ne suis pas folle, je suis prévoyante, sa présence empêche les démons, les tigres roses et les idées noires de danser la farandole dans ma tête. Camille me dit :
— Ça t’a plu ?
— C’était si spécial, tout ce que j’ai vu...
— Tu es la plus réceptive.
Suki lui dit :
— Mila a 7 ans d’âge mental... la cible idéale pour les hallucinations.
C’est un peu humiliant, mais c’est ma maîtresse, donc elle a tous les droits. Pour le moment, j’attends ses restes en salivant... Elle mange un fruit qu’elle n’aime pas et le recrache dans sa main. Elle me la tend, je le prends avec la bouche dans sa main. Sheng lui dit :
— Elle est ton esclave et ta petite poubelle de table.
Ça fait rire les deux filles, mais pas Camille. Il doit certainement lever les yeux au ciel, mais il sait que me faire humilier par ma maîtresse, ça m’aide à chasser mes idées noires. Pourquoi ? Alors là, je suis incapable de comprendre ça... Je crois que tout a commencé quand des envoyés de l’IA occidental nous ont dépossédés de tout ou quand j’ai été obligée de faire une fellation à mon affreux grand-père. D’ailleurs, ce n’est pas mon grand-père, j’ai été adoptée et mes faux parents ne me l’ont jamais dit... Ou alors, je cherche une Maîtresse pour me rassurer, quand on m’a obligée à sauter en parachute ou quand on m’a marqué les fesses au fer rouge, comme on fait cruellement au bétail, ou le tout ensemble. Camille nous dit :
— On part en expédition, il y a certainement d’autres champignons psychotropes. Ce serait un beau cadeau pour la tribu primitive.
Je dirais plutôt la tribu revenue à un mode de vie primitive. Suki me regarde et dit :
— J’hésite à te prendre avec nous... Tu crois que je vais avoir besoin de toi ?
— Oui Mademoiselle.
— Pourquoi ?
— Porter votre sac et enlever vos chaussures.
— Sheng peut faire ça aussi.
— C’est une Chinoise, Mademoiselle, vous aimez avoir une servante occidentale.
— C’est vrai... Tu sais que tu n’es pas trop bête pour une servante qui a 7 ans d’âge mental ?
— Merci Mademoiselle.
Camille nous dit :
— Assez joué les filles, on y va.
Suki me donne son sac qui est vraiment lourd et on part dans la forêt ou plutôt la jungle. Suki casse une branche souple et elle me dit :
— Marche devant moi, comme ça je peux fouetter tes fesses si tu ralentis, ou parce que j’aime ça.
On marche longtemps et de temps en temps, je prends un coup sur les fesses, je pousse un cri et j’accélère. Je gémis :
— Je n’ai pas ralenti, Mademoiselle.
— C’est vrai, mais c’est distrayant de frapper tes fesses.
J’avoue que les coups ne sont pas très forts et puis c’est mon rôle de distraire ma Maîtresse. On marche, Suki continue de me stimuler, moi de gémir. Et puis, Camille nous dit :
— Il y a une odeur.
Suki répond :
— On transpire toutes.
— Non, votre sueur, je la connais et elle est agréable, ceci sent la psilocybine.
Kezekza ? Je veux dire « mais de quoi s’agit-il ? » Il ajoute :
— On s’arrête ici.
Ouf ! Je dépose mon sac. Suki boit une petite bouteille de jus de fruits et me dit :
— Fais la chienne qui a soif.
Je me mets à quatre pattes et je lève les yeux et une patte vers elle. Camille lui dit :
— Tu lui ferais faire n’importe quoi.
Suki répond :
— Elle n’est pas mignonne, comme ça ?
— Si, c’est vrai.
Elle me donne la petite bouteille et me laisse boire comme une fille et pas comme une chienne. On s’assied sur des serviettes qui sont dans mon sac. Camille nous dit :
— Vous sentez ?
Non, pas vraiment... Il faut dire que j’ai enlevé les chaussures de Suki et leur odeur m’enveloppe et puis... ah, il y a une odeur un peu acidulée et ce n’est pas ses pieds. Je la regarde et elle me dit :
— Quoi ?
— Je sens cette odeur acidulée.
Camille répond :
— Essaie de la localiser.
Je regarde Suki, elle me dit :
— Allez, cherche petite chienne.
Je me lève et je hume l’air... Je me dirige vers l’endroit d’où émane l’odeur. Il y a plusieurs branches de palmier et d’autres feuilles. Je me dis que des champignons ne peuvent pas pousser sans lumière... À moins que ces feuilles ne soient là que depuis peu de temps. Je dégage l’endroit et, quand j’enlève les dernières feuilles de palmier, je vois une très grosse touffe de champignons et deux autres sous d’autres feuilles. Il y a bien chaque fois au moins une trentaine de champignons. Ils sont réunis par de longs pieds blanchâtres. Le chapeau est brun clair avec des petites traces plus foncées sur le dos. C’est d’eux que vient l’odeur. Je crie :
— J’ai trouvé, Monsieur Camille !
