645 - 42 Pucelle.
Heibao me saute dessus et son sexe cherche le mien.
— Iiiiiiiiik...
J’étais une jeune panthère pucelle, Heibao vient de me fendre en deux... euh... c’est une image. Il est juste le premier à pénétrer ma vulve... Donc, il me dépucelle. Rapidement, ça devient bon et ensuite très, très bon... Je n’essaye pas de le mordre comme le ferait une vraie panthère... Je suis mi-panthère, mi-fille et je tends bien ma croupe vers lui pour sentir son sexe me fouiller. Au lieu de gronder, je gémis de plaisir. Il me baise à toute vitesse... j’adore. Je décide de rester panthère pour toujours, je ne suis plus angoissée, je suis capable de courir très vite, de sauter, de grimper aux arbres, j’ai un super odorat et puis des qualités que je n’ai pas encore découvertes... Heibao continue à me baiser et je sens ses testicules gonflés taper entre mes cuisses. Je sens que je vais jouir, alors je contracte ma vulve pour le sentir encore mieux. Je jouis et en même temps, Heibao m’envoie son sperme qui me remplit. C’est trop bon, je pousse des gémissements de plaisir, tandis qu’Heibao me mordille gentiment la nuque.
Je suis une panthère... D’accord, je ne peux pas parler, mais comme le dit le proverbe « Celui qui parle n’a rien à dire ». Mes gémissements et mes grognements, il les comprend. Je vous traduis : « C’était trop bon, j’adore que tu me montes ». Il répond : « Et moi, j’adore ta vulve, qui emprisonne mon sexe ».
On est amoureux et là, je me rends compte que je lèche ma vulve et que j’avale son sperme. Je ne fais jamais ça quand je suis une fille... oui, j’aurais du mal... sinon, je le ferais sans doute. Heibao me grogne « J’ai la dalle, on va chasser ? »
Je réponds « Eh, ça va pas la tête, j’aime trop les animaux ». Il me regarde en souriant, je vois ses belles canines blanches et il me dit : « Tu es une panthère, ma chérie, tu dois chasser pour te nourrir, c’est ton instinct ». Il a raison et de plus, j’en ai honte, mais j’ai envie de chasser.
J’écris ça peu de temps après et je suis désolée, je ne vais pas décrire la chasse, j’aime trop les animaux. Quoique... Il doit rester un peu de panthère en moi, car j’ai quand même envie d’en parler. Ceux qui sont très sensibles, comme moi je l’étais, passez quelques lignes.
Je souris à Heibao en lui montrant les crocs. Il a compris : il court dans la forêt et je le suis. On est rapides, souples, puissants... et puis on a un super odorat.
Je sens un animal pas loin, lui aussi... On ne court plus, on s’approche sans bruit. Ça y est, on le voit, on bondit tous les deux sur notre repas et on dévore notre proie. Heibao me laisse les meilleurs morceaux, c’est-à-dire tout ce qu’il y a dans le ventre. N’oubliez pas que je suis une panthère, là...
On a les babines pleines de sang et on va boire dans le ruisseau et en même temps, le sang part dans le courant. Progressivement, Heibao m’apprend à être une vraie panthère. D’abord on pisse pour marquer notre territoire. Ensuite il m’apprend à chasser au crépuscule, on guette les proies et on court à 50 km à l’heure pour les attraper. On fait aussi des bonds de plusieurs mètres. Quand on a attrapé une proie, on saute dans un arbre pour la dévorer. C’est aussi la nuit, après avoir mangé, qu’on se fait des câlins. J’ai peur qu’il ne me trouve trop grosse avec tout ce que je mange, mais non, je ne grossis pas. Je lui plais et il me le montre en m’enfilant délicieusement jusqu’aux couilles. Quand j’ai envie qu’il me monte, je lèche son sexe. D’abord, il est très surpris et il grogne. Les fellations, c’est rare chez les animaux, en tout cas chez les fauves. Je lui dis « Mon chéri, j’ai envie de te montrer une chose que font les humains. » Il comprend, pourquoi, comment, j’en sais rien, mais quand on est une fille devenue panthère, tout peut arriver.
