651 - 48 Kat et Jessica.

  Kat me dit :
 — Tu as quelque chose pour les félins, toi.
 — Euh…
Elle me caresse les fesses et m’explique :
 — Je m’appelle Kat et tu étais une panthère noire.
 — Oh oui…
 — Viens, on cherche les pots de chambre et pas de panique si tu vois des araignées.
 J’ai une amoureuse… enfin, mi-amoureuse, mi-maîtresse… ça me rassure. C’est ce qu’il me faut, je lui obéis, donc je n’ai pas à réfléchir et elle me défend si c’est nécessaire. On repère les pots de chambre imitation de ceux qui étaient employés il y a des siècles, genre avec des guirlandes de fleurs ou un œil dans le fond et l’inscription : « Dieu te voit ». Je le montre à Kat en disant :
 — Je préférais que Dieu me voie à un autre moment que quand je suis accroupie sur le pot.
 Elle rit, j’adore la faire rire. On a bientôt trouvé huit pots de chambre. Kat me dit :
 — Tu veux que je t’aide à les monter ?
 — Oh oui… Vous verrez Mademoiselle Oriane et…
 Je ne sais pas comment le dire… Kat soupire, mais elle sourit et termine ma phrase :
 — … et tu as peur d’elle. Vos cours sont durs, mais l’IA a mis des limites.
 — Oui Mademoiselle.
 — Allez, viens, on monte.
 On prend les petits escaliers des servantes et des domestiques. Heureusement qu’on ne croise personne parce qu’on en a plein les bras de ces saloperies de pots. On arrive devant la porte de notre chambre. Je veux déposer les pots de chambre et toquer, mais Kat ouvre la porte d’un coup de pied. On dépose les pots sous les yeux surpris des filles. Kat repère tout de suite la cheffe Oriane avec son brassard rouge. Elle lui dit :
 — Salut, je suis Kat, une des gardes. Je voudrais te parler, tu sors un instant avec moi ?
 Oriane est surprise mais elle répond :
 — Oui, bien sûr.
 Elles vont dans le couloir et ferment la porte. Les filles sont elles aussi surprises que je sois aidée par une garde. Claire me dit :
 — Tu sais ce qu’elle veut ?
 — Non Mademoiselle. Elle m’a aidée à trouver les pots de chambre et à les monter. J’espère que je n’ai rien fait de mal.
 Elle pose la main sur mon bras en disant :
 — Mais non, ne t’en fais pas.
 Voilà une phrase qu’il ne faut jamais me dire. J’ai les larmes aux yeux et je prends sa main dans les deux miennes. Claire me dit :
 — Ne t’en fais pas.
 — Merci, Mademoiselle.
 Elle me sourit. Oriane revient et me dit :
 — Elle est intéressante, la fille que tu as rencontrée.
 Je réponds :
 — Oui Mademoiselle, je…
 Elle poursuit :
 — Ce sera ton travail de soigneusement les nettoyer le matin. Kat te montrera où tu dois jeter ce qu’il y a dedans et ensuite bien les laver.
 — Oui Mademoiselle.
 Mais voilà un beau petit travail de merde ! Elle nous dit :
 — On descend à la cuisine, c’est là que se donnera le prochain cours.
 On prend le petit escalier, Oriane à l’avant et moi la dernière. Bah, je ne regrette pas de m’être enfuie... Si Heibao en panthère me le proposait, je saute sur son dos et... 
 — Oh pardon ! 
 La file s’est arrêtée et j’ai bousculé la fille qui était devant moi. Elle me dit :
 — Arrête de rêver Mila.
 — Oui, pardon Mademoiselle.
 Oriane toque à la porte de la cuisine. Une fille vient ouvrir et Oriane lui dit :
 — On vient pour le cours.
 Un Occidental bien en chair, d’une cinquantaine d’années, est assis avec quelques servantes autour de lui. Il a un verre de vin devant lui. Ils sont occupés à préparer des légumes. On sent bien que c’est lui le patron, ici. C’est peut-être un grand cuisinier français... Il nous dit :
 — Vous venez pour un cours de cuisine ?
Oriane répond :
— Non Monsieur, un cours de politesse. Comment saluer, servir à table…
— Ah oui, je vois.
 Il crie :
— Jessicaaaa !
 Une gamine arrive, je dis une gamine mais elle a certainement 18 ou 19 ans. Elle n’est pas en uniforme mais en mini-jupe et tee-shirt. Ses petits seins bougent sous le tee-shirt au rythme de sa marche énergique. Elle lui dit :
 — Tu as besoin de moi, Cariño ?
 Il lui répond :
 — Tu m’as dit que tu aimais fesser les Blanches. Tu as envie d’apprendre les bonnes manières à ces filles ?
 Elle nous regarde en souriant et elle lui dit :
 — Oh oui, Cariño. C’est pour leur bien que je leur donnerai une fessée si elles n’obéissent pas.
 — Bien sûr ma chérie. Ces Occidentales sont stupides, elles ne vont t’obéir que comme ça.
 Quel connard ce cuisinier ! Et puis : « ma chérie » et « Cariño » : c’est un couple ? Pourquoi cette sale gamine veut-elle nous fesser ? Elle nous fait un grand sourire et nous dit :
 — C’est tellement agréable de fesser une Blanche... mais ce ne sera pas sans raison.
 Elle ajoute :
 — Enfin… Je crois quand même que vous allez toutes y passer.
 Elle se tourne vers son « Cariño » en disant :
 — Qu’est-ce que je leur apprends ? 
 — À saluer poliment, à servir à table, à se mettre « aux ordres »... Si la fessée ne suffit pas, tu prends une serviette mouillée, tu vois ce que je veux dire ?
 La fille caresse la tête d’une des filles qui pèle des légumes en disant :
 — Moi non, mais vous, les filles, oui, si je me souviens bien.
 Toutes les servantes répondent :
 — Oui Mademoiselle.
 Le gros chéri ajoute :
 — Occupe-toi des sept filles et toi, avec le brassard, viens t’asseoir ici.
 Oriane répond :
 — Oui, merci Monsieur.
 Jessica, la chouchoute du cuisinier, s’assied sur ses genoux. Il lui dit :
 — Eh ! tu sais que tu m’excites quand tu es assise sur ma bite ?
 Elle répond :
 — J’espère bien, on va arranger ça.
 Elle nous regarde et dit :
 — Étant donné que vous êtes au niveau le plus bas dans l’échelle sociale, je vais d’abord vous apprendre à me montrer votre soumission.
 Elle réfléchit et ajoute :
 — Au-dessus de vous, il y a les servantes, au-dessus d’elles, mon Cariño et enfin, tout en haut : moi. 
 On a l’air très surprise, parce qu’elle dit à son Cariño :
 — Dis-leur.
 Elle est la patronne de cette cuisine ? Cette gamine qui a l’air vraiment vicieuse et qui aime punir les servantes ? 
 Le cuisinier nous dit : 
 — J’obéis à ma Jessica chérie, comme vous allez le faire.
 Elle lui dit :
 — On va leur montrer : sors ton sexe et écarte bien les jambes.
 — Oui ma chérie.
 Il obéit. Elle est sur lui, les jambes écartées. Ce n’est certainement pas la première fois qu’ils font ça. Elle prend le sexe de son Cariño en main, il a un sexe d’une belle taille et qui commence à bander.
 Elle dit aux servantes qui sont dans la cuisine :
 — Les filles, vous pouvez venir voir celles qui seront sous vos ordres. 
 Les servantes se rapprochent aussitôt. Elle nous dit :
 — À tour de rôle, vous allez venir devant moi. Vous me ferez une profonde référence et, quand vous redresserez, vous me direz votre nom. Ensuite, je vous dirai ce que vous devrez faire. 
 Elle désigne une de nous en disant :
 — Ambre, aux pieds !
 Elle connaît nos prénoms ! Je ne les connais même pas moi-même, à part un ou deux. Ambre va devant eux. Maîtresse Jessica lui dit : 
 — Plus près.
 Ambre s’avance et elle fait une profonde révérence. Elle doit se rendre  compte que cette gamine est vicieuse et dangereuse. Elle se redresse et dit :
 — Je suis votre servante et je ferai tout ce que vous me demanderez, Mademoiselle.
 Jessica lui dit :
 — Mauvaise réponse. Essaie encore.
 — Je… je ramperai à vos pieds.
 — Banal, tu m’essuieras avec la langue quand j’irai pisser ?
 — Ce serait un immense plaisir, Maîtresse.
 — Bien.
 Elle relève sa jupe et exhibe sa chatte qui fait la moue sous les poils, étant donné la façon dont ses jambes sont écartées sur celles de son Cariño. Ambre embrasse la chatte à pleine bouche et il faut le faire, parce qu’elle sent très fort. Je crois que la dernière fois qu’elle a dû se laver, c’était avec de l’eau du déluge ! En fait, j’en ai très peur et c’est pour ça que je l’imagine aussi peu soignée. En vrai... elle a une odeur tout à fait normale, mais comme elle est tout sauf sympa, j’imagine ça. Ambre la lèche et elle donne l’impression d’aimer vraiment avoir la langue et le nez dans la chatte de cette fille. 