Ils viennent voir aussitôt. Camille me prend dans ses bras et il me serre contre lui en disant :
— Bravo Mila, c’est une espèce encore plus rare qui contient beaucoup de psilocybine.
Je regarde ma maîtresse... elle me sourit, ouf ! Camille nous dit :
— C’est un super cadeau pour les primitifs. On les prendra demain pour les leur apporter.
Suki lui dit :
— On en prend pour nous ?
— Il faut être en forme demain, on doit dormir.
Je n’ai pas fort envie de voir des choses aussi bizarres qu’hier. On recouvre soigneusement tous les champignons avec des feuilles et des palmes. Sheng dit :
— Pourvu que personne ne les trouve.
C’est Camille qui répond :
— A part les primitifs, personne ne vient dans cette forêt.
— C’est normal, mais c’est un serpent très gentil. Suce-le bien et il va cracher de la mousse au chocolat dans ta bouche.
Oh oui, j’adore ça. Je caresse ses couilles tout en pompant énergiquement le sceptre royal... Soudain, je reçois de la mousse au chocolat plein la bouche... mmmhhh... c’est bon... Oh, une deuxième saccade de mousse au chocolat et une troisième. Le Roi me dit :
— C’est bien petite, tu es une très bonne esclave.
Il me désigne une femme du doigt en disant :
— On ne s’est pas encore occupé de notre invitée, va vite lui lécher la chatte.
Je vais vite me mettre entre les cuisses de l’invitée. Son sexe a la même odeur que celui de Sheng... Je la lèche... Quand elle jouit, je regarde le Roi. Il lève le pouce vers le haut, ce qui signifie la même chose dans toutes les langues : bon travail ! Je vois encore la forêt se déformer autour de moi et il y a des animaux effrayants qui me regardent en se léchant les babines. Je vais vite me réfugier aux pieds de la Reine Suki. Elle me dit :
— Embrasse ma chatte, elle est magique.
Oh, c’est ce que je pensais. Je colle mes lèvres aux siennes. Dès que c’est fait, elle me repousse en disant :
— On n’est jamais déçu avec toi, regarde bien autour de toi, tout va redevenir normal.
C’est vrai : j’ai l’impression de « descendre ». Je regarde autour de moi, je me sens très fatiguée... c’est peut-être à cause du champignon. Soudain, tout me semble redevenir normal... Je regarde la Reine, c’est Suki, le Roi c’est Camille et Sheng c’est... Sheng. Suki me fait signe de venir. Je vais vite me mettre à genoux devant elle. Elle me dit :
— Suis-moi, on va se coucher.
On entre dans la cabane, elle se couche, moi aussi, à ses pieds et... je m’endors.
***
Je me réveille... et je me souviens de mon rêve, il y avait un tigre rose et... ah non, ce n’était pas un rêve, c’est les champignons... piskotropes... non, psychotropes. Je me mets à genoux et je m’étire, pas longtemps car je prends le pied de Suki dans les fesses... Elle me dit :
— Petit déjeuner, vite.
Je me lève en me frottant les fesses. J’ai un peu la tête qui tourne... Je prépare le thé et les fruits dans trois assiettes. Une mieux remplie pour Suki, qui aime bien me nourrir à la main. Être à ses pieds et manger ses restes chasse les tigres de ma tête, même les roses.
Camille et Sheng sortent de la cabane. Je leur apporte une assiette et je fais le thé. Je les sers... puis je vais me mettre à genoux à côté de ma Maîtresse. Et, non, je ne suis pas folle, je suis prévoyante, sa présence empêche les démons, les tigres roses et les idées noires de danser la farandole dans ma tête. Camille me dit :
— Ça t’a plu ?
— C’était si spécial, tout ce que j’ai vu...
— Tu es la plus réceptive.
Suki lui dit :
— Mila a 7 ans d’âge mental... la cible idéale pour les hallucinations.
C’est un peu humiliant, mais c’est ma maîtresse, donc elle a tous les droits. Pour le moment, j’attends ses restes en salivant... Elle mange un fruit qu’elle n’aime pas et le recrache dans sa main. Elle me la tend, je le prends avec la bouche dans sa main. Sheng lui dit :
— Elle est ton esclave et ta petite poubelle de table.
