642 - 39 Ils vont payer.

 La fille ajoute :
— Déshabillez-les et j’ai envie de les voir vous sucer la bite.
Elle nous regarde en souriant et ajoute :                  
— On ne se lave pas souvent.
Quelle horreur ! Les musiciens et les gardes du corps nous déshabillent en déchirant nos vêtements. On crie... Ils nous mettent à genoux sur la petite table, devant la chanteuse, les fesses tournées vers elle. Les deux gardes nous tiennent les mains dans le dos, les fesses en l’air.
Les musiciens doivent être à moitié asiatiques et à moitié occidentaux, à voir comme ils sont poilus. Ils exhibent de gros sexes entourés de poils noirs sous notre nez. L’un deux nous dit :
— Va falloir obéir à la patronne, petites, et si vous nous mordez, on vous arrache les incisives et on vous les fourre dans le cul.
Ensemble, ils font coulisser la peau de leurs prépuces. L’odeur devient pire. Ils nous regardent en souriant. Atsuko est encore plus dégoûtée que moi. On pourrait... La chanteuse coupe le fil de mes pensées en disant :
— Je sais comment vous décider à le faire. 
Elle caresse nos fesses en disant :
— Vous avez de beaux culs... Alors, vous allez apprendre qu’il faut toujours m’obéir, sinon il se passe ceci.
Elle nous montre un légume, je pense que c’est un énorme « chili pepper », il a la particularité qu’on l’a fait pousser en serrant le milieu pour qu’il devienne beaucoup plus étroit. Je comprends ce qu’elle va faire et je crie :
— Je suce, je suce... Mademoiselle !
Elle dit :
— Trop tard. Écartez bien leurs fesses, les gars.
Le garde m’empoigne les fesses et les écarte. Je parle pour moi, mais un autre garde fait la même chose à Atsuko. La chanteuse caresse mon anus avec le bout de son piment. 


