638 - 35 Daddy chou et sa fille chérie.
La fin du monde... J’ai écrit ça et je l’ai jeté. Comme si elle avait compris à quoi je pense, Mei me dit :
— C’est de ma faute, j’aurais dû mieux t’expliquer.
On est dans la voiture d’Aran, l’homme que nos déboires amusent beaucoup. Il a un chauffeuse... non, ça n’existe peut-être pas, alors un chauffeur féminin qui s’appelle Zi. Nous sommes assises sur la banquette arrière de la voiture et il est entre Mei et moi. Il lui dit :
— Tu devenais un peu trop sûre de toi, quelques semaines d’humiliation te feront du bien.
Je la regarde et je la vois faire une grimace. Moi, je suis comme avant le saut en parachute, je n’ai rien à perdre, je lui dis :
— Tout ça, c’est à cause de moi Monsieur, Mei ne doit pas être punie.
L’homme rit... de moi, bien sûr. Il me dit :
— Ah oui, c’est à cause de toi que Mei va passer des sales moments au propre et au figuré. Fallait écrire...
— Je le ferai. Maintenant, si vous voulez.
— Trop tard, tu vas passer une semaine au bon air, à faire de l’exercice.
Il rit, du même rire que celui que doit avoir Satan en enfer, s’il y a un enfer et des démons, et si quelque chose le fait rire, à part les malheurs des hommes. Je dis à Mei :
— Tout est de ma faute, je suis désolée.
— Tu étais bloquée, tu n’en peux rien. L’IA voulait me punir pour une autre raison.
Aran me dit :
— J’ai hâte de te voir sucer ma bite, Mila...
Il réfléchit et ajoute :
— Quoique... j’aime pas trop les pleurnicheuses. Peut-être toi, Mei... Non, tu es aussi une pleurnicheuse. Réflexion faite, je me ferai sucer par ma chère Zi. Hein, ma chérie ?
La chauffeuse, non, la chauffeur femme, répond :
— Avec plaisir, mon chéri.
Comme je n’ai plus rien à perdre et si ce n’est pas le cas, tant pis, je dis à Aran le démon :
— L’IA et vous, vous êtes vraiment méchants.
Il pousse un cri puis gémit :
— Oh nooon, tu entends Zi, elle dit qu’on est méchants !
Il rit... de nouveau de moi. Il a raison, surtout ne... Il me coupe la parole, non la pensée. Ne pas pleurer. Non, je ne pleure pas, je dis au sale type qui est entre nous :
— Laissez-moi dire au revoir à Mei, s’il vous plaît.
Il me regarde en souriant et dit :
— Tu n’as pas pleuré. D’accord.
Il se lève et prend ma place. Je suis à côté de Mei, je la prends dans mes bras. Elle me dit :
— On se reverra, mon cœur.
Là, je pleure, elle a dit « mon cœur »... On reste collées l’une à l’autre... Hélas, on arrive devant un grand bâtiment. Aran me dit :
— Allez petite Mila, va payer.
Payer quoi ? Les IA ? J’embrasse Mei et je sors de la voiture, qui repart. Mei me fait signe de la main. Je me dirige vers l’entrée du domaine ou de la ferme. J'entre et je vois que c’est une superbe maison dans un domaine fleuri. Ça me fait penser à notre maison d’avant les IA. Autour d’une grande piscine, il y a une partouze chinoise de gens très riches. C’est un peu ce qu’on était, mais pourquoi eux le sont-ils encore ?? Je les regarde, les hommes ont tous l’air d’avoir entre 30 et 40 ans, les femmes entre 20 et 30. Quand on est riches, on a l’âge qu’on veut. Il y a aussi des filles et des garçons très jeunes et d’après ce que je vois, ils sont tatoués sur une fesse et un bras. Ce sont des esclaves sexuels. Certaines personnes m’ont vaguement regardée, sauf une mignonne jeune fille nue avec des tresses et un buisson noir sur le pubis. Moi, je suis épilée comme toutes les esclaves. Elle vient vers moi et me dit :
— Tu es qui et tu veux quoi ?
Je me plie en deux et réponds :
— Mila, Mademoiselle. On m’a parlé d’une ferme, mais...
Elle m’interrompt en disant :
— Ah oui, Mila ! Et qu’est-ce qu’une chienne d’esclave fait avec des vêtements ? À poils et montre-nous ton cul.
Elle n’est vraiment pas sympa... J’enlève mon tee-shirt et mon short et je lui tourne le dos. Elle pose le doigt sur ma marque et dit assez fort :
— Daddy chéri...
— Oui mon poussin, qu’est-ce qu’il y a ?
— J’ai quelque chose à te demander, j’arrive.
Le poussin, qui est plutôt une saloperie de vautour, me dit :
— À genoux, les mains croisées dans la nuque.
J’obéis. Elle va vers un homme qui a une jolie esclave sur les genoux. Il la repousse et sa fille prend sa place. Elle lui dit :
— Daddy chéri, je peux conduire les filles à la ferme ?
Il caresse ses petits seins, tandis qu’elle l’embrasse sur la bouche. Quand le baiser se termine, il lui dit :
— Tu sais que j’aime dormir avec toi.
— La nuit prochaine, Daddy chou, et je te lèche si tu veux...
