648 - 45 L'école.
On roule plusieurs heures avant que le camion ne s’arrête, enfin. On doit tous descendre.
On est toujours attachées l’une à l’autre. Devant nous il y a la mer et derrière nous un très grand bâtiment sur lequel il est écrit en relief dans la pierre : Institut d’Ingénieurs de la Confédération d’Amérique du Sud. Nous allons faire des études d’ingénieur ??? N’importe quoi. Je regarde le beau jardin en fleurs. Des élèves, garçons et filles, viennent nous voir. Une des filles dit au garde :
— Ce sont nos futures servantes ?
Le garde répond :
— Oui Mademoiselle, dès qu’elles seront dressées et auront appris le travail d’une servante.
Ça fait rire les filles.
Ma voisine gémit et dit au garde :
— Tengo que orinar, señor, por favor.
Le garde répond :
— Speak in English.
— I have to pee Sir, please
Je traduis le reste des conversations, tout se fait en anglais, ici. Il nous dit :
— Vous pouvez toutes pisser.
Les élèves rient en voyant des filles nues menottées l’une à l’autre s’accroupir. Un des élèves crie :
— Allez, poussez !
On pisse notre race, comme on dit. Quand on a fini, on se relève et même celles qui se secouent un peu ont des gouttes de pipi qui coulent le long de leurs jambes. Le garde prend la main de la fille d’un des bouts de la file et on se dirige vers l’arrière du bâtiment. Là, les bâtiments sont beaucoup moins beaux et bien dissimulés derrière un cordon d’arbres. Ces bâtiments semblent importés de l’Angleterre du 18e siècle. D’un côté, il y a une pancarte sur laquelle il y a une fille en uniforme qui balaie et de l’autre un homme en uniforme de larbin, plié en deux.
Voilà qui est explicite. Il y a aussi un grand écriteau sur lequel il est écrit : « Ici nous formons les meilleurs domestiques. » Ah bon, que ça ? Je pensais lire « Les meilleurs domestiques de l’univers » !!
— Aaaïe !!
Je viens de prendre un coup de fouet. Une jeune femme me dit :
— J’ai dit « avancez », tu es sourde ?
— Pardon, Mademoiselle.
— AVANCE !
Je n’avais pas senti la chaîne qui me tirait. Il faut que je me concentre sinon je risque de me faire défigurer... les fesses. Dire des bêtises, c’est mon truc pour diminuer mes angoisses. On arrive dans une grande pièce très haute de plafond. La fille nous enlève les menottes. On se frotte toutes les poignets. Elle nous dit :
— Suivez-moi
On va devant une porte au-dessus de laquelle il y a l’inscription « uniformes femmes ». Elle nous fait entrer. Une grosse Métisse discute avec un Noir. Il lui dit :
— Tes pucelles sont là.
Elle nous regarde d’un air dégoûté et répond au Noir :
— C’est pas des pucelles, ce sont des Occidentales qui ont déjà pris des bites par tous les trous.
Ils rient... et ils se remettent à parler. Cette fois, ce n’est pas pipi, mais boire. On attend au moins 20 minutes, avant qu’une fille ait une idée géniale. Elle va se mettre à genoux devant la Métisse. Le Noir lui dit :
— T’as une de tes filles qui va te demander quelque chose.
La Métisse se tourne et la regarde en disant :
— Quoi ?
— J’ai soif, Madame, s’il vous plaît.
La Métisse enlève sa robe légère et elle se couche, jambes écartées, sur une des tables encombrées de vêtements. Elle dit :
— Celle qui écarte bien mes fesses à deux mains et embrasse mon trou du cul pourra boire. Celle qui ne le fait pas bien recevra le fouet de Monsieur Pablo.
Est-ce que c’est un comportement normal dans une école ? NON ! Cependant, on a toutes soif et on a peur du fouet de Monsieur Pablo qui est un grand costaud... Une fille va se mettre devant les grosses fesses de la Métisse, elle les écarte et embrasse son anus entouré de poils comme si c’était la bouche de son fiancé adoré. La Métisse dit :
— Oublie pas la langue.
Nous sommes huit jeunes femmes face à une grosse Métisse couchée sur une table, tendant ses grosses fesses nues. J’ai déjà vécu pas mal de situations douloureuses ou spéciales, mais celle-ci n’est pas mal. L’une après l’autre, on écarte les grosses fesses et on embrasse l’anus luisant de salive de la langue de la fille précédente. C’est à moi. J’écarte ses fesses, puis j’embrasse son anus avant d’y enfoncer la langue.