Jessica lui dit :
 — Mouais… moyen, suce la bite qui est en dessous de moi.
 Ambre tire sur la peau du sexe du cuisinier et lèche le gland.
 Jessica lui dit :
 — C’est bon, arrête.
 Le cuisinier lui demande :
 — Elle ne pourrait pas continuer encore un peu ?
 — NON ! Claire, aux pieds !
 Claire la lèche aussi quelques minutes avant que Jessica ne dise :
 — Léna, la langue dans ma chatte.
 Non seulement elle connaît tous les prénoms, mais elle nous appelle par ordre alphabétique. Aïe ! Car la suivante c’est :
 — Mila !
 Je vais me mettre à genoux entre leurs quatre cuisses. Je dois la satisfaire, sinon gare à mes fesses, elle n’attend que ça. Non, même pas, on va toutes recevoir une fessée, c’est certain. J’embrasse ses petites lèvres et passe ma langue entre elles. Elle me prend par la nuque et relève ma tête. Elle me regarde dans les yeux en disant :
 — Tu aimes ça, on dirait...
 — Oui Mademoiselle, j’adore votre chatte.
 Nooon, j’ai surtout peur d’elle !

À suivre

Un grand merci à Bruce Morgan pour ce super dessin.

Notre nouveau livre s’appelle : « Lizy, soumise autour du monde », il y a 60 illustrations de Bruce Morgan et vous allez l’adorer. Il est ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search




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