Elle l’embrasse à nouveau et quand leurs lèvres se séparent, elle se glisse entre les jambes de son père et couvre ses couilles et son sexe de petits baisers. Elle tire sur la peau pour dégager le gland et le mettre en bouche.
Il lui caresse la tête en disant :
— Tu me fais faire ce que tu veux... C’est d’accord.
Elle remonte entre ses cuisses et l’embrasse à nouveau sur la bouche... Quand le baiser se termine, un fil de salive réunit encore un instant leurs deux bouches incestueuses. Elle lui dit :
— Je veux y envoyer aussi Atsuko, elle ne m’obéit pas assez vite.
— Si ça te fait plaisir, ma chérie, mais tu ne restes qu’une nuit.
— Promis, Daddy chou.
Elle vient vers moi, son apparence tellement kawaii, c'est-à-dire mignonne en japonais, cache une saleté de garce. Je suis toujours à genoux, elle vient contre moi et dit :
— À quatre pattes !
Ça me fait du bien de bouger, sauf que dès que je suis à quatre pattes, elle s’assied sur mes reins et elle crie :
— Aran, va me chercher des vêtements et Atsuko qui est en cage et... deux paires de vieilles chaussures pour les esclaves !
Un garde costaud répond :
— Oui Maîtresse.
Le Daddy chou dit :
— Aran, prends aussi Kimi. Il en faut bien trois.
— Oui Maître.
J’ai compris, l’IA de la région a réuni les pires humains pour en faire une sorte de maison de redressement, comme on disait il y a des siècles. On attend. Daddy chou et ses putains d’amis continuent leur partouze. Il y a quelques cris quand l’un deux jouit. Il y a aussi un autre genre de cris, quand l’un d’eux file une claque à une de leurs esclaves. Je ne suis plus une chaise longue mais une chaise pour la fille chérie de Daddy chou. Elle n’est pas lourde, sauf quand elle est assise sur vos reins.
Aran revient avec deux filles qui crient parce qu’il les tire par une oreille. Une troisième les suit. Il vient se mettre devant nous et dit :
— Voici les deux filles et Kimi, Maîtresse.
— On les conduira à cheval. Appareille-les.
— Oui Maîtresse.
La fille se lève, ouf ! Mes reins peuvent respirer. Je me lève aussi, le garde nous dit :
— Suivez-moi.
On va dans une petite pièce et Aran, le garde, nous appareille. Il nous met des bracelets de métal autour des chevilles et des poignets ainsi qu’un collier de métal autour du cou. Ce ne sont pas de bijoux, ils vont plutôt servir à nous attacher. Il y a une petite pièce de métal pour passer une corde.
On est donc deux malheureuses filles, Atsuko, une Japonaise et moi, une Européenne. Kimi est une Chinoise et on doit s’en méfier. Le garde réunit nos poignets vers l’avant au moyen d’une corde qu’il passe dans les pièces arrondies qui sont sur nos poignets. Ensuite il passe une corde dans les mêmes pièces qui sont sur nos colliers. On est attachées l’une à l’autre. Il prend la corde et... on le suit.
On va devant les gens qui continuent de baiser autour de la piscine. Ils sont infatigables ou plutôt « shootés ». Daddy chou embrasse sa fille chérie sur la bouche. Que ce soit en Asie ou en Europe, les IA ont l’air d’aimer les incestes. Le baiser terminé, elle vient vers nous en disant :
— On va à l’écurie, Aran.
Il tient la corde et on le suit, fatalement. D’abord Kimi, puis Atsuko, puis moi. Je ne vais pas tout détailler, je dirai juste qu’un moment plus tard, on se retrouve derrière le garde à cheval, notre laisse attachée à sa selle. Mademoiselle Sakura est à cheval et envoie régulièrement un coup de fouet sur mes fesses et celles d’Atsuko. Malgré sa jeunesse, c’est une experte, elle frappe de façon à ce que ça fasse vraiment mal, mais sans nous blesser.
Nous faisons une petite promenade dans la campagne, ponctuée de claquements de fouet et de nos cris. Je sais que je vais blasphémer, mais j’imagine le Christ et les deux voleurs en route pour les croix. Il n’y a pas d’éclair dans le Ciel ? Non, je continue.... On porte notre croix et on est fouettées comme eux, à cette différence près qu’il ne faut pas abîmer des bêtes de trait. Juste les punir si elles ne vont pas assez vite ou si ça distrait une petite garce qui pratique l’inceste comme d’autres pratiquent la charité. Je vous épargne tous les « Aïe ! » et « Pitié Maîtresse ! » qui suivent les coups de fouet. Après des kilomètres, on marche le long d’un ruisseau. Sakura, la fille chérie de Daddy chou, dit à Aran :
— Faut faire boire les bêtes.
— Oui Maîtresse.
On s’arrête et elle nous dit :
— Allez boire aussi, sans les mains.
On va près du ruisseau et on se met à genoux, puis, les fesses en l’air, on lape l’eau comme des animaux, ce qu’on est devenues.
À suivre
Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin.
Notre nouveau livre s’appelle : « Lizy, soumise autour du monde », il y a 60 illustrations de Bruce Morgan et vous allez l’adorer. Il est ici :
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