On est toujours attachées l’une à l’autre. Devant nous il y a la mer et derrière nous un très grand bâtiment sur lequel il est écrit en relief dans la pierre : Institut d’Ingénieurs de la Confédération d’Amérique du Sud. Nous allons faire des études d’ingénieur ??? N’importe quoi. Je regarde le beau jardin en fleurs. Des élèves, garçons et filles, viennent nous voir. Une des filles dit au garde :
— Ce sont nos futures servantes ?
Le garde répond :
— Oui Mademoiselle, dès qu’elles seront dressées et auront appris le travail d’une servante.
Ça fait rire les filles.
Ma voisine gémit et dit au garde :
— Tengo que orinar, señor, por favor.
Le garde répond :
— Speak in English.
— I have to pee Sir, please
Je traduis le reste des conversations, tout se fait en anglais, ici. Il nous dit :
— Vous pouvez toutes pisser.
Les élèves rient en voyant des filles nues menottées l’une à l’autre s’accroupir. Un des élèves crie :
— Allez, poussez !
On pisse notre race, comme on dit. Quand on a fini, on se relève et même celles qui se secouent un peu ont des gouttes de pipi qui coulent le long de leurs jambes. Le garde prend la main de la fille d’un des bouts de la file et on se dirige vers l’arrière du bâtiment. Là, les bâtiments sont beaucoup moins beaux et bien dissimulés derrière un cordon d’arbres. Ces bâtiments semblent importés de l’Angleterre du 18e siècle. D’un côté, il y a une pancarte sur laquelle il y a une fille en uniforme qui balaie et de l’autre un homme en uniforme de larbin, plié en deux.
Voilà qui est explicite. Il y a aussi un grand écriteau sur lequel il est écrit : « Ici nous formons les meilleurs domestiques. » Ah bon, que ça ? Je pensais lire « Les meilleurs domestiques de l’univers » !!
— Aaaïe !!
Je viens de prendre un coup de fouet. Une jeune femme me dit :
— J’ai dit « avancez », tu es sourde ?
— Pardon, Mademoiselle.
— AVANCE !
Je n’avais pas senti la chaîne qui me tirait. Il faut que je me concentre sinon je risque de me faire défigurer... les fesses. Dire des bêtises, c’est mon truc pour diminuer mes angoisses. On arrive dans une grande pièce très haute de plafond. La fille nous enlève les menottes. On se frotte toutes les poignets. Elle nous dit :
— Suivez-moi
On va devant une porte au-dessus de laquelle il y a l’inscription « uniformes femmes ». Elle nous fait entrer. Une grosse Métisse discute avec un Noir. Il lui dit :
— Tes pucelles sont là.
Elle nous regarde d’un air dégoûté et répond au Noir :
— C’est pas des pucelles, ce sont des Occidentales qui ont déjà pris des bites par tous les trous.
Ils rient... et ils se remettent à parler. Cette fois, ce n’est pas pipi, mais boire. On attend au moins 20 minutes, avant qu’une fille ait une idée géniale. Elle va se mettre à genoux devant la Métisse. Le Noir lui dit :
— T’as une de tes filles qui va te demander quelque chose.
La Métisse se tourne et la regarde en disant :
— Quoi ?
— J’ai soif, Madame, s’il vous plaît.
La Métisse enlève sa robe légère et elle se couche, jambes écartées, sur une des tables encombrées de vêtements. Elle dit :
— Celle qui écarte bien mes fesses à deux mains et embrasse mon trou du cul pourra boire. Celle qui ne le fait pas bien recevra le fouet de Monsieur Pablo.
Est-ce que c’est un comportement normal dans une école ? NON ! Cependant, on a toutes soif et on a peur du fouet de Monsieur Pablo qui est un grand costaud... Une fille va se mettre devant les grosses fesses de la Métisse, elle les écarte et embrasse son anus entouré de poils comme si c’était la bouche de son fiancé adoré. La Métisse dit :
— Oublie pas la langue.
Nous sommes huit jeunes femmes face à une grosse Métisse couchée sur une table, tendant ses grosses fesses nues. J’ai déjà vécu pas mal de situations douloureuses ou spéciales, mais celle-ci n’est pas mal. L’une après l’autre, on écarte les grosses fesses et on embrasse l’anus luisant de salive de la langue de la fille précédente. C’est à moi. J’écarte ses fesses, puis j’embrasse son anus avant d’y enfoncer la langue.
Il est tout propre, lavé par les langues des filles précédentes.
C’est au tour de la dernière fille, elle dit :
— Je ne fais pas ça.
Elle est folle ?
La Métisse se remet debout et elle lui dit :
— Tu aimes te faire fouetter ?
— Je le serai de toute façon.