Je lui dis « Couche-toi, sur le dos. » Il me regarde et dit : « Eh, oh, ça va pas la tête ». Je lui fais mon regard de braise de panthère amoureuse et... il le fait. Je lui dis « On ne se mord pas, on se lèche ». Je vois qu’il est d’accord, alors je me couche sur lui en position de 69 ! Ça, aucune panthère ne le fait, mais je suis encore en partie humaine et Heibao aussi, je pense. Je suis le nez sur ses couilles, il sent la bête sauvage, mais je me rends compte que j’adore ça.
Je n’ose pas prendre son sexe dans ma gueule remplie de dents pointues pour les canines et tranchantes pour les carnassières. Je lèche les testicules, le sexe... Ooooh, il lèche ma vulve, j’adore. On se renifle, on se lèche, j’adore ça. Je ne sais pas si les panthères femelles jouissent, en tout cas moi, je prends mon pied... je veux dire ma patte. Nous sommes trop bien synchronisés, car presque en même temps, Heibao me barbouille le visage de son sperme. J’ai une longue langue râpeuse qui me permet de lécher son sperme.
On a un sacré tempérament, parce qu’on se lèche ou Heibao me monte tous les jours. Pourvu qu’il ne m’engrosse pas, parce que je n’ai pas envie d’une tripotée de bébés panthères suçant mes mamelles. Quoique, si on reste sur cette île, j’imagine la scène et ça me plaît.
Revenons dans le présent, la journée, Heibao somnole, moi je dors. Au crépuscule, il me réveille souvent en me léchant la vulve et même tout ce qu’il y a en dessous de ma queue, j’adore ça. Ensuite, il me monte.
De plus, je ne suis plus anxieuse ou angoissée. Je me sens bien avec mon beau pelage noir. C’est un détail, mais je peux aussi me lécher la vulve et j’aime ça aussi. Ça excite mon mâle de me voir faire ça et il me monte. Même si je n’en ai plus envie, ce qui arrive rarement, je me soumets. Je l’excite même sans le vouloir en lui montrant mon derrière et puis en pissant. La journée, je rêve de coïts avec mon beau mâle et de chasse.
Ce soir, on a attrapé... une bête et on l’a dévorée en commençant par l’intérieur. Fille, je détestais les abats, panthère, je les adore. On se balade, on renifle les odeurs. On fait des courses, qu’il gagne.
Vers le petit matin, on sent la fatigue. On saute sur une de nos branches favorites. Ce soir, il m’empêche d’y aller. Je lui dis « Mais on aime dormir sur une branche ». Il répond « Pas ce soir ». On ne se dit pas ça pour du vrai, mais on se comprend, comme chaque fois qu’on se parle.
Le soleil est déjà haut quand on se réveille. Qu’est-ce qu’il va encore nous arriver sur cette île ? Pas normal que je dise ça. J’ouvre les yeux et vous l’avez deviné si vous avez l’intuition d’une panthère ! Je suis redevenue une fille et Heibao est un homme. Il est noir, beau et musclé, il me plaît, bien sûr, mais j’étais heureuse en panthère. Je gémis :
— Heibao...
Il répond :
— Oui ma belle femelle
— On est des humains, j’aimais trop qu’on soit des panthères. J’ai envie de pleurer.
— Je crois que c’est ce qui était prévu. On est ensemble, c’est le principal.
— J’ai peur.
Il me prend dans ses bras... ça me rassure. Il me console. Hélas, ça n’arrive qu’en partie à chasser mes démons... Il me caresse aussi, je deviens vite excitée. C’est une chose que mes démons détestent, ils se cachent en maugréant dans un coin de mon cerveau. Ils faisaient moins les malins quand j’étais une panthère.
Je continue à appeler mon amoureux humain Heibao, je ne veux pas oublier ma panthère mâle. Ma vulve est toujours là, mais maintenant, elle est redevenue une chatte. Il la lèche, d’habitude, je n’aime pas trop ça, je préfère être active, mais il fait ça trop bien. Je jouis sous sa langue. Je lèche son sexe qui est beaucoup plus grand et gros que celui d’une panthère mâle.