D’abord je ne sens rien et puis, progressivement, ça commence à brûler. Je crie :
— Je vais sucer mais enlevez-le !
Atsuko crie aussi. Hélas, la sorcière enfonce en même temps ces piments dans nos anus. Ils nous distendent tout à fait, jusqu’à ce qu’ils soient enfoncés. Nos culs se referment sur la partie mince. On a l’anus en feu. Je crie  :
— Ça brûûûûûle...... Je suce... aaaah.... je suuuuuce.
Atsuko crie aussi et promet tout ce qu’on veut.
Les musiciens viennent nous mettre leurs affreux sexes sous le nez. J’ouvre la bouche et il l’enfonce dedans. Le goût est écœurant, mais je serais prête à tout pour qu’on me retire cette horreur du derrière. Atsuko suce aussi. 
La chanteuse voit nos têtes qui vont et viennent sur le membre dégoûtant. Elle retire les piments.
— Aiiiie !!
On crie toutes les deux. Mon anus brûle littéralement. Bientôt, l’horrible sexe m’envoie des saccades de sperme, c’est supradégoûtant. La chanteuse dit :
— Suivant. 
Un des autres musiciens vient me mettre son sexe sous le nez. La douleur que je ressens à l’anus est tellement violente, que je suce ce sexe, jusqu’à ce qu’il jouisse dans ma bouche. Le troisième musicien me dit :               
— Je vais calmer ton cul, tu seras mieux à ce que tu fais.
Ça les fait rire... Il doit mettre une pommade sur son doigt et il l’enfonce dans mon derrière. Ensuite, il y enfonce son sexe. Je crie à nouveau, parce que c’est la première fois qu’on me prend comme ça, à part le piment. Il va et vient dans mon derrière. Je sens de moins en moins la brûlure du piment, elle est remplacée par la douleur d’avoir l’anus... écartelé par ce gros sexe. Autour de moi, je me rends compte qu’ils se mettent tous à... baiser. Un garde du corps met sa bite dans ma bouche, tandis que je vais et viens sous les coups de reins du salaud qui écartèle mon derrière. Quand il a joui, il me met une pilule dans la bouche en disant :
— Avale ça ou je te fais avaler un piment.
J’avale, rien ne se passe, je ressens toujours la douleur de mon anus. L’homme qui était derrière moi jouit en moi et je me sens mieux, même quand son gland écartèle mon anus à en ressortant. Il y a quelque chose de très important qu’on doit faire, il ne faut surtout pas que je l’oublie à cause du cachet. Atsuko dit à la chanteuse :
— Mademoiselle, je dois aller à la toilette.
— Pisse ici, chochotte.
— Ce n’est pas pipi.
— D’accord, mais si tu t’enfermes, on défonce la porte et puis on te défonce vraiment le cul ! 
Elle court aux toilettes. Je sais ce qu’elle va faire : en cas de danger grave, il y a endroit sur lequel il faut pousser un certain nombre de fois et d’une certaine façon. Il permet d’endormir tous les passagers grâce à un gaz inodore. Elle a dû le pousser car... je m’endors.
***
Je me réveille sur un aéroport. Le pilote automatique a fait atterrir l’avion sur la piste d’atterrissage la plus proche. Je me sens bien, ça doit être la pilule qu’on m’a donnée.
Des policiers androïdes montent à bord. Ils nous font descendre de l’avion et nous emmènent dans une grande pièce, où il y a un policier humain. La chanteuse me dit :
— Ça, ma petite, ça va te coûter cher.
Je réponds :
— C’est vous et vos acolytes qui allez être poursuivis et condamnés.
Elle rit.
La chanteuse et ses musiciens sont reçus respectueusement. Le policier lui dit :
— La fille qui pilote et l’hôtesse de l’air vont être poursuivies.
Elle répond :
— Je voudrais vous en parler en privé.
Ils sortent de la pièce. On est chez les fous ? Quand le policier revient seul, il dit aux complices de la folle :
— Mademoiselle Sakura vous attend dehors. 
Ils sortent. Le policier nous dit :
— Suivez-moi, les filles.
Je m’apprête à lui dire que nous sommes les victimes de ces rockers drogués et violeurs et... il me montre une sorte de bâillon dégoûtant en disant :
— Tu la fermes, tu parleras au juge.
Ah oui, je vais lui parler ! On a atterri sur un petit aéroport et je remarque que tout est vieux et sale, ici. C’est comme si on avait fait un bond dans le passé, d’un siècle ou deux. Le policier nous amène dans une petite pièce. Un gros homme qui fume un cigare puant est assis dans un fauteuil, les pieds sur son bureau. Il y a une bouteille de bière ouverte sur son bureau. Je lui dis :
— Monsieur le juge, c’est un scandale, ces gens ont...
Il fait un rot dans ma direction et me coupe la parole en disant :
— Ta gueule !
Je suis chez les fous  ! Je ne peux pas m’empêcher de lui dire :
— Mais je... aiiieeeeeeee !
Une douleur me traverse les fesses. Le policier m’a « tasé » le cul. Je me frotte les fesses en grimaçant. Le juge nous dit :
— J’ai toutes les images de ce qui s’est passé dans l’avion, vous êtes accusées de plusieurs délits. Vous deviez obéir aux passagers qui sont très proches du Maître IA de la région du Sichuan. En conséquence, je vous condamne toutes les deux à être vendues comme esclave.
Bienvenue chez les dingues. 
— Aiiiieeeee !
J’ai à nouveau reçu une décharge électrique dans les fesses. Atsuko crie aussi. Le policier nous dit :
— Remerciez Monsieur le Juge.
Atsuko et moi, on dit :
— Merci, Monsieur le Juge.
C’est un cauchemar ou alors on est passées dans une autre dimension. Le policier nous dit :
— Suivez-moi.
On le suit sans dire un mot. Je me frotte les fesses. Une voiture ultra moderne est là. On monte sur la banquette arrière. Le chauffeur nous dit :
— Restez calme et tout se passera bien.
Il ajoute :
— Sichuan, poulette.
La voiture répond :
— Oui mon chéri.
Ils sont vachement intimes. Je regarde attentivement le chauffeur. Il le sent et me dit :
— Je suis humain.
C’est comme s’il avait lu dans mes pensées « je pense que c’est un androïde ». Je lui dis :
— Vous êtes plus gentil que les autres humains.
Il rit et répond :
— Ne me drague pas, je suis amoureux de ma chérie.
La voiture glousse et elle démarre.
On n’a pas pris de champignons... et pourtant, on vient de discuter avec un humain sans doute androïde et sa fiancée qui est une voiture. Notre chute dans l’échelle sociale ne nous a pas permis d’être au courant des avancées prodigieuses faites par les IA. Atsuko et moi, on n’a vu que le pire, les familles les plus riches réduites quasi en esclavage. Il faut que j’arrête de penser à tout ça.
On roule très vite pendant une bonne heure et on se retrouve devant un immense complexe de magasins de denrées alimentaires et de boutiques diverses. Il y a aussi des piscines et des cinémas en réalité virtuelle. Une immense enseigne nous apprend où on est  : Tiānshàng shops. Ce qui veut dire « magasins du paradis ». Pas pour nous, je pense. Une fille en salopette sexy qui laisse dépasser ses seins vient vers nous et nous dit :
— Suivez-moi.
Les gens nous regardent, mais ils doivent avoir l’habitude de voir des esclaves nues avec un dragon brûlé sur la fesse. Nous sommes dans un magasin qui vend effectivement de tout. On arrive devant une rangée de dizaines de cages. À l’intérieur, il y a des filles nues. Il y a deux petites cages vides par terre. La vendeuse nous dit :
— Vos nouvelles maisons, entrez.
On y va à quatre pattes. Il y a à peine la place de s’y mettre. La vendeuse fait monter les cages à la hauteur des autres. On est très mal et en ce qui me concerne, complètement paniquée. Combien de temps devrons-nous rester là ??? Une heure ? Un an ? Je sais bien que ce ne sera pas un an mais je panique. Il doit y avoir une indication au-dessus de nous car les gens viennent nous voir. Ils peuvent examiner nos visages et en passant de l’autre côté, nos fesses.
Est-ce que tout ça est la réalité ? Ou c’est juste pour nous.... 
— Aiiie !
— Un visiteur vient d’enfoncer son doigt dans mon cul !!
On est en enfer ! Tandis que je me tortille, autant que l’étroitesse de la cage le permet, j’entends :
— Je vous connais, vous !

À suivre

Un grand merci à Bruce Morgan pour ce super dessin.

Notre nouveau livre s’appelle : « Lizy, soumise autour du monde », il y a 60 illustrations de Bruce Morgan et vous allez l’adorer. Il est ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search


Commentaires

  1. J'adore ce texte qui met é valeur ta soumission de petite Chienne !
    Patrick ❤️ ❤️ ❤️

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  2. Bonjour Patrick, Enfin, un commentaire ! MERCI. Tu sais que je finissais par avoir peur toute seule, dans ce grand bureau, sans un signe de l'extérieur... et en plus un gentil message. Je te remercie et t'envoie plein de bisous à mettre où tu veux.

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