La Métisse lui tend la main et elle lui dit :
— Viens avec moi.
La fille lui prend la main et elles sortent. Elle est maso ! Le Noir nous dit :
— Pas mal votre copine, ce n’est pas une trouillarde comme vous.
Une fille répond :
— Oui, mais elle va le payer, Monsieur.
Le Noir hausse les épaules et répond :
— Bien sûr, mais vous allez avoir une surprise.
Du doigt, il me désigne en disant :
— Toi, viens ici.
Mais pourquoi moi ? On est huit, non sept maintenant. Je n’ai pas envie de me faire fouetter comme la folle qui a refusé de lécher un cul. J’ai déjà léché tant de culs, de chattes, de bites et de pieds... Il s’est levé pour sortir son sexe de son pantalon. Le fouet ou la bite ? Je vais vite me mettre à genoux entre ses jambes et je prends son sexe pour le mettre en bouche. J’ai une bonne surprise : il est presque propre. Quand c’est la millième queue qu’on suce, on sait y faire. Il me caresse la tête en disant :
— Tu lèches bien Blondie, je suis sûr que tu aimes ça.
Je fais oui de la tête, sur sa bite. Il me dit :
— Ta soumission me... me... ouch ! Avale...
Bien sûr, j’avale la millième décharge de sperme depuis que j’ai changé d’univers. Je dis mille, comme ça bien sûr. La bite de mon Heibao chéri me manque. Je signe tout de suite et avec un immense plaisir pour redevenir panthère avec lui. Le Noir continue à me caresser les cheveux.
J’entends la porte s’ouvrir et je vois la Métisse et la folle qui a refusé de lui obéir entrer dans la pièce. La Métisse lui dit :
— Montre tes fesses.
Elle se retourne et on voit toutes qu’elle a pas mal de marques rouges sur les fesses. La Métisse nous dit :
— J’ai été obligée de la fouetter parce qu’elle n’avait pas obéi à un ordre, mais...
Elle s’arrête, on est suspendues à ses lèvres comme on l’a été à son trou du cul. Elle poursuit :
— Mais c’est une fille qui en a, donc elle devient votre cheffe. Venez toutes, à tour de rôle, vous mettre à genoux devant elle pour lui embrasser les pieds et lui dire que vous allez lui obéir. Vous l’appellerez Mademoiselle.
Là... je craque presque. C’est vrai, j’ai fait quoi pour mériter ça ? Quand j’étais dans ma famille, j’ai traité un peu durement une ou deux bonnes, mais je ne les ai jamais fouettées. Pourquoi tout va mal ici et même de plus en plus mal ? J’ai été quoi ou qui dans une vie passée ? Gengis Khan ? D’autres noms me viennent à l’esprit mais je ne veux pas les écrire. Quand c’est à mon tour d’aller m’humilier devant notre nouvelle cheffe, je lui dis :
— Pardon Mademoiselle, mais je vais mouiller vos pieds.
— On peut savoir pourquoi tu pleures ?
— Pour les trois jours durant lesquels j’ai échappé au joug de l’IA et où j’ai passé quelques heures de plaisir avec mon amoureux, j’ai passé des mois de souffrances et ça ne va pas s’arranger ici...
Elle me tourne le dos et me montre ses fesses striées de lignes rouges... Elle me dit :
— Ça fait mal, mais pas de quoi pleurer. Allez, embrasse mes pieds pour me montrer que tu as bien compris que j’avais autorité sur vous toutes.
— Oui Mademoiselle.
J’embrasse et je mouille ses pieds de mes larmes. Peut-être que j’ai fait un bond dans le Nouveau Testament, est-ce qu’une prostituée n’a pas mouillé les pieds du Christ avec ses larmes ? J’arrête, je ne vais pas m’attirer les foudres du Ciel. La Métisse dont on a léché le cul et le Noir dont j’ai sucé le sexe la regardent dans son rôle de cheffe. Elle est plutôt gentille. Bien sûr, tout le monde est gentil depuis que les IA ont pris le pouvoir. Sauf qu’elle s’adresse à toutes les filles en disant :
— Alors vous avez toutes compris que vous deviez obéir à tout le monde ici, ensuite à moi. Cependant... nous venons de découvrir qui sera à notre service...
Elle me regarde, le bateau a contourné le premier écueil, mais il fonce droit sur l’autre. Elle poursuit :
— Ce sera la petite Mila, la pleurnicheuse. D’accord, Mila ?
— Oui Mademoiselle.
Elle ajoute :
— Pour tout vous dire, c’est ce que m’a fait savoir l’IA. La petite Mila a essayé de fuir le territoire de l’IA et elle a presque réussi.