On fait l’amour, on mange, on boit... Je devrais être heureuse, hélas, je sens un gros nuage noir arriver. Vous allez penser que c’est ma spécialité, mais je sens trop bien que ce nuage sera vraiment maléfique et qu’un orage nous fera périr.
Oh putain, le nuage noir se matérialise, j’entends :
— Il y a quelqu’un ?
Heibao crie :
— Oui, en haut de la plage.
Une jolie fille rousse arrive. Elle a les vêtements mouillés. Elle nous dit :
— On m’a balancée dans la flotte, pas loin d’ici.
Heibao se lève et va l’embrasser. Elle lui dit :
— Je suis trop contente de te voir, je m’appelle Asya.
— Moi, Stephen. Je viens d’Amazonie. Et toi, tu viens d’où ?
— De la Nouvelle Ukraine.
Et moi ? J’ai un nom et je viens de quelque part, mais elle s’en fout. Tout à coup, Heibao, pas Stephen, se souvient de mon existence. Il est vraiment devenu une sale bête. Il me désigne du doigt et dit :
— Elle, c’est Mila. Tu l’as peut-être déjà vue sur l’IntraNet.
Elle répond :
— Salut Mila. Je ne regarde pas ce genre d’émissions de jeux de rôles.
Pas sympa du tout, la fille, mais je dois quand même lui parler. Je lui dis :
— Salut, je...
Elle ne m’écoute plus, elle dit à Heibao :
— Il doit y avoir des fruits comestibles dans cette forêt, j’ai faim.
Heibao répond :
— Oui, il y en a beaucoup. Viens, je te montre.
Ils s’en vont dans la forêt... et moi ? Je reste seule et sans défense. Je n’ai plus de crocs, plus de griffes et même plus de queue. Je les entends rire au loin, rire de moi peut-être. J’étais si bien en panthère. Je râle dans mon coin. Quand ils reviennent avec des fruits et des plantes, emballés dans des feuilles de bananier, elle me dit :
— Qu’est-ce que tu sais faire ?
— Euh... j’écris...
— Aucun intérêt. C’est tout ?
Heibao lui dit :
— Elle est souvent utilisée comme servante.
— Ça, c’est beaucoup plus intéressant.
Heibao la prend par la taille et il me dit :
— Je lui montre le rivage, tu viens avec nous.
— Non merci !
Asya la salope me dit :
— Si tu restes ici, nettoie un peu. C’est ton truc, non ?
Elle rit et ils s’en vont. À l’orée de la forêt, ils s’embrassent. Grrrr !! mes griffes sortent de leurs logements et je montre mes crocs… J’ai envie de sauter sur elle et de planter mes crocs dans son gros derrière. Hélas, c’est fini ça, j’étais trop bien en panthère… Ils reviennent environ vingt minutes plus tard. Ils ont un grand sourire. Asya regarde autour de moi et elle voit que je n’ai pas enlevé ou nettoyé. Elle me dit :
— Tu dois m’obéir.
Puis elle se tourne vers Heibao en disant :
— Faut la dresser, cette petite.
Dans tes rêves ! Vous allez vous câliner pendant que je serai à votre service. Je file dans la forêt. J’entends Asya dire :
— Ne t’en fais pas, elle reviendra la queue entre les jambes.
JAMAIS ! Je pleure et mes larmes s’envolent dans le vent de ma course. Je n’ai pas besoin d’eux, je sais où il y a de l’eau fraîche et propre, des oreilles et des nombrils de Vénus, des fruits. Je cherche un endroit où je suis à l’abri de la pluie. Je me souviens d’avoir vu les restes d’une cabane. J’y vais, ce sera ma maison. Je me couche, je pleure, jusqu’à ce que je m’endorme.
À suivre
Un grand merci à Bruce Morgan pour ce super dessin.
Notre nouveau livre s’appelle : « Lizy, soumise autour du monde », il y a 60 illustrations de Bruce Morgan et vous allez l’adorer. Il est ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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