Ça fait rire les deux filles, mais pas Camille. Il doit certainement lever les yeux au ciel, mais il sait que me faire humilier par ma maîtresse, ça m’aide à chasser mes idées noires. Pourquoi ? Alors là, je suis incapable de comprendre ça... Je crois que tout a commencé quand des envoyés de l’IA occidental nous ont dépossédés de tout ou quand j’ai été obligée de faire une fellation à mon affreux grand-père. D’ailleurs, ce n’est pas mon grand-père, j’ai été adoptée et mes faux parents ne me l’ont jamais dit... Ou alors, je cherche une Maîtresse pour me rassurer, quand on m’a obligée à sauter en parachute ou quand on m’a marqué les fesses au fer rouge, comme on fait cruellement au bétail, ou le tout ensemble. Camille nous dit :
— On part en expédition, il y a certainement d’autres champignons psychotropes. Ce serait un beau cadeau pour la tribu primitive.
Je dirais plutôt la tribu revenue à un mode de vie primitive. Suki me regarde et dit :
— J’hésite à te prendre avec nous... Tu crois que je vais avoir besoin de toi ?
— Oui Mademoiselle.
— Pourquoi ?
— Porter votre sac et enlever vos chaussures.
— Sheng peut faire ça aussi.
— C’est une Chinoise, Mademoiselle, vous aimez avoir une servante occidentale.
— C’est vrai... Tu sais que tu n’es pas trop bête pour une servante qui a 7 ans d’âge mental ?
— Merci Mademoiselle.
Camille nous dit :
— Assez joué les filles, on y va.
Suki me donne son sac qui est vraiment lourd et on part dans la forêt ou plutôt la jungle. Suki casse une branche souple et elle me dit :
— Marche devant moi, comme ça je peux fouetter tes fesses si tu ralentis, ou parce que j’aime ça.
On marche longtemps et de temps en temps, je prends un coup sur les fesses, je pousse un cri et j’accélère. Je gémis :
— Je n’ai pas ralenti, Mademoiselle.
— C’est vrai, mais c’est distrayant de frapper tes fesses.
J’avoue que les coups ne sont pas très forts et puis c’est mon rôle de distraire ma Maîtresse. On marche, Suki continue de me stimuler, moi de gémir. Et puis, Camille nous dit :
— Il y a une odeur.
Suki répond :
— On transpire toutes.
— Non, votre sueur, je la connais et elle est agréable, ceci sent la psilocybine.
Kezekza ? Je veux dire « mais de quoi s’agit-il ? » Il ajoute :
— On s’arrête ici.
Ouf ! Je dépose mon sac. Suki boit une petite bouteille de jus de fruits et me dit :
— Fais la chienne qui a soif.
Je me mets à quatre pattes et je lève les yeux et une patte vers elle. Camille lui dit :
— Tu lui ferais faire n’importe quoi.
Suki répond :
— Elle n’est pas mignonne, comme ça ?
— Si, c’est vrai.
Elle me donne la petite bouteille et me laisse boire comme une fille et pas comme une chienne. On s’assied sur des serviettes qui sont dans mon sac. Camille nous dit :
— Vous sentez ?
Non, pas vraiment... Il faut dire que j’ai enlevé les chaussures de Suki et leur odeur m’enveloppe et puis... ah, il y a une odeur un peu acidulée et ce n’est pas ses pieds. Je la regarde et elle me dit :
— Quoi ?
— Je sens cette odeur acidulée.
Camille répond :
— Essaie de la localiser.
Je regarde Suki, elle me dit :
— Allez, cherche petite chienne.
Je me lève et je hume l’air... Je me dirige vers l’endroit d’où émane l’odeur. Il y a plusieurs branches de palmier et d’autres feuilles. Je me dis que des champignons ne peuvent pas pousser sans lumière... À moins que ces feuilles ne soient là que depuis peu de temps. Je dégage l’endroit et, quand j’enlève les dernières feuilles de palmier, je vois une très grosse touffe de champignons et deux autres sous d’autres feuilles. Il y a bien chaque fois au moins une trentaine de champignons. Ils sont réunis par de longs pieds blanchâtres. Le chapeau est brun clair avec des petites traces plus foncées sur le dos. C’est d’eux que vient l’odeur. Je crie :
— J’ai trouvé, Monsieur Camille !
Ils viennent voir aussitôt. Camille me prend dans ses bras et il me serre contre lui en disant :
— Bravo Mila, c’est une espèce encore plus rare qui contient beaucoup de psilocybine.
Je regarde ma maîtresse... elle me sourit, ouf ! Camille nous dit :
— C’est un super cadeau pour les primitifs. On les prendra demain pour les leur apporter.
Suki lui dit :
— On en prend pour nous ?
— Il faut être en forme demain, on doit dormir.
Je n’ai pas fort envie de voir des choses aussi bizarres qu’hier. On recouvre soigneusement tous les champignons avec des feuilles et des palmes. Sheng dit :
— Pourvu que personne ne les trouve.
C’est Camille qui répond :
— A part les primitifs, personne ne vient dans cette forêt.
À suivre
Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin.
Notre nouveau livre s’appelle : « Lizy, soumise autour du monde », il y a 60 illustrations de Bruce Morgan et vous allez l’adorer. Il est ici :
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