Oh ! C’est vrai ? La nouvelle cheffe ajoute :
— Je plaisante, personne ne peut lui échapper, d’ailleurs il adore traquer les humaines.
La Métisse répond :
— Et heureusement, parce que notre vie a bien changé. J’ai quitté les favelas grâce à lui. Maintenant, vous pouvez boire.
Elle nous désigne, un robinet et un verre. On boit toutes, moi la dernière, bien sûr. Quand c’est fait, la Métisse nous dit :
— Sur cette table, il y a huit tas de vêtements. Habillez-vous en commençant par les chaussettes et les culottes.
On va chacune devant un tas de vêtements et on met les chaussettes blanches qui montent jusque sous le genou et qui grattent !! Ensuite les culottes, elles sont grandes et arrivent jusqu’à la taille, par contre elles sont très étroites et pénètrent bien entre les fesses. Elles grattent aussi. Je ne deviens pas folle, je vois que les autres filles font également la grimace. La Métisse nous dit :
— Je veux vous voir sourire, sinon vous aurez une mauvaise surprise.
On sourit toutes. Bas, culotte, ensuite une jupe bleue plissée et un chemisier blanc. Pour terminer, des chaussures noires plates. Une fille me dit :
— Viens faire mes lacets.
Pourquoi moi ? La cheffe me dit :
— Tu n’as pas compris que tu étais la servante du groupe ?
— Si, Mademoiselle.
J’ai déjà connu ça, je suis la servante des servantes... Non, on est des écolières mais de plus de 18 ans. C’est la punition divine ? Je veux dire la punition de l’IA ? Et là, je me souviens que je reverrai Heibao un jour, il me l’a promis et...
— Aiiiieee !
J’ai reçu une bonne gifle. Je mets la main sur ma joue qui devient chaude et rouge. Je gémis :
— Pardon Mademoiselle, je le fais tout de suite.
Après avoir lacé les chaussures de la fille, elles viennent toutes mettre leurs chaussures devant moi.
Une fille arrive et nous dit :
— Je suis votre professeure, suivez-moi.
C’est au tour de la dernière fille, elle dit :
— Je ne fais pas ça.
Elle est folle ?
La Métisse se remet debout et elle lui dit :
— Tu aimes te faire fouetter ?
— Je le serai de toute façon.
La Métisse lui tend la main et elle lui dit :
— Viens avec moi.
La fille lui prend la main et elles sortent. Elle est maso ! Le Noir nous dit :
— Pas mal votre copine, ce n’est pas une trouillarde comme vous.
Une fille répond :
— Oui, mais elle va le payer, Monsieur.
Le Noir hausse les épaules et répond :
— Bien sûr, mais vous allez avoir une surprise.
Du doigt, il me désigne en disant :
— Toi, viens ici.
Mais pourquoi moi ? On est huit, non sept maintenant. Je n’ai pas envie de me faire fouetter comme la folle qui a refusé de lécher un cul. J’ai déjà léché tant de culs, de chattes, de bites et de pieds... Il s’est levé pour sortir son sexe de son pantalon. Le fouet ou la bite ? Je vais vite me mettre à genoux entre ses jambes et je prends son sexe pour le mettre en bouche. J’ai une bonne surprise : il est presque propre. Quand c’est la millième queue qu’on suce, on sait y faire. Il me caresse la tête en disant :
— Tu lèches bien Blondie, je suis sûr que tu aimes ça.
Je fais oui de la tête, sur sa bite. Il me dit :
— Ta soumission me... me... ouch ! Avale...
Bien sûr, j’avale la millième décharge de sperme depuis que j’ai changé d’univers. Je dis mille, comme ça bien sûr. La bite de mon Heibao chéri me manque. Je signe tout de suite et avec un immense plaisir pour redevenir panthère avec lui. Le Noir continue à me caresser les cheveux.
J’entends la porte s’ouvrir et je vois la Métisse et la folle qui a refusé de lui obéir entrer dans la pièce. La Métisse lui dit :
— Montre tes fesses.
Elle se retourne et on voit toutes qu’elle a pas mal de marques rouges sur les fesses. La Métisse nous dit :
— J’ai été obligée de la fouetter parce qu’elle n’avait pas obéi à un ordre, mais...
Elle s’arrête, on est suspendues à ses lèvres comme on l’a été à son trou du cul. Elle poursuit :
— Mais c’est une fille qui en a, donc elle devient votre cheffe. Venez toutes, à tour de rôle, vous mettre à genoux devant elle pour lui embrasser les pieds et lui dire que vous allez lui obéir. Vous l’appellerez Mademoiselle.
Là... je craque presque. C’est vrai, j’ai fait quoi pour mériter ça ? Quand j’étais dans ma famille, j’ai traité un peu durement une ou deux bonnes, mais je ne les ai jamais fouettées. Pourquoi tout va mal ici et même de plus en plus mal ? J’ai été quoi ou qui dans une vie passée ? Gengis Khan ? D’autres noms me viennent à l’esprit mais je ne veux pas les écrire. Quand c’est à mon tour d’aller m’humilier devant notre nouvelle cheffe, je lui dis :
— Pardon Mademoiselle, mais je vais mouiller vos pieds.
— On peut savoir pourquoi tu pleures ?
— Pour les trois jours durant lesquels j’ai échappé au joug de l’IA et où j’ai passé quelques heures de plaisir avec mon amoureux, j’ai passé des mois de souffrances et ça ne va pas s’arranger ici...
Elle me tourne le dos et me montre ses fesses striées de lignes rouges... Elle me dit :
— Ça fait mal, mais pas de quoi pleurer. Allez, embrasse mes pieds pour me montrer que tu as bien compris que j’avais autorité sur vous toutes.
— Oui Mademoiselle.
J’embrasse et je mouille ses pieds de mes larmes. Peut-être que j’ai fait un bond dans le Nouveau Testament, est-ce qu’une prostituée n’a pas mouillé les pieds du Christ avec ses larmes ? J’arrête, je ne vais pas m’attirer les foudres du Ciel. La Métisse dont on a léché le cul et le Noir dont j’ai sucé le sexe la regardent dans son rôle de cheffe. Elle est plutôt gentille. Bien sûr, tout le monde est gentil depuis que les IA ont pris le pouvoir. Sauf qu’elle s’adresse à toutes les filles en disant :
— Alors vous avez toutes compris que vous deviez obéir à tout le monde ici, ensuite à moi. Cependant... nous venons de découvrir qui sera à notre service...
Elle me regarde, le bateau a contourné le premier écueil, mais il fonce droit sur l’autre. Elle poursuit :
— Ce sera la petite Mila, la pleurnicheuse. D’accord, Mila ?
— Oui Mademoiselle.
Elle ajoute :
— Pour tout vous dire, c’est ce que m’a fait savoir l’IA. La petite Mila a essayé de fuir le territoire de l’IA et elle a presque réussi.
Oh ! C’est vrai ? La nouvelle cheffe ajoute :
— Je plaisante, personne ne peut lui échapper, d’ailleurs il adore traquer les humaines.
La Métisse répond :
— Et heureusement, parce que notre vie a bien changé. J’ai quitté les favelas grâce à lui. Maintenant, vous pouvez boire.
Elle nous désigne, un robinet et un verre. On boit toutes, moi la dernière, bien sûr. Quand c’est fait, la Métisse nous dit :
— Sur cette table, il y a huit tas de vêtements. Habillez-vous en commençant par les chaussettes et les culottes.
On va chacune devant un tas de vêtements et on met les chaussettes blanches qui montent jusque sous le genou et qui grattent !! Ensuite les culottes, elles sont grandes et arrivent jusqu’à la taille, par contre elles sont très étroites et pénètrent bien entre les fesses. Elles grattent aussi. Je ne deviens pas folle, je vois que les autres filles font également la grimace. La Métisse nous dit :
— Je veux vous voir sourire, sinon vous aurez une mauvaise surprise.
On sourit toutes. Bas, culotte, ensuite une jupe bleue plissée et un chemisier blanc. Pour terminer, des chaussures noires plates. Une fille me dit :
— Viens faire mes lacets.
Pourquoi moi ? La cheffe me dit :
— Tu n’as pas compris que tu étais la servante du groupe ?
— Si, Mademoiselle.
J’ai déjà connu ça, je suis la servante des servantes... Non, on est des écolières mais de plus de 18 ans. C’est la punition divine ? Je veux dire la punition de l’IA ? Et là, je me souviens que je reverrai Heibao un jour, il me l’a promis et...
— Aiiiieee !
J’ai reçu une bonne gifle. Je mets la main sur ma joue qui devient chaude et rouge. Je gémis :
— Pardon Mademoiselle, je le fais tout de suite.
Après avoir lacé les chaussures de la fille, elles viennent toutes mettre leurs chaussures devant moi.
Une fille arrive et nous dit :
— Je suis votre professeure, suivez-moi.
À suivre
Un grand merci à Bruce Morgan pour ce super dessin.
Notre nouveau livre s’appelle : « Lizy, soumise autour du monde », il y a 60 illustrations de Bruce Morgan et vous allez l’adorer. Il est ici :
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